De plus en plus d’enfants sortent du système scolaire


On assiste à une hausse importante du nombre d’élèves non scolarisés, étudiant à distance, souvent isolés. © Getty / Marko Geber / DigitalVision


Certains sont éduqués à domicile sans que cela ne pose problème. Mais d’autres sont sous l’emprise de sites salafistes, lorsqu’ils n’intègrent pas des écoles aux croyances douteuses.

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Rentrée scolaire


Désintox. Non, les allocations de la rentrée scolaire ne sont pas utilisées pour acheter des écrans de TV

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Quel mépris !

Allocation de rentrée scolaire : y a-t-il plus « d’achats d’écrans plats au mois de septembre », comme le dit Jean-Michel Blanquer ?


Le ministre de l’Éducation était interrogé sur France 3 sur l’allocation de rentrée scolaire, versée mi-août à quelques trois millions de familles modestes. 

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Et si on employait le terme « conjuguicide » au lieu de « féminicide »


En Belgique, le plan d’action national contre les violences basées sur le genre piloté par la secrétaire d’État Sarah Schlitz prévoit de comptabiliser les féminicides.
Belga via AFP


C’est en Belgique que le terme de « féminicide » fut utilisé pour la première fois. Mais comment être sûr qu’une femme a été tuée en raison de son sexe, de la même manière qu’il existe des crimes motivés par la haine raciale ? se demande notre chroniqueuse bruxelloise, Nadia Geerts (Marianne).


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Grande Traversée sur France Culture : Docteur Semmelweis


L’obstétricien hongrois Ignác Semmelweis (1818-1865) : « Il était un homme des Lumières, un précurseur de l’éthique médicale », Christine Lecerf, autrice de la série documentaire.
Whiteimages / Leemage


Voici l’incroyable histoire d’un jeune médecin hongrois qui voulait sauver la vie des femmes.

Alors que des vagues de fièvre puerpérale s’abattent dans toutes les maternités, Ignác Fülöp Semmelweis (1818-1865) fait une découverte fracassante : les mains des médecins transmettent la mort. Esprit libre et rationnel, Semmelweis tente alors d’imposer un geste simple d’une saisissante actualité : se laver les mains. Rompant avec les croyances de son époque, Semmelweis est rejeté par ses pairs et meurt oublié dans un asile psychiatrique de Vienne. Était-il lucide, génial, visionnaire ou fou ? Médecins, écrivains, historiens et artistes se penchent sur cette figure exceptionnelle et tragique de l’histoire de la médecine.


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Le courage des athlètes olympiques réfugiés illumine les Jeux de Tokyo



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La tenue des sportives, une vieille injonction…

LE HUFFPOST

Trop long, trop court, trop échancré, ou encore trop moulant… La tenue des femmes dans le sport n’aura jamais autant fait parler. Et pour cause. À l’heure où les questions de liberté du corps et de l’apparence agitent régulièrement notre société, les sportives sont de plus en plus nombreuses à se mobiliser contre les assignations à la “féminité” et la sexualisation de leur corps.

Le 25 juillet, les gymnastes allemandes ont voulu montrer que chaque femme avait “le droit de choisir ce qu’elle voulait porter”. Les sportives sont arrivées au dernier tour de qualifications en arborant une combinaison rouge et blanche, recouvrant les jambes et bras, et ont laissé de côté leur traditionnel justaucorps.

Une prise de position qui a fait écho à un précédent, juste avant les JO. Quelques jours plus tôt, l’équipe de beach-handball norvégienne écopait en effet d’une amende de 1500 euros pour avoir revêtu un short plutôt qu’un bikini “ajusté et échancré” (comme inscrit dans le règlement) au cours d’un match. Dans la foulée, de nombreuses équipes et personnalités, à commencer par l’entraîneuse de France de beach-handball, ont souligné et ouvertement critiqué la rigidité des règles de la Fédération en matière des tenues des sportives.

Un mouvement plus large

Le point commun entre ces deux histoires? Outre la médiatisation qui a suivi ces gestes forts, c’est la volonté de montrer la nécessité d’être à l’aise dans sa tenue pour pratiquer son sport.

Ces revendications de sportives s’inscrivent en réalité dans un “contexte plus large”, celui du “mouvement féministe” de ces dernières années, parfois appelé “3e vague féministe”, commente Florys Castan-Vicente, enseignante-chercheuse à l’université Lyon 1.

Et de préciser: “Les questions de liberté du corps et de l’apparence sont très présentes sous différentes formes: reconnaissance des difficultés liées aux règles, contestation du port du soutien-gorge, remise en cause de l’épilation, revendication de la liberté d’allaiter dans les lieux publics, de la fluidité du genre…”

L’historienne va plus loin en prenant l’exemple du fameux crop top à l’école, objet de nombreuses polémiques en politique. “De plus en plus, des revendications se font jour pour affirmer que ce n’est pas aux filles de rater les cours pour rentrer se changer (leur éducation apparaîtrait alors moins importante que celle des garçons qu’elles “perturberaient”) mais que le problème viendrait de la manière dont les garçons sont éduqués.”

Des tenues hyper féminisées dès les années 20

Aujourd’hui, certaines sportives évoquent un ras-le-bol de cette hyperféminité qui entoure leurs sports, notamment au travers des vêtements. Elles ne demandent qu’une chose: mettre un stop aux décennies de discriminations qui affectent, depuis longtemps, les disciplines féminines. Car les injonctions qui concernent le corps et la tenue des sportives remontent à loin.

“La question se pose dès les premières championnes, dans les années 1920. Elles sont alors fréquemment accusées d’être laides pendant l’effort, peu féminines, ce qui est considéré comme contraire à leur rôle de femme” c’est-à-dire “plaire aux hommes, selon leurs détracteurs”, analyse Florys Castan-Vicente.

Ainsi, à l’époque, la femme, assignée à la séduction, ne devait pas avoir une musculature trop développée ni pratiquer des sports dits “trop violents”, au risque de perdre sa fonction maternelle et de fragiliser ses capacités respiratoires. Au tennis par exemple, elles devaient porter les mêmes vêtements que ceux utilisés pour prendre le thé dans les salons victoriens.

“Dans les sports d’origine aristocratique, comme le tennis, les injonctions vestimentaires sont encore plus fortes que dans d’autres disciplines”, observe la sociologue Béatrice Barbusse, auteure du livre Du sexisme dans le sport.

L’apparence plutôt que la performance

S’attarder sur l’apparence des femmes athlètes plutôt que sur leur performance n’est donc pas nouveau et se perpétue encore de nos jours. Aujourd’hui encore, les sportives sont souvent évoquées dans les médias sous l’angle de leur plastique, plus que sous celui de leurs résultats.

En 2008, une étude soulignait cette vision sexiste du sport féminin. Réalisée à partir des images filmées lors des matchs de beach-volley des Jeux olympiques de 2004, elle révélait que plus de 37% des plans étaient centrés sur la poitrine ou les fesses des joueuses. “Une telle analyse confirme que le sexe et la sexualité ont été utilisés non seulement pour promouvoir les athlètes, mais aussi pour vendre le sport aux téléspectateurs du monde entier”…

Autre problème de taille et persistant: celui du faible taux de femmes dans les instances décisionnaires. Sans parler du fait que les questions financières pèsent plus lourd que les questions éthiques. “Certains éléments bougent très peu: le nombre de femmes en position de décision dans les instances, ainsi que dans les domaines économique et marketing. Donc, la question des tenues peut se poser en réunion, mais celle qui se pose ensuite, elle est financière, c’est celle des sponsors. Donc la décision sur les tenues des athlètes ne pèsera pas lourd”, expliquait récemment l’enseignante-chercheuse Sandy Montañola.

Ce qui a récemment changé, ce sont les prises de paroles des premières concernées par ces discriminations qui se sont multipliées. “C’est une revendication fréquente de la part des sportives d’être considérées comme des athlètes réalisant des performances et non pour leur apparence physique”, explique Florys Castan-Vicente, qui a consacré une thèse aux liens entre les débuts des activités physiques des femmes et la première vague féministe en France.

D’autres tabous, liés aux corps de femmes, ont également été mis en lumière par les sportives elles-mêmes. Elles abordent certaines incommodités ou difficultés qui peuvent accompagner leur quotidien de sportives. “En 2016, la nageuse Fu Yuanhui brise le tabou des règles dans le sport. En 2018, Serena Williams crée l’événement avec sa tenue moulante conçue pour l’aider à surmonter des problèmes physiologiques liés aux suites de son accouchement. Cette année, Ona Carbonell demande à pouvoir allaiter ”.

Autant de prises de paroles et d’actes dont il faut espérer qu’ils mettent le sexisme dont souffrent les sportives au bas du podium.

Des milliers de personnes se joignent à la marche des fiertés de Budapest contre la loi anti-LGBTQ


Des manifestants assistent à une manifestation contre une loi interdisant l’évocation des LGBTQ dans les écoles et les médias au palais présidentiel de Budapest, en Hongrie, le 16 juin 2021. REUTERS/Bernadett Szabo



BUDAPEST, 24 juillet (Reuters) – Des milliers de Hongrois ont rejoint samedi la marche annuelle des fiertés de Budapest pour soutenir les personnes LGBTQ et protester contre une loi qui limite l’enseignement à propos de l’homosexualité et des questions transgenres dans les écoles.


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Femmes et filles réfugiées : l’intersectionnalité dans le Pacte mondial sur les réfugiés


Myshara (au centre) suit un cours dans un centre d’apprentissage du camp de Kutupalong avant que ces centres ne soient fermés par suite des mesures de confinement.   © HCR/Will Swanson


HCR – Un grand évènement en ligne aura lieu le 28 juin afin de trouver des solutions pour assurer la participation des femmes et des filles déplacées de force et apatrides grâce à une approche multipartite locale contre la violence sexiste et en faveur de l’égalité des genres.


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Journée mondiale des réfugiés 2021 : Ensemble on se soigne, on apprend…



L’accès à la prévention, aux soins et à la vaccination reste difficile pour les personnes en situation de vulnérabilité. Face à ces enjeux et à l’occasion de la journée mondiale des réfugiés du 20 juin 2021, Santé publique France propose plusieurs supports d’information multilingues co-construits avec des associations et des professionnels.


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Rapatriement des enfants et de leurs mères détenus dans des camps en Syrie

Féminicides : il est temps d’agir

Plus d’une centaine de personnes se sont rassemblées à Hayange, le 26 mai, pour rendre hommage à Stéphanie, tuée en pleine rue par son ex-compagnon, contre qui elle avait porté plainte pour des violences, en vain. (Pascal Bastien/Libération)


Si les meurtres de femmes par leur ex ou leur conjoint restent si nombreux, c’est aussi le signe d’une défaillance des pouvoirs publics et de la société tout entière. Une défaillance qu’il nous faut combattre.


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Appel pour les libertés, contre les idées d’extrême-droite



Appel à la mobilisation le 12 juin


Je veux soutenir l’appel


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Lutte contre l’homophobie, la lesbophobie, la transphobie et contre toutes les formes de discrimination

VILLE DE SAINTE-SAVINE  

17 MAI : JOURNÉE MONDIALE CONTRE L’HOMOPHOBIE

La Ville s’engage dans la lutte contre l’homophobie, la lesbophobie, la transphobie et contre toutes les formes de discrimination dues aux préférences amoureuses et sexuelles des individus.

L’amour et la liberté sont des valeurs communes qui doivent être préservées. Aujourd’hui et tout au long de la semaine, la mairie sera donc parée de drapeaux arc-en-ciel

Rappelons qu’en France, en Europe et à travers le monde ce sont des milliers de citoyens qui sont victimes chaque jour de discriminations et de violences, parfois fatales, en raison de leurs choix amoureux et/ou sexuels.

Sos Homophobie, STOP HOMOPHOBIE, Ministère chargé de l’Égalité FH, la Diversité et l’Égalité des chances, Troyes Champagne Métropole, Département de l’Aube, Région Grand Est, Démocratie Ouverte,Ligue

Graves conséquences de la pandémie sur l’éducation dans le monde



Les gouvernements devraient agir rapidement pour réparer les dégâts sans précédent causés à l’éducation des enfants par la pandémie de Covid-19, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport rendu public aujourd’hui.


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JOURNEE MONDIALE DE LUTTE CONTRE LES LGTB-PHOBIES

Rendez-vous le lundi 17 mai à 17h

place de l’Hôtel de ville à Troyes


Mettons un arc en ciel de couleur dans nos vies




Bannière du webinaire

À l’occasion de la journée internationale de lutte contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie, l’Observatoire LGBT+ de la Fondation Jean-Jaurès et FLAG ! organisent une visioconférence pour présenter les résultats de leur rapport sur les signalements répertoriés au sein de l’application FLAG !, lancée il y a un an, et sur les grands enseignements à tirer à partir de leur analyse. À partir des données anonymes, issues des signalements faits grâce à l’application FLAG !, le rapport met en avant différents éléments – les lieux où se produisent les LGBTphobies, le profil des victimes, mais aussi celui des agresseurs – dont les pouvoirs publics doivent se saisir pour lutter efficacement contre les LGBTphobies.

La visioconférence sera introduite par Sophie Élizéon, déléguée interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT+ (DILCRAH). 

Présentation du rapport en présence de :

  • Johan Cavirot, président de FLAG !
  • Flora Bolter, co-directrice de l’Observatoire LGBT+ de la Fondation Jean-Jaurès
  • Denis Quinqueton, co-directeur de l’Observatoire LGBT+ de la Fondation Jean-Jaurès

Lien d’inscription

Commémoration de l’abolition de l’esclavage : 20 ans après la loi Taubira, la date du 10 mai fait encore débat


Cette année, l’abolition de l’esclavage est revenue plus tôt dans le débat public qu’elle ne le fait actuellement. En déposant une gerbe devant la tombe de Napoléon à l’occasion du bicentenaire de la mort de l’Empereur, Emmanuel Macron a relancé le débat autour de l’héritage de Bonaparte, qui en 1802 avait rétabli l’esclavage, aboli en 1794 par les Révolutionnaires à Saint-Domingue, en Guadeloupe et en Guyane. 


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« Appel à témoins » sur M6 va faire des téléspectateurs des enquêteurs




Après que Valeurs Actuelles ait appelé les citoyens à signer la nouvelle tribune des militaires d’active, comment M6 va faire jouer aux Français le rôle d’auxiliaires et indicateurs de police…


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Europe : Redoubler d’efforts pour mettre un terme à la violence à l’égard des femmes



Le 10ème anniversaire de la Convention d’Istanbul est l’occasion d’agir contre ces abus.


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