Des polices européennes qui dialoguent avec les manifestants



Petit comparatif sur le maintien de l’ordre, après la séquence française des manifestations contre la réforme. Alors que la police dans l’hexagone est régulièrement accusée de violence envers les manifestants, et d’une approche trop marquée par la confrontation, plusieurs pays européens ont depuis longtemps adapté leurs méthodes. En mettant le dialogue au cœur de la gestion des foules. C’est le cas en Allemagne, et c’est le reportage à Berlin de Delphine Nerbollier. 

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FRÈRES, UN FILM AU CŒUR DE LA LUTTE DES FAMILLES DE VICTIMES DE LA POLICE

Révoltes et réseaux sociaux : le retour du coupable idéal


Les mouvements de révoltes qu’ont connues de nombreuses villes de France en réaction à la mort de Nahel ont entraîné une réponse sécuritaire et autoritaire de l’État. Ces évènements ont également réactivé une vieille antienne : tout cela serait dû au numérique et aux réseaux sociaux.

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Police, justice : un dialogue devenu impossible ?



Le placement en détention provisoire d’un policier, soupçonné d’avoir frappé un jeune homme à Marseille, a ravivé les débats entre police et justice. Les mots du directeur général de la police nationale et les réponses des représentants de la justice interrogent sur le maintien du dialogue.

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Maintien de l’ordre: protection des observateurs, usage des armes, xénophobie


LA LDH SE MOBILISE CONTRE LA BANALISATION DES DISCOURS XÉNOPHOBES

Pour l’ONU, notre maintien de l’ordre fait désordre


L’ONU étrille la France pour son maintien de l’ordre

“POUR LES LIBERTÉS SYNDICALES, CONTRE TOUTES LES ENTRAVES À L’ENGAGEMENT MILITANT ET CITOYEN !”

« Je ne pouvais plus supporter la violence au sein de l’institution » : vague de démissions dans la police et la gendarmerie


Harcèlement, journées sans fin, manque de moyens… D’après la Cour des comptes, il n’y a jamais eu autant de démissions dans les rangs de la police et de la gendarmerie qu’en 2022.

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Code pin s’il vous plaît


Aux manifestants gardés à vue, les policiers demandent désormais quasi-systématiquement de déverrouiller leur téléphone portable et de communiquer leur code pin. Et ce, prétendument pour les nécessités de l’enquête. Depuis un arrêt de la Cour de cassation du 9 novembre 2022, le mis en cause risque une peine de trois ans d’emprisonnement et 270 000 euros d’amende en cas de refus. Et la plupart du temps, le téléphone est saisi, même si les charges ayant justifié la garde à vue tombent. Des dispositions critiquées par des avocats et les défenseurs des droits de l’homme.

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Enquête sur la formation alarmante de la police française au lance-grenades Cougar


« Le Monde » a eu accès à des documents de formation internes de la police nationale. Ils dévoilent comment les policiers français sont formés à effectuer des tirs dangereux, non respectueux des normes de conception, et dans un cadre légal problématique.

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Maintien de l’ordre : comment associations et syndicats répondent à un « emballement » et un « engrenage inquiétant » de l’Etat


Ces dernières semaines, les tribunaux administratifs sont devenus le terrain de contestation de mesures controversées prises par les préfets dans le cadre du mouvement social contre la réforme des retraites.

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Les manifestants d’ultradroite avaient-ils le droit de défiler masqués ?


Le défilé de groupes néofascistes le 6 mai à Paris n’a pas été interdit en amont, et aucun participant n’a été interpellé, alors que de nombreux manifestants dissimulaient leur visage, ce que la loi, en théorie, interdit.

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Sainte-Soline : les tirs de LBD en quad conformes à la « légitime défense », selon l’IGGN


Pour l’inspection générale de la gendarmerie nationale, ces tirs, normalement proscrits, sont intervenus dans une « situation de péril avéré » pour les gendarmes. « Aucune faute » ne peut donc être relevée à leur encontre.

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La réaction de la LDH

« Les conclusions, peut-être un peu rapides, de l’IGGN risquent de contribuer au discrédit qui pèse souvent sur les corps d’inspection, que ce soit l’IGGN ou l’IGPN »craint Patrick Baudouin président de la Ligue des droits de l’Homme

Journalisme de préfecture : quand les médias légitiment la répression


Face à la répression des mobilisations sociales et écologistes, si les violences policières ont « fait l’agenda » de certains grands médias plus rapidement qu’au moment des manifestations des Gilets jaunes, le traitement médiatique est encore loin d’être à la hauteur des enjeux…

Nota Bene : cet article est disponible en tract (format pdf) ici. Nous le distribuons lors des manifestations aujourd’hui : n’hésitez pas à en faire de même !

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Les Droits de l’Homme posent un problème à Darmanin

Gérald Darmanin laisse entendre que les subventions à la Ligue des droits de l’homme pourraient être remises en cause


En réponse à une question d’un sénateur, le ministre de l’Intérieur a estimé que la subvention publique accordée à l’association « mérite d’être regardée ».

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Bassines. Les produits marqueurs codés, ces nouveaux dispositifs de contrôle qui interrogent


Utilisés pour aider à l’identification des auteurs d’infraction grave, les produits marqueurs codés ont été utilisés par les forces de l’ordre lors des dernières manifestations d’opposants aux réserves de substitution en eau dans les Deux-Sèvres.

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Interdiction d’une manif nocturne et des équipements de protection : la préfecture de Paris contredite par la justice


Dans sa décision rendue samedi 1er avril, le tribunal administratif de Paris parle d’interdictions non «nécessaires à la sauvegarde de l’ordre public», s’agissant de l’arrêté interdisant notamment toute manifestation dans la nuit du 1er au 2 avril. En parallèle, des associations et juristes demandent que la préfecture de police communique mieux et plus vite sur les arrêtés qu’elle prend.

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Maintien de l’ordre : les mensonges de Gérald Darmanin et Laurent Nuñez


Des vidéos de violences policières circulent en boucle. C’est la panique au ministère de l’Intérieur, qui promet en vrac que la section mise en cause dans un audio ne serait pas là et que chaque vidéo déclencherait une enquête. Faux et encore faux !

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Des «armes de guerre» ont bien été utilisées par les gendarmes à Sainte-Soline, contrairement à ce qu’affirme Gérald Darmanin


Sainte-Soline : « Les black blocs seulement sensibles aux grenades GM2L », rapporte une note de la gendarmerie


L’Assemblée nationale divisée sur la question du maintien de l’ordre en France

Sainte-Soline : dans un enregistrement, un opérateur du Samu dit avoir reçu « l’ordre de ne pas envoyer » de secours


« On n’enverra pas d’hélicoptère ou de moyen Smur sur place parce qu’on a ordre de ne pas en envoyer par les forces de l’ordre », explique un opérateur du Samu à un médecin dans un enregistrement de la Ligue des Droits de l’Homme que franceinfo a consulté.

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Sainte-Soline : la préfète des Deux-Sèvres assure que si « le Samu n’a pas eu le droit d’intervenir » , c’est parce que « les conditions de sécurité n’étaient pas réunies »


Médecin à Sainte-Soline, je témoigne de la répression


La famille d’un manifestant gravement blessé à Sainte-Soline porte plainte pour tentative de meurtre

VIOLENCES POLICIÈRES : LA LDH APPELLE À NE RIEN LÂCHER !

Maintien de l’ordre














Stop à l’escalade répressive




« Le maintien de l’ordre part complètement à vau-l’eau et piétine toutes les règles »


« C’était des armes de guerre face à des manifestants »


« L’État a déclenché les outils les plus agressifs du maintien de l’ordre »


Signez ICI la pétition lancée par la LDH