Embrayant le pas à deux de ses ministres, Benyamin Netanyahu a également rejeté jeudi soir toute reconnaissance internationale d’un Etat palestinien hors du cadre d’une reprise de négociations de paix israélo-palestiniennes, affirmant qu’une telle initiative « offrirait une énorme récompense au terrorisme ».
C’est l’une de ces grandes batailles qui marquera la guerre, comme celle de l’aciérie d’Azovstal à Marioupol, perdue par les Ukrainiens en mai 2022 ou encore Bakhmout, tombée aux mains des Russes un an plus tard, en Ukraine. Tous les regards sont désormais tournés vers Avdiïvka où les soldats de Kiev sont sous un feu russe constant et presque encerclés.
Le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a réitéré son intention de mener une opération militaire à Rafah, où plus d’un million de Palestiniens sont réfugiés. Aux États-Unis, le président, Joe Biden, a suspendu l’expulsion des Palestiniens du territoire américain.
L’Ukraine envoie des renforts dans «l’enfer d’Avdiïvka» face à une situation «extrêmement critique»
Ce jeudi 15 février, l’armée ukrainienne a déployé des renforts à Avdiïvka, actuel épicentre des combats à l’est du pays, pour contrer les assauts russes, alors que 26 missiles ont été tirés dans la nuit par la Russie.
Le nouveau commandant en chef des armées ukrainiennes, Oleksandr Syrsky, a annoncé, ce mercredi 14 février, s’être rendu dans les zones les plus chaudes du front Est avec le ministre de la Défense, Roustem Oumerov, y jugeant la situation sur le terrain« extrêmement complexe et tendue ».
Le président américain Joe Biden réclame une pause de six semaines des combats à Gaza, alors que se tiennent ce mardi en Égypte des négociations sur une trêve militaire et la libération des otages. Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu, lui, ne renonce pas à une offensive sur Rafah, où s’entassent 1,7 million de personnes désormais menacées par une crise humanitaire majeure. Entretien avec Fabrice Balanche, maître de conférences HDR en géographie à l’Université Lyon 2 et auteur de plusieurs ouvrages sur le Moyen-Orient.
Guerre en Ukraine: à Nikopol, le quotidien au rythme des bombardements
Alors qu’approche le deuxième anniversaire de l’invasion russe en Ukraine, le quotidien des Ukrainiens est toujours rythmé par les sirènes prévenant des raids aériens de l’armée russe. C’est particulièrement vrai dans la petite ville de Nikopol sur la ligne de front au sud-est du pays.
La perspective d’une trêve entre Israël et le Hamas s’éloigne. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a balayé mercredi d’un revers de la main les minces espoirs apparus ces derniers jours alors que les efforts diplomatiques semblaient tendre vers une désescalade. Décryptage.
L’armée israélienne a intensifié jeudi ses frappes sur Rafah, accentuant les craintes sur le sort de plus d’un million de Palestiniens coincés dans cette ville de la bande de Gaza, sur fond de nouvelles tractations pour parvenir à une trêve entre Israël et le Hamas.
Au moins cinq personnes ont été tuées mercredi en Ukraine, dont quatre dans un immeuble résidentiel de la capitale après une nouvelle attaque aérienne « massive » de la Russie, en pleine visite du chef de la diplomatie européenne Josep Borrell.
Chacun ses morts, chacun sa douleur. Un conflit sanglant qui renvoie Palestiniens et Israéliens dos à dos. Depuis le 7 octobre, le dialogue semble impossible. La douleur de l’autre n’existe pas. Côté palestinien, on remet systématiquement en doute le massacre perpétré par le Hamas. Côté israélien, la société est persuadée que son armée est morale et exemplaire, et ne tue pas les civils gazaouis.
Pendant son séjour dans l’enclave palestinienne, l’urgentiste nous a envoyé des notes vocales pour témoigner de l’état désastreux dans lequel se trouve Gaza.
Israël a poursuivi ses frappes sur la bande de Gaza et tué plus de 120 Palestiniens en 24 heures, a indiqué dimanche le Hamas, avant une nouvelle mission du secrétaire d’Etat Antony Blinken au Moyen-Orient pour soutenir les tractations en vue d’une trêve.
Partager la publication "Nouvelles frappes meurtrières israéliennes à Gaza : plus de 120 morts en 24 heures"
La ville de Rafah, où se sont réfugiés plus d’un million de Palestiniens menacés par la guerre à Gaza, est le théâtre samedi d’intenses frappes israéliennes à l’heure où la diplomatie tente d’imposer une nouvelle trêve sur fond d’embrasement régional.
Depuis une semaine, des manifestants israéliens, issus pour beaucoup des milieux de l’extrême droite, sont réunis à Kerem Shalom. C’est par ce point de passage entre Israël et Gaza, qu’entre l’aide humanitaire dans l’enclave palestinienne. Ces militants tentent de bloquer le passage des camions chargés de denrées alimentaires. Des affrontements avec la police israélienne éclatent régulièrement.
La situation humanitaire est aggravée par la polémique visant l’UNRWA, l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens, dont certains employés ont été accusés par Israël d’avoir été impliqués dans les attaques du 7 octobre.
« À travers les activités artistiques et les institutions culturelles, l’existence même du peuple est visée. » Après le saccage du célèbre « Théâtre de la Liberté » le 13 décembre dernier par l’armée israélienne, un ensemble d’artistes et de personnalités dénonce cette stratégie d’effacement. « Massacrer l’enfance et la jeunesse, détruire les installations éducatives, abattre les porteurs de sa culture, c’est assassiner un peuple. »
Quelques milliers d’Israéliens favorables à la réinstallation de colonies dans la bande de Gaza se sont réunis dimanche 28 janvier à Jérusalem, exhortant le Premier ministre à faire aboutir le projet. Dans l’assemblée, plusieurs ministres, dont certains ont enchaîné des pas de danse sur une musique au rythme enjoué. Une scène qui n’est pas passée inaperçue alors que la guerre en cours entre Israël et le Hamas a fait 1 140 morts dans l’Etat hébreu et 26 422 à Gaza.
Avec : Merlot (guitare), Cedryck Santens (batterie) et Thibaut Brandalise (clavier)
Production : Melodyn Productions
Soutiens : Emmaüs Solidarité, Le Centquatre-Paris
Tarifs : 15 € / 12 € / 8 € Pass famille : 32 €
Une bouffée d’oxygène et d’espoir
Ce docu-concert donne à suivre la rencontre en chanson entre un artiste musicien MERLOT et les résidents du Centre d’hébergement d’urgence pour les familles migrantes Paris-Ivry, géré par Emmaüs Solidarité. Une rencontre les yeux dans les yeux et presque sans mots où les émotions et la musique créent un lien.
Sous forme de portraits, ici pas de discours, on laisse la place à l’imagination du spectateur sans lui donner trop d’informations, juste un ressenti bref et intense. Un peu comme lors d’une première rencontre. Un regard humain et joyeux sur nos Nouveaux Voisins, nos Nouveaux Amis.
« Chaque portrait vidéo renferme une rencontre, une histoire, un paysage. Chaque visage raconte un pays, un exode, un sentiment : la joie, la violence, la tendresse, la mélancolie, la nostalgie, la foi… »
Merlot
Les Échos de la presse
« Ce projet est fabuleux »
Télématin – France 2
« Une humanité lumineuse »
Télérama TT
Vendredi 2 février
La part des autres Ciné/débat
Partager la publication "A ne pas manquer dans l’Aube"