Poutine lâché par les siens

Dans une vidéo, le président russe Vladimir Poutine pointe des « traitres nationaux » qui feraient le jeu de l’Occident contre la Russie. SPUTNIK – MIKHAIL KLIMENTYEV


Dans un discours filmé, mercredi 16 mars, Vladimir Poutine a vivement critiqué ceux qu’ils qualifient de « traîtres nationaux », appelant le peuple russe à distinguer « les vrais patriotes » et évoque « une autopurification » de la société.


Voir ICI

Guerre en Ukraine : Auchan, Decathlon, Leroy Merlin, des voix s’élèvent pour dénoncer le maintien du groupe Mulliez en Russie

Ils étaient une quinzaine d’élus et militants écologistes à s’être rassemblés devant le siège du groupe Mulliez pour réclamer son retrait de Russie. • © Sergio Rosenstrauch/ France TV


Ce lundi, une quinzaine d’élus et militants écologistes du Nord se sont rassemblés devant le siège d’Auchan dans le Nord pour dénoncer la poursuite des activités du géant en Russie. Le groupe refuse de s’exprimer sur la question.

Lire ICI

Onze ans de guerre en Syrie : paroles de Syriens exilés à Chypre

Mahmoud vient d’Alep. Il rêve d’obtenir l’asile en Europe et de faire venir sa femme et ses enfants. Crédit : Noé Pignède/RFI


En Syrie, les révolutionnaires célèbrent, ce mardi 15 mars, les 11 ans du début du mouvement de contestation contre Bachar el Assad. Onze ans plus tard, la guerre et la crise économique continuent de pousser les Syriens sur les routes de l’exil. Rencontre avec certains d’entre eux, venus tenter leur chance à Chypre.

Lire ICI

Ukraine : la France a livré des armes à la Russie jusqu’en 2020


Entre 2015 et 2020, la France a livré des équipements militaires dernier cri à la Russie. Un armement qui a permis à Vladimir Poutine de moderniser sa flotte de tanks, d’avions de chasse et d’hélicoptères de combat, et qui pourrait être utilisé dans la guerre en Ukraine.

Lire ICI


On relira également avec intérêt les alertes lancées par Amnesty international

Silence on arme !

À la chambre régionale des comptes, la réforme ne passe pas

Fabien Filliatre (Syndicat SNPC-Force Ouvrière), Nicolas Billebaud et Eric Thibault (Syndicat ds juridictions financières), sont tous les trois magistrats à la Chambre régionale des comptes de Bretagne. (Le Télégramme/Philippe Créhange)


Le gouvernement doit prochainement prendre une ordonnance pour réformer les missions des Chambres régionales des comptes. En Bretagne, comme ailleurs en France, les magistrats estiment que la réforme va réduire leur rôle de justice de proximité.

Lire ICI

Guerre en Ukraine : nos inquiétudes face aux risques nucléaires

Communiqué commun du Réseau « Sortir du nucléaire », Abolition des armes nucléaires-Maison de Vigilance, ICAN France et Observatoire des armements.


Solidaires des victimes du conflit, nos organisations condamnent fermement l’attaque de l’Ukraine par les forces armées russes. Aux horreurs de la guerre s’ajoutent également les menaces très réelles liées au nucléaire civil et militaire.

Lire ICI



Ukraine : «La dévastation de l’environnement est une bombe à retardement»

De la fumée s’échappe d’une centrale électrique après un bombardement près de la ville de Louhansk, dans l’est de l’Ukraine, le 22 février 2022 – © AFP/Aris Messinis



Bombardements russes, incendies, eau contaminée, fuites radioactives… La guerre contre l’Ukraine pollue. Les dommages pourraient être irréversibles. Le sol, lui, durablement contaminé. Mais les retombées ne sont que très peu étudiées.

Lire ICI



Remarques écologistes sur la guerre en Ukraine

Remarques écologistes sur la guerre en Ukraine
Un combattant ukrainien examine un véhicule de mobilité d’infanterie russe détruit après le combat à Kharkiv, le 27 février 2022. – © AFP/Sergey Bobok


L’invasion russe en Ukraine est l’expression d’un rapport de force fondé sur la possession d’importantes ressources énergétiques. En ne menant pas une politique d’économie d’énergie, pourtant indispensable, l’Europe s’est rendue vulnérable.

Lire ICI


Thomas Piketty : « Il est urgent de changer d’approche sur les sanctions contre les autocraties »


L’économiste juge que les sanctions actuelles, qui vont toucher l’ensemble de la population russe, n’atteindront pas leur but : frapper les fortunes qui sont au cœur du régime poutinien, afin d’infléchir ce dernier. L’Occident, dit-il, a pourtant les moyens d’agir.

Par Pascal Riché, l’OBS


Thomas Piketty, le plus célèbre des économistes français depuis son best-seller « Le Capital au XXIe siècle », plaide depuis quelques années pour un « cadastre financier international », qui permettrait de savoir qui possède quoi en Europe et aux Etats-Unis, et de lutter plus efficacement contre la fraude fiscale. Aujourd’hui, il estime qu’un tel cadastre permettrait également d’infliger des sanctions financières efficaces contre la Russie, tout en épargnant leurs peuples. Entretien.

L’OBS. La déconnexion des banques russes du système financier international vise à « asphyxier » l’économie russe, a déclaré Bruno Le Maire. De telles sanctions peuvent-elles être efficaces ?

Thomas Piketty. Débrancher la Russie du réseau financier Swift peut contribuer à asphyxier la Russie, mais au final c’est une mesure très mal ciblée. Elle va frapper les banques, mais aussi toutes les entreprises et les ménages russes, ainsi que les entreprises et ménages occidentaux commerçant avec la Russie, alors que c’est le pouvoir poutinien qu’il faut atteindre, et en particulier la petite classe des oligarques les plus fortunés qui a bénéficié de ce régime depuis 1999. Or ces derniers peuvent contourner Swift, en passant par d’autres intermédiaires financiers.


La population russe, si elle est durement touchée, ne peut-elle pas se retourner contre Poutine ?

On a vu ce qu’il est advenu lorsque des sanctions commerciales ont été instaurées après l’annexion de la Crimée en 2014 : le pouvoir les a instrumentalisées pour attiser le sentiment nationaliste et renforcer son emprise. Pour gagner la bataille politique et morale contre les autocraties, il est urgent de changer d’approche.

Entretien exclusif – Thomas Piketty : « Historiquement, c’est le combat pour l’égalité qui a permis la prospérité »


Les pays occidentaux ont également décidé de geler les actifs de l’élite russe -yachts, villas et compte bancaires. Cela vous semble-t-il une voie plus légitime, puisqu’elle n’affecte pas le reste de la population ?

Oui, à condition qu’on aille jusqu’au bout de cette logique, ce qui n’est pas le cas. Il faudrait imaginer des sanctions ciblant tous ceux qui peuvent avoir une influence sur Poutine, c’est-à-dire l’ensemble de la classe fortunée qui a profité du régime. Pour l’instant, on ne touche que quelques dizaines ou au maximum quelques centaines de Russes. En outre ces sanctions sont faciles à contourner, par la multiplication des sociétés-écrans et des prête-noms, car l’on ne se donne pas les moyens de les appliquer réellement. Pour être efficace, il faudrait viser quelques dizaines de milliers de personnes, les multimillionnaires sur lesquels s’appuie le régime, et le faire de façon beaucoup plus systématique.


Comment faire concrètement ?

La seule façon d’agir efficacement serait de mettre en place un cadastre financier international des patrimoines, et de croiser les données sur les portefeuilles immobiliers et financiers des uns et des autres. On a commencé à développer, depuis la crise de 2008, des échanges automatiques d’informations bancaires dans le cadre de l’OCDE, mais cela reste très insuffisant. Jusque-là, les pays riches, sous pression de leurs propres grandes fortunes, refusaient d’aller plus loin et de mettre en place une véritable transparence financière internationale. Mais cette fois, l’enjeu est gigantesque : il s’agit de stopper une guerre en Europe. Ce serait aussi l’occasion de démontrer aux opinions publiques que les grands discours sur la démocratie et la justice ne sont pas que du vent.

Si l’on ciblait, par exemple, les personnes détenant plus de 10 millions d’euros en patrimoine immobilier et financier, cela représenterait environ 20 000 personnes, soit 0,02 % de la population adulte russe. On resterait sur une toute petite minorité de la population, mais une minorité beaucoup plus substantielle que quelques centaines de personnes. Or plus de la moitié du patrimoine de ces gens-là est à l’étranger, essentiellement dans les pays occidentaux, avec biens immobiliers et des actifs financiers à Paris, Londres, New York, au Luxembourg, à Courchevel ou sur la Côte d’Azur. Bloquées dans leur pays, avec leur fortune gelée voire amputée par un prélèvement (mettons de 10 à 20 %, pour commencer), ces 20 000 personnes ne manqueraient pas de se faire entendre au Kremlin. On pourrait aussi se focaliser sur tous ceux qui possèdent plus de 2 millions d’euros de patrimoine, ou bien sur ceux détenant plus de 1 million d’euros à l’étranger, soit environ 100 000 personnes (0,1 % de la population).


La mise en place d’un tel cadastre financier ne mettrait-elle pas beaucoup de temps ?

Le projet existe, c’est le « global financial registry » ou GFR : nous avons montré dans le Rapport sur les inégalités mondiales 2018, qu’il était techniquement possible. Il s’appuierait sur les registres existant déjà, où sont consignées les traces des possessions des uns et des autres, dans différents pays. Il faut systématiser les accords OCDE sur les transmissions bancaires internationales, qui ont plein de trous, et il faut enfin que chaque pays applique la directive européenne sur les « registres des bénéficiaires effectifs » (beneficial ownership registries), qui oblige chaque pays à rendre public les détenteurs ultimes des sociétés installées sur son territoire. Certains pays comme le Luxembourg ont commencé à mettre en ligne ces informations, mais comme l’a montré l’an dernier l’enquête OpenLux [menée par le journal Le Monde, NDLR], il existe là encore de nombreux trous. Quant à la France, elle n’a toujours rien mis en ligne…

Pour connecter toutes ces données, il faudrait également décider de prendre le contrôle des dépositaires centraux privés (Clearstream, Euroclear, Depository Trust Company, etc.) qui assurent l’enregistrement des titres financiers et de leurs propriétaires. Ce registre général permettrait au passage de lutter contre la fraude internationale, l’argent de la drogue, la corruption. C’est sûr que cela dérangerait pas mal de monde, à commencer par les grandes fortunes occidentales, qui aiment la discrétion quand il s’agit d’argent. Tout comme les oligarques chinois ou russes… Ils ont tous en commun d’avoir profité, ces trente ou quarante dernières années, des mêmes privilèges générés par un capitalisme devenu débridé.


Est-il réaliste d’envisager l’arrêt de l’approvisionnement en gaz et en pétrole russe ?

C’est l’autre aspect de cette crise : il faut décréter fermement et concrètement la fin de ces importations, en commençant par importer, d’urgence, d’avantage d’hydrocarbures et de gaz liquide d’autres pays. Et surtout en prenant enfin des décisions fortes et concrètes sur les investissements dans les énergies renouvelables. La France est certes moins dépendante au gaz que l’Allemagne, mais elle l’est beaucoup plus que des pays comme la Suède par exemple, qui au lieu de se reposer uniquement sur le nucléaire, a fait bien davantage que nous dans l’éolien, le solaire et l’hydraulique.

« L’Europe est très vulnérable : elle a besoin du gaz russe »

Il est temps de débattre concrètement des surfaces à consacrer au renouvelable. Ces sources d’énergie comportent elles aussi des inconvénients, en particulier pour les paysages, mais par comparaison aux conséquences climatiques et géopolitiques qu’entraîne l’exploitation des hydrocarbures il n’y a pas photo. Tous ces hydrocarbures russes auraient dû rester dans le sol. Au lieu de cela, nous avons contribué à les brûler, tout en enrichissant au passage une minorité d’oligarques russes et en contribuant à voler ces ressources à la population du pays. Il est temps de reconnaître cette complicité et d’y mettre fin.


Article réservé aux abonnés. Merci à l’OBS.

Communiqués

Dans les Alpes, la folie du ski se poursuit tout schuss

Les Deux Alpes sous la neige. – CC BY-SA 4.0 / Data 2 Alpes / Wikimedia Commons


Un téléphérique de 5 km de long fera-t-il de l’Alpe d’Huez et des Deux Alpes un unique domaine skiable? Des élus locaux y voient un excellent argument marketing tandis que les opposants à ce chantier redoutent une dégradation supplémentaire et vaine de l’environnement alpin.

Lire ICI

Logement : cette note secrète qui circule dans les QG de campagne

(Crédits : Charles Platiau)


« Quelle conception de l’habitat adopter ? », « comment adapter la politique du logement au pouvoir d’achat des ménages, des bailleurs privés et publics ? », « quelle est la bonne répartition des compétences en matière de logement ? », « la politique du logement peut-elle demeurer une composante isolée de l’action publique » ou encore « comment organiser le secteur de l’habitat ? ». Intitulée « Quelle politique du logement pour le prochain quinquennat », une note, que dévoile La Tribune en exclusivité, circule actuellement dans les états-majors des candidat(e)s à l’élection présidentielle. Objectif: interpeller le futur(e) ministre du Logement pour définir une politique « cohérente ».

Lire ICI

Des cabinets de conseil royalement payés par l’État ? On vous explique la polémique en 3 questions

L’État a dépensé des millions d’euros pour obtenir les services de plusieurs cabinets de conseil.



Une enquête intitulée « Les Infiltrés », parue jeudi 17 février, affirme que l’État est devenu dépendant des cabinets de conseil. Plusieurs millions d’euros seraient dépensés chaque année par les pouvoirs publics en matière de conseil et stratégie. 

Lire ICI

JO de Paris 2024: la Creuse refuse le passage trop coûteux de la flamme olympique


Jugé trop cher, le passage de la flamme olympique des JO de Paris 2024 ne se fera pas dans la Creuse, a indiqué le Conseil départemental. La vice-présidente, Marie-Christine Bulon estime que la somme demandée de 150 000 euros, est trop élevée.

Lire ICI

La Suisse fait part de ses préoccupations concernant les droits, y compris l’éducation des filles, aux talibans afghans

Une fille est assise devant une boulangerie dans la foule avec des femmes afghanes attendant de recevoir du pain à Kaboul, Afghanistan, le 31 janvier 2022. REUTERS/Ali Khara/File Photo


GENÈVE, 11 février (Reuters) – La Suisse a fait part de ses préoccupations concernant les droits de l’homme en Afghanistan, y compris l’éducation des filles, lors d’une réunion avec les talibans, a déclaré vendredi un porte-parole du gouvernement, alors que les nouveaux dirigeants de Kaboul terminaient une semaine de pourparlers. à Genève.

Le voyage est considéré comme une étape clé dans les efforts des talibans pour renforcer leurs efforts de sensibilisation alors qu’ils cherchent à persuader les puissances étrangères de les reconnaître officiellement et de restaurer l’argent de l’aide qui a été coupée pour protester contre leur prise de contrôle en août dernier.

La délégation a rencontré des responsables suisses ainsi que la Croix-Rouge et d’autres groupes humanitaires lors de discussions portant sur les besoins d’aide, les problèmes de sécurité et les soins de santé, selon les participants qui ont assisté aux pourparlers à huis clos.

Dans une réponse par e-mail aux questions, la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Paola Ceresetti, a déclaré que la Suisse avait soulevé la question des enlèvements et des représailles, y compris le ciblage des journalistes, sans discuter spécifiquement de la détention de deux journalistes signalée vendredi par l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés. Lire ici.

Berne a également soulevé la question de « l’exclusion systématique » des filles et des femmes de l’éducation, de la politique, de la société et de la vie publique et a déclaré qu’elle s’attendait à ce que les filles soient de retour à l’école en mars, a-t-elle déclaré.

Sous leur régime précédent de 1996 à 2001, les talibans islamistes extrémistes interdisaient aux femmes et aux filles d’accéder à l’éducation. Ils disent avoir changé depuis mais ils sont restés vagues sur leurs plans et les filles en âge de fréquenter l’école secondaire dans de nombreuses provinces n’ont toujours pas été autorisées à retourner à l’école.

Une poignée de militantes se sont rassemblées devant l’hôtel de la délégation en début de semaine tandis que quelques dizaines de personnes ont manifesté vendredi devant le siège de l’ONU à Genève, a confirmé un porte-parole de la police.

Ceresetti a nié que les pourparlers équivalaient à une reconnaissance officielle des talibans et a souligné qu’il était important de maintenir le dialogue. « Nous parlons à tout le monde », a-t-elle déclaré.

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, qui a rencontré le ministre afghan de la Santé par intérim Qalandar Ebad plus tôt cette semaine au cours du même voyage, a également appelé les pays et les organisations « à poursuivre le dialogue pour soutenir le peuple afghan ».

Geneva Call, le groupe humanitaire qui a accueilli les pourparlers, a déclaré que la délégation talibane avait signé une déclaration de clôture qui s’engageait à promouvoir l’accès humanitaire, à respecter les travailleuses de la santé et à aider au déminage.

Source REUTERS (traduction automatique)

L’Indonésie exhorte le G20 à créer un fonds mondial pour la santé

Un professionnel de la santé inocule à une femme une dose du vaccin Pfizer contre la maladie à coronavirus (COVID-19) lors d’un programme de vaccination de masse dans un centre commercial de Jakarta, en Indonésie, le 31 août 2021. REUTERS/Ajeng Dinar Ulfiana/File Photo


JAKARTA, 11 février (Reuters) – L’Indonésie exhortera le Groupe des 20 principales économies à créer un organisme mondial capable de distribuer des fonds d’urgence en cas de crise sanitaire, fonctionnant de la même manière que les institutions financières internationales, a déclaré vendredi son ministre de la Santé.

Lire ICI

En Bretagne, ils s’unissent contre le lobby agroalimentaire

Pxhere/CC0


Vingt-sept syndicats, associations et chercheurs se sont unis le 1er février dans le Morbihan pour créer la Coordination pour une agriculture paysanne sociale et environnementale en Bretagne. Objectif : peser contre le lobby agroalimentaire régional.

Lire ICI

Mal-logement : la Fondation Abbé-Pierre tire un bilan sévère du quinquennat Macron

Des manifestants à Paris, le 2 janvier 2021. © Sameer Al-Doumy, AFP


Emmanuel Macron doit intervenir en vidéo, mercredi, lors de la journée de présentation du rapport annuel sur le mal-logement de la Fondation Abbé-Pierre, qui dénonce un « aveuglement des responsables politiques » sur cette question, dressant notamment un constat très critique du quinquennat du président français.

Lire ICI

Orpea : l’ancien directeur avait revendu un paquet d’actions avant la sortie du livre

L’ancien directeur d’Orpea aurait revendu un paquet d’actions après avoir appris la préparation du livre-enquête « Les Fossoyeurs ». (Bertrand Guay/AFP)


Selon le Canard enchaîné, l’ancien directeur général d’Orpea Yves Le Masne a empoché près de 590 000 euros l’été dernier en revendant des actions, peu de temps après avoir appris la préparation du livre « Les Fossoyeurs ». La ministre Brigitte Bourguignon dénonce un « cynisme pur ».

Lire ICI

Covid : les femmes, grandes perdantes des protocoles sanitaires de janvier ?

Une étude de l’Ined a montré que seules 25 % des femmes ont pu télétravailler dans une pièce dédiée à leur travail. (Le Télégramme/Vincent Michel)


Les nouveaux protocoles sanitaires à l’école sollicitent davantage les familles. Mais au sein du foyer, ce sont souvent les femmes qui récupèrent ces contraintes.

Lire ICI

Contre la spéculation foncière, des paysans reprennent des terres dans le Jura

Les ceps de vigne morts sont arrachés lors de l’action des Soulèvements de la terre, le 29 janvier 2022. – © Guillaume Bernard/Reporterre


Dans le Jura, plus de 600 personnes ont défriché puis occupé, le 29 janvier, 2 hectares de vigne en friche depuis 2008. Cette action des Soulèvements de la terre, a mobilisé syndicalistes paysans, militants écologistes et mouvement autonome.

Lire ICI

Liban : le gâchis de la saga Hariri

Le retrait de Saad Hariri, fils de Rafic Hariri, de la vie politique marque l’échec d’un projet sunnite modéré au Moyen-Orient susceptible de faire contrepoids à l’Iran et de résister au discours djihadiste.

Lire ICI