FIN DE VIE : EMMANUEL MACRON PROPOSE UNE VOIE ÉTROITE ENTRE EUTHANASIE PASSIVE ET SUICIDE ASSISTÉ


Le gouvernement présentera un projet de loi pour une “aide à mourir” en Conseil des ministres en avril. Une petite révolution, puisqu’abréger la vie d’un patient est aujourd’hui un crime puni par le code pénal.

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Fin de vie : des soignants «consternés» mais l’ensemble de la communauté médicale divisée


« Aide à mourir » : « Il faut relativiser la vision d’un corps médical farouchement opposé »


Nous en avons marre d’attendre !

En France, la très lente révolution de la « culture palliative »


Alors que des pays étrangers mettent en avant ces soins de confort, la France accuse un retard considérable. La faute au tabou de la fin de vie parmi des soignants concentrés sur l’unique objectif de guérison.

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« Ultime Liberté », entre éthique et politique, comment assurer une mort digne pour tous ?

Fin de vie : Emmanuel Macron a envie « d’aller le moins loin possible, et le moins vite possible », selon un ministre


Le gouvernement doit notamment arbitrer sur les critères fixés pour le recours au suicide assisté, l’euthanasie ayant déjà été écartée des discussions.

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Fin de vie : «Le peu de cas que l’on fait de la volonté des patients pose problème»



Alors qu’une réunion doit se tenir ce vendredi à l’Elysée sur projet de loi sur la fin de vie, le professeur Jean Reignier, chef du service de réanimation au CHU de Nantes, estime que légaliser l’aide active à mourir est le seul moyen d’imposer le dialogue avec les patients en fin de vie et de respecter leur choix.

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« Pour moi, ça s’appelle l’humanisme » : une patiente explique son choix de l’euthanasie dans un documentaire présenté par Marina Carrère d’Encausse

Consultation lycéenne sur la fin de vie

Dans les débats sur la fin de vie, prendre en compte la voix des lycéens, public traditionnellement peu consulté sur les questions de la fin de vie.

Les lycéens consultés se prononcent sur une éventuelle légalisation de l’aide active à mourir afin de soulager les souffrances réfractaires, qu’elles soient somatiques ou psychiques.

Ils approfondissent des enjeux importants : l’accès éventuel des mineurs ou des personnes ayant des troubles psychiques, le rôle des familles dans le choix du patient, la capacité de discernement du patient, le soulagement des souffrances psychiques ou existentielles, ou encore le risque de marchandisation.

Des questionnements profondément éthiques se sont exprimés :

  • Devrait-il y avoir une spécialisation de certains soignants formés pour procéder à l’aide active à mourir, ou bien tous les soignants devraient-ils être en mesure de répondre, dans leurs services, à une demande d’aide active à mourir ?
  • L’aide active à mourir est-elle une continuité des soins ou une rupture ?
  • La médecine doit-elle passer de la perspective de guérison du malade à un rôle d’accompagnement ?
  • Comment évaluer une demande d’aide à mourir ? Qui juge que la demande est légitime ?

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Fin de vie : la convention citoyenne juge « nécessaire » d’autoriser le suicide assisté et l’euthanasie et appelle à « des changements profonds »


Dans leur rapport final, les 184 citoyens interpellent d’une seule voix le gouvernement sur une « inégalité d’accès » aux soins palliatifs en France. Ils se prononcent plus prudemment en faveur d’une aide active à mourir, sous conditions.

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Un projet de loi sur l’aide active à mourir avant la fin de l’été !

Fin de vie, le manifeste des 109 pour faire évoluer la loi


Manifeste signé par 109 personnalités appelant le Président de la République à faire évoluer la loi sur la fin de vie.

« Chaque année, des Françaises et des Français, atteints de maladies graves et incurables, sont confrontés à des souffrances physiques et morales que les traitements ne parviennent plus à soulager. Ils demandent à leur médecin de les aider à mourir et se heurtent à un refus, condamnés à subir une fin de vie longue et douloureuse, en contradiction avec leur volonté libre et réfléchie.

Chaque année, des Françaises et des Français, qui font face aux mêmes maladies et aux mêmes tourments, partent à l’étranger pour pouvoir y mourir, contraints de se rendre dans des pays où le suicide assisté et l’euthanasie sont des pratiques légales.

Ces Françaises, ces Français ne sont pas seuls. Nous sommes leurs conjoints, leurs enfants, leurs frères, leurs sœurs, leurs familles, leurs amis. Nous sommes celles et ceux qui ont cherché le bon médecin, qui avons pris des trains et franchi des frontières, et qui nous sommes résolus à tout faire pour que chacun, que chacune puisse finir ses jours comme il ou elle l’a décidé. Nous estimons que la loi française, qui interdit l’aide active à mourir, est injuste.

C’est pourquoi nous appelons aujourd’hui le président de la République, Emmanuel Macron, la Première ministre, Elisabeth Borne, ainsi que les parlementaires à prendre la mesure de ces drames et à réformer la loi. »

Voir la liste des 109 premiers signataires ICI

PACTE PROGRESSISTE SUR LA FIN DE VIE

D’ici et d’ailleurs


Ultra-droite : les services de renseignements inquiets de la résurgence de la violence des groupuscules


Coupe du monde 2022 : comment l’extrême droite tente de récupérer la balle sur le terrain politique


775 personnes qui vivaient sur le camp de La Chapelle ont été mises à l’abri


Enfants placés : le gouvernement lance un audit des foyers d’accueil après la fermeture d’une structure privASEée non agréée


De la nécessité de respecter la parole du patient en général, et en matière de fin de vie en particulier


Ukraine: des salles de torture pour enfants auraient été découvertes dans la région de Kherson


Qatar : La Coupe du monde de la FIFA s’achèvera sans indemnisation pour les travailleurs migrants


Législatives en Tunisie, un scrutin boycotté par l’opposition

Fin de vie, sédation, aide active à mourir : de quoi parle-t-on ? Où en est le débat en France ?


La convention citoyenne sur le sujet débutera le 9 décembre. Elle devrait rendre en mars 2023 des travaux permettant, selon Emmanuel Macron, « à la société de prendre en compte les évolutions indispensables sur cet immense sujet ».

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Journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité


Faire du droit de mourir dans la dignité une réalité pour tous.

Fin de vie: le Comité d’éthique juge possible une aide active à mourir strictement encadrée

llustration fin de vie (kazuma seki/Getty Images)


En se prononçant ce mardi, le CCNE relance le débat qui anime la France depuis une trentaine d’années. Emmanuel Macron, qui juge le système actuel «assez imparfait», souhaite lancer une convention citoyenne.

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Spécial présidentielle


Élection présidentielle : écrivains, l’abstention générale ?


On a peu entendu les auteurs pendant cette campagne. Auraient-ils déserté le terrain politique ? Pas sûr. La preuve par vingt-six écrivains…

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Le rapport du Giec? Les candidats à la présidence s’en fichent

– © Camille Besse/Reporterre


Le prochain président de la République aura un rôle majeur : il reste seulement trois ans pour espérer limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C, révèle le Giec. Pourtant, la plupart des candidats sont indifférents à la publication de son dernier rapport.

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Suicide assisté, euthanasie, sédation profonde… Ce que proposent les candidats à l’élection présidentielle sur le thème de la fin de vie

Les candidats de gauche plaident pour une nouvelle loi instaurant le suicide assisté. A droite, on réclame une meilleure application des textes existants sur la fin de vie. (JESSICA KOMGUEN / FRANCEINFO)


Contrairement à d’autres sujets de société, la question de la fin de vie s’inscrit dans un clivage politique traditionnel. Les six candidats de gauche se prononcent pour une nouvelle loi instaurant le suicide assisté, tandis qu’à droite on réclame une meilleure application des textes existants.

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Thérèse Clerc, une vieille cool

Thérèse Clerc, 1927-2016, militante féministe


Lettre à une militante du « grand âge »

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Orpea : l’ancien directeur avait revendu un paquet d’actions avant la sortie du livre

L’ancien directeur d’Orpea aurait revendu un paquet d’actions après avoir appris la préparation du livre-enquête « Les Fossoyeurs ». (Bertrand Guay/AFP)


Selon le Canard enchaîné, l’ancien directeur général d’Orpea Yves Le Masne a empoché près de 590 000 euros l’été dernier en revendant des actions, peu de temps après avoir appris la préparation du livre « Les Fossoyeurs ». La ministre Brigitte Bourguignon dénonce un « cynisme pur ».

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L’euthanasie, futur débat au cœur de la présidentielle ?

(Illustration François Destoc)


Liberté de choix ou régression éthique porteuse de dérives ? Sensible et clivant, le débat sur l’euthanasie n’est pas nouveau, mais va sans doute marquer plus que jamais la campagne présidentielle.

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Le message militant de Christian Rauth en faveur du droit de mourir dans la dignité.

«Sans les aidants, notre système de santé n’aurait pas tenu le coup»


Photo d’illustration. (Maskot/Getty Images)


Il faut se souvenir qu’en mars 2020, les hôpitaux ont demandé aux familles de venir chercher leur parent pour libérer des lits. Les aidants ont alors agi comme des co-soignants. Ils ont soutenu le système de santé en accueillant leur proche chez eux, en effectuant eux-mêmes les gestes médicaux. Une tribune de Claudie Kulak qui participera au Forum Libé mercredi 13 octobre.

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530 000 personnes âgées « en situation de mort sociale »


La crise sanitaire a eu un impact extrêmement fort sur la solitude des personnes âgées. (Archives Lionel Le Saux/Le Télégramme)


Plus d’un demi-million de personnes âgées ne rencontrent jamais ou quasiment jamais d’autres personnes… Un nombre qui a augmenté de 77 % en quatre ans, alerte l’association Les Petits frères des pauvres, dans une étude publiée ce jeudi.

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Grâce à la Suisse, Alain Cocq a pu devenir maître de sa fin de vie.

Alain Cocq dans son lit médical, à Dijon, le 6 juin 2021. (JEFF PACHOUD / AFP)

 
Alain Cocq a bénéficié d’un suicide assisté à Berne, ce mardi 15 juin 2021. Le président de l’ADMD était à ses côtés.


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