L’Arabie saoudite a exécuté plus de 100 étrangers en 2024, un record absolu



L’Arabie Saoudite a désormais un dramatique record : plus de 100 étrangers ont été exécutés dans le royaume en 2024, selon un décompte de l’Agence France-Presse basé sur les annonces officielles. En rajoutant les prisonniers saoudiens, le chiffre monte à près de 300 exécutions pour cette seule année. 



Arabie saoudite : Le Fonds d’investissement public est impliqué dans des abus


Le prince héritier Mohammed ben Salmane consolide son pouvoir en contrôlant ce fonds d’une valeur de près de 1 000 milliards de dollars.

Le fonds souverain de l’Arabie saoudite, le Fonds d’investissement public (Public Investment Fund, PIF), a facilité des violations des droits humains et a tiré profit de divers abus, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport publié aujourd’hui.

MALGRÉ L’ACCORD DE PAIX, LES CRIMES DE GUERRE ONT CONTINUÉ EN ÉTHIOPIE



Notre nouvelle enquête révèle que les Forces de défense érythréennes (FDE) ont commis des crimes de guerre et de potentiels crimes contre l’humanité dans la région du Tigré, immédiatement avant et après la signature d’un accord de cessation des hostilités entre le gouvernement fédéral éthiopien et le Front populaire de libération du Tigré (FPLT) en novembre 2022.  

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ARABIE SAOUDITE : EMMANUEL MACRON DOIT INTERVENIR POUR EMPÊCHER L’EXÉCUTION DE SEPT JEUNES HOMMES


Vendredi 16 juin, le Président de la République française reçoit le Prince héritier d’Arabie Saoudite à l’Elysée. Amnesty international France demande solennellement à M. Emmanuel Macron d’intervenir auprès de Mohammed Ben Salman pour exiger de l’Arabie Saoudite qu’elle suspende l’exécution des sept jeunes hommes condamnés pour des faits commis alors qu’ils étaient mineurs.

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AFGHANISTAN : LES CRIMES DE GUERRE DES TALIBANS AU PANJSHIR


C’était le bastion historique de la résistance aux Talibans. Désormais, dans la vallée du Panjshir, les habitants vivent toujours dans la peur des talibans qui s’en prennent à la population civile dans le but de l’obliger à obéir et à se soumettre.

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Iran : exiger l’arrêt immédiat des exécutions et l’abolition universelle de la peine de mort

Iran : des visages et des noms fauchés par la répression

L’Iran condamne certains de ses manifestants à mort. Ils sont douze pour l’instant, dont deux ont déjà été exécutés.

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Mohsen Shekari, exécuté

Majid Reza Rahnavard, exécuté

Sahand Nourmohammad-Zadeh, condamné à mort

Manouchehr Mehman-Navaz, condamné à mort

Mohammad Boroughani, condamné à mort

Mohammad Ghobadlou, condamné à mort

Saman Seydi, condamné à mort

Sayed Mohammad Hosseini, condamné à mort

Hamid Ghare-Hasalou, condamné à mort

Mohammad Mehdi Karami, condamné à mort

Hossein Mohammadi, condamné à mort

Rapport de la FIDH: accélération des violations des droits humains au Mali en 2022

La Fédération internationale des droits humains (FIDH) présente une enquête intitulée « dans le centre du Mali, bourreaux et victimes vivent ensemble », sur les violations et les crimes commis contre populations civiles entre juin 2018 et juin 2022.

OMCT | International Federation for Human Rights

L’ONG parle d’une « accélération des violations graves des droits humains contre les civils depuis le début de l’année, notamment des violations sexuelles ».

 La FIDH a recueilli des témoignages accablants qui visent toutes les parties au conflit: groupes jihadistes, groupes d’autodéfense, les Forces armées maliennes (Fama), forces de défense et de sécurité et leurs partenaires paramilitaires russes.

Exécutions sommaires, viols, arrestations arbitraires, pillages, ou encore mise en place d’un « centre de torture dirigé par le groupe Wagner » à Diabaly. Les populations civiles du centre du Mali « vivent un enfer ».

Droits de l’Homme au Mali: plus de 800 nouvelles violations et atteintes en 3 mois, selon la Minusma

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Ukraine : Tortures et exécutions subies sous l’occupation russe


Les abus commis par les forces russes dans les régions de Kiev et de Tchernihiv s’apparentent à des crimes de guerre.

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En Iran, une dégradation continue des droits humains

Manifestation d’opposants exilés au président iranien Ebrahim Raïssi, le 5 août 2021, à Londres. ADRIAN DENNIS / AFP


Les exécutions de condamnés mineurs au moment des faits se poursuivent et la répression des militants qui critiquent la République islamique s’accroît.

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