Silence, Darmanin coupe les vivres à la presse libre


Le Syndicat de la Presse Pas Pareille alerte sur les atteintes à la liberté de la presse menées par le gouvernement. En 2023, trois médias indépendants du Limousin ont été privés des subventions du ministère de la culture. La raison ? Engagés dans les luttes environnementales et jugés « trop à gauche », ils sont sur la liste rouge du ministère de l’intérieur de Darmanin. Censure, avez-vous dit ?

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RSF dépose plainte aux côtés de deux journalistes victimes d’actes d’intimidation de la part de gendarmes


Après le tournage d’une interview au sujet du Rhône près de la centrale nucléaire du Tricastin (Drôme), deux journalistes de la Radio-Télévision suisse (RTS) ont été contraints par des gendarmes d’effacer leurs images. Reporters sans frontières (RSF) a porté plainte, aux côtés d’Adeline Percept et de Thomas Chantepie, pour entrave à la liberté d’expression et violences volontaires.

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Ariane Lavrilleux : la journaliste présentée à un juge des libertés et de la détention


La journaliste a été remise en liberté mercredi dernier après 48 heures de garde à vue dans une enquête sur ses articles sur un possible détournement par l’Egypte d’une opération de renseignement française. Une mesure coercitive rarissime qui a indigné la profession.

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Après la garde à vue d’une journaliste, des juges mettent en examen un ex-militaire présenté comme sa source



La journaliste Ariane Lavrilleux a passé près de 40 heures en garde à vue entre mercredi et jeudi. Elle avait publié sur Disclose en 2021 une enquête sur un possible détournement par l’Egypte d’une aide militaire française.

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Journaliste placée en garde à vue : « C’est une attaque claire, nette et précise contre la liberté d’informer », s’indigne Ariane Lavrilleux

VENTE D’ARMES : L’ÉTAT FRANÇAIS TRAQUE NOS SOURCES



Depuis mardi 19 septembre, notre journaliste Ariane Lavrilleux est privée de liberté. Les services de renseignement intérieur l’ont placée en garde à vue parce qu’elle a signé, pour Disclose, une série d’articles basés sur des informations « confidentiel-défense ». Une procédure d’exception dont le seul but est de traquer nos sources.

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Journaliste placée en garde à vue : « Ce sont des procédures destinées à intimider 



Cinq questions sur la garde à vue de la journaliste d’investigation Ariane Lavrilleux

Désignation de la direction de la rédaction : une question politique


Il aura fallu la longue grève des journalistes du Journal du dimanche (JDD) pour que la classe politique semble soudainement prendre conscience des droits, ou plutôt de l’absence de droits de ces journalistes, et en particulier celui de dire leur mot sur le choix du directeur ou de la directrice de la rédaction. Pas moins de quatre propositions de loi – dont nous avons précédemment exposé les grandes lignes – ont depuis jailli sur les bureaux de l’Assemblée nationale et du Sénat.

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Burkina Faso : RSF appelle à la levée de la suspension de Radio Oméga, un média burkinabè particulièrement ciblé par la junte



Une semaine après la suspension de Radio Oméga pour avoir diffusé l’interview d’un opposant à la junte nigérienne, la direction du média a saisi le Conseil d’État du Burkina Faso pour l’annulation de la mesure. Reporters sans frontières (RSF) dénonce les nombreuses menaces contre cette radio indépendante et encourage les médias locaux à résister face aux mesures contre la liberté de la presse prises par la junte.

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Récit : après deux ans sous le régime taliban, la résilience du journalisme afghan malgré la répression



À la veille du second anniversaire de l’arrivée des talibans dans la capitale afghane, Kaboul, Reporters sans frontières (RSF) est allée à la rencontre des journalistes qui, à l’intérieur du pays comme à l’étranger, se battent pour faire vivre le journalisme afghan, malgré la chape de plomb imposée par l’administration de l’émirat islamique.

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Niger: depuis le putsch, les journalistes malmenés



RFI et France 24 ont été suspendues jeudi 3 août par la junte au Niger. Mais les médias français ou étrangers ne sont pas les seuls à être malmenés depuis le coup d’État. Les médias nigériens et leurs journalistes sont également sous pression, selon les organisations de protection des journalistes.

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Liberté de la presse



Sénégal : RSF dénonce le nouvel emprisonnement de Pape Alé Niang

 

Iran: nouvelles condamnations de journalistes ayant couvert les manifestations après la mort de Mahsa Amini

 

Haïti pleure Liliane Pierre-Paul, icône de la liberté d’expression


«Juste des faits, des émotions, la vie en éclats» : souvenirs du «JDD» que j’ai aimé

Propositions de loi pour l’indépendance éditoriale dans les médias en France : des initiatives salutaires


Deux propositions de loi viennent mettre sur la table des mécanismes concrets pour préserver l’indépendance éditoriale face aux ingérences de l’actionnaire dans les médias. La situation au Journal du Dimanche (JDD) est le dernier exemple en date qui montre l’importance pour le législateur de se saisir du problème. Reporters sans frontières (RSF) salue ces initiatives prises respectivement par un groupe transpartisan de députés et par des sénateurs socialistes.

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Communiqués de la LDH


Grève au « JDD » : huit anciens directeurs soutiennent la grève des salariés


Les signataires de la lettre de soutien affirment que « penser que l’identité d’un journal puisse être ainsi gommée revient à mettre en danger le fondement même de [leur] métier ».

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Comores : un an de prison dont trois mois fermes requis contre quatre journalistes


Le président de l’Union internationale de la presse francophone, le directeur de l’information de la Radio et de la Télévision des Comores (ORTC), le correspondant de RFI aussi rédacteur d’Alwatwan et un journaliste de la Gazette des Comores sont poursuivis pour diffamation. Ils encourent une peine d’un an de prison, dont trois mois ferme et l’interdiction d’exercer leur métier. La décision a été mise en délibéré.

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7 ans de prison dont 5 ferme pour Ihsane El Kadi en Algérie : une “condamnation surréaliste”


L’injustice persiste et la liberté de la presse recule encore un peu plus en Algérie. Le directeur de Radio M et de Maghreb Émergent est condamné, en appel, à sept ans de prison dont cinq ferme et deux avec sursis, pour avoir prétendument reçu des financements de l’étranger. Cette peine, injuste et choquante, qui est l’une des plus lourdes jamais prononcées contre un journaliste algérien, couronne une procédure policière et judiciaire kafkaïenne et un acharnement contre Ihsane El Kadi. Reporters sans frontières (RSF) dénonce cette condamnation et appelle à sa libération. 

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RSF appelle les députés à renforcer les garanties contre la surveillance des journalistes dans le projet de loi de programmation de la justice


Le Sénat a adopté un mécanisme permettant l’activation à distance des micros et des caméras des téléphones portables pour localiser ou espionner des personnes faisant l’objet d’enquêtes. Reporters sans frontières (RSF) demande que les garanties prévues pour protéger les journalistes contre la surveillance soient élargies.

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AJAR : des journalistes s’organisent contre le racisme médiatique

Le 21 mars, via une tribune parue dans Libération, plusieurs syndicats et collectifs de journalistes [1] ainsi qu’une centaine de professionnels venus de différentes rédactions officialisaient le lancement de l’AJAR (Association des journalistes antiracistes et racisé-e-s), avec pour objectif de « s’attaquer au racisme dans le journalisme ». Acrimed a assisté à la soirée de lancement puis interviewé deux de ses porte-parole, Rémi-Kenzo Pagès et Estelle Ndjandjo.

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La répression des médias en Turquie : le grand trucage des élections


Un scrutin inéquitable. Alors que la Turquie se prépare au second tour de l’élection présidentielle entre Recep Tayyip Erdogan et le candidat d’opposition Kemal Kiliçdaroglu, Reporters sans frontières (RSF) dénonce un traitement médiatique discriminatoire.

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En Tunisie, les arrestations laissent la place aux condamnations


Une centaine de journalistes ont marché le 18 mai à Tunis pour protester contre la condamnation, cette semaine, du correspondant de Mosaïque FM. Cinq ans de prison ferme pour avoir refusé de révéler l’identité de sa source – « la base du métier » rappelle Le Point Afrique, qui voit dans cette décision « la preuve que la Tunisie démocratique (…) rogne peu à peu tous ses acquis ». Même analyse pour La Presse de Tunisie, le site souligne, amer, que « jamais un journaliste, par le passé, n’avait écopé d’une peine pareille pour avoir tout bonnement exercé son métier ».

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Tunisie: des journalistes en colère contre une justice « aux ordres »


Des journalistes tunisiens ont manifesté jeudi pour dénoncer la politique « répressive » du pouvoir qui instrumentalise, selon eux, la justice pour intimider et soumettre les médias.

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