Gaza, Ukraine: vers la guerre totale


De nouveaux bombardements sur Gaza en pleines craintes d’embrasement régional


Après la mort du numéro deux du Hamas au Liban, la crainte d’une guerre totale monte d’un cran


Gale, maladies gastro-intestinales ou du système respiratoire… A Gaza, la situation sanitaire inquiète





Guerre en Ukraine: «Les alertes aériennes ont lieu chaque jour dans chaque région»


Face aux attaques russes, le cri d’alarme d’un général ukrainien

Vladimir Poutine montre qu’il veut « anéantir » l’Ukraine, dénonce Berlin

à Gaza et à Kiev, la guerre continue

Gaza: la guerre se poursuit, violents affrontements en Cisjordanie


Près de trois mois après le début de la guerre, Israël et la bande de Gaza débutent cette nouvelle année sans répit dans les affrontements. L’armée israélienne va réajuster ses tactiques de combat en procédant à des rotations de ses troupes, ainsi qu’au retrait ou au redéploiement d’une partie de ses réservistes, afin de poursuivre les combats « tout au long » de l’année 2024.

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Guerre en Ukraine : Kiev accuse Moscou de bombarder « délibérément » des zones « résidentielles »

 


Des attaques aériennes russes à Kiev et à Kharkiv ont fait au moins cinq morts, mardi.

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les combats à Gaza se poursuivront « tout au long » de l’année 2024, selon Israël


La guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas dans la bande de Gaza se poursuivra « tout au long » de l’année 2024, a déclaré un porte-parole de l’armée israélienne dans un message aux troupes pour le Nouvel An. Suivez la situation en direct.

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L’ONU dénonce la «lâcheté morale» d’Israël après des accusations à son égard


Israël multiplie toujours, ce mercredi 27 décembre, les frappes aériennes contre ses cibles. La rapporteuse des Nations unies, Francesca Albanese, a pointé du doigt les attaques israéliennes à l’encontre des Nations unies et dénonce une «lâcheté morale» d’Israël.

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« Je ne sais plus ce que nous sommes censés faire » : à Gaza, le cri du cœur d’un chirurgien dépassé par la situation chaotique dans les hôpitaux


Dans l’hôpital Al-Aqsa à Gaza, le témoignage déchirant d’un membre de l’OMS : « Ahmed, 9 ans, vient de mourir »


Le vivre-ensemble mis à mal à Haïfa, ville symbole de la coexistence entre Juifs et Arabes en Israël

Gaza: l’OMS de plus en plus inquiète face au nombre de patients affamés dans les hôpitaux


À Gaza, le risque de famine se fait de plus en plus ressentir. L’enclave est au bord du gouffre, dit le Programme alimentaire mondial. Un risque confirmé par l’OMS, qui vient d’envoyer une nouvelle équipe à al-Chifa, le plus grand hôpital de Gaza, aujourd’hui à l’arrêt.

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Conflit Israël-Hamas : « On n’a plus de mots pour décrire l’horreur de ce qui se passe à Gaza », témoigne MSF

Gaza en attente d’une aide internationale massive


Pas de nouvelle trêve à #Gaza faute d’unanimité du Conseil de sécurité de l’ #ONU vendredi mais un appel à l’acheminement « immédiat » et « à grande échelle » de l’ aide humanitaire. #Israël autorise depuis une semaine le déchargement de camions au poste-frontière de Kerem Shalom.

« Il n’y a plus d’endroit sûr, tout est bombardé » : à Gaza, les Palestiniens ne savent plus où trouver refuge et risquent la famine


Des déplacés palestiniens survivent dans des conditions humanitaires catastrophiques dans des tentes devant l’hôpital Nasser à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza. Alors que l’armée israélienne a ordonné l’évacuation de la ville, ils ne savent plus où aller. Témoignages.

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Dans le coeur et l’esprit des Gazaoui·es qui vivent ailleurs

À la Une: l’espoir d’un deuxième accord de trêve à Gaza


Le chef du Hamas en déplacement en Égypte, une résolution sur le point d’être adoptée aux Nations unies… pour Le Temps, « les signaux d’une nouvelle trêve se multiplient. » Car le Premier ministre Benyamin Netanyahu « se retrouve sous forte pression, notamment de la part des familles des otages » dont 125 au moins seraient détenus par le groupe armé palestinien. Et cela s’est encore aggravé lorsque, « la semaine dernière, trois otages ont été tués par erreur par les soldats israéliens, […] une faute terrible qui, selon des responsables, a violé les règles de conduite de l’armée », écrit le Washington Post.

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Conflit Hamas-Israël : « La catastrophe ne fait que s’empirer de jour en jour » dans la bande de Gaza, s’alarme Médecins sans frontières


La désinformation

Meta : Censure systémique de contenus pro-palestiniens


D’Israël à Gaza (4) : à la Une du Parisien, la caricature du double standard

« Polémique de Villepin » : la fabrique médiatique de « l’antisémitisme d’ambiance »>


Depuis deux mois, toute dénonciation de la guerre menée par Israël à Gaza expose son auteur à l’accusation d’antisémitisme, ainsi que La France Insoumise, et particulièrement Jean-Luc Mélenchon en ont fait les frais. Dominique de Villepin, qui est sans doute le seul responsable ou ex-responsable gouvernemental français à critiquer la stratégie israélienne de guerre totale, s’est à son tour retrouvé sur le banc des accusés pour avoir critiqué les médias et les industries culturelles. Retour sur un procès – en partie – truqué.

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La famine utilisée comme arme de guerre à Gaza


Des éléments de preuve indiquent que les civils ont été délibérément privés d’accès à la nourriture et à l’eau.

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Halte aux massacres ! Signez la pétition en ligne

 

Troyes: journée d’action du samedi 16 décembre


HALTE AUX MASSACRES À GAZA ET EN CISJORDANIE !

CESSEZ-LE-FEU TOTAL ET PERMANENT, PROTECTION DU PEUPLE PALESTINIEN !

Après 71 jours de bombardements qui ont visé l’ensemble de la population de la Bande de Gaza et qui ont détruit plus de la moitié de ses bâtiments et de ses infrastructures, après 71 jours de siège inhumain qui a privé la population d’eau, de nourriture et de médicaments et malgrés la trêve fragile du 23 novembre , les bombardement sont toujours en cour.

Malgré tout, rester silencieux face à l’horreur, n’est pas une option ! C’est pourquoi nous continuons et continuerons, accompagné de millions de manifestants dans le monde, à nous mobiliser afin de dénoncer les fausses promesses des gouvernements ainsi que d’imposer un processus de paix juste et durable, seule issue viable à cette guerre.

C’est pourquoi nous saluons toujours la libération d’otages civils israéliens et étrangers, une priorité que le gouvernement israélien a dû accepter sous la pression du mouvement des familles.

La libération des prisons israéliennes d’une centaine de femmes et de jeunes palestiniens a été une bonne nouvelle pour eux-mêmes et leurs familles. Mais nous observons que depuis le 7 octobre, ce sont 3000 nouveaux Palestiniens dont 200 mineurs qui ont été emprisonnés par Israël, et que des arrestations massives, y compris de personnel médical, sont effectuées par l’armée israélienne à Gaza, dans des conditions qui restent inconnues. Et ce sont des milliers de prisonniers politiques palestiniens, jugés par des tribunaux d’occupation ou détenus sans jugement, qui restent emprisonnés par Israël dans des conditions inhumaines.

C’est une guerre atroce et criminelle qui a été entreprise par l’Etat d’Israël contre la population palestinienne de Gaza. Les 15.000 morts, les 35.000 blessés, les milliers de disparus, les familles anéanties, ce sont autant de vies, de personnalités, de visages dont il faut rappeler le souvenir. C’est une guerre qui vise à expulser la population palestinienne de Gaza. Personne ne peut encore évaluer la profondeur du traumatisme subi par les hommes, femmes, et enfants palestiniens de Gaza. Rien ne peut justifier une telle attaque contre toute une population et ses infrastructures vitales : cette guerre doit enfin s’arrêter pour de bon.

En Cisjordanie, la population palestinienne subit les attaques conjuguées de l’armée et des colons, qui ont fait plus de 200 morts depuis le 7 octobre. Plusieurs communautés ont été chassées de leurs terres, les cultures palestiniennes sont prises pour cible, nous dénonçons ce processus de nettoyage ethnique.

Nous demandons un cessez-le-feu total et permanent pour la Bande de Gaza, l’arrêt définitif des bombardements, des offensives terrestres et des déplacements forcés de populations, ainsi que la levée durable du blocus. Nous demandons aussi la protection de la population palestinienne de Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est.

Nous exigeons que la France et l’Union européenne s’engagent activement et sans ambiguïté pour le cessez-le-feu, y compris par des sanctions contre l’État d’Israël.

Une paix juste et durable ne sera possible que dans le cadre de la reconnaissance des droits du peuple palestinien, et notamment de son droit à l’autodétermination. Elle implique l’arrêt de la colonisation et la fin de l’occupation israélienne, ainsi que le respect de l’ensemble des résolutions de l’ONU.

Cessez-le feu total, immédiat et permanent !

Arrêt définitif des bombardements et des déplacements forcés de la population ! Levée immédiate, complète et durable du blocus de Gaza !

Protection du peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie !

Membres du Collectif Aubois pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens signataires de l’appel

Associations : AGUI, GREENPEACE Aube, LDH, FEDERATION DE L’AUBE DE LA LIBRE PENSEE, MRAP

Partis politiques : GENERATION.S, PCF, POI, LFI

Syndicats : CFDT, CGT, FSU, SOLIDAIRES

Collectif : LOUISE MICHEL

TA



Vous pouvez encore signer la pétition :

Palestine,

Halte aux massacres ! Il y a urgence !


ICI

 

 

 

 

 

Les organisations appellent au retrait du projet de loi asile et immigration

CONTRE L’IMMIGRATION JETABLE

POUR UNE POLITIQUE BASEE SUR L’ACCUEIL, LE RESPECT ET L’EGALITE DES DROITS

Le projet de loi « Pour contrôler l’immigration, améliorer l’intégration » vient d’être rejeté par l’Assemblée nationale.

Mobilisé·es depuis plus de 15 mois contre ce texte dangereux pour la dignité et les droits des migrants, nous associations, CIMADE, LDH et MRAP, avec le soutien d’organisations syndicales et politiques et de citoyennes et citoyens engagé-es :

  • alertons solennellement la Représentation Nationale et le Gouvernement sur les conséquences dramatiques de ce projet
  • appelons désormais le gouvernement à le retirerdéfinitivement. 

En effet, ce projet n’apporte aucune solution pour répondre à la situation des migrants.

Les intentions du Gouvernement restent les mêmes : elles visent à précariser les migrants, à les réprimer, à les assimiler à des délinquants, à les marginaliser, à les exclure et à les expulser. Elles portent atteinte aux droits fondamentaux. Elles remettent en cause l’accès aux soins et la cohésion nationale. Tout renvoi du texte vers le Sénat ou une commission mixte paritaire serait une manœuvre politicienne désastreuse.

L’Etat veut réduire de façon drastique l’accueil et le séjour en France des migrants qui fuient la guerre, les persécutions, la misère et les conséquences du dérèglement climatique.

Arrêtons d’accuser les étrangers vivant en France de tous les maux. Arrêtons de distiller à leur encontre des propos discriminatoires et racistes.

Les étrangers ne sont pasdes boucs émissaires. Ils ne sont pas responsables :

–        Des problèmes économiques

–        De l’inflation

–        Des déficits publics en ponctionnant les ressources de la France au détriment des Français.

–        De l’insécurité et de l’aggravation de la délinquance.

Plutôt que de se répandre en discours xénophobes et stigmatisants à l’égard des migrants, nous affirmons qu’une autre politique est possible, 

  • une politique migratoire basée sur l’accueil, le respect et l’égalité des droits fondamentaux pour tous.
  • Une politique pour construire un système de solidarité et d’inclusion, unique rempart contre l’inhumanité et l’intolérance.
  • Une politique pour permettre à tous de vivre dignement sur notre territoire.

A l’occasion de la Journée internationale des personnes migrantes, nous, organisations de la société civile, CIMADE, LDH et MRAP restons mobilisées pour agir et défendre une telle politique.

Nous disons non à l’immigration jetable et nous voulons une politique basée sur l’accueil, le respect et l’égalité des droits.


A la suite du rassemblement et de la lecture de cet appel au retrait du projet de loi, les militants des 3 organisations, rejoints par des citoyennes et des citoyens ont ensuite recueilli en ville les signatures de personnes à qui ils proposaient une pétition et à qui ils offraient des cartes illustrées d’arguments pertinents contre la « loi asile et immigration » de Darmanin.

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Vous pouvez toujours signer cette pétition:

CONTRE L’IMMIGRATION JETABLE

POUR UNE POLITIQUE BASEE SUR L’ACCUEIL, LE RESPECT ET L’EGALITE DES DROITS

ICI

 


Cette publication dans la presse locale ne pouvait pas mieux tomber, en ce jour où nous étions rassemblés à l’occasion de la journée internationale des migrants (qui aura lieu lundi 18 prochain).

Ce projet de loi risque de revenir encore davantage durci après examen par la « commission mixte paritaire » et nous demeurerons vigilants.

Les trois organisations Cimade, LDH et MRAP sont particulièrement sensibles au sort des mineurs non accompagnés qui posent tant de problèmes à certains élus, alors qu’ils ont connu durant leur adolecence des parcours particulièrement difficiles pour arriver en France, qu’ils ont été accueillis et pris en charge par les départements, qu’ils sont reconnus comme des élèves particulièrement motivés et sérieux dans leurs études, qu’ils obtiennent pour la plupart des diplômes qualifants à l’issue de leur formation, que leurs employeurs (qui les ont eux-mêmes formés) ne veulent pas s’en séparer après les avoir embauchés dans leur entreprise, qu’ils sont tous engagés dans une démarche d’intégration parfaitement réussie dans notre société et que les OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français) dont les gratifie l’Etat à leur majorité brisent chez eux tout espoir. C’est indigne d’une démocratie qui décide de les renvoyer vers leur pays d’origine, souvent en guerre ou en crise, et où les conditions d’existence extrêmement périlleuses leur offrent un avenir bien sombre quand ce n’est pas simplement la mort.

Non, Monsieur l’élu de la majorité, votre rejet xénophobe et particulièrement discriminant des mineurs isolés est inacceptable et nous ne vous laisserons pas promouvoir les idées nauséabondes des extrêmes-droites qui cherchent à se développer dangereusement dans l’opinion publique.

À Gaza, « on estime que 22 % des terres agricoles » ont été détruites depuis le début du conflit


L’intervention israélienne dans la bande de Gaza a entraîné la destruction de nombreux terrains agricoles. Compte tenu de la dureté des combats, les images satellite sont le seul moyen d’observer les dégâts. Selon un analyste, 22 % des terres arables ont déjà été détruites et les combats laisseront une empreinte durable sur l’enclave palestinienne.

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Gaza : Khan Younès, deuxième ville de l’enclave, dévastée par les bombardements israéliens


Dans la nuit de dimanche à lundi, de puissantes frappes aériennes ont eu lieu sur la ville de Khan Younès, nouvel épicentre de la guerre situé dans la pointe sud de la bande de Gaza. Le ministère de la santé de l’administration du Hamas à Gaza a fait état de « dizaines » de morts dans des raids nocturnes. Le communauté internationale appelle à un cessez-le-feu même si le les membres des Nations Unies n’arrivent pas à se mettre d’accord.


L’association Nice à Gaza dépose plainte contre Christian Estrosi



Signez la pétition pour un cessez-le feu immédiat ICI

Les États-Unis bloquent à l’ONU l’appel à un cessez-le-feu humanitaire immédiat à Gaza


Les États-Unis ont mis leur véto vendredi à une résolution du Conseil de sécurité appelant à un « cessez-le-feu humanitaire immédiat » à Gaza, malgré la pression du secrétaire général qui a dénoncé la « punition collective » infligée aux Palestiniens.

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« Deux-tiers des hôpitaux sont désormais hors-services à Gaza »


Une « usine à assassinats de masse » : tout sur le logiciel qui sème la mort à Gaza


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« La situation à Gaza est apocalyptique », dénonce le haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’Homme


Dans un entretien accordé à France 24, le haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’Homme se déclare profondément préoccupé par la situation dans la bande de Gaza, qu’il qualifie de « catastrophe humanitaire apocalyptique ». Volker Türk dénonce de « graves violations du droit international humanitaire », citant le blocus israélien du territoire et l’utilisation d’explosifs dans des zones densément peuplées.

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Gaza: face aux demandes de l’ONU, Israël multiplie ses attaques contre l’organisation


Human Rights Watch : « Israël a délibérément visé des journalistes »

Des Palestiniens témoignent: «Ce n’est pas une guerre contre le Hamas, c’est une guerre contre Gaza»


À Gaza, deux mois d’une guerre meurtrière viennent de s’écouler. Les civils le disent : « Chaque jour est plus épouvantable que la veille. » La bande de Gaza n’est toujours pas ouverte aux journalistes étrangers, mais des témoignages de civils nous parviennent tout de même par téléphone ou via des messages vocaux.

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Israël-Palestine: les enfants, victimes de l’horreur


Poste-frontière de Rafah à Gaza : “pour que des journalistes puissent sortir et d’autres entrer, ouvrez les portes !”



Troyes: retour sur le rassemblement et la marche du 2 décembre

 


DP


Un nouvelle mobilisation est prévue samedi matin 18 décembre.

Gaza: «Les pays occidentaux sont complices de ce massacre»


Ces dernières 48 heures, différents organes des Nations unies ont multiplié les appels à agir pour un cessez-le-feu. La situation à Gaza est « proche de l’heure la plus sombre de l’humanité », selon l’Organisation mondiale de la santé. La rapporteuse spéciale de l’ONU sur la situation des droits humains dans les Territoires palestiniens occupés Francesca Albanese était pour sa part en France. Elle dénonce la complicité des pays occidentaux vis-à-vis d’Israël.

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Gaza, le désastre et la honte

Palestiniens pris au piège à Gaza: fuir à tout prix, «mais pour aller où?»


Du nord au sud, Gaza est sous les bombes. Le micro-territoire palestinien et ses 2,4 millions d’habitants sont bombardés sans relâche par l’armée israélienne. Objectif : détruire le Hamas. Le bilan dans l’enclave atteint presque les 16 000 morts, en grande majorité des femmes et des enfants. Il n’y a nulle part où s’abriter, alors des familles songent au départ. Faut-il encore quitter le territoire.

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Gaza : « Personne n’est épargné, que ce soit les humanitaires comme la population civile », alerte un médecin humanitaire

« À Gaza, nous sommes en train de créer une génération d’amputés »


Alors que la guerre a repris depuis vendredi entre Israël et le Hamas après presque une semaine de trêve, le porte-parole du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), Frédéric Joli, s’inquiète des conséquences humanitaires pour les civils de Gaza. « Nous sommes en train de créer une génération d’amputés » dans l’enclave palestinienne, explique-t-il notamment.


Des dizaines de chars israéliens sont entrés dans le sud de Gaza

Rassemblement pour la paix


Gaza : la reprise des combats « est catastrophique », selon le Haut-Commissaire de l’ONU pour les droits de l’Homme