Donald Trump veut déplacer les Palestiniens de Gaza : « une excellente idée », selon un ministre d’extrême droite israélien. Le Hamas promet son échec



La proposition du président américain Donald Trump de déplacer les habitants de la bande de Gaza vers l’Egypte et la Jordanie dans le cadre d’un plan de paix consistant à « faire le ménage » dans le territoire palestinien, où la trêve entre Israël et le Hamas est entrée ce dimanche dans sa deuxième semaines, a suscité de vives réactions. De toute part.



Guerre au Proche-Orient : l’Egypte s’oppose à son tour à «tout déplacement forcé» des Palestiniens


Alors que l’accord de trêve entre Israël et le Hamas semblait plutôt sur les rails, le sort d’une otage et les déclarations inflammables de Trump ont relancé les tensions entre les deux parties ce dimanche 26 janvier.

Après la Jordanie, l’Egypte. Le Caire, sollicité par Donald Trump dans la nuit de samedi à dimanche pour abriter les déplacés de Gaza, a opposé, comme la Jordanie, son refus à la suggestion américaine. Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères a rejeté «tout déplacement forcé des Palestiniens».





La France livre-t-elle toujours des armes à Israël pour bombarder la bande de Gaza?


La barre officielle des 30 000 morts va être franchie au cours des prochaines 24 heures dans la bande de Gaza. Environ 70% d’entre eux sont des femmes et des enfants. Dans ce contexte dans lequel rien ni personne ne semble être en mesure de mettre fin à cette tragédie, la question de la livraison d’armes à Israël est de plus en plus prégnante. Quid de la France ?

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Égypte : Un groupe de défense des droits humains et son directeur menacés et diffamés


Frigos et ordinateurs cassés : ces déchets qui empoisonnent la Cisjordanie

La France condamnée par la CEDH pour le recours à une nasse policière illégale dans une manifestation en 2010


C’est la première fois que la France est condamnée pour cette pratique policière d’encerclement de manifestants. En cause : une nasse à Lyon en 2010.

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OPÉRATION SIRLI : LA FRANCE VISÉE PAR UNE PLAINTE DEVANT LA COUR EUROPÉENNE DES DROITS DE L’HOMME