OQTF, CRA, IRTF : comment s’organisent les expulsions d’étrangers en France ?


L’imam tunisien Mahjoub Mahjoubi a été expulsé depuis la France en Tunisie, son pays d’origine, moins de 12h après son arrestation. Une expulsion manu militari, mais qui ne reflète pas la majorité des retours forcés prononcés par les autorités françaises. Comment se passent, la plupart du temps, les expulsions de migrants en France ? InfoMigrants vous explique.

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La France continue d’enfermer des Syriens en rétention, malgré le gel des expulsions vers la Syrie



Un homme se présentant comme syrien est enfermé au CRA de Rennes, en Bretagne depuis le 17 août. La France a contacté les autorités consulaires syriennes afin de vérifier l’identité de l’exilé. Une pratique qui inquiète les associations car elle présente des risques pour la personne concernée et pour sa famille restée au pays. D’autant plus que les relations entre Damas et Paris sont officiellement rompues depuis 2012 et que les expulsions sont gelées.

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Violences policières au CRA du Mesnil-Amelot : d’anciennes retenues lèvent le voile



Au centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot, en Seine-et-Marne, des personnes accusent des policiers de violences lors de leur incarcération. Deux femmes ont porté plainte.

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Centres de rétention administrative : « Plus les années passent, plus ça se dégrade », dénonce la contrôleure générale des lieux de privation de liberté



« Dans les chambres, ils ne peuvent pas fermer la porte, donc il y a des gens qui rentrent la nuit. Comme les policiers ne rentrent pas, c’est la loi du plus fort qui s’installe », raconte par exemple sur franceinfo Dominique Simonnot la contrôleure générale des lieux de privation de liberté.

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Migrants : un quart des étrangers placés en centres de rétention sortent de prison, selon un rapport de cinq associations


Les défenseurs des migrants déplorent « un recours banalisé à la rétention, de manière trop souvent abusive et parfois dans des conditions indignes ».

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La « menace à l’ordre public », un motif de plus en plus en plus utilisé pour placer les migrants en CRA

Les centres de rétention administrative enferment trop d’enfants, alertent des associations


En 2022, 94 enfants étaient détenus dans des CRA. Un chiffre qui augmente chaque année et qui inquiète, particulièrement à Mayotte où les enfants étrangers enfermés dans ces centres sont 30 fois plus nombreux qu’en métropole.

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Les étrangers sans-papiers retenus dans un centre « anxiogène, pire que la prison »


A Lyon Saint-Exupéry, le centre de rétention administrative (CRA) 2 est pointé du doigt par le barreau de Lyon. Il serait « pire que la prison ».

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« J’ai perdu 20 kilos depuis que je suis enfermé ici »


À côté de l’aéroport Paris CDG, des exilés sont enfermés dans le centre de rétention du Mesnil-Amelot en attendant d’être expulsés. Le mois dernier, la Cimade, seule asso sur place, s’est retirée pour dénoncer les conditions indignes des retenus.

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Pourquoi la promesse d’Emmanuel Macron d’exécuter 100 % des obligations de quitter le territoire est intenable

Au centre de rétention administrative de Toulouse, situé à deux pas de l’aéroport, en 2006. (Georges Gobet /AFP)


Exécuter une OQTF requiert tout un tas de conditions, la première étant la légalité de la mesure. Au-delà, l’administration doit disposer de moyens matériels et de l’accord des autorités du pays d’origine.

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Démantèlement du camp d’usagers du crack : 27 sans-papiers enfermés risquent l’expulsion

« ON A BEAUCOUP DE PERSONNES MALADES OU AVEC DES TROUBLES PSYCHIATRIQUES QUI SE RETROUVENT EN SEVRAGE FORCÉ »


27 étrangers sans-papiers ont été interpellés pendant le démantèlement du camp de consommateurs de crack de Forceval et placés au centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot. Malgré les maladies et l’addiction, ils risquent d’être expulsés.

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Un nouveau rapport souligne une fois encore un enfermement « inhumain » dans les CRA français

Le centre de rétention administrative (CRA) d’Hendaye, dans le sud-ouest de la France, a une capacité totale de 30 places. Crédit : Capture d’écran/Youtube


Allongement des périodes de rétention, protocoles sanitaires très limités et vétusté des structures : les conditions de vie des exilés dans les différents centres de rétention administrative (CRA) français sont toujours aussi déplorables, d’après le dernier rapport de la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté (CGPL). L’autorité indépendante a effectué deux à trois visites par centre, tout au long de l’année 2021.

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