All eyes on Palestine



Le slogan « All eyes on Rafah » est employé par les manifestants dénonçant les massacres qui se répètent à Gaza depuis dix mois. Il prend aujourd’hui un autre sens : celui de la surveillance militaire absolue des Palestiniens avec les moyens de Google, Microsoft et Amazon, désormais au service d’une «usine d’assassinats de masse »



À Gaza, le nombre de personnes infectées par l’hépatite A augmente


À Gaza, le bilan dépasse les 39 600 morts, selon les données du Hamas, et la situation sanitaire se détériore de jour en jour. Les cas d’hépatite A, une infection due à l’eau contaminée, augmentent notamment dans le camp de réfugiés d’al-Maghazi, dans le centre de la bande de Gaza.



Communiqués de la LDH


#JeNeSuisPasUneData : l’UFC-Que Choisir met en place un outil pour mieux protéger vos données

Pour connaître, modifier ou supprimer ses données personnelles, l’UFC-Que Choisir lance un outil à destination des internautes. © Maxppp – Sebastian Gollnow


Instagram, Facebook, Uber… autant de plateformes qui collectent des données des internautes. À l’occasion de la journée de la protection des données, l’association UFC-Que Choisir lance la campagne #JeNeSuisPasUneData, qui propose un outil pour mieux contrôler l’utilisation des données personnelles.

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Lutter contre le harcèlement des adolescents

Le cyberharcèlement touche plus d’un jeune sur 10 en France. © iStock/Tero Vesalainen


C’est un fléau qui n’est plus tabou. Le harcèlement scolaire. Parmi les élèves âgés de 13 à 15 ans, un sur trois déclare avoir été victime de harcèlement ou de violence. Les pouvoirs publics mènent désormais des campagnes ou adoptent des lois pour punir les agresseurs. C’est le cas en Suède. Car c’est dans les pays nordiques que la question a été abordée pour la première fois par des chercheurs dans les années 70 avec le terme « bullying » en anglais. 

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Réseaux sociaux : stop ou encore ?


La fin des réseaux sociaux se profile-t-elle à terme ?

Après le rachat de Twitter par Elon Musk et le cortège de licenciements qui en découle, la vague se propage chez Meta. Est-il raisonnable de rester client de pratiques que l’on condamne et par là-même de les cautionner ?

Existe-t-il des alternatives ?

On peut se référer à la liste plutôt exhaustive proposée par le site Web Marketing Conseil

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Logo EAD Cela prend trop de temps ?

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Sans pour autant passer par le sevrage à l’addiction aux écrans, pourquoi ne pas revenir plus simplement aux bonnes vieilles méthodes d’avant les dérives des « Gafam » et l’explosion de la « Tech », pour ne pas sombrer dans le « metavers » : courrier postal (malgré la disparition annoncée du « timbre rouge »), téléphone, messagerie classique (mails), blogs, sites internet…

Pour amorcer le débat, voici quelques pistes de réflexion :

Hécatombe dans la Tech : plus de 130.000 licenciements en 2022


À l’instar d’Elon Musk, la Silicon Valley licencie, crise ou remise à niveau?


Twitter, guerre, Chine : Elon Musk, un acteur géopolitique majeur


#RIPTwitter ? Nouvelle vague de départs chez Twitter après un ultimatum d’Elon Musk


Dans les coulisses des licenciements chez Meta (Facebook)


Bientôt la fin des réseaux sociaux ?


Addiction aux écrans : un quart des Français ont des pratiques à risque


Dépendance aux réseaux sociaux : guide de sevrage numérique


RD

L’irruption du numérique dans nos vies, un monde orwellien ?

par Jean Camus



Les outils numériques envahissent tout notre monde ; trottinettes électriques, montres connectées, recours à Doctolib, les données de santé sur Microsoft, la présence d’Airbnb dans l’immobilier mais aussi les frontières du service public.

La numérisation de l’administration a déjà été faite mais comme une évolution interne. On connaît aussi les formes classiques d’interaction public-privé, sous-traitance à des services informatiques avec délégation de service public. Irruption d’entreprises spécialisées privées dans la « ville intelligente ». Quelques privatisations au passage, les « bus Macron » de la SNCF vendus à Blablacar.

Emergent des formes nouvelles d’appropriation de l’espace public par des opérateurs privés, Waze trafic et usages sur la voie publique, Airbnb qui modifie la destination du parc immobilier, Google et Apple qui bloquent l’accès de Stop covid par leur application.

Il s’agit de fait d’une transformation économique fondamentale du capitalisme avec des nouveaux modes production du profit.  Approches marketing très fines au bénéfice de celui qui les possède : à la fois de surveillance et aussi de contrôle. Monde orwellien du contrôle de nos vies ? Peut-être, mais surtout une incapacité à traiter les problèmes de tout le monde à égalité, centre-ville ou Intercités et périphérie urbaine ou zone rurale. Il en est de même avec les opérateurs des infrastructures numériques. Le classique, la privatisation des profits et la socialisation des pertes : Netflix qui profite de la fibre sans dépenser un euro.

Certaines initiatives contrent ces effets néfastes, combattent les monopoles des GAFA. Il faut surtout avancer sur d’autres fronts. Les services publics doivent offrir des services numériques de la même qualité que le privé, en servant tout le monde à égalité, des infrastructures aussi puissantes que celles de Microsoft ou de Google.

Il faut rendre accessible l’accès à tous les biens communs qu’apportent les services numériques.

La privatisation numérique de Gilles Jeannot et Simon Cottin-Marx (Raisons d’agir., 9€)

Régulation européenne des plateformes numériques : de grâce, encore un effort pour protéger le droit à l’information !


Le projet européen de législation sur les services numériques est entré dans la dernière phase de discussion entre les institutions européennes. Reporters sans frontières (RSF) appelle les négociateurs à s’entendre sur un texte ambitieux, à même de garantir, autant qu’il est encore possible, le droit à l’information des citoyens.

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Impôts : Google va-t-il devenir l’espion du fisc ?



Le fisc s’allie au géant Google pour traquer les fraudeurs. Une opération très critiquée, car l’entreprise américaine est connue pour ses latitudes, elle aussi, avec les impôts.


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AMENDE DE 746 MILLIONS D’EUROS CONTRE AMAZON SUITE À NOS PLAINTES COLLECTIVES



Le 16 juillet 2021, l’autorité luxembourgeoise de protection des données personnelles s’est enfin prononcée sur notre plainte collective déposée par 10 000 personnes contre Amazon en mai 2018. Cette décision intervient après trois années de silence qui nous avaient fait craindre le pire (relire nos craintes qui, s’agissant du cas d’Amazon, sont donc aujourd’hui caduques).


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