Journée mondiale de la liberté de la presse

Paru dans le journal local jeudi 4 mai

« Les fake news vont avec le populisme »  

« La presse, c’est la démocratie, et dès qu’un pays bascule vers moins de liberté, elle est la première victime » , selon Maryvonne Blum, présidente de la section départementale de la Ligue des droits de l’homme . En cette Journée mondiale de la liberté de la presse, l’ONG Reporters sans frontière (RSF) a dévoilé son classement 2023 de la liberté de la presse dans le monde, dans lequel la France est 24 e .

L’un des points mis en avant par RSF est la diffusion des fake news et la désinformation massive. Maryvonne Blum ajoute : « La désinformation est un univers qu’on a du mal à maîtriser, et les fake news vont avec le populisme. »

Pour lutter contre cela, « l’éducation aux médias est le point de départ », et ce, dès le plus jeune âge. Comme le réseau Canopé qui tente de mettre les enfants dans la situation des journalistes afin de les responsabiliser sur le contenu qu’ils produisent. Mais le développement rapide de l’IA accentue ces dangers. Pour la présidente de la LDH auboise, « il y a une crainte. On a vu les images, et on se doute qu’on va arriver aux textes. »

HARO SUR LES MAGHRÉBINS ÂGÉS !

Communiqué commun dont la LDH est signataire

La réforme des retraites touche particulièrement et de plein fouet les couches défavorisées de la population. Parmi les premiers impactés, les immigrés, parce qu’une grande partie d’entre eux travaillent dans les métiers pénibles, ont des carrières hachées, sont tributaires du minimum vieillesse (allocation de solidarité personnes âgées : ASPA) conditionné jusqu’alors par une durée de résidence en France de plus de 6 mois.

Discrètement et sans débat, un amendement de la droite a porté cette obligation à plus de 9 mois par an sur le sol français.
Cet article entrera en vigueur le 1er septembre.

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Que faut-il voir dans cette volonté d’empêcher ces personnes âgées de passer quelques mois par an dans leur pays d’origine ? Rien d’autre qu’un moyen de leur supprimer des droits.

Nos associations dénoncent cette politique discriminatoire, et réclament que les personnes âgées migrantes puissent bénéficier de l’ASPA sans condition de résidence, à l’instar des anciens combattants.

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Lettre de soutien à la Libre Pensée

La Libre Pensée est, dans sa défense de la laïcité et de la loi de 1905, objet de polémiques, certains de ses militants sont attaqués sur les réseaux sociaux, sa librairie vient d’être taguée. Elle est particulièrement visée par la droite et l’extrême droite (Reconquête).

Les attaques contre la Libre Pensée mêlent ignorance laïque, mauvaise foi et volonté de changer la loi de 1905.

La Ligue des droits de l’Homme a plusieurs fois rappelé avec un collectif d’associations laïques historiques qu’il ne faut pas toucher à la loi de 1905 et qu’il faut défendre la laïcité.

La LDH apporte son soutien à la Libre Pensée, objet de campagnes diffamatoires.

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Classement 2023 de la liberté de la presse dans le monde

L’ONG Reporters sans Frontières dévoile mercredi son classement 2023 de la liberté de la presse dans le monde. Il en ressort que les conditions d’exercice du journalisme sont mauvaises dans sept pays sur dix. La France est 24ème.

Il « y a un délitement de l’espace public » et « l’industrie de la désinformation et du simulacre c’est-à-dire du faux, de l’artificiel, a aujourd’hui des moyens potentiels de manipulation, d’amplification de la désinformation qui fragilisent ceux qui comme des artisans enquêtent, établissent des faits, les rapportent. » Pour le directeur général de RSF, « face à cette exacerbation de la désinformation, de la haine en ligne, des manipulations de toutes sortes, les journalistes sont dans de nombreux pays extrêmement démunis ».

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Femmes afghanes

Face au cauchemar vécu par les femmes afghanes, France terre d’asile et Margaux Benn, Solène Chalvon-Fioriti, Sonia Ghezali et Nassim Majidi, Grands-Reporters et chercheuse spécialistes de l’Afghanistan, ont lancé un appel signé par 350 personnalités de la société civile. Nous demandons aux autorités françaises de mettre en place un programme d’urgence pour accueillir les femmes afghanes.
 
L’Afghanistan est le seul pays au monde où les fillettes ne peuvent plus aller à l’école au-delà de l’âge de 12 ans et où les femmes n’ont plus le droit d’accès à l’université. La majorité des femmes n’a plus le droit de travailler, plongeant d’innombrables familles dans la pauvreté.
 
Retrouvez notre appel à garantir leur accueil ainsi que des ressources pour mieux comprendre la situation sur notre site accueillirlesafghanes.org. Mobilisez-vous sur les réseaux sociaux avec le hashtag #AccueillirLesAfghanes !

Morts du mal-logement en France

Les dispositifs d’hébergement d’urgence sont saturés, les difficultés d’accès au logement s’accentuent, et la rue continue de tuer. Au 14 avril, le collectif Les morts de la rue a déjà recensé les décès de 117 personnes depuis le début de l’année.

35 personnes en situation de rue, 11 personnes hébergées, en centre d’hébergement, chez un proche, à l’hôtel, dans un squat, et 71 personnes probablement sans chez soi , sont mortes depuis le début de 2023

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Insécurité juridique pour les personnes étrangères

Du juge administratif au juge de la liberté et de la détention, en passant par des personnes qui jugent sans avoir la fonction (dans le cadre de la CNDA par exemple ou les conseils prud’homaux), les personnes étrangères sont régulièrement confrontées à des juges. Au-delà de la multiplicité des juridictions qui peuvent statuer sur les droits des étrangers, la question posée ici est bien celle d’une justice d’exception telle qu’elle s’applique aux étrangers et étrangères. Est-ce à dire que les étranger·e·s ne sont pas des justiciables comme les autres ? Que leur statut administratif permet à certains juges de de prendre des « libertés » avec les droits et libertés de ces personnes ?

La dégradation du droit d’accéder à la justice s’observe dans la mise à distance inédite des justiciables étrangers, qui passe par des réformes visant à rendre impossible, en pratique, l’exercice des voies de recours, à limiter l’accès à l’aide juridictionnelle et à multiplier l’usage de la vidéo-audience.

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Handicap : situations urgentes, mesures absentes

 Le Comité européen des droits sociaux du Conseil de l’Europe (CEDS) pointe une violation par la France de la Charte sociale européenne en raison du manquement des autorités à adopter des mesures efficaces dans un délai raisonnable en ce qui concerne l’accès aux services d’aide sociale et aux aides financières, l’accessibilité des bâtiments, des installations et des transports publics, et à développer et adopter une politique coordonnée pour l’intégration sociale et la participation à la vie de la communauté des personnes handicapées (article 15§3).

L'accès au droit pour les personnes handicapées

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Centres de rétention: les étrangers enfermés plus longtemps, la Cimade s’alarme

Par exemple à Bordeaux

Les étrangers en situation irrégulière ont été enfermés durant 22 jours en moyenne dans le centre de rétention administrative de Bordeaux en 2022, une augmentation dénoncée par la Cimade.

 Et le nombre de personnes enfermées plus de soixante jours a doublé .

Enfermement en centres de rétention et crise sanitaire : une obstination  insensée - La Cimade

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Nathalie Dugravier, co-présidente de l’association, note que ces enfermements interviennent dans un contexte politico-médiatique d’amalgame entre « immigration et délinquance ». Un discours porté et accentué par le ministère de l’Intérieur.

Le Conseil des Droits de l’homme appelle la France à repenser ses politiques de maintien de l’ordre

Droit aux logements, droit des femmes, handicap, libertés fondamentales… Le Conseil des droits de l’homme de l’Organisation des Nations unies s’est penché, lundi 1er mai, sur la situation des droits humains en France.

Le rapport recommande que « les agents de services de police de tous rangs » reçoivent une formation complète sur les droits humains, « mettant l’accent sur les conduites et les mesures nécessaires et proportionnées dans une société démocratique ».

Les experts dénoncent la « répression disproportionnée » des manifestations», « l’usage excessif de la force », le nombre « élevé » d’arrestations et de gardes à vue, les « fouilles », la « confiscation des biens des manifestants » et les « blessures graves infligées à ces derniers ».

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Il détaille également tous les manquements en matière

-d’enfermement des enfants

-d’accès au travail des personnes d’ascendance africaine 

-de droit des femmes

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 Le rapport rappelle que lutter « efficacement » contre le terrorisme et protéger les droits humains ne sont pas des objectifs « contradictoires » mais « complémentaires ».

Le « retour au peuple » : remède à la crise démocratique ?

On ne peut caractériser un régime en neutralisant la question de la nature du pouvoir qui s’y exerce. L’élection ne peut jamais constituer le critère exclusif  de la démocratie.

La relation d’autorité se trouve actuellement abîmée. Le remède résiderait dans un « retour » à ce peuple trahi ou oublié. Un certain nombre de discours parfois antagonistes se disputent le monopole de la représentation populaire.

À ce titre, ils déploient chacun à leur manière un certain ressort qui consiste à se réclamer du peuple, un peuple dont l’existence serait donnée comme une évidence et qui constituerait la source exclusive de toute légitimité politique.

Fête du travail en France: Un 1er mai «unitaire» et «combatif» contre la  réforme des retraites | Tribune de Genève

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Conséquences de la réforme des retraites sur la santé

L’espérance de vie en France est de 85,3 ans pour les femmes et de 79,2 ans pour les hommes.

L’espérance de vie en bonne santé en France (c’est-à-dire le nombre d’années qu’une personne peut compter vivre sans souffrir d’incapacité dans les gestes de la vie quotidienne) est de 65,4 ans pour les femmes et de 63,9 ans pour les hommes, soit une moyenne de 64 ans.

Paramètre extrêmement inquiétant. Le report de l’âge de départ à la retraite à 64 ans fait se dire à certains : « Je vais travailler jusqu’à 64 ans puis je vais tomber malade »

L’espérance de vie en bonne santé est très liée aux activités professionnelles, dont certaines usent les corps.

 « S’imaginer faire partir plus tard à la retraite des gens qui ont des métiers difficiles, c’est se heurter à une réalité que les porteurs de la réforme ne semblent pas voir. Dites à une aide-soignante qu’elle partira à la retraite à 64 ou 65 ans, alors qu’elle porte des corps toute la journée et a le dos cassé à 50 ans à force de lever des malades, c’est un non-sens. Si on n’adapte pas les postes de travail et le départ à la retraite par métier, c’est une impasse, et un risque de faire reculer l’espérance de vie en bonne santé »

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L'espérance de vie en bonne santé est plus longue si on est proactif et que l'on a une bonne hygiène de vie, mais un travail physique et des revenus modestes peuvent la raccourcir.

L’espérance de vie » en bonne santé, aussi appelée « l’espérance de vie sans incapacité » ou « espérance de santé » est un indicateur social qui concerne le bien-être de la nation. Il correspond au nombre d’années qu’une personne peut compter vivre sans souffrir d’incapacité dans les gestes de la vie quotidienne, définit la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques qui dépend du ministère de la Santé. Le terme est évoqué depuis les années 1960. Cet indicateur est notamment pris en compte dans l’évaluation des politiques publiques. Il fait partie des indicateurs retenus pour suivre la mise en œuvre et l’atteinte des objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 de l’ONU. Le Directeur général de l’OMS en 1997 (lorsque l’espérance de vie « sans incapacité » a été intégrée aux travaux de la Commission européenne et de l’OCDE), le Dr Hiroshi Nakajima, indiquait que « l’espérance de vie en bonne santé est plus importante que l’espérance de vie car sans qualité de la vie, une longévité accrue ne présente guère d’intérêt » (INSEE).

Conséquences de la réforme des retraites sur la solidarité intergénérationnelle

« On aimerait se dire que quand la vie est bien faite, chaque chose vient en son temps. Que toute chose étant à sa place, nos parents sont en pleine forme et disponibles pour profiter avec nous de nos petits… puis que le temps passe… et que c’est seulement quand nos enfants ont grandi et sont devenus autonomes que nous voilà éventuellement disponibles pour accompagner nos propres parents… si tant est que notre vie professionnelle le permette… ce qui n’est pas tout à fait gagné avec des perspectives de retraite de plus en plus reculées.

Comment vivre avec nos vivants ? Tous nos vivants. Ceux qui ont une vie devant eux… ET ceux dont le présent est le dernier trésor.

Peut-on avoir assez d’énergie et de ressources pour les accompagner en même temps lorsqu’on est soi-même fragilisé ? »

Delphine Horvilleur

Pancartes lors des manifestations en France contre la réforme des retraites, le 19 janvier 2023.

Conséquences de la réforme des retraites pour les femmes

Les femmes touchent une retraite de 28 % inférieure à celle des hommes en moyenne, pensions de réversion comprises. Une inégalité résultant des interruptions de carrière, des écarts de salaires, et de l’orientation des étudiantes vers les métiers moins bien payés.

La réforme des retraites améliorera-t-elle leur sort ? Le gouvernement affirme que les mesures sur les petites pensions et les carrières longues leur seront favorables, quand ses opposants estiment que le cœur du projet creusera les inégalités qu’elles subissent.

Fiche de poste "Assistante de vie" - mise à jour 2021 - 3FORETS services à  la personne

« Dans les emplois du commerce et de la distribution, de l’entretien et des services à la personne, les femmes sont le plus souvent confrontées à des conditions de travail préjudiciables à leur santé ainsi qu’à leur vie personnelle et familiale. Celles-ci ont des répercussions inéluctables sur le niveau de leurs pensions de retraite, qui risquent de faire basculer dans la pauvreté une partie de la population féminine au grand âge. »

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Conséquences de la réforme des retraites pour les LGBT+

Plusieurs collectifs, associations et militants LGBT+ font part de leurs inquiétudes depuis la présentation par le gouvernement du projet de réforme des retraites. Selon eux le projet de réforme aggraverait encore davantage la précarité à laquelle sont exposés de nombreux membres de la communauté.

« On subit déjà tout au long de nos carrières des formes de rejets, des parcours professionnels hachés qui font qu’à un moment, on va devoir se mettre en retrait de la vie professionnelle ».

« Beaucoup de personne n’ont pas la possibilité de fonder des familles et cette réforme augmente le risque d’isolement, avec des inégalités dans le déroulement de leur carrière pour 20 % d’entre eux ».

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Vieillir quand on est LBGTQ+ : l'étouffante solitude - ELLE.be

RETRAITES : NON À UNE NOUVELLE RÉGRESSION DES DROITS SOCIAUX

Communiqué national:


Dans l’Aube

Les unions départementales de tous les syndicats appellent les Aubois à les rejoindre ce jeudi 19 janvier pour manifester contre la réforme des retraites annoncée.

  • à 10 h à Troyes devant la Bourse du Travail (place Jean-Jaurès),
  • à 14 h à Romilly-sur-Seine (Bourse du Travail)
  • à 15 h 30 à Bar-sur-Aube (place de l’Hôtel de ville).

Accès aux soins : des patients renoncent

L’article 25 de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 garantit le droit d’accès aux soins pour tous. Il précise en effet que :

« Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l’alimentation, l’habillement, le logement, les soins médicaux […]  »

Or ce droit d’accès aux soins est de plus en plus difficile à garantir, dans un contexte de crise de l’hôpital et d’insuffisance de médecins en ville et en secteur rural.

On considère qu’il y a renoncement aux soins dès lors qu’une personne estime qu’elle aurait besoin de soins, mais qu’elle ne peut pas se les procurer en raison des circonstances.

Cette impossibilité de consulter un médecin n’est pas toujours due à un manque d’offre de soins. Ainsi, une personne en situation de précarité qui n’a pas les moyens de payer une complémentaire santé (et anticipe donc qu’une consultation ne lui sera remboursée que partiellement) peut estimer n’avoir pas les moyens de dépenser de l’argent chez un médecin et s’abstenir de consulter, alors même qu’elle se sent en mauvaise santé. Elle renonce donc aux soins.

Les inégalités face à la santé et à l'accès aux soins en France –

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Pourquoi les médias s’intéressent-ils à la guerre en Ukraine mais pas aux autres conflits ?

Le conflit au Yémen dure depuis 2015.

En Éthiopie, une guerre civile fait rage depuis 2020.

Pourquoi en parle-t-on beaucoup moins dans les médias ?

Les médias produisent en priorité des reportages sur des pays qui « comptent » plus pour les audiences. C’est-à-dire surtout des sujets sur les États-Unis, la Russie, les puissances européennes, à la rigueur le Liban.

« Les médias ont un besoin de manichéisme pour accrocher l’attention et attirer l’audience. Dans une guerre civile, c’est beaucoup plus compliqué, il y a rarement des gentils et des méchants !« 

Au Yémen, un tournant dans la guerre

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La mésinformation scientifique des jeunes à l’heure des réseaux sociaux

À l’heure où TikTok s’impose comme le réseau social préféré des jeunes français, que sait-on de l’impact de cette plateforme sur ses utilisateurs, qui sont de plus en plus nombreux à l’utiliser pour se divertir, mais aussi pour s’informer ?

Les jeunes affichent une posture nettement plus critique que dans le passé à l’égard de la science.

Ils adhèrent de plus en plus à des « vérités alternatives », par exemple platisme et créationnisme sont actuellement des thèses dont l’écho est loin d’être marginal dans la jeunesse française…

Et dans un contexte post-Covid, les fake news médicales nocives trouvent aussi un public chez eux.

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De plus en plus de jeunes quittent les réseaux sociaux, à commencer par  Facebook

Droits des femmes: récapitulatif 2022

Avancées et reculs

Révocation du droit à l’avortement, obligation de port du hijab ou de la burqa, interdiction progressive d’accès à l’espace public…

Des États-Unis à l’Iran, en passant par l’Afghanistan, la France ou encore l’Inde, principaux événements ayant marqué le combat pour les droits des femmes dans le monde ces 12 derniers mois.

Les droits de la femme - Chronologie - Mes parents d'abord

Février 2022 : la Colombie dépénalise l’avortement jusqu’à 24 semaines de grossesse

Février 2022 en France: le délai légal pour avorter passe de 12 à 14 semaines de grossesse

Mars 2022 : sous le régime taliban, les droits des Afghanes réduits comme peau de chagrin

Mai 2022 : en Espagne, un projet de loi pour instaurer un congé menstruel

Juin 2022 : aux États-Unis, la Cour suprême révoque le droit à l’avortement

Septembre 2022 : l’Iran se soulève après le décès de Mahsa Amini, morte en détention

Septembre 2022 en Inde: la Cour suprême indienne reconnaît le droit des femmes non mariées à avorter et la notion de viol conjugal

Novembre 2022 en France : l’Assemblée nationale vote en faveur de l’inscription du droit à l’IVG dans la Constitution française

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