Mulhouse : quatre-vingt migrants, en provenance de Suisse, refoulés d’un TER, ce lundi matin 21 novembre

Opération de police en gare de Mulhouse • © Benjamin Savart / France Télévisions


Ce lundi matin, le TER 96206 de 7h16 a été bloqué pendant une demi-heure, en gare de Mulhouse. La police nationale en a fait descendre près de quatre-vingt migrants, en provenance de Bâle.

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Quelle immigration demain pour la France ?

Migrants ©Getty – Juanmonino


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Expulsions : Gérald Darmanin demande aux préfets d’appliquer plus fermement les OQTF


Le ministre de l’intérieur demande l’inscription « systématique » des étrangers sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français au fichier des personnes recherchées.

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Crise du logement


Fichier des personnes recherchées, titre de séjour pour les « métiers en tension » : l’exécutif détaille la future loi sur l’immigration

Gérald Darmanin et Olivier Dussopt, devant l’Hôtel Matignon à Paris, le 21 juin 2022. (ARNAUD ANDRIEU/SIPA )


Dans un entretien au « Monde », le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, et celui du Travail, Olivier Dussopt, dévoilent le contenu du projet de loi. Le texte doit être débattu début 2023 et vise à rendre les OQTF plus efficaces.

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Darmanin veut rendre « impossible » la vie des personnes soumises à une OQTF



Les obligations de quitter le territoire français font l’objet d’une polémique depuis le meurtre de Lola, dont la suspecte était sous le coup de cette procédure. Le ministre de l’Intérieur a assuré vouloir « durcir les règles » en matière d’immigration.

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Malgré le gel des expulsions vers Kaboul, une préfecture française obtient un laissez-passer pour renvoyer un Afghan

Un Taliban armé surveille des personnes faisant la queue devant une banque de Kaboul, le 4 septembre 2021. Crédit : Reuters


L’ambassade d’Afghanistan en France a délivré un laissez-passer consulaire à un Afghan en rétention, document préalable à son expulsion. Or, depuis le retour au pouvoir des Taliban en août 2021, la position officielle du gouvernement français est de ne procéder à aucune expulsion d’Afghans, et de n’avoir aucune relation diplomatique avec Kaboul. InfoMigrants a enquêté.

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Pourquoi la promesse d’Emmanuel Macron d’exécuter 100 % des obligations de quitter le territoire est intenable

Au centre de rétention administrative de Toulouse, situé à deux pas de l’aéroport, en 2006. (Georges Gobet /AFP)


Exécuter une OQTF requiert tout un tas de conditions, la première étant la légalité de la mesure. Au-delà, l’administration doit disposer de moyens matériels et de l’accord des autorités du pays d’origine.

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Turquie : Des centaines de réfugiés syriens ont été renvoyés en Syrie

De la fumée s’élevait après des frappes aériennes russes menées près du point de passage de Bab al-Hawa (Cilvegözü) en Syrie, à la frontière avec la Turquie, le 27 septembre 2022, selon des informations fournies par des correspondants de l’AFP et par l’Observatoire des droits humains en Syrie (basé au Royaume-Uni). © 2022 Omar Haj Kadour/AFP via Getty Images


L’UE devrait reconnaître que la Turquie n’est pas un pays sûr pour les demandeurs d’asile.

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Mineurs non accompagnés et jeunes majeurs étrangers


Notre pétition est fermée.


Vous avez été 586 à nous apporter votre soutien et à vous associer à notre mobilisation: 341 en ligne et 245 sur papier. Un grand merci ! Vous avez dépassé nos prévisions.

Nous remettrons prochainement cette pétition à Madame la Préfète et vous tiendrons au courant des suites qui y seront données.

Démantèlement du camp d’usagers du crack : 27 sans-papiers enfermés risquent l’expulsion

« ON A BEAUCOUP DE PERSONNES MALADES OU AVEC DES TROUBLES PSYCHIATRIQUES QUI SE RETROUVENT EN SEVRAGE FORCÉ »


27 étrangers sans-papiers ont été interpellés pendant le démantèlement du camp de consommateurs de crack de Forceval et placés au centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot. Malgré les maladies et l’addiction, ils risquent d’être expulsés.

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D’ici et d’ailleurs


Gérald Darmanin sous pression face à la colère de la police judiciaire


Climat : 30 ans pour rien ?


Construire un environnement médiatique favorable aux femmes: par où commencer?


Violences faites aux femmes: un rapport européen dénonce de «graves insuffisances» en Allemagne


Iran : « Cela fait 43 ans que les femmes luttent »


Ukraine : le pont de Crimée, «phallus métallique» de Poutine et symbole de l’annexion de 2014


Argentine: des associations de défense des droits humains vent debout après l’expulsion d’une communauté Mapuche

Jeunes migrants : mobilisation à Troyes le 15 octobre


Ils sont plus d’une centaine dans l’Aube, jeunes migrants mineurs, à avoir dû quitter leur pays pour rejoindre la France.

Pris en charge par le Centre Départemental de l’Enfance, ils suivent, malgré leur dépaysement, un parcours souvent exceptionnel. Ils apprennent et perfectionnent leur français. Ils se forment et se montrent des élèves studieux et ont envie de progresser. Ils s’engagent dans l’apprentissage de métiers et pourraient facilement être embauchés dans les entreprises qui ont besoin de salariés.

Pour une immense majorité, ils ne provoquent aucun trouble là où ils vivent, mais sont bénévoles ou actifs dans des associations, des clubs sportifs.

La plupart du temps, ils n’ont plus de proches dans leur pays d’origine.

Pour poursuivre leur parcours d’intégration, ils demandent à leur majorité la délivrance d’un titre de séjour.

En dépit de leurs efforts, de ceux du Conseil Départemental pour les accompagner, de ceux des enseignants et des formateurs et des demandes renouvelées de leurs employeurs pour les recruter, la préfecture de l’Aube refuse de régulariser leur situation et leur notifie une obligation de quitter le territoire.

Ils sont alors contraints d’arrêter leur apprentissage et de quitter leur employeur, privés de ressources et d’hébergement, abandonnés et n’ont plus d’espoir sauf celui de sombrer dans la précarité.

La Ligue des droits de l’Homme, avec le soutien de la CIMADE et du MRAP et l’appui d’un collectif d’associations et de citoyens, demande à l’État que les jeunes migrants qui ont été accueillis dans l’Aube puissent poursuivre leur formation et travailler dans les entreprises qui ont besoin de salariés compétents et qu’ils soient hébergés et traités dignement.

Pour cela, elle organise une journée d’action et d’information pour sensibiliser le public, les acteurs économiques et sociaux, les institutions et les élus de l’Aube, sur ce drame humain et l’absurdité économique de la situation.

Le samedi 15 octobre 2022 de 10h à 20h à Troyes

A ce titre, nous vous invitons à nous rencontrer et à échanger toute la journée à la permanence qui sera tenue dans les locaux du 5 de la rue Charbonnet.

A Calais on n’exclut pas, on persécute.

À Paris, les jeunes migrants de la place de la Bastille ont été évacués

L’association Utopia 56 a installé, samedi 28 mai 2022, un campement de mineurs place de la Bastille, à Paris, pour alerter sur le manque de prise en charge de ces jeunes en recours. Crédit : Utopia56


Après 119 jours de mobilisation, les 80 exilés de la place de la Bastille ont été expulsés. Si l’opération conduite par Utopia56 a permis à ces jeunes, pour la plupart des mineurs en recours, de trouver, pour un temps un peu de réconfort, l’association déplore le silence des autorités quant au sort de ces jeunes, « condamnés à l’errance ».

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D’ici et d’ailleurs


Belgique: faut-il interdire ou encadrer les courses-poursuites par la police? La Ligue des droits humains réclame un débat.


Népal: près de 500 000 citoyens apatrides attendent la régularisation de leur situation


Maroc: les réseaux sociaux en deuil après la mort de Meriem, avortée clandestinement à la suite d’un viol


Somalie : le pays est au bord de la famine


Soudan : « Un enfant sur trois ne va pas à l’école », s’alarment des organisations humanitaires


L’Algérie expulse une nouvelle vague de 600 migrants africains vers le Niger


Gangs et pouvoir en Haïti, histoire d’une liaison dangereuse

Toulouse : la mairie demande l’expulsion d’un campement informel de jeunes migrants

Depuis le 26 août 2022, une centaine de jeunes migrants campent aux abords du palais de justice de Toulouse. Crédit : AutonoMIE/capture d’écran Facebook


La Ville rose a déposé, lundi 19 septembre, une requête auprès du tribunal judiciaire, afin d’expulser la centaine de jeunes exilés qui campent aux abords du palais de justice. Pour la plupart en recours, ces adolescents errent dans Toulouse à la recherche d’un abri, depuis leur expulsion d’un Ehpad, fin août.

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D’ici et d’ailleurs


Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique


La Syrie risque une forte propagation du choléra, alerte l’OMS


L’Europride de Belgrade, marche LGBTQI +, interdite par les autorités serbes


Libye : des abus subis par les migrants filmés sur les réseaux


TRIBUNE COLLECTIVE “AFGHANISTAN : LA LUTTE POUR LE RESPECT DES DROITS FONDAMENTAUX DOIT CONTINUER”


JOURNÉE DU 28 SEPTEMBRE : LE DROIT À L’AVORTEMENT DOIT ÊTRE RECONNU COMME DROIT FONDAMENTAL PARTOUT ET TOUT LE TEMPS


MONSIEUR LE MINISTRE DE LA SANTÉ ET DE LA PRÉVENTION, IL FAUT EMPÊCHER L’EXPULSION D’UNE PERSONNE MALADE DONT LA VIE SERAIT MISE EN DANGER PAR UN RENVOI DANS SON PAYS !



À Gentilly, des centaines de migrants évacués d’un bâtiment vide

Dans la nuit de samedi 3 à dimanche 4 septembre, entre 300 et 400 personnes sont entrées dans un bâtiment inoccupé de la ville de Gentilly, dans le Val-de-Marne. Crédit : Médecins du Monde


Une nouvelle opération réquisition d’un bâtiment inoccupé a été menée à Gentilly, en région parisienne, ce week-end pour y loger entre 300 à 400 migrants, dont plusieurs familles. Les forces de l’ordre ont évacué les lieux en quelques heures, séparant au passage certains hommes de leurs familles, dénonce Médecins du Monde.

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La France condamnée pour l’expulsion de deux Tchétchènes


La Cour européenne des droits de l’homme a rendu deux arrêts, mardi 30 août, dans lesquels elle estime que la France a violé la Convention européenne des droits de l’homme en les exposant à la torture et à des traitements inhumains et dégradants.

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