Au Vendée Globe, la publicité toutes voiles dehors



Charal, Sodebo, McDonald’s…. Les sponsors sont omniprésents au Vendée Globe, le tour du monde à la voile en solitaire. La course est une énorme machine à fric.



Thon contaminé au mercure : Petit Navire riposte, et détaille les contrôles menés sur ses poissons


Alerte mercure! Les ONG Bloom et Foodwatch ont révélé le 29 octobre des taux alarmants de mercure dans les thons en conserve, dont ceux de la marque Petit Navire. La griffe riposte, affirmant respecter les normes françaises et européennes.

Accord UE/Mercosur: plus de 200 députés français appellent Paris à mettre son veto



Plus de 200 députés français de gauche comme de droite ont appelé, lundi 4 novembre, le gouvernement à bloquer la conclusion de l’accord de libre-échange attendu entre l’UE et les pays du Mercosur, qui selon eux « trahit » l’ambition européenne.

« L’accord, négocié par la Commission européenne, trahit deux fois ce que doit être l’Union européenne. Il trahit l’ambition d’une élévation des standards environnementaux, sociaux, sanitaires. Il trahit aussi l’engagement pour la souveraineté alimentaire de notre continent », écrivent dans une tribune ces 209 parlementaires, issus des groupes Gauche Démocrate et Républicaine, Socialistes, Écologistes, Ensemble Pour la République (EPR), Démocrates, Horizons, Liberté Indépendants Outre-mer et Territoires, et Droite républicaine.

Le pognon de dingue du système productiviste : 48,3 milliards par an


Revoilà ces agriculteurs « fiers de nous nourrir » intimidant une ministre pourtant à leurs côtés! Bientôt l’hiver, morte saison dans les champs propice aux manifs. Ils ont beau jeu de crier «au secours» avec leurs fourches tractées. Savent-ils qu’ils défendent un système agrochimique nous coûtant 48,3 milliards/an. Tout ce barouf pour alimenter un système qui nous mène dans le mur.

« Les difficultés alimentaires d’une partie de la population s’aggravent »

Entretien avec Nicole Darmon




L’inflation a aggravé les difficultés d’une partie de la population. Le manque d’argent contraint les plus précaires à une alimentation insuffisante et néfaste à la santé, explique la chercheuse en santé publique Nicole Darmon.

Subventionner la malbouffe puis en réparer les dégâts : quand l’État paie deux fois



L’État dépense au moins 19 milliards d’euros par an pour soigner des maladies liées à la malbouffe ou dépolluer les contaminations aux pesticides, révèle une étude. Sans pour autant flécher les dépenses publiques vers une agriculture plus vertueuse.

Il y a le prix affiché en rayon, celui que nous payons à chacune de nos courses pour des produits laitiers, des plats préparés, des conserves ou de la viande emballée. Et il y a le coût caché, celui des conséquences négatives des modes de production les plus polluants, ou des aliments transformés les plus néfastes pour la santé. Ce prix sera aussi payé, par la collectivité – et les contribuables.

Mangez des bananes

Une culture sans morale.

Les paysannes et paysans ne pourront bientôt plus vivre de leurs terres.

https://www.actionaid.fr/nous-decouvrir/dignite-au-travail/les-maux-de-notre-alimentation

Au moins un milliard de repas gaspillés chaque jour, une «tragédie mondiale» pour l’ONU


Selon un rapport publié ce 27 mars par le Programme des Nations unies pour l’environnement, en 2022, chaque habitant de la planète a jeté 79 kilos d’aliments. Une gabegie mondiale aux effets catastrophiques pour la sécurité alimentaire, l’environnement et l’économie.

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« Nous riverains, victimes collatérales de la suspension du plan Ecophyto 


« Nous soutenons les paysans qui veulent vivre dignement mais exigeons la fin des pesticides qui les font mourir ainsi que nos enfants », défendent des associations de victimes des pesticides après la suspension annoncée du plan Ecophyto.

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Crise agricole : vers un recul écologique et social orchestré par la FNSEA et l’agrobusiness ?


Les premières mesures annoncées par le gouvernement pour tenter de répondre à la colère des agricultrices et agriculteurs ciblent l’écologie, comme le demande la FNSEA. Sans apporter de réponse pour une juste rémunération.

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POSITION ET APPEL DES SOULÈVEMENTS DE LA TERRE SUR LE MOUVEMENT AGRICOLE EN COURS


En France et à Bruxelles, le double langage de la FNSEA


Peut-on être écolo et pro-européen ?


Nitrates: quand les services de l’Etat laissent couler

A ne pas manquer dans l’Aube


Ce soir

Espace Didier Bienaimé à La Chapelle-St-Luc à 20 h 30 


La semaine prochaine


Mardi 30 janvier

Nouveaux voisins, nouveaux amis


Horaires et lieu

30 janv. 2024, 19:30 – 20:30

ART DECO, 70 Av. du Général Gallieni, 10300 Sainte-Savine, France

À propos

LIEN DE LA BILLETTERIE

À partir de 8 ans

Durée : 1h00

Mardi 30 janvier à 19h30

De : Manuel Merlot

Avec : Merlot (guitare), Cedryck Santens (batterie) et Thibaut Brandalise (clavier)

Production : Melodyn Productions

Soutiens : Emmaüs Solidarité, Le Centquatre-Paris

Tarifs : 15 € / 12 € / 8 € Pass famille : 32 €

Une bouffée d’oxygène et d’espoir

Ce docu-concert donne à suivre la rencontre en chanson entre un artiste musicien MERLOT et les résidents du Centre d’hébergement d’urgence pour les familles migrantes Paris-Ivry, géré par Emmaüs Solidarité. Une rencontre les yeux dans les yeux et presque sans mots où les émotions et la musique créent un lien.

Sous forme de portraits, ici pas de discours, on laisse la place à l’imagination du spectateur sans lui donner trop d’informations, juste un ressenti bref et intense. Un peu comme lors d’une première rencontre. Un regard humain et joyeux sur nos Nouveaux Voisins, nos Nouveaux Amis.

« Chaque portrait vidéo renferme une rencontre, une histoire, un paysage. Chaque visage raconte un pays, un exode, un sentiment : la joie, la violence, la tendresse, la mélancolie, la nostalgie, la foi… »

Merlot


Les Échos de la presse

« Ce projet est fabuleux »

Télématin – France 2

« Une humanité lumineuse »

Télérama TT


Vendredi 2 février

La part des autres
Ciné/débat

Pourquoi le Rassemblement national surfe-t-il sur la colère des agriculteurs?


La France a connu une semaine de tensions sociales avec la mobilisation des agriculteurs. Hier vendredi, le Premier ministre Gabriel Attal a annoncé une série de mesures pour calmer la colère du monde agricole. Est-ce que cela suffira ? Réponse dans les prochains jours. En attendant, le Rassemblement national espère bien capitaliser sur ce mouvement de grogne.

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Colère des agriculteurs : les manifestants bénéficient d’une « longue tradition » de « bienveillance » des autorités, pointe un sociologue



La tolérance affichée par les politiques et les forces de l’ordre face aux actions des agriculteurs s’explique notamment, pour Bertrand Hervieu, par les relations étroites qu’ils entretiennent au quotidien.

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Le Haut conseil pour le climat appelle à une transformation profonde du secteur agricole et alimentaire


FNSEA : Le gouvernement au chevet des « agro-terroristes »

18 novembre à Troyes: Festival des solidarités


Le Festisol à Troyes

La LDH de l’ Aube fait partie du Collectif Aubois du Festisol  et participe à l’événement Une nuit pour toi(t) avec un village associatif animé autour des enjeux alimentaires et des discriminations, dès 14 h ce samedi 18 novembre.

C’est l’occasion de mettre en lumière les solidarités locales dans une approche ludique et participative pour sensibiliser le public aux enjeux de souveraineté alimentaire, aux discriminations et droits humains.

La LDH de l’Aube propose un quiz sur les enjeux alimentaires et les discriminations. Les gagnants se verront remettre des entrées au cinéma Utopia de Pont-Sainte-Marie.

Le programme

Une loi pour rendre l’agriculture plus écologique et sociale ? Le gouvernement s’y refuse


En décembre, les parlementaires vont plancher sur la loi d’orientation agricole. Le texte, concocté par le ministère de l’Agriculture, est censé répondre à des défis majeurs : dramatique chute du nombre d’agriculteurs et changement climatique.

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Grosses marges, ventres vides : le scandale des profits de l’industrie agroalimentaire


L’inflation sur les produits alimentaires est majoritairement nourrie par une hausse des profits des entreprises de l’agroalimentaire, alors que près d’une personne sur trois a du mal en France à se payer trois repas par jour.

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Comment lutter contre la précarité alimentaire et donner accès à tous à une alimentation durable ?

L’aide alimentaire d’urgence ne suffit pas. On peut lutter plus largement contre les inégalités d’accès à l’alimentation et promouvoir la nécessaire transition de nos systèmes alimentaires par une « allocation universelle alimentation durable ». Les propositions de la nutritionniste Nicole Darmon et de l’économiste France Caillavet.

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Des fermes-usines avec des milliers de porcs ou des millions de poules : « On devrait plutôt parler d’usines à viande »



60 % des animaux d’élevage de France sont concentrés dans seulement 3 % des exploitations agricoles ! Une mobilisation nationale contre ces fermes-usines est prévue ce 7 octobre. Ce type d’agriculture se heurte à des résistances depuis plus de 30 ans.

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Une trentaine de scientifiques, personnalités et militants du monde associatif co-signent une tribune contre l’élevage industriel de volailles.

Inflation : les profiteurs de crise

contre-attaque.net



«Faute de concurrents, des entreprises répercutent plus que la hausse de leurs coûts afin de s’accorder des marges confortables» écrit le journal Alternatives Économiques. En particulier les grandes surfaces et tout le secteur agro-alimentaire.

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La crise de l’aide alimentaire en France



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Près d’un Français sur cinq vit à découvert cette année, alerte le Secours populaire


Précarité : un Français sur cinq vivrait à découvert


Pauvreté : un Français sur trois s’est déjà privé de repas faute de moyens, selon une étude

Précarité en France: «2,4 millions de personnes sont aidées par les banques alimentaires»


Les banques alimentaires sont l’un des grands acteurs de la solidarité en France. 132 000 tonnes de produits sont collectés par an, soit 220 millions de repas. Le président des Restos du Cœur a annoncé que son association était confrontée à de graves difficultés qui allaient conduire à diminuer le nombre de personnes qui reçoivent de l’aide. Entretien avec Laurence Champier, directrice de la Fédération française des banques alimentaires.