
Partager la publication "Troyes: Solidarité Palestine, samedi 29 novembre"

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Le 4 novembre 1995, le Premier ministre israélien est assassiné par un extrémiste ultranationaliste religieux juif à Tel-Aviv. Le processus de paix entre Israéliens et Palestiniens, auquel Yitzhak Rabin a largement participé, meurt avec lui et engloutit l’espoir d’un État palestinien, gage et condition de paix. Trente ans plus tard, la fin du conflit semble toujours lointaine.
Dimanche 2 novembre des dizaines de milliers d’habitants ont rendu hommage à Yitzhak Rabin à Tel-Aviv. Un rassemblement symbolique après deux ans de conflit, un accord de paix qui patauge entre Israël et la Palestine. Mais point noir au tableau, le Premier ministre actuel, Benjamin Netanyahu ne s’y est pas rendu.
Israël et la négation constante du droit international.
En janvier 2024, Patrick Baudoin, alors président de la LDH dénonçait l’enchaînement depuis des décennies de violences de plus en plus insoutenables. »
TROYES: manifestation pour la paix
Faute d’effectifs suffisants pour assurer le maintien de l’ordre en raison du match ESTAC/ SAINT-ETIENNE, le samedi 8 novembre à 17h30, les forces de l’ordre ont demandé au Collectif aubois pour la paix de décaler la manifestation prévue à 10h30 à la semaine suivante.
Le collectif a décidé de l’avancer d’une journée. La manifestation aura donc lieu le vendredi 7 novembre à 17h30, place Jean-Jaurès.

Partager la publication "30 ans après l’assassinat d’Yitzhak Rabin, où est le camp de la paix ?"

Guerre dans la bande de Gaza : ce que l’on sait des bombardements israéliens, qui interrogent sur l’avenir du cessez-le-feu.
Plus de 100 Palestiniens ont été tués par ces frappes, selon les hôpitaux de Gaza et la défense civile. L’armée israélienne dit avoir réagi à une attaque du Hamas dans laquelle un de ses soldats a été tué, mardi.
Cisjordanie 2025 : la phase finale de la barbarie du colonialisme israélien.
Alors que le monde fait semblant de regarder vers Gaza où un cessez-le-feu factice n’a de cesse d’être violé par le régime génocidaire israélien, la Cisjordanie s’enfonce dans une nuit sans fin, tous les jours un plus rongée par le cancer du colonialisme sioniste et ses attaques insidieuses et barbares. Derrière les check-points, les routes de contournement et les drapeaux bleus et blancs qui se multiplient sur les collines, une colonisation violente et systématique poursuit son œuvre : celle d’un effacement progressif du peuple palestinien de sa propre terre à grand coups de harcèlement par les colons, de pogroms, de pillages, de vols, de spoliations et même de meurtres.

Partager la publication "Qui arrêtera le massacre en Palestine ?"

Le Hamas a libéré lundi les derniers otages israéliens encore en vie retenus dans la bande de Gaza. Une foule en liesse et en pleurs a par ailleurs accueilli à Ramallah l’arrivée de cars transportant des Palestiniens tout juste relâchés par les autorités israéliennes.
Des centaines de milliers de Palestiniens déplacés sont rentrés chez eux ce samedi 11 octobre dans le nord de la bande de Gaza pour découvrir l’ampleur des destructions causées par deux ans de guerre. La Défense civile de Gaza, organisation de premiers secours opérant sous l’autorité du Hamas, a annoncé que plus de 500 000 personnes déplacées par la guerre étaient revenues dans le nord de l’enclave depuis le début du cessez-le-feu, la veille.
Amira Hass est une journaliste israélienne du quotidien de gauche Haaretz, installée depuis vingt ans à Ramallah, en Cisjordanie. Elle explique pourquoi aucune intifada n’a éclaté dans ce territoire occupé, et largement occulté, après le 7 octobre 2023. À l’inverse de ce qu’avaient imaginé les chefs du Hamas à Gaza. Entretien.
Partager la publication "Vers la paix à Gaza ?"

Le projet américain risque surtout de permettre à Netanyahou de gagner du temps et de « finir le travail » dans l’enclave, au mépris de dizaines de milliers de vies humaines.
On pourrait presque s’en tenir à la psychologie des acteurs : comment croire un plan de paix promu par Trump et Netanyahou ? L’un qui ne rêve que de mettre la main sur Gaza pour son grand projet immobilier, l’autre, mû par une idéologie de toute une vie qui suppose l’expulsion des Palestiniens ?
« À Gaza, des bulldozers blindés de Tsahal injectent du fuel dans les immeubles et y mettent le feu. »
Vidéo proposée par IO, le fil d’Informations Ouvrières sur Telegram.
Partager la publication "Le plan Trump pour Gaza : une monumentale arnaque"
Partager la publication "Troyes : assez d’horreur et de famine à Gaza !"

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Comme Poutine, qui n’a aucun intérêt à la paix, et pas seulement parce que le retour des soldats poserait trop de problèmes en Russie, Netanyahu a tout intérêt à ce que la guerre à Gaza, en Cisjordanie, au Liban, au Yémen, en Irak, en Syrie et en Iran ne prenne jamais fin, sa survie politique et son avenir judiciaire en dépendant directement.
Une mobilisation importante à l’appel des proches des otages en Israël a eu lieu dans tout le pays, dimanche 17 août, les manifestants réclamant la fin de la guerre à Gaza. Un rassemblement de taille était notamment attendu dans la soirée à Tel-Aviv. Mais d’autres ont eu lieu un peu partout, comme à Jérusalem, où les Israéliens font entendre leur voix, notamment au pied de la résidence officielle du Premier ministre, Benyamin Netanyahu.
Des manifestations ont débuté tôt ce dimanche en Israël pour exiger la fin de la guerre dans la bande de Gaza et un accord pour la libération des otages. De nombreuses entreprises, des collectivités locales et des universités ont répondu à l’appel à la grève générale lancé notamment par le Forum des familles et des disparus.
Bien que le Hamas ait dit avoir accepté la nouvelle proposition pour un cessez-le-feu à Gaza transmise par les médiateurs égyptiens et qataris, la paix semble encore bien loin.
La propagande
L’armée israélienne a mis en place une unité spéciale appelée la « Cellule de légitimation », chargée de collecter du renseignement à Gaza afin de renforcer l’image d’Israël dans les médias internationaux, selon trois sources du renseignement qui se sont confiées à +972 Magazine et Local Call et ont confirmé l’existence de l’unité.
Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a déclaré dimanche que l’armée israélienne mène ses attaques contre le Liban, malgré le cessez-le-feu, pour « empêcher toute tentative d’armement du Hezbollah ».
Depuis les massacres du 7 octobre, il est communément admis que Benjamin Netanyahu n’a aucun intérêt à signer la paix avec le Hamas.
Le Premier ministre israélien est tenu par ses alliés d’extrême-droite qui refusent tout accord avec le mouvement palestinien. Il a donc besoin de la guerre pour se maintenir au pouvoir et échapper par ailleurs à la justice et aux affaires de corruption.
Rappelons qu’alors qu’il fait l’objet d’un mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale, le premier ministre israélien est poursuivi dans un procès pour fraude, corruption et abus de confiance depuis 2020 dans son pays. Il est aussi impliqué dans d’autres affaires.
Et pour s’assurer des bonnes grâces de Trump, ça peut toujours servir, il a d’ailleurs proposé celui-ci pour le prix Nobel de la paix…
RD
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Bombardement atomique des villes d’Hiroshima et de Nagasaki, août 1945.

Les 6 et 9 août 1945, deux bombes atomiques pulvérisaient les villes de Hiroshima et Nagasaki, au Japon. Selon le Comité international de la Croix-Rouge, plus de 220 000 personnes ont été tuées, dont près de 38 000 enfants, entre ces deux dates et la fin de l’année 1945. D’autres ont survécu, mais au prix de maladies, de traumatismes, d’exclusion sociale ou de fausses couches à répétition. Leur mémoire, incarnée par les hibakusha (le terme utilisé au Japon pour désigner les victimes et survivant·es de ces deux tragédies), est aujourd’hui piétinée par les logiques guerrières qui regagnent du terrain, y compris dans les États dits démocratiques.
En testant leurs armes avec plus de 2 000 explosions à travers le monde, les neuf puissances nucléaires ont ainsi fait de nombreuses victimes qui attendent toujours d’être reconnues comme hibakusha.
En France, il a fallu attendre janvier 2010 pour qu’une loi de reconnaissance et d’indemnisation des victimes résidant en métropole, en Polynésie et en Algérie soit adoptée. Entre 2010 et 2023, seulement 1026 personnes ont été indemnisées, tandis qu’au Japon les victimes des retombées des explosions de Hiroshima et Nagasaki peinent encore à se faire reconnaître.
| « Devant les perspectives terrifiantes qui s’ouvrent à l’humanité, nous apercevons encore mieux que la paix est le seul combat qui vaille d’être mené. Ce n’est plus une prière, mais un ordre qui doit monter des peuples vers les gouvernements, l’ordre de choisir définitivement entre l’enfer et la raison. »Albert Camus, le 8 août 1945, extrait de l’édito du journal Combat |
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Vendredi 4 juillet 2025 à 18h30 (Epagne)

« Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots. » Martin Luther King / Discours – 31 Mars 1968
Les « premiers de cordée » ont trop souvent oublié certains d’entre nous et ont tendance à s’enfermer sur un entre-soi qui exclut notamment les territoires ruraux. Pourtant le dynamisme est loin d’en être absent, tout comme les valeurs d’ouverture, de solidarité et de partage. En outre, en ces temps troublés, ne pas oublier la place fondamentale de la fraternité dans notre devise républicaine est une nécessité.
Toutes celles et tous ceux qui se reconnaissent dans ces valeurs sont invités à se rencontrer le vendredi 4 juillet 2025 à 18h30 à Epagne (1, rue Gabriel Bonvalot)
autour d’un apéritif afin de faire connaître les initiatives qui existent déjà, d’en développer d’autres, d’exprimer les besoins ou tout simplement de se rencontrer et d’échanger.
Cette rencontre, bien qu’organisée par un groupe de Socialistes de la première circonscription électorale de l’Aube, se veut transpartisane et surtout ouverte à toutes celles et tous ceux pour qui la fraternité entre habitants de nos territoires a encore un sens et qui veulent participer à la construction d’un avenir solidaire et tolérant.








Partager la publication "Après la canicule, chaude fin de semaine dans l’Aube"

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En donnant l’ordre de bombarder des sites nucléaires iraniens, Donald Trump a fait le pari de la force plutôt que celui de la diplomatie. Ce virage stratégique de Washington face à Téhéran a des conséquences difficiles à mesurer pour les experts.
« Le régime de non-prolifération nucléaire, qui sous-tend la sécurité internationale depuis plus d’un demi-siècle, est en jeu », met en garde le chef de l’AIEA.
Le dernier round du prétendument inéluctable « choc des civilisations », entre la « civilisation judéo-chrétienne » et le monde islamique, se jouerait avec l’entrée en lice des États-Unis pour soutenir l’attaque israélienne contre l’Iran. Certes, nous explique-t-on, Tel-Aviv dispose également de la bombe atomique et d’un programme nucléaire qui n’a jamais été contrôlé par l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). Mais, voyez-vous, contrairement à la République islamique, Israël est une démocratie, qui plus est occidentale – que l’on excuse le pléonasme.
Pour Lior Sternfeld, historien de l’Iran moderne, les fantasmes israéliens de changement de régime ignorent les réalités de la République islamique et risquent de répéter des erreurs historiques. L’entretien a été réalisé le 20 juin 2025 par Orly Noy, du magazine Local Call (dont la version en anglais est +972), deux jours avant l’attaque des États-Unis contre l’Iran.
En revenant sur une multitude de faits accumulés ces derniers mois, une logique se dégage : celle de l’abandon des principes fondamentaux de notre République, des droits humains, du droit international. Sans fracas, l’affreuse contagion gagne.
Partager la publication "Quel pari fait Donald Trump en bombardant directement l’Iran ?"

Prise de parole du Collectif aubois pour la Paix
Le 18 mars Israël a violé le cessez-le-feu à Gaza, avec le soutien total des États-Unis, en décidant la reprise de bombardements massifs et des déplacements forcés de la population. Plus de 800 morts ont été comptabilisés en quelques jours, en majorité des femmes et des enfants ! Ce mercredi 11 juin, des tirs israéliens ont fait une trentaine de morts et 200 blessés près d’un centre d’aide humanitaire, annonce la Défense civile de de Gaza.
Depuis le début du mois de mars, l’État d’Israël a totalement fermé tous les accès à Gaza, c’est l’arrêt de l’aide humanitaire, la coupure de l’eau, de l’électricité et des médicaments, la famine qui s’installe.
La situation est catastrophique, la population s’entretue pour de l’eau et n’a désormais quasiment plus rien à manger. L’ONU a d’ailleurs dénoncé l’utilisation de la famine par Israël comme arme de guerre. D’après la Croix rouge la situation humanitaire est au bord de l’effondrement, chaque jour qui passe, les cas d’émaciation sévère augmentent. Le taux de malnutrition chez les enfants a ainsi bondi de « 172 % au premier trimestre de 2025 » par rapport à la même période l’an dernier. Pour couronner le tout, vendredi 2 mai un bateau de l’ONG la flottille de la liberté transportant des vivres pour les Gazaouis a été attaqué par des drones israéliens. Un Gazaoui sur cinq – risquent de mourir de faim dans les prochains mois, y compris des dizaines de milliers d’enfants. Plus de 2 700 enfants de moins de 5 ans ont été diagnostiqués comme souffrant d’une malnutrition aiguë à Gaza, selon l’UNRWA, tandis qu’il n’y a qu’« un seul point médical partiellement fonctionnel dans le nord de Gaza ».
Le 4 mai dernier, Netanyahou a confirmé son plan de déplacement massif de la population et sa volonté de conquête du territoire en expliquant qu’il compte « promouvoir le plan Trump ». « C’était la recommandation du chef d’état-major, pour détruire le Hamas. Il pense que cela nous aidera à libérer les otages, et je suis d’accord avec lui », a déclaré Benyamin Netanyahou précisant que ses troupes occuperaient le territoire et que la population gazaouie serait déplacée vers le sud.
En continuant ses agressions contre le Liban et la Syrie, c’est tout le Moyen-Orient qu’Israël cherche à embraser certains pays occidentaux, comme la France, ont condamné les bombardements de l’armée israélienne mais ce ne sont que des mots. Les paroles et les discours ne servent plus à rien. Israël veut enterrer tout espoir de cessez-le-feu permanent à Gaza en reprenant sa guerre génocidaire contre le peuple palestinien et en lui niant le droit à la vie.
Il faut prendre des sanctions contre Israël pour mettre fin aux massacres et au génocide en cours.

Emmanuel Macron a d’ailleurs déclaré il y a quelques semaines que la reconnaissance de l’état de Palestine pour le France « pourrait » avoir lieu en juin, en se basant notamment sur la conférence de l’ONU. Mais qu’attend-il de plus pour agir ? L’urgence est là, la France doit prendre ses responsabilités. En plus de la reconnaissance de l’état, le président français doit agir pour débloquer l’arrivée de l’aide humanitaire et exiger que des sanctions soient prises à l’échelle européenne contre le gouvernement d’extrême-droite israélien. Mais visiblement les priorités du gouvernement français sont ailleurs ! Il préfère criminaliser celles et ceux qui se mobilisent en soutien au peuple palestinien notamment en demandant la dissolution d’Urgence Palestine. Le message est clair : faire taire les voix de la paix et s’en prendre à celles et ceux qui défendent la solidarité internationale. Le collectif pour la Paix s’oppose évidemment à cette dissolution.
Le collectif soutient également la flottille de la liberté et dénonce les agissements de l’armée israélienne qui a stoppé le bateau et interpellé ses occupants dans les eaux internationales au mépris encore une fois du droit international. Les militantes et militants présents à bord ont été envoyés en détention et y sont pour certains depuis des jours, cette situation est inacceptable et nous exigeons que le président Macron prenne ses responsabilités pour exiger la libération des ressortissants français détenus de manière arbitraire ainsi que de tous les autres militants.

Le gouvernement israélien les accuse d’avoir pénétré illégalement le territoire israélien, ce qui est faux puisqu’ils étaient dans les eaux internationales et de toute façon Gaza n’est pas le territoire israélien ! Gaza a le droit de recevoir de l’aide humanitaire !
En Cisjordanie, dont Jérusalem-Est, la population est assiégée, déplacée de force par les colons et l’armée israélienne, leurs habitations sont détruites. C’est un véritable nettoyage ethnique, mené sans interruption, qui fait craindre un scénario proche de celui de Gaza. C’est ouvertement un processus d’annexion de la Cisjordanie qui se met en place avec l’approbation de Trump.
Le mouvement de solidarité prend de l’ampleur en France et partout dans le monde. De nouvelles voix s’élèvent pour dénoncer et s’opposer aux massacres ; De plus en plus de personnalités, de structures prennent position et élargissent le mouvement. À Genève, lors de la 113e session de la Conférence internationale du travail, les membres ont voté largement en faveur d’un statut d’État observateur non-membre pour la Palestine. Une nouvelle victoire diplomatique, avant l’initiative française à l’ONU dans quelques semaines.

Ces prises de positions viennent opportunément rappeler la justesse de notre mobilisation face à tous ceux qui depuis des mois nous traitent d’antisémites et appellent à notre répression parce que nous manifestons notre solidarité avec le peuple palestinien massacrés par le colonialisme génocidaire du gouvernement israélien. Elles justifient notre exigence de l’abandon immédiat de la procédure de dissolution d’« Urgence Palestine » ainsi que de toutes les procédures disciplinaires et/ou de police en cours au fallacieux prétexte d’apologie du terrorisme.
En Israël également les mobilisations s’accentuent, le peuple israélien manifeste chaque semaine pour l’arrêt de la guerre et le retour des otages.
En France, le mouvement de solidarité perdure et se renforce et nous ne lâcherons rien. Plus de 4000 citoyens aubois se sont déjà prononcés pour que le gouvernement français interdise la livraison d’armes à Israël et prenne toute sanction pour imposer que l’aide humanitaire parvienne aux gazaouis affamés.
Le Collectif exige :

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La présidente de la LDH, Nathalie Tehio, appelle la communauté internationale à prendre ses responsabilités face à une politique israélienne qui tente d’imposer la loi du plus fort contre le droit & la justice. Aujourd’hui plus que jamais, il nous faut agir, nous mobiliser !

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Hier le peuple palestinien a commémoré le 77ème anniversaire de la Nakba. La Nakba la catastrophe en arabe, c’est 800000 palestiniens qui furent chassés de leurs terres, de leurs maisons, de leur patrie par l’armée israélienne durant la période de 1947 à 1949. Un nettoyage ethnique, un crime colonial.
Aujourd’hui la Nakba continue sous nos yeux dans la mémoire et la douleur du peuple palestinien. Elle continue à travers les crimes perpétrés en ce moment et depuis 20 mois par de Netanyahu et son gouvernement.
Le 18 mars Israël a violé le cessez-le-feu à Gaza, avec le soutien total des États-Unis, en décidant la reprise de bombardements massifs et des déplacements forcés de la population. Plus de 800 morts ont été comptabilisés en quelques jours, en majorité des femmes et des enfants ! Depuis le début du mois de mars, l’État d’Israël a totalement fermé tous les accès à Gaza, c’est l’arrêt de l’aide humanitaire, la coupure de l’eau, de l’électricité et des médicaments, la famine qui s’installe.
La situation est catastrophique, la population s’entretue pour de l’eau et n’a désormais quasiment plus rien à manger. L’ONU a d’ailleurs dénoncé l’utilisation de la famine par Israël comme arme de guerre. D’après la Croix rouge la situation humanitaire est au bord de l’effondrement, chaque jour qui passe, les cas d’émaciation sévère augmentent. Le taux de malnutrition chez les enfants a ainsi bondi de « 172 % au premier trimestre de 2025 » par rapport à la même période l’an dernier. Pour couronner le tout, vendredi 2 mai un bateau de l’ONG la flottille de la liberté transportant des vivres pour les Gazaouis a été attaqué par des drones israéliens.
Le 4 mai dernier, Netanyahou a confirmé son plan de déplacement massif de la population et sa volonté de conquête du territoire en expliquant qu’il compte « promouvoir le plan Trump ». « C’était la recommandation du chef d’état-major, pour détruire le Hamas. Il pense que cela nous aidera à libérer les otages, et je suis d’accord avec lui », a déclaré Benyamin Netanyahou précisant que ses troupes occuperaient le territoire et que la population gazaouie serait déplacée vers le sud.
En continuant ses agressions contre le Liban et la Syrie, c’est tout le Moyen-Orient qu’Israël cherche à embraser certains pays occidentaux, comme la France, ont condamné les bombardements de l’armée israélienne mais ce ne sont que des mots. Les paroles et les discours ne servent plus à rien. Israël veut enterrer tout espoir de cessez-le-feu permanent à Gaza en reprenant sa guerre génocidaire contre le peuple palestinien et en lui niant le droit à la vie.
Il faut prendre des sanctions contre Israël pour mettre fin aux massacres et au génocide en cours.
Emmanuel Macron a déclaré il y a quelques semaines que la reconnaissance de l’état de Palestine pour le France « pourrait » avoir lieu en juin. Mais qu’attend il de plus pour agir ? L’urgence est là, la France doit prendre ses responsabilités. En plus de la reconnaissance de l’état, le président français doit agir pour débloquer l’arrivée de l’aide humanitaire et exiger que des sanctions soient prises à l’échelle européenne contre le gouvernement d’extrême droite israélien. Mais visiblement les priorités du gouvernement français sont ailleurs ! Il préfère criminaliser celles et ceux qui se mobilisent en soutien au peuple palestinien notamment en demandant la dissolution d’Urgence Palestine. Le message est clair : faire taire les voix de la paix et s’en prendre à celles et ceux qui défendent la solidarité internationale.
Le collectif pour la Paix s’oppose évidemment à cette dissolution. En Cisjordanie, dont Jérusalem-Est, la population est assiégée, déplacée de force par les colons et l’armée israélienne, leurs habitations sont détruites. C’est un véritable nettoyage ethnique, mené sans interruption, qui fait craindre un scénario proche de celui de Gaza. C’est ouvertement un processus d’annexion de la Cisjordanie qui se met en place avec l’approbation de Trump.
Le mouvement de solidarité prend de l’ampleur en France et partout dans le monde. De nouvelles voix s’élèvent pour dénoncer et s’opposer aux massacres ; la rabbin Delphine Horvilleur a publié un texte-manifeste dans lequel elle dit son « refus absolu de l’annihilation d’un peuple » pour réaliser « le rêve de survie » d’un autre peuple. Elle dénonce « la déroute politique et la faillite morale du gouvernement israélien » et parle de la « tragédie endurée par les gazaouis ». Son texte a été relayé par de nombreuses personnalités en France.
En Israël également les mobilisations s’accentuent, le peuple israélien manifeste chaque semaine pour l’arrêt de la guerre et le retour des otages.
En France, le mouvement de solidarité perdure et se renforce et nous ne lâcherons rien. Plus de 4000 citoyens aubois se sont déjà prononcés pour que le gouvernement français interdise la livraison d’armes à Israël et prenne toute sanction pour imposer que l’aide humanitaire parvienne aux gazaouis affamés.
Le Collectif exige :
– Arrêt de la guerre contre le peuple palestinien !
– Levée durable du blocus de Gaza !
– Protection du peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie !
– Arrêt des livraisons d’armes à Israël !
– Arrêt de toute coopération militaire et sécuritaire !
– Sanctions contre Israël !
– Reconnaissance d’un État Palestinien !
– Arrêt de l’occupation/colonisation expansives par Israël des territoires palestiniens et voisins.
« Des dizaines d’autres personnes restent piégées sous les décombres », a déclaré le porte-parole de cette organisation de premiers secours.
Comme vous le savez, environ 110 habitants de Gaza sont arrivés récemment en France, évacués fin avril grâce au consulat français de Jérusalem. Parmi eux, il y avait des regroupements familiaux, des gens qui ont reçu des bourses universitaires, des artistes, des gens qui ont des liens divers avec la France et qui voulaient sortir de Gaza. Tout de suite après, j’ai reçu beaucoup d’appels d’amis français, journalistes ou non. Avec la même question : « Pourquoi tu n’es pas parti ? » Certains me proposaient même d’appeler le consulat de France, croyant qu’il m’avait oublié dans la liste des candidats au départ. J’ai répondu que, depuis le premier jour de la guerre, le consulat me propose de me faire quitter Gaza, avec ma famille, et de m’accueillir en France. Mais je refuse.
UJFP
L’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique) vient d’agréer le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) comme « signaleur de confiance ». Ce statut permet à une organisation de signaler des contenus jugés illicites ou problématiques, en bénéficiant d’un traitement prioritaire. L’Union juive française pour la paix (UJFP) dénonce cette décision grave et lourde de conséquences.
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Nous sommes en 2025, soit 80 ans après le 8 mai 1945, les âmes des victimes appellent à nous souvenir de cette date où eut lieu un crime d’Etat. Malika Fecih, autrice.
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Israël a complètement rasé Rafah, transformant un cinquième du territoire de Gaza en une zone tampon géante. Cela fait partie du plan d’Israël pour rester définitivement à Gaza et faciliter le nettoyage ethnique de sa population.
Au cours du mois dernier, l’armée israélienne a méthodiquement vidé Rafah de ses habitants et rasé ce qui restait de ses bâtiments. La ville de Rafah et les localités environnantes ont désormais pratiquement disparu, la plupart des habitants ayant été évacués vers le nord, à Khan Younis et sur la côte de Mawasi, sous les tirs d’artillerie et au son des chars et des bulldozers approchant.
Notre point sur la situation cette semaine en Cisjordanie, où l’armée israélienne poursuit sa brutale opération « mur de fer », assassinant au moins sept Palestinien·nes dont un enfant de 12 ans.
Dans quelle mesure la cause palestinienne se retrouve-t-elle invisibilisée sur la scène internationale ainsi que dans la sphère médiatique française ? Dans quelle mesure cette invisibilité s’accompagne-t-elle d’un recul du droit international ?


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La destruction d’engins lourds essentiels, mardi, suite à des frappes aériennes israéliennes, a paralysé les opérations de secours, rendant encore plus difficile l’accès aux quelque 11.000 corps encore emprisonnés sous les décombres.
Selon les autorités locales, ces frappes ont mis un terme à toutes les opérations d’enlèvement des déchets solides et des débris, a déclaré le porte-parole du Secrétaire général de l’ONU, Stéphane Dujarric, aux journalistes lors d’un point de presse à New York.
Jusqu’à récemment, des bulldozers et autres engins d’excavation étaient utilisés dans les efforts laborieux pour extraire les corps des décombres.
Un bulldozer conduit par Atif Nasr – qui travaillait avant la guerre à la construction et à la réparation de routes – était devenu indispensable pour extraire les restes de proches des décombres.

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