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Samedi 14 décembre





Dimanche 15 décembre


« Il fallait bien les aider – Quand les justes sauvaient des juifs en France »


« Il fallait bien les aider – Quand les justes sauvaient des juifs en France » Conférence débat avec l’auteur : FRANCOIS-GUILLAUME LORRAIN


Ecrivain et rédacteur en chef Histoire du journal LE POINT, François-Guillaume Lorrain publie un ouvrage sur les Justes. Finaliste du prix Renaudot, l’Agence Aube en Champagne Attractivité et la Maison Rachi ont invité l’auteur à présenter son ouvrage et débattre avec le public le dimanche 15 décembre prochain à 15h à La Maison Rachi à Troyes.


Les Justes sont entrés collectivement en 2007 au Panthéon, mais ce n’est pas une raison pour refermer sur eux et leurs tombeaux les lourdes portes de l’oubli. Qui sont-ils, pour quelles raisons ont-ils sauvé des Juifs en France, dans quelles circonstances, par quels moyens, pour venir en aide à ces dizaines de milliers de Juifs persécutés par le régime de Pétain et les Allemands? Ils ont été un peu plus de 4300 à avoir été reconnus, documents écrits à l’appui, par l’Institut Yad Vashem à Jérusalem, ils continuent à l’être, lors de cérémonies officielles, une vingtaine, organisées chaque année en France. C’est une histoire qui s’écrit encore, au jour le jour, ponctuées de gestes bouleversants, de rencontres poignantes. Impossible d’embrasser ces 4300 histoires singulières, mais grâce au Comité Français pour Yad Vashem, nous en avons raconté une quinzaine, en allant voir les derniers Justes vivants, leurs descendants, nés parfois du mariage entre le sauveur et la sauvée (ou réciproquement), tels les parents de Jean-Pierre Foucault, en retournant aussi sur les lieux de sauvetage. C’est un voyage en France pour ne pas désespérer des Français ni de l’humanité, capable du pire comme du meilleur, leçon que nous réserve toujours l’Histoire.


Un héros, aujourd’hui, a encore une force d’intimidation. Les Justes ne se sont pas vus comme des héros, ils n’ont jamais demandé cette récompense, certains l’ont parfois refusée, estimant que cette bonté spontanée, sans idéologie, mais non sans conviction, n’était qu’un geste ordinaire, normal, obligé, qui répondait par l’inclusion, le lien, l’aide, à la politique d’exclusion.


L’Histoire, qui n’est jamais écrite par avance, est parfois la réponse des faibles aux forts, des grains de sable qui opposent leur liberté individuelle à une machine collective, qui enrayent une machine administrative d’oppression et de mort. Blanchisseuse, étudiante, ancien combattant, notable, professeur, bergers, diplomate, fermière, patron de petite entreprise…. ils ont été ces grains de sable qui ont contrecarré le plan. Ils ont formé une chaîne d’entraide, – tous les maillons n’ont pas été reconnus – à laquelle répond aujourd’hui en écho une chaîne de mémoire, les bénévoles qui rassemblent les documents afin de constituer les dossiers pour Yad Vashem. Ce sont tous ces maillons que nous avons essayés, par de multiples rencontres, de reconstituer, ces petits riens, ces hasards de salut, ces regards, ces paroles, qui ont décidé souvent de plusieurs vies.


Ces Justes ont été aussi reconnus dans l’Aube. C’est pourquoi nous vous invitons à rencontrer l’auteur et son ouvrage le dimanche 15 décembre à 15h à la Maison Rachi. Entrée gratuite. Réservation obligatoire






Mardi 17 décembre



Victoire d’étape dans le procès du chlordécone : la question de l’empoisonnement bientôt devant la Cour de cassation



Ce mercredi 13 novembre, la cour d’appel de Paris a décidé de transmettre à la Cour de cassation l’une des questions prioritaires de constitutionnalité déposées par les parties civiles. Il s’agit de savoir si la pollution au chlordécone peut être considérée comme un empoisonnement, et donc un crime.



« Le chlordécone est un marqueur de “l’habiter colonial” »


L’affaire du chlordécone est bien plus qu’un scandale sanitaire et environnemental. Malcom Ferdinand, ingénieur en environnement, chercheur en science politique au CNRS et figure centrale de l’écologie décoloniale en France, décortique dans son dernier livre S’aimer la terre. Défaire l’habiter colonial (Seuil, 2024) les mécanismes qui ont rendu pensable et possible l’usage prolongé de ce pesticide toxique et ses conséquences sur les populations antillaises. Documentant la fabrique de l’ignorance et les injustices environnementales, Malcom Ferdinand propose de repenser notre relation à la terre et aux êtres qui l’habitent dans les ruines polluées du capitalisme colonial.

«Sans l’UNRWA et le droit au retour, il n’y a plus de Palestine»



La Knesset a adopté une loi qui interdit à L’UNRWA de travailler à Gaza en particulier, et en Palestine en général. Je peux dire que ce vote marque le passage du génocide humanitaire au génocide politique. L’objectif est d’en finir avec le Palestinien en tant qu’être humain.



Oliviers détruits, terres souillées pour des années… Au Liban, les bombardements israéliens ravagent vies et environnement


Depuis un an que la guerre sévit au Liban, les bombardements israéliens incessants ont tué près de 3 000 personnes et en ont conduit 1,3 million à l’exil forcé. Outre un lourd bilan humain, cette guerre a saccagé et souillé pour longtemps des espaces naturels et des terres agricoles. Reportage dans la vallée de la Bekaa, à l’est du Liban.

Réduire les pesticides ou taxer les importations polluantes : l’extrême droite s’y oppose

Que votent les députés européens français quand il s’agit d’environnement ? Les élus de gauche portent la transition écologique, les macronistes hésitent, la droite et l’extrême droite y sont, en général, indifférents ou opposés.

Le Pacte vert européen, ou Green Deal, c’est ainsi que s’appelle le vaste programme lancé par l’Union européenne en 2019 pour atteindre la neutralité carbone – ne pas émettre plus de CO2 que l’on peut en absorber – sur le continent d’ici 2050. Pour cela l’objectif est de diminuer les émissions de gaz à effet de serre de 55 % en 2030 par rapport au niveau de 1990.

« Ces cinq dernières années, l’Union européenne a enclenché un virage dans la lutte contre le dérèglement climatique et plus largement pour répondre à la crise environnementale », souligne le Réseau action climat.

Mais parmi les 79 eurodéputé·es français·es qui siègent à Strasbourg, certain·es, en particulier à l’extrême droite, votent souvent contre les mesures du Pacte vert, qui contient aussi des textes sur la protection de la nature. Le Pacte vert est ainsi « l’objet de tous les fantasmes et attaques, en particulier de l’extrême droite qui appelle même à son abolition », pointe le Réseau action climat.

Jordan Bardella, tête de liste du RN aux européennes, a même accusé le Pacte vert d’être « une des grandes menaces qui pèsent aujourd’hui contre la France ». Dans son programme de 2022, le RN prétendait par ailleurs que « la crise de l’énergie qui vient, la crise alimentaire qui menace sont directement liées aux modalités contre-productives du “Green Deal” imposé par l’Union européenne ».

https://basta.media/Reduire-pesticides-taxer-importations-polluantes-Jordan-Bardella-s-y-oppose-election-europeenne

Plus d’énergies renouvelables : le RN est contre

Le RN (et l’élu Reconquête) vote contre en bloc. Les Républicains s’abstiennent en grande majorité. Renaissance, LREM, Modem, socialistes, Place publique, LFI et les Verts votent pour.

Préserver la biodiversité : RN et LR contre

Le RN vote contre, ainsi que Nicolas Bay pour Reconquête et deux des quatre eurodéputés d’extrême droite indépendants. La gauche (Les Verts, LFI, les élu·es socialistes/Place publique) et la droite libérale (LREM et Modem) ont voté pour.

Nouveaux OGM : le RN, LR et Renaissance sont pour

LFI, les Verts, et les socialistes/Place publique ont voté contre. Le RN a voté pour.

Pesticides : Le RN ne voit pas le danger

En novembre 2023, le Parlement européen s’est prononcé sur un plan de réduction des pesticides. La réglementation prévoyant une baisse de moitié de l’usage des pesticides d’ici à 2030 a été catégoriquement rejetée, à 299 voix contre, 216 pour et 121 abstentions. Cette décision a été déplorée par les groupes de protection de l’environnement, mais saluée par les grands groupements d’agriculteurs.

Cette réduction des pesticides était un des éléments centraux du Pacte vert et de son pendant agricole, le programme « De la ferme à la fourchette ». Les Verts ont voté contre, car le texte final a, selon eux, perdu de son sens à cause de multiples amendements inspirés par l’agrobusiness. L’ONG bruxelloise Corporate Europe Observatory avait dénoncé l’affaiblissement du texte en amont du vote : « La campagne du lobby industriel et de ses alliés politiques contre la loi sur la réduction des pesticides est aussi irresponsable et scandaleuse que de mettre en doute la fumée du tabac ou de nier purement et simplement le changement climatique. »

Le RN, lui, s’opposait à l’objectif de la réduction de l’usage des pesticides, disant qu’il s’agissait de créer un « marché agricole soviétique », et s’en prenait aux « lobbys écologiques » qui n’auraient « pas de preuves scientifiques derrière ce qu’ils proposent ». Là encore, ce discours se fait au mépris des nombreuses informations dont le public dispose sur le sujet et des associations des victimes de pesticides, frappées par des cancers ou d’autres pathologies.

Ici, les groupes de gauche et le RN ont pu voter la même chose, mais pas avec les mêmes motivations. LR a voté pour. Dans le groupe Renaissance et apparentés, il y a eu quelques pour, des contre et des abstentions.

Taxe carbone aux frontières : le RN s’abstient

C’est un sujet crucial pour l’Union européenne et ses États membres. Les produits importés de pays où les conditions sociales et environnementales sont mauvaises, notamment la Chine, ne sont actuellement pas pénalisés. Avec cette « taxe carbone », il s’agit de faire payer le prix des émissions polluantes à ces produits importés.

Ceux-ci seront bientôt soumis à un prélèvement obligatoire s’ils n’ont pas été conçus dans les mêmes conditions environnementales que ceux fabriqués par leurs concurrents européens. L’objectif est donc aussi de limiter la concurrence déloyale face à des entreprises qui ne respectent pas les mêmes critères environnementaux que celles basées en Europe.

Le Parlement a adopté cette taxe carbone aux frontières par 487 voix pour, 81 contre et 75 abstentions.

Lutte contre la criminalité environnementale: le RN vote pour

Sur quelques sujets, le RN vote en faveur de mesures environnementales, mais parfois en oppositions avec ses alliés européens d’extrême droite. C’est le cas de la lutte contre la criminalité environnementale. En février dernier, le Parlement adopte à une majorité écrasante, un accord final sur la directive relative à la criminalité environnementale.

Cette directive définit une liste augmentée d’infractions environnementales – commerce illégal du bois, épuisement des ressources en eau, pollution généralisée de l’air, de l’eau et du sol, incendies de forêt… – et propose des sanctions pénales pour protéger plus efficacement l’environnement. Pour la première fois en Europe, ce texte pose aussi les bases d’une reconnaissance de la notion d’écocide.

C’est une victoire importante pour les écologistes.

La droite et l’extrême droite au service des plus gros pollueurs

https://www.alternatives-economiques.fr/anne-bringault/a-profite-greenbashing/00110966?utm_source=emailing&utm_medium=email&utm_content=29042024&utm_campaign=quotidienne

Alors que les impacts dramatiques du changement climatique n’ont jamais été aussi visibles avec des records de chaleur, des sécheresses sévères ou des inondations à répétition, les attaques contre la protection de l’environnement sont devenues de plus en plus violentes.

Les mesures environnementales seraient responsables de la détresse des agriculteurs, de la baisse du pouvoir d’achat ou encore attenteraient à nos libertés. Si l’extrême droite et une partie de la droite traditionnelle développent un discours populiste s’appuyant sur ce greenbashing, des membres du gouvernement ne sont pas en reste, évoquant des « écoterroristes » ou « une écologie de la brutalité ».

Avec une visée électoraliste de court terme, ces partis sont prêts à courir après les arguments de l’extrême droite et à jeter l’opprobre sur la protection du climat et de l’environnement.

Les seuls qui ont un intérêt à freiner la transition écologique, ce sont les acteurs économiques des activités polluantes ou émettrices d’aujourd’hui qui souhaitent retarder les transformations pourtant indispensables.

Les partis politiques qui instrumentalisent ces freins, loin de défendre l’intérêt général, voudraient simplement réduire les élections européennes à un duel entre l’extrême droite et les défenseurs d’une politique libérale, mettant volontairement de côté les enjeux environnementaux.

L’extrême droite alimente un greenbashing latent pour détourner l’attention des politiques environnementales et déplacer le débat sur son propre terrain : la sécurité, l’immigration.

Chlordécone : l’Assemblée nationale reconnaît symboliquement la responsabilité de l’État dans l’empoisonnement des Antilles


Malgré les réticences de la majorité présidentielle, les députés ont largement voté en faveur de la proposition de loi défendue par Elie Califer, jeudi 29 février. Le texte, qui devra désormais passer devant le Sénat, reconnaît le rôle de l’État dans les préjudices sanitaires, environnementaux et économiques subis en Guadeloupe et en Martinique, où le pesticide a été autorisé jusqu’en 1993. Mais sa portée reste très limitée.

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« Ils votent contre leurs adhérents » : quand la FNSEA refuse de faciliter la prise en charge de certains agriculteurs malades des pesticides


Dans cet extrait de « Complément d’enquête », des documents inédits révèlent les positions de la FNSEA lorsqu’il s’agit d’établir les critères de reconnaissance des maladies professionnelles liées à l’usage des pesticides. Les agriculteurs sont pourtant une profession à risque…

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Pesticides : l’indicateur contesté par les agriculteurs est abandonné


Gabriel Attal a annoncé ce mercredi le remplacement du Nodu franco-français par l’indicateur européen HRI1 pour mesurer l’utilisation des pesticides dans le cadre du plan Ecophyto 2030. Une demande des syndicats agricoles que combattaient les organisations de défense de l’environnement.

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Crise agricole : Attal multiplie les « engagements » pour lever les doutes avant le Salon de l’agriculture

Pesticides : des associations de riverains dénoncent la mise en pause du plan Ecophyto par le gouvernement


Ces six organisations regrettent le manque de « transparence » et d’informations sur les produits épandus.

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Suspension du plan Écophyto : les agriculteurs bio des Hauts-de-France en route vers Paris pour dénoncer « un affront » à la profession


L’extravagante Mme Thevenot

« Nous riverains, victimes collatérales de la suspension du plan Ecophyto 


« Nous soutenons les paysans qui veulent vivre dignement mais exigeons la fin des pesticides qui les font mourir ainsi que nos enfants », défendent des associations de victimes des pesticides après la suspension annoncée du plan Ecophyto.

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Crise agricole : vers un recul écologique et social orchestré par la FNSEA et l’agrobusiness ?


Les premières mesures annoncées par le gouvernement pour tenter de répondre à la colère des agricultrices et agriculteurs ciblent l’écologie, comme le demande la FNSEA. Sans apporter de réponse pour une juste rémunération.

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POSITION ET APPEL DES SOULÈVEMENTS DE LA TERRE SUR LE MOUVEMENT AGRICOLE EN COURS


En France et à Bruxelles, le double langage de la FNSEA


Peut-on être écolo et pro-européen ?


Nitrates: quand les services de l’Etat laissent couler

Pourquoi tant d’agriculteurs en colère dans les rues ?


Les raisons de la colère. Depuis des mois, les agriculteurs européens manifestent leur mécontentement. En France, la mobilisation a conduit le gouvernement à reporter la présentation de son projet de loi sur l’installation de nouveaux exploitants agricoles. Qu’est-ce qui ne tourne pas rond ? Explications.

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À la ramasse écologique : les pires absurdités de 2023


L’avion à fond, de la pêche dans les aires protégées et des JO plein de plastique… Alors que s’accentue l’urgence climatique, Reporterre distingue ceux qui se sont fait remarquer pour leurs positions anti-écologiques.

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Pesticides : une commission d’enquête dresse le bilan d’une « décennie presque perdue »


Ouverte en juin dernier, la commission d’enquête sur l’échec des plans Écophyto de réduction des pesticides a rendu ses conclusions. Celles-ci montrent un manque de coordination interministérielle dans la mise en œuvre des mesures requises.

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France télévisions supprime son média écolo Nowu pour faire de la place aux Jeux olympiques

On continue de sacrifier les zones rurales


MINE DE LITHIUM DANS L’ALLIER : LE RAPPORT QUI DÉVOILE UNE BOMBE TOXIQUE


Le combat d’un village contre le « sabotage de la planète » 

Une centaine d’ONG demandent aux banques de ne plus soutenir un projet gazier géant de TotalEnergies au Mozambique


Un groupe de 124 ONG a écrit vendredi une lettre ouverte à 28 institutions financières, dont des banques européennes, japonaises et sud-africaines, en leur demandant « instamment de (se) retirer » du projet gazier géant de TotalEnergies au nord du Mozambique.

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Ouganda : Les protestations contre le projet d’oléoduc sont réprimées


Les défenseurs des droits environnementaux font face au harcèlement, aux menaces et aux arrestations arbitraires.

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ÉCOCIDES ET PARADIS FISCAUX : RÉVÉLATIONS SUR LES DÉRIVES DU SOUTIEN EUROPÉEN À L’INDUSTRIE MINIÈRE


Pour développer l’industrie des batteries électriques ou des éoliennes, l’Union européenne finance des entreprises minières au travers du programme Horizon. Une partie de ces fonds profite à des sociétés impliquées dans des catastrophes environnementales, voire, pour l’une d’entre elles, domiciliée dans un paradis fiscal.

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Peut-on enfouir des déchets nucléaires pour toujours sans nuire aux générations futures ? La question à 100 000 ans posée au Conseil constitutionnel


Avis de déchets. Le Conseil constitutionnel a été saisi par soixantes réquérant·es, dont de nombreuses associations, qui estiment que le sort des prochaines générations n’est pas suffisamment pris en compte dans le projet d’enfouissement des déchets radioactifs prévu à Bure (Meuse) – une grande première. Vert a assisté à l’audience, qui s’est tenue ce mardi.

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Prolongement de l’autorisation du glyphosate dans l’UE : la France rétropédale


Ce vendredi 13 octobre, Paris s’est abstenu lors du vote des Etats sur la proposition de la Commission de reconduire pour dix ans l’autorisation de cet herbicide controversé. Il s’agit d’un recul car en 2017, la France s’était opposée à un prolongement pour cinq ans. Un nouveau vote devrait avoir lieu en novembre.

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