Communiqués

Hawa et ses amis, enfants des rues de Paris


DES FAMILLES EXILÉES SURVIVENT SOUS UN TUNNEL/StreetPress



Une centaine de migrants en errance vivent depuis plus d’un mois sous un tunnel enclavé entre le 19e arrondissement de Paris et le 93. Parmi eux, Hawa et plusieurs autres jeunes enfants.

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LES ENFANTS OUBLIÉS

EN SYRIE, 27 000 ENFANTS SONT RETENUS PRISONNIERS DANS L’ENFER DU CAMP D’AL-HOL



Des dizaines de milliers d’enfants syriens, irakiens et ressortissants de près de 60 pays tiers sont piégés dans l’enfer du camp d’Al-Hol, le plus grand des deux principaux camps du nord-est de la Syrie, une zone contrôlée par l’administration autonome kurde. Après avoir survécu à la guerre en Syrie, ils sont abandonnés à la misère, l’insécurité et la violence. 

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Afghanistan : le système de santé en passe de s’effondrer



En Afghanistan, trois millions d’enfants font face à une malnutrition aiguë, alors que les fonds de la Banque centrale afghane sont gelés depuis la prise de pouvoir des talibans, mi-août. Les hôpitaux locaux sont désormais incapables de fonctionner.

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Journée internationale des droits de l’enfant


Aide sociale à l’enfance: ce que préconisent les enfants placés



Plusieurs enfants ont dit se sentir rejetés par leur famille d’accueil, qui refuse de les emmener en vacances, les confine dans leur chambre le soir, les humilie…

ENFANCE – Pouvoir partir en vacances avec sa famille d’accueil, avoir accès à des sorties culturelles… ou un éducateur qui s’autorise des sentiments “d’attachement”: dans un rapport remis samedi au gouvernement, plus d’un millier d’enfants placés suggèrent des pistes d’amélioration de leur quotidien.

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Communiqués de la LDH

Au Liban, la ligne de prévention du suicide croule sous les demandes : « On reçoit des appels d’enfants »


Des opératrices reçoivent des appels sur la ligne de vie d’Embrace à Beyrouth (Liban), le 27 octobre 2021. (PIERRE-LOUIS CARON / FRANCEINFO)


En raison de la crise économique qui frappe le pays, de nombreux Libanais souffrent de dépression mais aussi de stress post-traumatique. En un an, le nombre d’appels reçus par la ligne d’assistance téléphonique 1564 a triplé. 

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Prostitution : des mineures recrutées dès le collège via les réseaux sociaux, le phénomène prend de l’ampleur


« Tout peut se passer derrière un écran », alerte une mineure victime d’un proxénète. (illustration. (MATTHIEU BONHOURE / FRANCEINFO)


Les associations estiment à environ 10 000 le nombre de mineurs victimes de proxénétisme en France, en grande majorité des filles âgées d’une quinzaine d’années.

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Faire avancer les droits des femmes c’est aussi participer à la protection de l’enfance

A l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, il est important de rappeler que 60 % des enfants co-victimes non pris en charge développeront des conséquences psycho traumatiques graves et durables sur leur santé physique et psychique.

Toute violence conjugale est une violence faite aux enfants

La loi protège les victimes de violences conjugales et leurs enfants.

« L’humanité doit donner à l’enfant ce qu’elle a de meilleur » (Déclaration de Genève sur les Droits de l’Enfant, 1924) . »L’enfant n’est pas seulement témoin des violences conjugales, il en est victime: ce qui se joue dans le conjugal, l’emprise et la violence, se joue aussi dans le parental ».

En France, environ 143 000 enfants vivent dans un foyer où une femme a déclaré des formes de violences physiques et / ou sexuelles (90% des victimes déclarées sont des femmes).

Ils seraient encore plus nombreux si on tenait compte des violences psychologiques et / ou verbales ainsi que des violences restant sous–déclarées par les victimes (femmes/hommes).

On estimerait le nombre d’enfants exposés aux violences conjugales en France à 4 millions. 

En vertu de la Convention Internationale relative aux Droits de l’Enfant (CIDE) : 
«Un enfant s’entend de tout être humain âgé de moins de dix-huit ans, sauf si la majorité est atteinte plus tôt en vertu de la législation qui lui est applicable». 
Ainsi, il est reconnu que l’enfant doit grandir dans un milieu familial, dans un climat de bonheur, d’amour et de compréhension pour l’épanouissement harmonieux de sa personnalité.

La Convention Internationale des Droits de l’Enfant a 32 ans

C’est un texte de 54 articles, adopté par les Nations Unies le 20 novembre 1989 qui affirme qu’un enfant n’est pas seulement un être fragile qu’il faut protéger mais que c’est une personne qui a le droit d’être éduquée, soignée, protégée, le droit de s’amuser, d’apprendre et de s’exprimer, quel que soit l’endroit du monde où il est né.

Cette convention a été ratifiée par 191 pays sur 193. Seuls la Somalie et les États Unis ont refusé de s’engager.

Un texte très important, mais pas suffisant : il reste beaucoup à faire pour faire des droits des enfants une réalité. Les droits ne sont réels que dans la mesure où ils sont mis en pratique, pour les enfants comme pour tous. Promouvoir les droits des enfants, c’est tout d’abord créer les conditions sociales, économiques et culturelles afin que tous puissent y accéder. C’est à ce prix que les droits de l’enfant seront véritablement respectés.

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En France…

  • Un million d’enfants pauvres
  • 19.000 enfants maltraités
  • 76.000 sont en danger dans un contexte familial dégradé et qui menace leur développement éducatif et/ou matériel
  • 240.000 enfants placés ou pris en charge
  • 85 000 enfants touchés par le saturnisme
  • record des suicides des 15-24 ans.
  • 150 000 filles et garçons quittent chaque année le système scolaire sans aucune perspective
  • 15 000 ne suivent pas leurs cours alors qu’ils sont inscrits au collège ou au lycée et qu’ils n’ont pas encore 16 ans.
  • 15 % des enfants qui arrivent au collège ne comprennent pas ce qu’ils lisent

Même si la France traite globalement bien ses 15 millions de moins de 18 ans, elle « peut mieux faire », comme l’indique le Conseil français des associations pour les droits de l’enfant (Cofrade).

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Dans l’ouest afghan, des familles vendent leurs fillettes pour ne pas mourir de faim


Les fillettes Farishteh, 6 ans, (d) et Shokriya (2e) un an et demi, avec leurs parents et leur frère, sous une tente du camp de déplacés de Qala-i-Naw, le 14 octobre 2021 en Afghanistan – Hoshang Hashimi (AFP)


Quand son mari a dit à Fahima qu’ils allaient devoir vendre leurs deux petites filles pour que la famille ne meure pas de faim, après avoir été déplacée par la sécheresse dans l’ouest de l’Afghanistan, elle a « beaucoup pleuré ».

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Covid-19 : les établissements scolaires pourraient bientôt connaître le statut vaccinal des élèves


AFP


Dans le cadre des débats sur le nouveau projet de loi de « vigilance sanitaire », le gouvernement a proposé un amendement permettant aux chefs d’établissements scolaires de savoir si un élève est vacciné ou non, ainsi que le résultat de son test PCR. Un texte qui questionne le secret médical.

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« Pourquoi ne pouvons-nous aller à l’école ? » Les rêves brisés des lycéennes afghanes


Amena, lycéenne privée de cours, à Kaboul, le 14 octobre 2021
afp.com/BULENT KILIC


Kaboul – Le lycée d’Amena, une adolescente afghane à Kaboul, a été attaqué à la bombe en mai, des dizaines de ses camarades sont mortes mais cela ne l’avait pas dissuadée de poursuivre ses études.

Aujourd’hui, comme la plupart des élèves du secondaire dans le pays, les talibans lui interdisent de retourner en cours.

« Je voulais étudier, voir mes amis et bâtir mon avenir, mais maintenant je n’y ai plus droit », se lamente cette jeune fille de seize ans, rencontrée par l’AFP à son domicile dans l’Ouest de Kaboul.

« Depuis l’arrivée des talibans, je suis triste et en colère », dit-elle.

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La marionnette Amal, une scène de 8000 km


Amal• Crédits : Good Chance Theater


La marionnette Amal, 9 ans, jeune réfugiée syrienne, traverse 8000 km de Gaziantep à Manchester, pour changer la narration sur l’exil forcé. « The Walk » est un projet du Good Chance Theater, né dans la Jungle à Calais.

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Reconnaissance de minorité : à Bordeaux, la préfecture propose le retour volontaire à des jeunes en recours


Photo d’archive, prise lors d’un reportage dans le squat de la « Zone Libre » à Cenon en banlieue de Bordeaux. Crédit : InfoMigrants


15 jeunes hébergés par le 115 après avoir été expulsés du squat Kabako, à Bordeaux, ont été remis à la rue mardi 12 octobre. Ce jour-là, la préfecture leur a proposé de se présenter à un rendez-vous pour entrer dans un dispositif d’aide au retour volontaire. Or, tous ces jeunes sont en recours auprès du juge des enfants. Les associations dénoncent une entrave à l’accès aux droits.

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La même loi pour toutes et tous

Secret de la confession : le président de la Conférence des évêques de France « invité » au ministère de l’intérieur pour s’expliquer sur ses propos


Eric de Moulins-Beaufort a déclaré, après la publication du rapport Sauvé, que le secret de la confession était « plus fort que les lois de la République ». « Il n’y a rien de plus fort que les lois de la République », rétorque le gouvernement.

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Des crimes de guerre et contre l’humanité ont été commis en Libye, selon une enquête de l’ONU


© Ansa | Plus de 350 migrants interceptés par les garde-côtes libyens dans un centre de détention en Libye, en janvier 2018.


Des crimes de guerre et des crimes contre l’Humanité ont été commis en Libye, y compris l’utilisation d’enfants soldats, selon un rapport d’enquête d’experts de l’ONU qui se sont rendus sur place.

Les civils ont payé un lourd tribut durant les hostilités de ces cinq dernières années, souligne les experts onusiens. Des raids aériens ont tué des dizaines de familles, les infrastructures de santé ont été détruites, empêchant l’accès aux soins et les mines antipersonnel laissées par des mercenaires dans les quartiers résidentiels ont tué et blessé de nombreux civils.

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En Russie, l’accès au traitement de la douleur est presque impossible


LIDIA MONIAVA ET SON FILS ADOPTIF KOLYA À MOSCOU. PHOTOS : ALEXANDER ZEMLIANICHENKO JR.

Lidia Moniava s’est donné pour mission d’aider les enfants malades et d’humaniser les soins de santé dans un pays où les préjugés sont profondément ancrés.

En Russie, des centaines de milliers de patients souffrant de graves problèmes de santé se voient refuser l’accès à un traitement antidouleur adéquat. Cette situation est en partie due à une sévère répression des drogues, à une bureaucratie trop lente et à des préjugés profondément ancrés à l’égard de la douleur et de sa gestion. 

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Paris : à « l’école des sans école », les mineurs non reconnus retrouvent le chemin de la scolarité


Sylvie apprend aux jeunes à lire et écrire. Crédit : InfoMigrants


L’association Droit à l’école dispense chaque jour, du lundi au samedi matin, des cours à des mineurs isolés étrangers déboutés de leur minorité et en attente de leur recours auprès du juge des enfants. « L’école des sans école » est une bouffée d’oxygène pour ces jeunes qui ont passé des mois sur la route de l’exil, mais aussi un tremplin avant d’intégrer un cursus de l’Éducation nationale. Reportage.

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