Partager la publication "Guerre en Ukraine : au moins trois personnes sont mortes, dont un enfant, dans une frappe russe sur une aire de jeux à Mykolaïv"
L’utilisation par Israël de la Directive Hannibal a fait de nombreux morts le 7 octobre, y compris des civils israéliens
Selon le quotidien israélien Haaretz les Forces de défense israéliennes (FDI) ont émis la Directive Hannibal qui ordonne l’usage de la force pour empêcher que des soldats soient pris en captivité dans trois installations de l’armée infiltrées par le Hamas le 7 octobre. Ces ordres ont été appliqués aux bâtiments où l’on savait des otages détenus. D’autres ordres ont été donnés pour tirer sur des bâtiments civils et des zones ouvertes.
Partager la publication "Guerre à Gaza: des dizaines de morts dans trois bombardements israéliens, dont un contre une école"
Une nouvelle frappe sur une école abritant des personnes déplacées a fait 15 morts, l’armée israélienne assurant avoir ciblé des « terroristes ». L’attaque a visé une école gérée par l’Unrwa, l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens, dans le camp de réfugiés de Nousseirat, cible de deux récentes frappes israéliennes. Cette frappe est la cinquième sur une école abritant des déplacés par la guerre en huit jours.
«Ce qui se passe à Gaza a été calculé et déterminé par Israël», dit une rapporteuse de l’ONU
Alors que cette semaine l’armée israélienne a lancé une nouvelle opération d’envergure sur la ville de Gaza, dix experts indépendants des Nations unies ont accusé Israël de « mener une campagne de famine ciblée à Gaza ». Francesca Albanese, rapporteuse spéciale de l’ONU sur la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens, est l’une des autrices de ce compte rendu. Elle a répondu aux questions de RFI.
Partager la publication "15 morts dans une nouvelle frappe sur une école à Gaza"
Le G7 condamne l’annonce du gouvernement israélien de légaliser cinq avant-postes de colonies en Cisjordanie occupée
Les ministres des Affaires étrangères du G7 ont condamné ce jeudi 11 juillet l’annonce par le gouvernement israélien de son intention de légaliser cinq avant-postes de colonies et de saisir 1270 hectares de terres en Cisjordanie occupée.
Dans un communiqué transmis par la présidence italienne du « Groupe des 7 », ils condamnent également « la décision d’étendre les colonies existantes en Cisjordanie occupée en autorisant 5295 nouvelles unités de logement et trois nouvelles colonies ».
Au moins 29 Palestiniens ont été tués mardi 9 juillet dans une frappe contre une école abritant des déplacés dans le sud de Gaza. C’est ce qu’a indiqué le mouvement palestinien Hamas en accusant Israël, au moment où les troupes israéliennes sont engagées dans une offensive majeure dans le nord du territoire.
À Gaza, la veste « presse » peut faire courir un danger de mort
Depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas à Gaza, plus de cent journalistes, essentiellement palestiniens, ont été tués, faisant de ce conflit un des plus meurtriers pour la presse.
Une situation qui vaut régulièrement à l’armée israélienne d’être accusée de cibler délibérément les journalistes présents dans l’enclave palestinienne, pour les faire taire.
Un consortium de médias internationaux, 50 journalistes représentant 13 organisations, a enquêté sous l’égide de Forbidden Stories, réseau international spécialisé dans l’investigation, pendant quatre mois.
Quarante-cinq personnes ont été blessées, dit l’organisation, qui dénonce des tirs de « gros calibre » près de cette structure entourée de « centaines de civils déplacés vivant dans des tentes ».
Après huit mois de conflit dans la bande de Gaza, le traumatisme psychologique de la guerre « est ancré dans l’ADN des Palestiniens »
ONG et soignants opérant dans les territoires palestiniens alertent sur les conséquences d’un « traumatisme collectif », qui affectera même les générations futures.
Depuis le début du mois de juin, plus de 800 personnes ont été tuées et 2 400 autres blessées par l’armée israélienne, selon le ministère de la santé à Gaza. L’offensive militaire menée par Israël a entraîné plusieurs afflux massifs de blessés dans les structures médicales soutenues par MSF à Rafah et dans le centre de la bande de Gaza.
« Spécialement dédié aux enfants », escale à Brest pour un navire humanitaire en route pour Gaza
Après la manifestation, un repas tiré du sac permettra aux manifestant(e)s de se restaurer dans le partage avant de rejoindre le rassemblement contre l’extrême-droite à 13 h 30 place Jean-Jaurès.
Partager la publication "Gaza : « Des enfants trop jeunes pour marcher sont démembrés, éviscérés et tués par l’armée israélienne, c’est la réalité de cette guerre »"
Selon les enquêteurs onusiens, les autorités israéliennes et « la branche militaire du Hamas et six autres groupes armés palestiniens » sont « responsables » de « crimes de guerre ».
3000 enfants risquent de « mourir sous les yeux de leurs familles »
Les déplacements, les attaques contre les services de santé et les difficultés d’accès à l’aide humanitaire aggravent la situation nutritionnelle déjà désespérée des enfants de Gaza.
Près de 3 000 enfants sont privés de traitement contre la malnutrition aiguë, modérée et sévère dans le sud de la bande de Gaza, ce qui les expose à un danger de mort, tandis que la violence et les déplacements continuent de nuire à l’accès des familles désespérées aux établissements de soins et aux services de santé.
Des frappes israéliennes ont touché un camp de réfugiés dans la bande de Gaza après une attaque meurtrière contre une école gérée par l’ONU. La guerre déclenchée par Israël après l’attaque du Hamas le 7 octobre est entrée dans son neuvième mois.
«Il y a une violation massive du droit international mis en place après la Seconde Guerre mondiale»
Alors que le président américain Joe Biden est en France pour participer aux commémorations du Débarquement en Normandie aux côtés du président Emmanuel Macron, Amnesty International France et États-Unis appellent dans un communiqué les deux présidents à respecter les normes internationales mises en place au lendemain de la Seconde Guerre mondiale et à stopper les ventes d’armes vers Israël. Entretien avec Jean-Claude Samouiller, président d’Amnesty International France.
Ce que l’on sait du centre de détention de Sde Teiman, décrit comme « pire que Guantanamo »
Située dans le désert du Néguev, cette base militaire israélienne a été transformée après l’attaque du 7 octobre en un camp d’internement pour les Palestiniens capturés par Tsahal.
« Personne ne peut entrer. Et personne n’a d’informations sur ce qui se passe au quotidien là-bas », affirme Naji Abbas, chargé de mission de l’ONG israélienne Physicians for Human Rights, à franceinfo. Dans le désert du Néguev, plusieurs Palestiniens arrêtés dans la bande de Gaza sont détenus dans le camp militaire israélien de Sde Teiman. Une enquête publiée par la chaîne américaine CNN en mai a confirmé des conditions de détention s’apparentant à de la torture. Prisonniers menottés pendant des heures, d’autres attachés sur des lits médicalisés… Plusieurs associations de défense des droits de l’homme ont depuis réclamé la fermeture de ce centre de détention secret devant la Cour suprême d’Israël. On vous résume ce que l’on sait de ce camp décrit comme « pire que Guantanamo », selon Naji Abbas.
Partager la publication "Bombardements israéliens à Gaza, la guerre entre dans son neuvième mois"
L’armée israélienne a annoncé ce jeudi 6 juin au matin avoir pris pour cible un établissement de l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens qui servait selon elle de «base» au mouvement islamiste.
L’armée israélienne a revendiqué tôt ce jeudi 6 juin une frappe aérienne contre une école de l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) dans la bande de Gaza, abritant selon elle «une base du Hamas». L’attaque a fait au moins 37 morts, selon un hôpital gazaoui. L’armée israélienne, elle, a fait état de «plusieurs terroristes tués». «Des avions de combat de l’armée […] ont mené une frappe précise sur une base du Hamas placée à l’intérieur d’une école de l’Unrwa dans la région de Nousseirat», a-t-elle précisé dans un communiqué.
Une marche nationaliste israélienne ravive les tensions à Jérusalem
Des dizaines de milliers de juifs israéliens se sont rassemblés mercredi soir devant le mur des Lamentations à l’issue d’une marche nationaliste dans la partie occupée et annexée de Jérusalem, sur fond de tensions exacerbées par la guerre à Gaza.
Les organisations, membre du Collectif Aubois pour la Paix, condamnent toutes les atteintes à la liberté d’expression des ces derniers mois qui ont utilisé le faux prétexte de l’antisémitisme ou de l’apologie du terrorisme pour justifier des interdictions de manifestation voire de réunions, mais également pour engager des poursuites judiciaires, des convocations voire des condamnations.
Ces mesures répressives visent à intimider les militants pour les museler.
Dans la continuité des déclarations du Président de la Ligue des Droits de l’Homme, les organisations du Collectif Aubois pour la Paix exigent :
– Le plein rétablissement du droit de manifester et de se réunir,
– L’abandon de toutes les procédures policières voire judiciaires en cours.
Les organisations membres du Collectif Aubois pour la Paix demandent l’abandon de toutes les procédures à l’encontre de tous les militants associatifs, politique et syndicaux.
Partager la publication "Frappe israélienne à Gaza sur une école de l’Unrwa : nouveau bilan de 37 morts, selon un hôpital de l’enclave palestinienne"
Kiev doit faire face à de plus en plus de cyberattaques russes, notamment contre les médias ou les enfants, via le téléchargement de jeux vidéo suspects. Une guerre devenue presque aussi cruciale que celle dans les tranchées.
Tuée au front, Iryna Tsybukh, infirmière de combat et symbole d’une génération prête à mourir pour l’Ukraine
Avec la disparition d’Iryna Tsybukh, infirmière de combat de l’organisation de secours des Hospitaliers, l’Ukraine perd une nouvelle fois l’une des voix puissantes d’une génération née après l’indépendance du pays. Âgée de 25 ans, sa disparition a suscité l’émoi à travers le pays.
Il y a quelques jours, l’infirmière de combat Iryna Tsybukh, bien connue et très appréciée des Ukrainiens, partageait sur ses réseaux sociaux sa joie à l’approche de son anniversaire, qu’elle s’apprêtait à fêter le 1ᵉʳ juin : « Je suis fière d’être arrivée à vivre jusqu’à mes 26 ans », déclarait-elle. Ce fut son dernier partage, quelques jours avant sa mort.
Partager la publication "« Il faut avoir zéro confiance envers tout » : comment l’Ukraine tente de lutter contre la désinformation venue de Russie"
Des munitions à explosion aérienne ont été utilisées illégalement dans des zones peuplées.
L’utilisation généralisée par Israël de munitions au phosphore blanc dans le sud du Liban y met les civils en danger et mène au déplacement d’habitants, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. Human Rights Watch a vérifié l’utilisation de munitions au phosphore blanc par les forces israéliennes dans au moins 17 municipalités du sud du Liban depuis octobre 2023, dont cinq municipalités où des munitions à explosion aérienne ont été utilisées illégalement au-dessus de zones résidentielles peuplées.
Partager la publication "Liban : L’utilisation par Israël de munitions au phosphore blanc met en danger les civils"
Étudiant·e·s en journalisme, nous réclamons un traitement médiatique à la hauteur des enjeux du conflit israélo-palestinien. Depuis des mois, nous observons avec effroi, dans ces médias où nous travaillerons plus tard, des fautes déontologiques graves qui participent à la déshumanisation du peuple palestinien et à la normalisation de crimes de guerre.
Peut-on prétendre couvrir sérieusement ce conflit en passant sous silence les bombardements continus de civils, participant à leur invisibilisation ?
Des bombardements aériens et des tirs d’artillerie ont visé mardi la bande de Gaza du nord au sud, où Israël poursuit sans répit son offensive contre le Hamas après l’annonce de la mort de quatre otages tués dans le territoire palestinien.
Malgré les appels au cessez-le-feu venus du monde entier, les exigences contradictoires des deux camps semblent vouer à l’échec un plan présenté vendredi par le président américain, Joe Biden, après bientôt huit mois de guerre.
Près d’un mois après le début d’une offensive terrestre sur Rafah, une ville frontalière avec l’Egypte dans le sud du territoire, présentée par Israël comme l’étape finale de sa guerre contre le Hamas, les combats ont repris à travers la bande de Gaza.
La trêve à Gaza au Conseil de sécurité de l’ONU, incendies en Israël… L’actu du conflit au Proche-Orient
Les Etats-Unis ont annoncé lundi soir un projet de résolution du Conseil de sécurité des Nations unies pour soutenir l’accord de cessez-le-feu dans la bande de Gaza présenté par le président Joe Biden le 31 mai. «De nombreux dirigeants et gouvernements, y compris dans la région, ont appuyé ce plan et nous appelons le Conseil de sécurité à se joindre à eux pour appeler à [sa] mise en œuvre sans délai et sans nouvelles conditions», a déclaré l’ambassadrice américaine à l’ONU, Linda Thomas-Greenfield. Le projet de texte note qu’une application «rapide» de l’accord permettrait «un cessez-le-feu, le retrait des forces israéliennes des zones peuplées de Gaza, la libération des otages, une augmentation de l’aide humanitaire, le rétablissement des services de base et le retour des civils palestiniens dans le nord de Gaza». Il soutient aussi la solution à deux Etats. Lundi, les pays du G7 ont par ailleurs annoncé soutenir ce plan de cessez-le-feu, et demandé au Hamas de l’accepter.
Partager la publication "Israël bombarde la bande de Gaza du nord au sud"