Le projet de texte exigeait « un cessez-le-feu immédiat, inconditionnel et permanent qui doit être respecté par toutes les parties » et « la libération immédiate et inconditionnelle de tous les otages ».
Quand des Juifs Israéliens s’engagent pour les Palestiniens : portraits croisés d’une minorité invisibilisée
Ils ont entre 15 et 58 ans et participent à des actions en soutien aux Palestiniens « victimes de violences des colons, de l’armée israélienne dans les territoires occupés, et de bombardements dans la bande de Gaza ». En Israël, ils prennent part aux manifestations organisées chaque samedi, ainsi qu’à d’autres événements plus ponctuels pour exprimer leur opposition à la politique « génocidaire » de Benyamin Netanyahou. Pour Blast, six Israéliens ont accepté de partager leurs parcours et convictions sans filtre.
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Liban : escalade des violences à l’encontre des enfants
Alors que plus de 200 enfants ont été tués au Liban en moins de deux mois, un schéma déconcertant émerge : leur mort se heurte à l’inertie de ceux qui sont en mesure de mettre un terme à cette violence. Pour les enfants du Liban, c’est une normalisation silencieuse de l’horreur.
Plusieurs dizaines de personnes ont été tuées, dimanche, par des frappes israéliennes dans la bande de Gaza, ravagée par plus d’un an de guerre entre le Hamas et Israël, qui a mené de nouveaux raids aériens meurtriers au Liban, notamment sur le centre de Beyrouth.
«On ne peut plus supporter cette pression»: au Liban, le village de Joun sous les bombes israéliennes
Au Liban, l’armée israélienne a continué à bombarder la banlieue sud de Beyrouth, fief du Hezbollah, ce mercredi 13 novembre, tandis que le bilan d’une frappe mardi soir sur le village de Joun, à 50 km au sud de la capitale libanaise, s’est alourdi avec au moins une vingtaine de morts, selon plusieurs habitants sur place. Un bâtiment qui abritait des déplacés a été pris pour cible.
Au moins quinze morts dans des raids israéliens à Damas en Syrie
Au moins quinze personnes ont perdu la vie en Syrie dans des frappes israéliennes, a annoncé le ministère de la Défense syrien jeudi 14 novembre. L’État hébreu n’a pas encore commenté ces frappes.
Human Rights Watch accuse Israël de «crime de guerre» et évoque un «nettoyage ethnique» en cours à Gaza
Oliviers détruits, terres souillées pour des années… Au Liban, les bombardements israéliens ravagent vies et environnement
Depuis un an que la guerre sévit au Liban, les bombardements israéliens incessants ont tué près de 3 000 personnes et en ont conduit 1,3 million à l’exil forcé. Outre un lourd bilan humain, cette guerre a saccagé et souillé pour longtemps des espaces naturels et des terres agricoles. Reportage dans la vallée de la Bekaa, à l’est du Liban.
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Francesca Albanese, rapporteuse spéciale des Nations unies sur la situation des droits humains dans les territoires palestiniens, signe un nouveau rapport accablant pour Benjamin Netanyahu et son gouvernement. Nettoyage ethnique, faillite morale de l’État israélien, génocide en cours à Gaza avec risque d’extension du « crime » en Cisjordanie : une analyse décisive et très argumentée à télécharger en intégralité ci-dessous.
Liban: Attaques israéliennes contre des secouristes et structures de santé, des crimes de guerre apparents
Les alliés d’Israël devraient suspendre leurs ventes d’armes à ce pays.
“Les images d’enfants et de familles qui s’échappent des tentes bombardées à Rafah nous bouleversent tous. Depuis plus de sept mois, nous assistons à cette tragédie, qui fait des milliers de morts et de blessés, dont des enfants. Nous appelons à un cessez-le-feu immédiat, à la libération inconditionnelle de tous les otages et à la fin du massacre des enfants.”
Catherine Russell, directrice générale de l’UNICEF
Ce samedi 3 août marquait les 10 ans du génocide de la population yézidie au Sinjar, en Irak. Le 3 août 2014, plus de 1 200 personnes étaient assassinées, dès le premier soir de l’offensive de Daech dans cette province du nord-ouest irakien. Pendant deux semaines, des massacres sont orchestrés. Plus de 5 000 personnes yézidies sont tuées, environ 7 000 femmes et enfants sont enlevés. La province peine encore à s’en relever. Aujourd’hui, près de 200 000 personnes sont de retour, parmi elles, des survivantes. L’une d’elles est rentrée il y a moins d’un an, elle a accepté de raconter les difficultés du retour.
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Après cette quinzaine mouvementée, presque exclusivement consacrée à la France, et en attendant le verdict de demain soir, les doigts croisés, voici quelques nouvelles du monde.
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Iran: la fin des pendaisons en séries et la liberté pour les femmes ?
Bénin-Niger, Mauritanie, Joe Biden, Royaume-Uni… L’actualité vue par les éditorialistes africains
Au sommaire : Le dialogue a repris entre le Bénin et le Niger. Va-t-on vers une normalisation des relations entre les deux pays ? En Mauritanie, retour sur la réélection du président sortant Mohamed Ould Ghazouani. Aux États-Unis, après la prestation ratée de Joe Biden face à son concurrent Donald Trump, ils sont de plus en plus nombreux à demander un retrait du président de la course à la Maison Blanche. Un remplacement est-il réellement envisageable ?
Éthiopie : L’armée attaque le système de santé lors du conflit dans l’Amhara
Les autorités devraient protéger les personnels soignants et les patients, et s’assurer que les forces ayant commis des abus soient tenues responsables.
Au printemps 1994, plus de 800 000 Tutsis ont été massacrés au Rwanda. La France le savait et a laissé faire… Elle a aussi accueilli de nombreux responsables du génocide. Depuis plus de 20 ans, le couple franco-rwandais formé par Alain et Dafroza Gauthier lutte pour faire juger les responsables et reconnaître le rôle de la France dans ce génocide. À l’occasion de la commémoration des 30 ans du génocide, Alain Gauthier dresse le bilan de plus de vingt ans d’action pour la justice. Le combat des Gauthier est le sujet d’une bande dessinée parue aux éditions Steinkis et d’un documentaire télévisé et tous deux intitulés : « Rwanda, à la poursuite des génocidaires ». Rencontre avec Alain Gauthier afin d’évoquer avec lui le combat d’une vie.
En Tunisie, Kaïs Saïed organise sa présidentielle sans opposant
Même s’il n’a pas encore annoncé sa candidature, le chef de l’Etat multiplie les arrestations et les poursuites judiciaires contre les leaders des partis politiques d’opposition.
« C’est le prix de nos vies » : après neuf mois de guerre dans la bande de Gaza, les cagnottes en ligne comme « ultime échappatoire » pour fuir
Pour les civils palestiniens qui ne sont pas en mesure de s’acquitter des montants exorbitants demandés pour traverser la frontière avec l’Egypte, le financement participatif s’impose comme la seule alternative pour un exil forcé.
Ukraine : les soldats russes paient cher la stratégie de la « chair à canon » du Kremlin
Si l’armée russe réussit actuellement à progresser en l’Ukraine, c’est au prix de pertes sans précédent depuis le début du déclenchement de la grande offensive en 2022. La raison : Moscou a intensifié son recours à la stratégie « de la chair à canon », qui consiste à mettre constamment sous pression les défenses ukrainiennes en envoyant à l’assaut des vagues successives de soldats peu entraînés.
Ils ont avancé de quelques centaines de mètres au nord d’Avdiïvka ces derniers jours. Pareil dans les environs de Bakhmout. Les forces russes ont même pris une partie du village de Tchassiv Yar, à quelques kilomètres à l’est de Bakhmout, actuellement considéré comme l’un des points les plus chauds du front en Ukraine.
Ukraine : Poutine ferme sur ses exigences avec Orban à Moscou, vives critiques de l’UE
Présidentielle américaine: Joe Biden persiste à défendre sa candidature en interview
Le président américain Joe Biden a continué à défendre son acuité mentale et sa capacité à gouverner le pays pour un second mandat, lors d’une interview vendredi sur la chaîne ABC.
Le président américain Joe Biden toujours sur la corde raide
« C’est un président dans le déni », accuse d’entrée le Wall Street Journal, après l’interview de Joe Biden sur la chaîne ABC, sa première interview télévisée depuis son débat raté contre Donald Trump, la semaine dernière. « Il a minimisé, nié, rejeté les faits », renchérit le New York Times. Interrogé sur sa capacité à mené à bien la course à la Maison Blanche, le président américain a passé une grande partie de l’interview, qui dure 22 minutes, à « résister à une série de questions (…) sur ses compétences, sur l’éventualité de passer un test cognitif, sur sa position dans les sondages », poursuit le New York Times. Mais il n’a pas changé son discours : « Je suis la personne la plus qualifiée pour battre Trump, et je sais comment faire avancer les choses », a-t-il dit, propos repris par le Wall Street Journal qui ajoute : « Bien que son discours ait été pour l’essentiel convaincant, le président a semblé nier la crise qui s’est abattue sur son parti et s’est fermement engagé à rester dans la course. S’il doit quitter le ticket démocrate, il ne le fera apparemment pas de bon gré ».
L’armée israélienne a intensifié ce lundi 6 mai ses bombardements sur deux quartiers de Rafah, qu’elle a enjoint tôt le matin ses habitants à évacuer, dans le sud de la bande de Gaza. Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, avait annoncé depuis des semaines une offensive prochaine sur Rafah, qu’il présente comme le dernier grand bastion du mouvement islamiste dans le territoire palestinien.
Les bombardements israéliens, aériens et d’artillerie, « durent depuis la nuit dernière et se sont intensifiés depuis ce matin », a expliqué Ahmed Redwan, un porte-parole de la défense civile palestinienne, précisant que deux des quartiers visés – al-Shuka et al-Salam- figuraient parmi ceux que l’armée israélienne a demandé aux habitants d’évacuer.
« On entend parler des camps mis en place pour les déplacés, mais je ne sais même pas où se trouvent ces supposés camps. »
Medhat Hajjaj raconte:
« L’endroit où je me trouve a subi un bombardement si violent que certains des déplacés ont été touchés par les débris. Une personne dans la tente avoisinante a eu son pied amputé.
Vincent Lemire, historien, spécialiste du Proche-Orient, rappelle que Benyamin Netanyahou et ses ministres disent ouvertement vouloir déporter les habitants de Gaza et ajoute que, par conséquent, « la CPI ne peut pas ne pas se saisir de ce sujet puisque le déplacement volontaire massif de populations civiles est un crime de génocide. »
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La visite officielle du président chinois en France est critiquée par la communauté ouïghoure, victime d’un génocide dénoncé par plusieurs pays occidentaux
La communauté ouïghoure française a fait part vendredi 3 mai de sa « colère » face à la visite d’État du président chinois Xi Jinping en France, estimant que cet accueil était « un encouragement pour que la Chine continue ses crimes ».
« Le Président français a décidé d’accueillir, non pas les victimes, comme elles le demandent, mais le bourreau, dans un pays qui se dit le pays des droits humains ».
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Après six mois de bombardements aériens sur Gaza, les chiffres du rapport conjoint établi par la Banque mondiale, les Nations unies et l’Union européenne permettent de mesurer l’ampleur des dévastations.
Le 7 avril 1994, commençait sur les vertes collines du Rwanda l’une des plus grandes tueries du vingtième siècle. Ce n’était pas une énième guerre interethnique africaine, mais une extermination planifiée qui a coûté la vie à près de 1 million de personnes. Il s’agissait bel et bien d’un « génocide » répondant au projet politique du pouvoir extrémiste hutu : éliminer tous les Tutsis.
Le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a pris position ce vendredi pour la première fois sur le conflit entre Israël et le Hamas, en exigeant l’arrêt de toute vente d’arme à l’Etat hébreu.
Selon un article du journal «Haaretz», les militaires israéliens savaient que les véhicules, atteints par une frappe meurtrière lundi 1er avril dans l’enclave palestinienne, appartenaient à World Central Kitchen. Ils les ont ciblés car ils pensaient qu’un individu armé se trouvait parmi les passagers.
Trente ans après, les efforts pour permettre la justice devraient être accélérés.
(Nairobi) – Human Rights Watch a annoncé aujourd’hui la publication d’une série d’archives témoignant des efforts extraordinaires déployés par des défenseurs des droits humains au Rwanda et à l’étranger pour lancer l’alerte au sujet du génocide planifié de 1994, et tenter d’arrêter les massacres. Les documents illustrent tristement le refus des principaux acteurs étrangers de reconnaître le massacre de plus d’un demi-million de personnes et d’agir pour y mettre fin.
Sept humanitaires étrangers appartenant à l’ONG américaine World Central Kitchen livrant de la nourriture au territoire palestinien ont été tués par une frappe « non intentionnelle » admet Israël. Les victimes étaient « originaires d’Australie, de Pologne, du Royaume-Uni, (et comprenaient aussi) un citoyen ayant la double nationalité américaine et canadienne et une personne palestinienne« , selon l’ONG.