Le nombre de mineurs non accompagnés traversant la Méditerranée centrale pour se rendre en Italie a augmenté de 60 %



Le nombre de décès et de disparitions sur la route de la Méditerranée centrale a triplé cet été par rapport à l’an dernier.

Lire ICI

L’argent des enfants de l’ASE : les tribunaux sont saisis


La somme de 145 millions d’euros appartenant à des milliers de jeunes confiés à l’aide sociale à l’enfance (ASE) est consignée à la caisse des dépôts. Cette somme est constituée des allocations de rentrée scolaire qu’auraient dû toucher leurs parents pendant leur scolarité.

Or la majorité de ces jeunes, et en particulier les mineurs isolés étrangers, est privée de ce pécule destiné à les aider financièrement au moment de leur sortie de l’ASE.

Lire ICI

Vague de chaleur, de détentions abusives et de violence policière sur la Côte D’Azur



En août dans les Alpes-Maritimes, les violences contre les personnes en situation d’exil se sont multipliées de façon alarmante. Le collectif Progetto 20K dénonce ces attaques, l’opacité des conditions de détention des mineur·e·s non-accompagné·e·s, et le silence complice qui fait de la frontière une zone de non droit, de déshumanisation et de violence impunie. Communiqué.

Lire ICI

Portugal : des jeunes africains qui rêvent de foot ciblés par des trafiquants d’être humains



Devenir les futurs Leonel Messi, Cristiano Ronaldo ou Kylian Mbappé… Des millions de jeunes à travers le monde en rêvent. De nombreux passeurs et trafiquants d’êtres humains en profitent. Le sport roi, qui génère des milliards à travers le monde, compte malheureusement de très nombreux cas d’exploitation de jeunes, surtout mineurs, dans quasiment tous les pays européens dont, entre autres, le Portugal.

Lire ICI

Ces étudiants étrangers menacés d’expulsion


Maciré, Mamoudou et Abdoul sont au lycée. Fodé et Merveille sont étudiants. Ils sont tous jeunes majeurs et risquent en permanence l’expulsion. Difficile dans ces conditions, de poursuivre leur scolarité.

Lire ICI

Canaries : une cinquantaine de jeunes « entre 15 et 37 ans » partis du Maroc sont portés disparus


Depuis presque quinze jours, une cinquantaine de jeunes marocains sont portés disparus. Ils avaient embarqué sur un canot en direction des Canaries depuis la région d’Agadir. Selon deux parents de disparus, tous ces exilés avaient « entre 15 et 37 ans ». Cet événement intervient alors que des ONG dénoncent l’inertie des autorités marocaines et espagnoles dans un autre naufrage, survenu mercredi.

Lire ICI

 

Nouveau drame en Tunisie : plusieurs naufrages au large de Sfax

Dans le XVIe arrondissement de Paris, des migrants face aux intimidations de l’extrême droite


À Paris, depuis plus d’un mois, une école désaffectée du très chic XVIe arrondissement est occupée par de jeunes migrants qui viennent pour la plupart d’Afrique de l’Ouest. Depuis le début de l’occupation, cette école est devenue la cible de l’extrême droite, qui multiplie les manifestations devant ses portes. 

Lire ou écouter ICI

« Avant nous cherchions des abris, maintenant nous cherchons des cachettes » : à Paris, les mineurs à la rue, toujours plus invisibles


Depuis le mois de décembre, à Paris, les autorités démantèlent systématiquement – et sans solution de relogement – les campements de migrants quelle que soit leur taille. Les mineurs isolés en subissent les conséquences : chaque nuit, pour ne pas se faire réveiller, confisquer leur tente ou leurs couvertures, ils cherchent des cachettes dans la capitale. Et pour ne pas se faire repérer, ils restent désormais seuls ou en petits groupes. Au risque de s’invisibiliser et de sortir des radars des associations.

Lire ICI

Le business des sous-locations de comptes Stuart, UberEats et Deliveroo


Pour travailler, des centaines de sans-papiers sous-louent à prix d’or des comptes UberEats ou Deliveroo. Enquête sur ces forçats de la route, qui pédalent jour et nuit pour gagner de quoi tout juste se nourrir.

Lire ICI

« On les pousse dans les bras des trafiquants » : des associations pointent la responsabilité des gangs albanais après la disparition de migrants mineurs en Angleterre


Quelque 200 migrants, des adolescents albanais pour la plupart, arrivés illégalement sur le sol britannique, ont disparu ces dernières semaines à Brighton. Les associations locales dénoncent l’exploitation dont ces mineurs sont victimes.

Lire ICI

Retour sur notre assemblée générale du 29 novembre

N.B. : A la fin du 2ème paragraphe, il convient de lire « plus de 850 rencontres dont 35 au centre de détention de Villenauxe ».

« Ma mère n’en dormirait plus si elle savait » : 200 mineurs isolés dorment sous un pont en banlieue de Paris

Le campement des migrants mineurs isolés à Ivry-sur-Seine, le 24 octobre 2022. Crédits : InfoMigrants


Près de 200 migrants mineurs isolés vivent dans un campement de fortune installé sous un pont en banlieue parisienne. Faute de prise en charge par l’État français, l’association Utopia 56 a installé des tentes pour éviter que ces jeunes étrangers en procédure de recours en justice ne se retrouvent seuls dans les rues parisiennes.

Lire ICI

Jeunes migrants : mobilisation à Troyes le 15 octobre


Ils sont plus d’une centaine dans l’Aube, jeunes migrants mineurs, à avoir dû quitter leur pays pour rejoindre la France.

Pris en charge par le Centre Départemental de l’Enfance, ils suivent, malgré leur dépaysement, un parcours souvent exceptionnel. Ils apprennent et perfectionnent leur français. Ils se forment et se montrent des élèves studieux et ont envie de progresser. Ils s’engagent dans l’apprentissage de métiers et pourraient facilement être embauchés dans les entreprises qui ont besoin de salariés.

Pour une immense majorité, ils ne provoquent aucun trouble là où ils vivent, mais sont bénévoles ou actifs dans des associations, des clubs sportifs.

La plupart du temps, ils n’ont plus de proches dans leur pays d’origine.

Pour poursuivre leur parcours d’intégration, ils demandent à leur majorité la délivrance d’un titre de séjour.

En dépit de leurs efforts, de ceux du Conseil Départemental pour les accompagner, de ceux des enseignants et des formateurs et des demandes renouvelées de leurs employeurs pour les recruter, la préfecture de l’Aube refuse de régulariser leur situation et leur notifie une obligation de quitter le territoire.

Ils sont alors contraints d’arrêter leur apprentissage et de quitter leur employeur, privés de ressources et d’hébergement, abandonnés et n’ont plus d’espoir sauf celui de sombrer dans la précarité.

La Ligue des droits de l’Homme, avec le soutien de la CIMADE et du MRAP et l’appui d’un collectif d’associations et de citoyens, demande à l’État que les jeunes migrants qui ont été accueillis dans l’Aube puissent poursuivre leur formation et travailler dans les entreprises qui ont besoin de salariés compétents et qu’ils soient hébergés et traités dignement.

Pour cela, elle organise une journée d’action et d’information pour sensibiliser le public, les acteurs économiques et sociaux, les institutions et les élus de l’Aube, sur ce drame humain et l’absurdité économique de la situation.

Le samedi 15 octobre 2022 de 10h à 20h à Troyes

A ce titre, nous vous invitons à nous rencontrer et à échanger toute la journée à la permanence qui sera tenue dans les locaux du 5 de la rue Charbonnet.

Royaume-Uni : des demandeurs d’asile mineurs considérés à tort comme adultes

Des garde-côtes amènent des migrants dans le port de Douvres, le 7 septembre 2020. Crédit : Reuters


Selon deux rapports rendus publics ce vendredi, de nombreux demandeurs d’asile mineurs sont en danger au Royaume-Uni, car traités à tort comme des adultes.

Lire ICI

À Paris, les jeunes migrants de la place de la Bastille ont été évacués

L’association Utopia 56 a installé, samedi 28 mai 2022, un campement de mineurs place de la Bastille, à Paris, pour alerter sur le manque de prise en charge de ces jeunes en recours. Crédit : Utopia56


Après 119 jours de mobilisation, les 80 exilés de la place de la Bastille ont été expulsés. Si l’opération conduite par Utopia56 a permis à ces jeunes, pour la plupart des mineurs en recours, de trouver, pour un temps un peu de réconfort, l’association déplore le silence des autorités quant au sort de ces jeunes, « condamnés à l’errance ».

Lire ICI

Jeunes migrants


Du nouveau sur la page JEUNES MIGRANTS

Toulouse : la mairie demande l’expulsion d’un campement informel de jeunes migrants

Depuis le 26 août 2022, une centaine de jeunes migrants campent aux abords du palais de justice de Toulouse. Crédit : AutonoMIE/capture d’écran Facebook


La Ville rose a déposé, lundi 19 septembre, une requête auprès du tribunal judiciaire, afin d’expulser la centaine de jeunes exilés qui campent aux abords du palais de justice. Pour la plupart en recours, ces adolescents errent dans Toulouse à la recherche d’un abri, depuis leur expulsion d’un Ehpad, fin août.

Lire ICI