Dissolution des Soulèvements de la Terre : des milliers de personnes prêtes à poursuivre les actions


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La dissolution des Soulèvements de la Terre les empêche de communiquer depuis leurs propres réseaux. La rédaction de basta! fait le point sur la surprenante répression dont le mouvement écologiste fait l’objet, et sur la solidarité qui émerge.

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Pour l’ONU, notre maintien de l’ordre fait désordre


L’ONU étrille la France pour son maintien de l’ordre

Comprendre l’abolitionnisme pénal



D’où vient l’idée d’abolir la police et que recouvre-t-elle au juste ? Si la police ne nous protège pas, à quoi sert-elle ? Comment dépasser la simple critique de la police pour enfin en finir avec elle ? 1312 raisons d’abolir la police tente de répondre à ces questions, et propose de riches réflexions critiques sur les liens entre l’abolitionnisme pénal et la race, le handicap ou le travail sexuel notamment.
L’ouvrage porte également sur les mobilisations contemporaines pour l’abolition de la police en Amérique du Nord, en retraçant leur généalogie et en explorant leurs propositions stratégiques, leurs expériences et les débats qui les traversent. Les textes rassemblés dans cette anthologie commentée brossent un portrait vif et puissant du mouvement pour l’abolition de la police, dans toutes ses nuances et hors des clichés réducteurs.
Le recueil comprend des contributions de militant.e.s et d’universitaires francophones et anglophones inédites.


Date de parution 06/01/2023

Editeur Lux Editeur

Collection Instinct de liberté

ISBN 978-2-89833-066-7 EAN 9782898330667

Format Poche

Broché 341 pages

 

Violences policières de la Brav-M : 3 agents renvoyés en conseil de discipline, 4 sanctionnés


La préfecture de police de Paris a tranché ce lundi 5 juin au sujet des membres de la Brav-M dont les insultes et menaces à l’encontre de manifestants arrêtés fin mars avaient été enregistrées.

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« Je ne pouvais plus supporter la violence au sein de l’institution » : vague de démissions dans la police et la gendarmerie


Harcèlement, journées sans fin, manque de moyens… D’après la Cour des comptes, il n’y a jamais eu autant de démissions dans les rangs de la police et de la gendarmerie qu’en 2022.

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Code pin s’il vous plaît


Aux manifestants gardés à vue, les policiers demandent désormais quasi-systématiquement de déverrouiller leur téléphone portable et de communiquer leur code pin. Et ce, prétendument pour les nécessités de l’enquête. Depuis un arrêt de la Cour de cassation du 9 novembre 2022, le mis en cause risque une peine de trois ans d’emprisonnement et 270 000 euros d’amende en cas de refus. Et la plupart du temps, le téléphone est saisi, même si les charges ayant justifié la garde à vue tombent. Des dispositions critiquées par des avocats et les défenseurs des droits de l’homme.

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LA DÉFENSEURE DES DROITS RECOMMANDE DE METTRE FIN À LA PROCÉDURE DE L’AMENDE FORFAITAIRE DÉLICTUELLE


Saisie depuis 2018 de nombreuses réclamations relatives à des difficultés dans la mise en œuvre de la procédure de l’amende forfaitaire délictuelle (AFD) qui compromettent le respect des droits des usagers, dont le droit de contester l’amende, la Défenseure des droits, Claire Hédon, publie ce jour une décision cadre[1] et recommande d’y mettre fin.

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Enquête sur la formation alarmante de la police française au lance-grenades Cougar


« Le Monde » a eu accès à des documents de formation internes de la police nationale. Ils dévoilent comment les policiers français sont formés à effectuer des tirs dangereux, non respectueux des normes de conception, et dans un cadre légal problématique.

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DRONES : QUI FERA ATTERRIR LE MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ?


La Quadrature du Net – Mardi dernier, nous avons participé à une audience au Conseil d’État pour demander la suspension du décret autorisant la police nationale à déployer des drones sur le territoire. La décision devrait être rendue dans quelques jours. D’un côté, associations et syndicats dénonçant une nouvelle dérive de surveillance et de militarisation de l’espace public ; de l’autre, un ministère de l’intérieur méprisant ouvertement les principes élémentaires des droits fondamentaux. Épaulé par le contexte sécuritaire, ce dernier se permet même de clamer tout haut ses fantasmes sécuritaires, entre dispositifs de marquage invisible et pilotes de drones à moto.

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Les manifestants d’ultradroite avaient-ils le droit de défiler masqués ?


Le défilé de groupes néofascistes le 6 mai à Paris n’a pas été interdit en amont, et aucun participant n’a été interpellé, alors que de nombreux manifestants dissimulaient leur visage, ce que la loi, en théorie, interdit.

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Témoigner pour lutter contre l’arbitraire et la violence

Envers et contre l’évidence des témoignages, des corps et des vies brisés, des avenirs interrompus des mutilés, de la douleur partagée, le gouvernement persiste à taire et à faire taire l’expression de violences policières.

Une violence sémantique qui va jusqu’à étouffer les mots qui la décrivent, quitte à poursuivre devant la justice tous ceux qui la dénoncent.

Par Arié Alimi

Témoigner de ces violences policières devient alors un impératif.

Témoigner de ce que l’usage de la force et des armes, des interpellations et des gardes à vues, qui devraient répondre à une rationalité légale, sont désormais l’expression d’une politique illégale visant à dominer, soumettre, intimider, briser, quelque fois à mutiler ou à tuer. Les violences policières sont ces nouvelles armes qui nassent notre destin collectif, domestiquent nos consciences, brutalisent à vue, traumatisent à vie.

Témoigner d’un maintien de l’ordre qui ne maintient plus qu’un pouvoir.  

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Mayotte : précarité, immigration, violence…


Si aucune communication officielle n’a été faite de la part du gouvernement ou du chef de l’Etat concernant cette opération, de nombreuses organisations et élus locaux se sont déjà exprimés sur ce sujet ultra sensible.

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Une opération d’expulsion malgré l’accord de 2019 entre Paris et Moroni sur les migrants

Opération Wuambushu à Mayotte


 La destruction d’un bidonville suspendue par la justice


Pourquoi la justice a donné raison aux habitants du bidonville qui devait être détruit ce matin


Le préfet confirme qu’il fera appel de la décision du tribunal de suspendre la destruction d’un bidonville


Le vice-président de Mayotte appelle au meurtre des «délinquants»


Les communiqués de la LDH

Des sans-papiers voient leur plainte refusée en raison de leur situation administrative


Selon l’association la Cimade, plusieurs étrangers n’ont pas pu faire enregistrer leur plainte dans un commissariat ou une gendarmerie après avoir subi des violences ou des agressions. Les autorités ont privilégié leur statut de sans-papiers à celui de victime, au mépris de la loi. En quatre mois, au moins 10 personnes ont été placées en rétention après avoir subi des violences de la part d’un tiers.

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Mineurs percutés à scooter à Paris : les trois policiers suspendus et placés en garde à vue


Les trois policiers accusés d’avoir renversé des adolescents à scooter ont été suspendus, a annoncé le ministre de l’Intérieur ce vendredi 21 avril. Après avoir nié, les agents parlent désormais de «gestes pas appropriés».

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« Ce sont des enfants, pas des délinquants ! » : familles et témoins remettent en question l’attitude de la police après un accident de scooter à Paris

L’opération anti-migrants « Wuambushu » à Mayotte


L’opération, qui vise à expulser de l’archipel les étrangers en situation irrégulière, pourrait être lancée en fin de semaine et suscite de vives réactions et oppositions.

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L’étonnant laxisme de l’État face à la colère des agro-industriels


L’État réprime durement les manifestants écologistes, mais ne touche pas aux mobilisations d’agriculteurs productivistes. La preuve en trois exemples.

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Polémique sur la BRAV-M : enquête contre des policiers à la suite d’une nouvelle interpellation d’un étudiant tchadien

Soupçonné d’être impliqué dans un feu de poubelle, Souleyman Adoum Souleyman a été interpellé vendredi soir avec deux autres personnes, puis placé en garde à vue, avant de faire l’objet d’un classement sans suite pour infraction insuffisamment caractérisée, et d’être libéré dimanche soir, selon le parquet de Paris.

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Rapport de l’Observatoire parisien des libertés publiques


Sainte-Soline : les tirs de LBD en quad conformes à la « légitime défense », selon l’IGGN


Pour l’inspection générale de la gendarmerie nationale, ces tirs, normalement proscrits, sont intervenus dans une « situation de péril avéré » pour les gendarmes. « Aucune faute » ne peut donc être relevée à leur encontre.

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La réaction de la LDH

« Les conclusions, peut-être un peu rapides, de l’IGGN risquent de contribuer au discrédit qui pèse souvent sur les corps d’inspection, que ce soit l’IGGN ou l’IGPN »craint Patrick Baudouin président de la Ligue des droits de l’Homme

IDENTIFICATION DE LA POLICE (RIO) : TOUT VA TRÈS BIEN MADAME LA MARQUISE !