Mexique : deuxième meurtre de journaliste en une semaine à Tijuana

Scène de crime où la journaliste Lourdes Maldonado a été assassinée à Santa Fe, dans la banlieue de Tijuana, en Basse-Californie (Mexique), le 23 janvier 2022. © AFP – Guillermo Arias

Tuée par arme à feu à bord d’un véhicule dimanche, Lourdes Maldonado Lopez est la deuxième journaliste assassinée en une semaine à Tijuana, ville du nord-ouest du Mexique à la frontière des États-Unis. 

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Le HCR a besoin de 59,6 millions de dollars pour venir en aide à 100 000 personnes déplacées par la violence dans la région de l’Extrême-Nord du Cameroun

Amina et ses trois petits-enfants sur un site d’accueil pour les réfugiés camerounais à Oundouma, au Tchad.   © HCR/Aristophane Ngargoune


Le HCR, l’agence des Nations Unies pour les réfugiés, a lancé aujourd’hui un appel de fonds supplémentaire de 59,6 millions de dollars pour apporter un soutien d’urgence à 100 000 réfugiés, déplacés internes et membres des communautés d’accueil au Tchad et au Cameroun, suite aux violences intercommunautaires dans la région de l’Extrême-Nord du Cameroun.

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Le groupuscule interdit Génération identitaire défile et agresse dans Paris

LA PRÉFECTURE A LAISSÉ FAIRE

Génération identitaire, groupuscule violent dissous, a pu défiler ce samedi dans Paris. La manif, déclarée en préfecture au préalable, n’a pas été interdite. Et ce qui devait arriver arriva : des militants ont tabassé un passant. Reportage.

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Violences envers les élus: « Nous unissons nos voix contre la montée de la haine » – EXCLUSIF


Les 9 présidents de groupes à l’Assemblée nationale.


L’ensemble des présidents de groupes de l’Assemblée nationale condamnent les violences auxquelles sont confrontés les élus très régulièrement.

TRIBUNE – Nous n’appartenons pas aux mêmes partis, nous nous opposons dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale et dans les urnes, mais nous unissons aujourd’hui nos voix parce qu’il est temps de mettre fin à l’indifférence face à la montée de la haine.

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Kazakhstan : RSF saisit l’ONU face à l’alarmante escalade de violence contre les journalistes couvrant les manifestations

Les entraves et les cas de violences à l’égard des journalistes couvrant les manifestations et les sanglantes “opérations de nettoyage” menées par les autorités se multiplient de manière alarmante (crédit : AFP)


Alors que les manifestations en cours dans le pays sont réprimées dans le sang par le pouvoir en place, le chauffeur d’une équipe de télévision a été tué par balles pendant qu’il suivait un convoi officiel et les attaques contre les médias se multiplient. Reporters sans frontières (RSF) a décidé de saisir l’Organisation des Nations unies (ONU) et l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) pour alerter sur les dangers croissants qu’encourent les journalistes et les obstructions à leur travail.

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ILS RÊVENT DE BOUTER LES SARRAZINS HORS DE FRANCE

Les nouveaux croisés d’extrême droite

Ils sont cathos tradis, accros à la baston et fanas d’armes. Enquête sur ces militants d’extrême droite parfois en soutane qui veulent repartir en croisade armés de fusils à pompe.

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Allemagne : Verdict imminent au procès concernant des actes de torture commis en Syrie


Un témoin livrant son témoignage au tribunal de Coblence, en Allemagne, le 16 juin 2021. Illustration © 2021 Moner Alkadri pour Human Rights Watch


Il s’agit d’un moment décisif pour les survivant·e·s de la torture en Syrie.

(Berlin) – Le tribunal allemand où se déroule un procès décisif pour les survivant·e·s d’actes de tortures et pour la justice internationale devrait rendre son verdict en janvier 2022, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. Le procès, dans le cadre duquel un ancien responsable présumé des services de renseignement syrien est accusé de crimes contre l’humanité, est le premier au monde qui concerne des actes de torture commis en Syrie et cautionnés par cet État.

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Éthiopie : Nouvelle vague d’atrocités au Tigré occidental


Des réfugiés ayant fui le conflit dans la région du Tigré en Éthiopie, en traversant la rivière Tekeze marquant la frontière entre l’Éthiopie et le Soudan, photographiés peu après leur arrivée sur le territoire soudanais, près de Hamdayet (est du Soudan), le 21 novembre 2020.  © 2020 AP Photo/Nariman El-Mofty


Des enquêtes internationales et l’accès aux détenus sont essentiels pour empêcher de nouveaux abus.

(Nairobi) – Les forces de sécurité d’Amhara ont perpétré une vague de détentions massives, de meurtres et d’expulsions forcées de Tigréens dans le territoire du Tigré occidental, dans le nord de l’Éthiopie, ont déclaré Amnesty International et Human Rights Watch aujourd’hui.

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En France, près de 500 femmes ont été tuées par leur conjoint ou leur ex depuis quatre ans



Chaque année, plus de 100 femmes sont victimes de féminicide par leur compagnon ou leur ancien conjoint, d’après le données étudiées par «Libération» depuis 2017.

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Mort de Rémi Fraisse : le tribunal administratif de Toulouse condamne l’État à indemniser la famille


Une photo de Rémi Fraisse, le 6 novembre 2014, à Paris. (KENZO TRIBOUILLARD / AFP)


Le tribunal administratif de Toulouse a reconnu « une responsabilité sans faute » de l’État.

L’Etat a été condamné, jeudi 25 novembre, à indemniser la famille de Rémi Fraisse, manifestant tué lors d’une charge de gendarmes mobiles, sur le site du projet de barrage de Sivens, dans le Tarn en 2014, a annoncé le tribunal administratif de ToulouseLe tribunal « reconnaît la responsabilité sans faute de l’Etat pour le décès de Rémi Fraisse dans les suites de l’intervention des forces de l’ordre (…) et indemnise les ayants droit de la victime de leur préjudice moral à hauteur d’un montant total de 46 400 euros ».

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RÉVÉLATIONS DISCLOSE : LA FRANCE EST-ELLE COMPLICE D’HOMICIDES ILLÉGAUX EN ÉGYPTE ?


Emmanuel Macron pose pour une photo avec le président égyptien Abdel Fattah au Palais de l’Élysée, à Paris, le 24 octobre 2017 © PHILIPPE WOJAZER / POOL / AFP


Le média d’investigation Disclose aurait obtenu des documents « confidentiel-défense » qui pourraient attester que la France se serait rendue complice de centaines d’exécutions extrajudiciaires perpétrées par l’Égypte. Explications.

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A Troyes le 20 novembre


Migrants à la frontière Biélorussie – Pologne : retour sur une semaine de tensions

L’arrivée de plusieurs milliers de migrants à la frontière polonaise, orchestrée par le régime d’Alexandre Loukachenko, provoque une situation humanitaire dramatique et des tensions diplomatiques entre Minsk et l’Union européenne.

Retour en images en images sur une semaine de tensions.

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Faire avancer les droits des femmes c’est aussi participer à la protection de l’enfance

A l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, il est important de rappeler que 60 % des enfants co-victimes non pris en charge développeront des conséquences psycho traumatiques graves et durables sur leur santé physique et psychique.

Toute violence conjugale est une violence faite aux enfants

La loi protège les victimes de violences conjugales et leurs enfants.

« L’humanité doit donner à l’enfant ce qu’elle a de meilleur » (Déclaration de Genève sur les Droits de l’Enfant, 1924) . »L’enfant n’est pas seulement témoin des violences conjugales, il en est victime: ce qui se joue dans le conjugal, l’emprise et la violence, se joue aussi dans le parental ».

En France, environ 143 000 enfants vivent dans un foyer où une femme a déclaré des formes de violences physiques et / ou sexuelles (90% des victimes déclarées sont des femmes).

Ils seraient encore plus nombreux si on tenait compte des violences psychologiques et / ou verbales ainsi que des violences restant sous–déclarées par les victimes (femmes/hommes).

On estimerait le nombre d’enfants exposés aux violences conjugales en France à 4 millions. 

En vertu de la Convention Internationale relative aux Droits de l’Enfant (CIDE) : 
«Un enfant s’entend de tout être humain âgé de moins de dix-huit ans, sauf si la majorité est atteinte plus tôt en vertu de la législation qui lui est applicable». 
Ainsi, il est reconnu que l’enfant doit grandir dans un milieu familial, dans un climat de bonheur, d’amour et de compréhension pour l’épanouissement harmonieux de sa personnalité.

Marche « NousToutes » 2021

En 2020, on n’a pas pu manifester. En 2021, on sera là.

RDV samedi 20 novembre pour dire STOP aux violences sexistes et sexuelles.

NousToutes est un collectif féministe ouvert à toutes et tous, constitué d’activistes dont l’objectif est d’en finir avec les violences sexistes et sexuelles dont sont massivement victimes les femmes et les enfants en France.

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30 % des femmes sont victimes de harcèlement sexuel au travail. Une femme meurt tous les 2 jours assassinée par son compagnon ou son ex-compagnon. Qu’elles aient lieu à la maison, au travail ou dans la rue, les violences ne sont pas une fatalité. Jamais.

  • Avec cette manifestation, nous dirons notre exigence d’un monde dans lequel les violences n’ont pas leur place. Les femmes et les enfants, aujourd’hui victimes de violences, peuvent être protégé·e·s. Les femmes et les enfants en danger doivent être mis·es en sécurité. Les criminels doivent être condamnés, l’impunité doit cesser. L’éducation à l’égalité doit devenir une priorité.
  • Avec cette manifestation, nous rappellerons que c’est notre droit fondamental de vivre à l’abri des violences. Ce droit est chaque jour bafoué dans une indifférence qui nous sidère.
  • Avec cette manifestation, nous ferons entendre nos voix dans chaque famille, entreprise, administration, quartier, établissement scolaire et d’enseignement supérieur, établissement de santé et association. Dans tous les espaces de vie, la question des violences sexistes et sexuelles doit être posée. Et traitée.
  • Avec cette manifestation, nous porterons la voix de toutes celles qui, parmi nous, cumulent les violences en raison de leur situation de handicap, de vulnérabilité, de leur âge, de leur origine sociale, de leur statut de migrantes, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre ou parce qu’elles sont racisées

L’ONU redoute des « atrocités de masse » de la junte en Birmanie


L’ONU pour les droits de l’Homme en Birmanie a accusé vendredi la junte birmane de « masser des dizaines de milliers de troupes et des armes lourdes » dans le nord du pays. L’organisation dit craindre de « probables crimes contre l’humanité et crimes de guerre ».

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Philippe Grand, l’un des archivistes clés du 17 octobre 1961


Une voiture au pare-brise cassé, le 17 octobre 1961 à Paris, après que la police française a attaqué des manifestants qui participaient à une manifestation pro-Front de libération nationale (FLN) contre un couvre-feu pour les Français musulmans. © AFP


Philippe Grand, ancien conservateur en chef des archives de Paris, est le premier à révéler les documents prouvant la mort de dizaines de Français musulmans d’Algérie lors d’une manifestation, le 17 octobre 1961, à Paris. Maurice Papon, alors préfet de Paris, dément le massacre jusqu’au jour où, trente-six ans plus tard, l’archiviste et sa collègue Brigitte Lainé mettent au jour les documents du palais de justice détaillant les noms des victimes et les circonstances de leur mort.

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Assassinat de Samuel Paty : « Rien n’a été fait pour le protéger », selon l’avocate de la famille qui pointe les « failles » des renseignements


Collège du bois d’Aulne à Conflans-Sainte-Honorine, l’établissement où enseignait Samuel Paty, le 30 octobre 2020. (ALICE KACHANER / FRANCE-INFO)


Plusieurs hommages sont rendus ce vendredi, à la veille du premier anniversaire de l’assassinat du professeur d’histoire-géographie.

« Chaque hommage, c’est se lever contre l’islamisme radical », a affirmé ce vendredi 15 octobre sur franceinfo maître Virginie Leroy, avocate de la famille de Samuel Paty, alors que plusieurs hommages seront rendus dans les établissements scolaires à la veille du premier anniversaire de l’assassinat du professeur d’histoire-géographie. Selon elle, « il n’y a pas de colère » chez la famille de Samuel Paty, mais « un grand sentiment d’injustice » et de la « peine ».

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Pour la reconnaissance par la République du massacre du 17 octobre 1961 à Paris

Migrants : des violences qui font scandale à la frontière entre la Croatie et la Bosnie



À la frontière entre la Croatie et la Bosnie, des violences perpétrées sur des migrants sont dénoncées par des ONG. Une enquête est ouverte pour déterminer les responsables de ces actes.


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