Guerre en Ukraine


Amnesty international accuse la Russie de faire usage de bombes à sous-munitions

Une femme marche dans un quartier dévasté du nord de Kharkiv (Ukraine), le 29 mai 2022. (GENYA SAVILOV / AFP)


Selon un rapport de l’ONG publié ce dimanche, l’armée russe fait un large usage de ces armements, notamment à Kharkiv, la deuxième ville du pays, au mois de mars. Des bombes pourtant interdites par la Convention d’Oslo.

Lire ICI

SOUS LES BOMBES À KHARKIV

Des habitants enlèvent les débris d’un supermarché dans un centre commercial endommagé par une frappe de missile russe, alors que l’attaque de la Russie contre l’Ukraine se poursuit, à Kharkiv, en Ukraine, le 8 juin 2022 © REUTERS/Ivan Alvarado



« Tout le monde peut mourir à tout moment. » C’est le nom de notre dernière enquête sur les bombardements aveugles de la Russie sur la ville de Kharkiv en Ukraine. L’utilisation d’armes à sous-munitions, imprécises par nature, a fait des centaines de victimes. Les aires de jeu et les centres d’aide humanitaire ne sont pas épargnés par ces attaques aveugles.

Lire ICI



Russie : Disparition forcée d’une enseignante ukrainienne

Viktoria Andrusha.  © Privé


Les autorités devraient d’urgence confirmer le lieu où elle se trouve et mettre fin aux détentions arbitraires.

Lire ICI

Ukraine : Des frappes russes ont tué de nombreux civils à Tchernihiv

Des débris éparpillés dans une salle de classe de l’école 21 à Tchernihiv en Ukraine, photographiée le 19 avril 2022 ; cette école a été endommagée par une attaque russe menée le 3 mars 2022. © 2022 Belkis Wille/Human Rights Watch


Les deux parties au conflit ont l’obligation de minimiser les souffrances des civils.

Lire ICI


100e jour de conflit en Ukraine : Kiev assure que la victoire sera sienne, Moscou se congratule d’avoir atteint « certains résultats »

Une vue de la ville de Marioupol (Ukraine), le 2 juin 2022.  (AFP)


Les négociations entre Kiev et Moscou sont au point mort depuis plusieurs semaines et les combats se poursuivent dans le Donbass. 

Lire ICI

Guerre en Ukraine : le sort des réfugiés africains en Hongrie


Une partie de leur futur se trouvait en Ukraine. Mais depuis le début de la guerre lancé par Vladimir Poutine, leur avenir est en suspend en Europe. Certains étudiants d’origine africaine qui ont fui les affrontements attendent toujours de recevoir un statut de réfugié. C’est notamment le cas en Hongrie.

Journaliste français tué en Ukraine : Reporter sans frontières dénonce la « désinformation russe » et pointe la responsabilité de Vladimir Poutine


Après la mort de Frédéric Leclerc-Imhoff, journaliste de BFMTV, Christophe Deloire, le secrétaire général de RSF, estime qu’au total, depuis le début du conflit, cinquante évènements sont qualifiables crime de guerre contre les journalistes.

Lire ICI

Pénurie de blé : vers une crise alimentaire

blast


Dérèglement climatique, pandémie de Covid-19, hausse démographique : les causes de la crise alimentaire actuelle étaient déjà nombreuses. Depuis le mois de février, s’ajoute désormais le conflit entre la Russie et l’Ukraine, deux pays majeurs dans la production et l’exportation de blé.

Le prix de la tonne est passé de 300 à 450 euros en trois mois. Un record, qui pourrait avoir des conséquences dramatiques sur notre alimentation.

Pourquoi le blé est-il au cœur de la crise alimentaire? Comment est-il devenu un enjeu géostratégique ? Et à quoi doit-on s’attendre dans les mois à venir ? Sébastien Abis, chercheur associé à l’IRIS et directeur général du Club Déméter, répond à nos questions.

Le rapport Déméter 2022 consacré à l’alimentation est disponible ici : https://www.iris-france.org/publicati...

Le HCR étend ses activités en Pologne pour venir en aide aux réfugiés d’Ukraine dans un contexte de vulnérabilité croissante

Yulia et son fils Vlad, réfugiés ukrainiens, au centre d’enregistrement du HCR pour les aides en espèces à Varsovie, en Pologne.   © HCR/Maciej Moskwa


Le HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés, continue d’intensifier ses activités en Pologne afin de fournir une aide aux réfugiés d’Ukraine qui se sont installés dans le pays.

Lire ICI

UKRAINE

Guerre en Ukraine : un rapport indépendant estime qu’il existe « un risque très sérieux de génocide » des Ukrainiens par la Russie

Une femme ukrainienne visite la tombe de son mari retrouvé dans une fosse commune, à Boutcha, le 12 mai 2022. (HIROTO SEKIGUCHI / YOMIURI / AFP)


La rhétorique de Moscou incite à la destruction du groupe national ukrainien, et légitime les exactions (viols, meurtres de masse…) commises par les soldats russes, selon les experts interrogés.

Lire ICI



Ukraine : la guerre d’agression du Kremlin est aussi une guerre contre l’information


Reporters sans frontières (RSF) a recensé plus de 50 attaques, qualifiables de crimes de guerre, visant les journalistes et les médias depuis le début du conflit en Ukraine. Des crimes qui démontrent que l’armée russe mène une véritable guerre contre l’information. RSF dépose une cinquième plainte auprès du procureur de la Cour pénale internationale et de la procureure générale d’Ukraine.

Lire ICI

Guerre en Ukraine : des habitants trop âgés pour fuir les bombardements


Dans l’est de l’Ukraine, la guerre redouble d’intensité, jeudi 26 mai. Si la plupart des habitants ont fui les bombardements, les personnes âgées sont contraintes de rester sur place.

Voir ICI

Ukraine : Tortures et exécutions subies sous l’occupation russe


Les abus commis par les forces russes dans les régions de Kiev et de Tchernihiv s’apparentent à des crimes de guerre.

Lire ICI

Guerre en Ukraine : « J’avais les mains attachées en permanence dans le dos », confie un Ukrainien déporté en Russie

Un soldat dans une rue de Severodonetsk, dans la région du Donbass, en avril 2022. (RONALDO SCHEMIDT / AFP)


La situation des civils en Ukraine est toujours aussi préoccupante. Selon une responsable du gouvernement ukrainien, cité « plus de 1,19 million de nos citoyens, y compris plus de 200.000 enfants, ont été déportés vers la Fédération de Russie ». Volodymyr, qui travaille dans l’humanitaire, a accepté de témoigner.

Lire ICI

Nouvel appel de Human Rights Watch pour libérer les migrants détenus en Ukraine

Une station essence de Lviv bombardée par les Russes, en mai 2022. Crédit : Reuters


L’ONG de défense des droits humains Human Rights Watch a lancé un nouvel appel pour libérer les migrants enfermés dans des centres de rétention en Ukraine. Plusieurs de ces structures se trouvent non loin des zones de conflit. Les exilés contactés par l’ONG disent entendre les bombardements et tirs d’artillerie.

Lire ICI

UKRAINE : LES CRIMES DE GUERRE DES FORCES RUSSES DANS LA RÉGION DE KIEV

Bâtiments 429 et 429A qui ont été bombardés le 1er mars 2022 à Borodyanka. Crédit : Amnesty International.


Après une enquête de terrain de douze jours, des dizaines d’entretiens menés et une analyse poussée de preuves matérielles, nos chercheurs publient un nouveau rapport intitulé He’s Not Coming Back’ : War Crimes in Northwest Areas of Kyiv Oblast. Il apporte de nouvelles preuves des crimes de guerre commis par les forces russes dans la région au nord-ouest de Kiev, la capitale de l’Ukraine.

Lire ICI

Ukraine : Les forces russes ont tiré sur des véhicules civils

Le pare-brise criblé de balles de la voiture de Maksym Maksymenko, photographié en avril 2022 à Hostomel, en Ukraine. Les forces russes ont ouvert le feu sur son véhicule le 28 février 2022, alors qu’il tentait d’évacuer la ville avec sa femme, leur jeune fils, sa mère et sa belle-mère. Maksym et sa femme ont été blessés, sa mère a été tuée. © 2022 Richard Weir/Human Rights Watch


Des civils ont été tués près de postes de contrôle alors qu’ils tentaient de fuir des zones de conflit.

Lire ICI

En pleine guerre d’Ukraine, Tchernobyl souffle ses bougies radioactives

Le réacteur 4 dans la centrale nucléaire de Tchernobyl, avec au premier plan un monument aux morts. – Pxhere/CC0


Le 26 avril 1986, l’un des réacteurs de la centrale de Tchernobyl explosait. Trente-six ans après la catastrophe nucléaire, l’Ukraine est envahie par la Russie. Et les risques pour la sûreté sont réels.

Lire ICI

De la difficulté d’enquêter sur les crimes de guerre russes

DES RUINES À BOUTCHA, UKRAINE. PHOTO : IMAGO



Comment collecter les preuves ? Quelles conséquences éventuelles pour les coupables ? Un expert répond à nos questions.

Lire ICI

Guerre en Ukraine : Kiev accuse Thales d’avoir vendu du matériel utilisé pour tuer des civils, le groupe dément


Le logo Thalès au Forum international de la cybersécurité (FIC) à Lille, le 7 septembre 2021. (DENIS CHARLET / AFP)


Ces accusations suivent celles du média en ligne Disclose mi-mars, selon qui la France a livré des équipements militaires, dont des caméras thermiques, à la Russie entre 2015 et 2020, soit après les sanctions européennes ayant suivi l’annexion de la Crimée par Moscou.

Lire ICI

Guerre en Ukraine : à Severodonetsk, « tu vas chercher du pain et tu ne sais pas si tu vas revenir », racontent les habitants

Yura, un Ukrainien de 43 ans, est dans son abri sous-terrain à Sévérodonetsk, dans le Donbass (Ukraine), le 19 avril 2022. (GILLES GALLINARO / RADIO FRANCE)


Dans cette ville du Donbass, région où se concentrent désormais les combats, les habitants passent la majeure partie de leur journée dans des abris sous-terrains et redoutent les bombardements meurtriers de l’offensive russe.

Lire ICI

Guerre en Ukraine : RSF dénonce la reprise de la propagande russe par les médias d’État chinois

PHOTO : CCTV4 (Traduction du bandeau d’information : « Comment les États-Unis attisent pas à pas la crise ukrainienne »)


Reporters sans frontières (RSF) dénonce la reprise de la propagande russe par les médias d’État chinois et appelle le public à ne se fier qu’aux informations factuelles publiées par des médias indépendants reconnus.

Lire ICI

Crimes de guerre: «Il faut aider les enquêteurs ukrainiens à faire ce travail de documentation, ce sera long»

Un policier après le déterrement d’une fosse commune à Bucha, le 10 avril 2022. (Rafael Yaghobzadeh/Libération)


Pour l’ancien chef de l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité, le travail d’enquête sur les violences de la Russie envers l’Ukraine doit faire l’objet d’une coopération internationale.

Lire ICI