300 Aubois rassemblés pour pour le cessez-le-feu à Gaza ce samedi 18 novembre, à Troyes
Autour de Maître Gilles Devers, avocat au barreau de Lyon, un groupe de 300 avocats français et internationaux s’est constitué afin de déposer une plainte pour le crime de génocide et transferts de population, s’agissant des faits en cours sur le territoire palestinien de Gaza, auprès de la Cour Pénale Internationale (CPI) de La Haye (Pays-Bas), au nom de plus de 200 associations du monde entier.
Faudra-t-il une nouvelle guerre mondiale pour qu’il en sorte un nouvel ordre international ? Pour l’éviter, il faut d’urgence cesser de tolérer que les États, grands ou petits, puissent se délier impunément de toutes règles internationales en matière de guerre ou de droit humanitaire, quel que soit leur « camp ». Le droit international ne peut être à géométrie variable, il vaut pour tous ou il n’est rien.
A l’appel des organisations :
CGT, FO, FSU, CFDT, SOLIDAIRES, LFI, POI, PCF, GENERATION.S, MRAP, LDH, COLLECTIF LOUISE-MICHEL, LIBRE PENSEE, AGUI, GREENPEACE
Nous appelons à un rassemblement pour obtenir un cessez-le-feu immédiat et la réouverture d’un processus de paix durable, en Israël et en Palestine, sur la base des résolutions de l’ONU
(une marche pour la paix sera organisé le samedi 18 novembre)
A l’appel des organisations :
CGT, FO, FSU, CFDT, SOLIDAIRES, LFI, POI, PCF, GENERATION.S, MRAP, LDH, COLLECTIF LOUISE-MICHEL, LIBRE PENSEE, AGUI, GREENPEACE
Nous appelons à un rassemblement pour obtenir un cessez-le-feu immédiat et la réouverture d’un processus de paix durable, en Israël et en Palestine, sur la base des résolutions de l’ONU
(une marche pour la paix sera organisé le samedi 18 novembre)
Le diable se cache dans les détails. Avec les questions existentielles que nous posent les évènements en cours, on serait tenté d’oublier tout le reste. Les violences génocidaires qui se déploient en Palestine nous interrogent et nous obsèdent. Et c’est bien normal : l’horreur de l’occupation avait assoupi nos consciences par accoutumance ; tous les jours des colons tuaient des Palestiniens, et nous étions habitués à ces entrefilets des journaux, une demi-brève de l’AFP. La réponse, stupéfiante par sa violence, à cette mort lente et oubliée de tous, le 7 octobre, nous a réveillé. Et depuis nous assistons au crime le plus grave que notre droit (national, européen et international) a inscrit dans ses codes, et sommes impuissants.
Nés de l’exode de 1948, les quelques camps de réfugiés qui s’étendent sur l’enclave abritent des centaines de milliers de Palestiniens. Densément peuplés, ils sont désormais la cible des attaques d’Israël.
Les pays qui fournissent des armes risquent de se rendre complices de graves abus.
Déclaration des principaux membres du Comité permanent interagences (IASC) sur Israël et les territoires palestiniens occupés.
À Paris, une soirée d’écriture de lettres aux prisonniers politiques russes était organisée par Mémorial et Russie-Libertés le 30 octobre. Ces personnes seraient au moins 610, selon l’ONG Mémorial, qui peine à toutes les recenser depuis l’invasion russe en Ukraine.
L’armée israélienne poursuit ce samedi 4 novembre son offensive terrestre dans la bande Gaza. Elle a annoncé vendredi avoir encerclé la ville de Gaza après une semaine de combats au sol et des frappes meurtrières sur le territoire palestinien. Quatre semaines après le début du conflit, le bilan dépasse les 10 000 morts.
Nawras, Lyna, Nour, Galag et Aïda sont Palestiniens et résident en France. Depuis les attaques du 7 octobre, ils s’inquiètent pour leurs proches encore à Gaza et dans les territoires israélo-palestiniens.
Un bombardement sur le plus grand camp de réfugiés de la bande de Gaza a fait des dizaines de morts mardi. L’armée israélienne a confirmé la frappe, précisant qu’elle visait l’un des responsables de l’attaque du 7 octobre menée par le Hamas. Pendant ce temps, l’enclave est de nouveau coupée du monde, sans Internet ni téléphone.