

Les cons ne se reposent jamais:
La tombe de Robert Badinter a été profanée au cimetière de Bagneux, à quelques heures de l’entrée de l’ancien ministre de la Justice au Panthéon
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Les cons ne se reposent jamais:
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La travailleuse humanitaire et militante de la société civile Pakhshan Azizi, issue de la minorité ethnique kurde opprimée d’Iran, risque d’être exécutée à la suite d’un procès inique devant un tribunal révolutionnaire de Téhéran. En juillet 2024, elle a été condamnée à mort uniquement en lien avec ses activités pacifiques humanitaires et de défense des droits humains, qui ont notamment consisté à aider des femmes et des enfants déplacés dans le nord-est de la Syrie. Ses allégations de torture et d’autres mauvais traitements n’ont jamais fait l’objet d’investigations.
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Selon ce bilan établi à partir des données d’ONG de défense des droits de l’homme, on constate une forte augmentation par rapport aux dernières années.
Un décompte macabre. L’Arabie saoudite a annoncé, mercredi 2 janvier, l’exécution de six Iraniens condamnés à mort pour trafic de drogue, après une année marquée par un record de 338 exécutions. Un chiffre qui rappelle que la normalisation politique devrait prendre encore un peu de temps dans la monarchie du Golfe, malgré les milliards dépensés pour tenter de lisser son image et sa réputation.
Partager la publication "Nombre record d’exécutions en Arabie saoudite : qui sont les 338 personnes condamnées à la peine de mort en 2024 ?"

L’Arabie Saoudite a désormais un dramatique record : plus de 100 étrangers ont été exécutés dans le royaume en 2024, selon un décompte de l’Agence France-Presse basé sur les annonces officielles. En rajoutant les prisonniers saoudiens, le chiffre monte à près de 300 exécutions pour cette seule année.
Le prince héritier Mohammed ben Salmane consolide son pouvoir en contrôlant ce fonds d’une valeur de près de 1 000 milliards de dollars.
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Chaque année, le 10 octobre, des acteurs du monde entier se réunissent pour sensibiliser à la peine de mort et en appeler à son abolition dans tous les pays. Cette année, la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) et les autres membres de la Coalition mondiale contre la peine de mort combattent l’idée reçue et entretenue selon laquelle la peine capitale aurait un effet dissuasif et donc bénéfique à la sécurité des personnes et des communautés.
Homicide volontaire et prémédité, la peine de mort est un châtiment cruel et inhumain, un assassinat orchestré par L’État. Les pays qui la maintiennent dans leur législation y recourent souvent en pensant que ce châtiment peut renforcer la sécurité de leur population et leurs communautés. Il s’agit pourtant d’une idée fausse. La peine capitale n’a pas d’effet dissuasif sur la criminalité. En 2024, elle continue d’être appliquée dans de nombreux pays, sur tous les continents. En cette journée internationale pour l’abolition de la peine de mort, agissez à nos côtés pour soutenir l’abolition universelle.
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Trente-et-une organisations de défense des droits humains ont alerté jeudi sur « la forte augmentation » de l’application de la peine de mort en Arabie saoudite pour trafic de drogue, avec 42 personnes exécutées pour ce motif depuis début 2024.
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À la veille de l’élection du président réformateur Massoud Pezeshkian, le pouvoir judiciaire iranien a condamné à mort Sharifeh Mohammadi, accusée d’être membre d’un parti séparatiste kurde interdit et d’appartenir à un groupe de militants syndicaux. L’engagement syndical en dehors des organisations autorisées et contrôlées par l’État est interdit en Iran. Pour les ONG de défense des droits humains, ce cas illustre à nouveau la répression qui cible les « objecteurs de conscience ».
La Russie a annoncé mardi 9 juillet avoir émis un mandat d’arrêt contre l’opposante en exil Ioulia Navalnaya, également veuve de l’opposant Alexeï Navalny, mort en prison en février dernier. Cette dernière est accusée de « participation à un groupe extrémiste ». Le tribunal Basmanny de Moscou a aussi ordonné par contumace le placement en détention provisoire de l’opposante.
Carla Bruni-Sarkozy a été mise en examen mardi dans les investigations à Paris sur la rétractation en 2020 de l’intermédiaire Ziad Takieddine, qui accusait Nicolas Sarkozy d’avoir financé sa campagne présidentielle 2007 avec des fonds libyens.
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En 2023, le nombre d’exécutions a atteint son plus haut niveau en près d’une décennie, notamment en raison d’une flambée des mises à mort au Moyen-Orient, et particulièrement en Iran. En dépit de cette augmentation, le nombre de pays ayant procédé à des exécutions n’a jamais été aussi bas. Preuve que notre combat continu pour l’abolition universelle fonctionne.
Le caractère intrinsèquement discriminatoire et arbitraire de la peine capitale ne fait que s’ajouter aux violations des droits humains commises dans nos systèmes judiciaires. Il faut que la poignée de pays qui s’obstinent à recourir à ce châtiment vivent avec leur époque et l’abolissent une fois pour toutes
La peine de mort une nouvelle fois au cœur des débats lors de la session de l’Assemblée générale des Nations unies qui se tiendra cette année. Nous exhortons tous les gouvernements à se rallier à l’appel des Nations unies en faveur de l’abolition de la peine capitale afin de démontrer leur engagement crucial à l’égard des droits humains.
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La condamnation de ce rappeur de 33 ans, emprisonné depuis octobre 2022, est « inacceptable », a dénoncé jeudi le ministère des affaires étrangères français.
Un tribunal iranien a condamné à mort un célèbre rappeur iranien, emprisonné depuis plus d’un an et demi pour son soutien au mouvement de contestation de 2022 déclenché par la mort de Mahsa Amini, a rapporté mercredi 25 avril un média local. « Le tribunal révolutionnaire d’Ispahan (…) a condamné Toomaj Salehi à la peine de mort pour corruption sur Terre », l’un des chefs d’accusation les plus graves en Iran, a fait savoir l’avocat du chanteur, Amir Raisian, cité par le quotidien Shargh.
C’est évident qu’une transformation révolutionnaire est incontournable pour rétablir pleinement la dignité et les droits fondamentaux de l’être humain dans le contexte actuel de l’Iran, où la condamnation à mort d’un chanteur n’est qu’un témoignage parmi d’autres de l’étendue de l’oppression.
Toomaj Salehi, le vaillant artiste iranien, se retrouve aujourd’hui confronté à une sentence des plus grotesques : la condamnation à mort de la part d’un régime répressif qui redoute sa voix dissidente et sa plume accusatrice.
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Dans sa dernière synthèse sur la peine de mort en Iran publiée jeudi, Amnesty International note une « augmentation ahurissante » des exécutions liées aux stupéfiants. Selon l’ONG, qui dénonce une instrumentalisation de la peine capitale pour « terroriser » la population, plus de la moitié des 853 peines capitales prononcées en 2023 sont liées à des affaires de trafic de drogue.
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L’ancien garde des Sceaux Robert Badinter est décédé dans la nuit de jeudi à vendredi à l’âge de 95 ans. Le président Emmanuel Macron a annoncé qu’un hommage national sera rendu à celui qui a porté la loi du 9 octobre 1981 ayant aboli la peine de mort en France.
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« Ce soir, l’Alabama a fait faire un pas en arrière à l’humanité », a déclaré Kenneth Eugene Smith avant son exécution.
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Cette journée internationale est organisée chaque 10 octobre depuis 2003.
Elle a été instituée par la Coalition mondiale contre la peine de mort et elle est officiellement soutenue par le Conseil de l’Europe et l’Union européenne.

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Des critiques pacifiques exprimées sur les réseaux sociaux ont conduit à un verdict de peine de mort.
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par Rémy Dufaut

A l’occasion du décès de Gilles Perrault, on relira avec émotion Le Pull overt rouge, paru en 1978, qui contribua largement à l’abolition de la peine de mort en France. Ce livre retrace l’histoire de Christian Ranucci, condamné à mort puis exécuté en juillet 1976 pour l’enlèvement et le meurtre, commis deux ans auparavant, d’une petite fille de huit ans.
En 1979, Michel Drach en faisait un film dans lequel il « ne proclame pas qu’il était innocent. Il donne simplement à voir par quels étranges détours le court chemin de sa vie a abouti à l’échafaud. Il raconte une histoire vraie… Car tout est vrai, même si plus d’un spectateur aura peine à en croire ses yeux et ses oreilles. Témoins escamotés, procédures baclées, procès-verbaux écartés du dossier : telle fut bien l’affaire Ranucci. »
L’histoire a davantage reconnu le nom de Christian Ranucci, alors que la dernière exécution capitale fut celle de Hamida Djandoubi, guillotiné le 10 septembre 1977, à la prison des Baumettes, à Marseille, avant l’abolition de la peine de mort en octobre 1981, suite au long combat de Robert Badinter en particulier, hélas encore parfois objet de remises en cause dans notre pays, l’abolition universelle de la peine de mort demeurant au niveau mondial encore bien loin d’être acquise…
Amnesty International a enregistré 883 exécutions dans 20 pays en 2022, ce qui représente une augmentation de 53% par rapport aux 579 exécutions recensées en 2021. Ce chiffre est le plus élevé qu’Amnesty ait enregistré au cours des 5 dernières années.
Le secret entourant le recours à la peine de mort empêchait toujours de l’évaluer précisément en 2022 dans plusieurs pays, tels que la Chine, la Corée du Nord et le Viêt-Nam – connus pour recourir massivement à la peine de mort – ce qui signifie que le total mondial est nettement plus élevé. Bien qu’on ignore le nombre précis de personnes exécutées en Chine, ce pays restait clairement en tête des pays qui exécutaient le plus, devant l’Iran, l’Arabie saoudite, l’Égypte et les États-Unis.
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Vendredi 16 juin, le Président de la République française reçoit le Prince héritier d’Arabie Saoudite à l’Elysée. Amnesty international France demande solennellement à M. Emmanuel Macron d’intervenir auprès de Mohammed Ben Salman pour exiger de l’Arabie Saoudite qu’elle suspende l’exécution des sept jeunes hommes condamnés pour des faits commis alors qu’ils étaient mineurs.
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La loi « anti-homosexualité 2023 » a été promulguée, lundi 29 mai, par le président Yoweri Museveni. Dans le pays et au-delà, c’est l’indignation pour les ONG de défense des droits humains.
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