Trois fois plus de personnes sont décédées suite à une arrestation depuis 2020


Les années 2020 et 2021 montrent un pic des décès lors d’une arrestation ou en détention. Des données en contradiction totale avec le Code de sécurité intérieure qui stipule de préserver la vie, la santé et la dignité de toute personne appréhendée.


«Le problème des tirs mortels lors de refus d’obtempérer est systémique en France»


MORT DE NAHEL : L’ÉTERNEL ET CRUEL RECOMMENCEMENT


«On étouffe les personnes qui vivent dans les quartiers populaires»

 

Jeudi à Troyes: Une manifestation en soutien à Nahel et Zakaria


Contre le racisme, les crimes et les violences policières.

Rassemblement

qu’on ne peut que souhaiter pacifique et nombreux

ce vendredi 30 juin à 20 h devant la préfecture

 

La France doit changer d’approche sur les droits humains dans ses relations avec l’Égypte

Pour l’ONU, notre maintien de l’ordre fait désordre


L’ONU étrille la France pour son maintien de l’ordre

Comprendre l’abolitionnisme pénal



D’où vient l’idée d’abolir la police et que recouvre-t-elle au juste ? Si la police ne nous protège pas, à quoi sert-elle ? Comment dépasser la simple critique de la police pour enfin en finir avec elle ? 1312 raisons d’abolir la police tente de répondre à ces questions, et propose de riches réflexions critiques sur les liens entre l’abolitionnisme pénal et la race, le handicap ou le travail sexuel notamment.
L’ouvrage porte également sur les mobilisations contemporaines pour l’abolition de la police en Amérique du Nord, en retraçant leur généalogie et en explorant leurs propositions stratégiques, leurs expériences et les débats qui les traversent. Les textes rassemblés dans cette anthologie commentée brossent un portrait vif et puissant du mouvement pour l’abolition de la police, dans toutes ses nuances et hors des clichés réducteurs.
Le recueil comprend des contributions de militant.e.s et d’universitaires francophones et anglophones inédites.


Date de parution 06/01/2023

Editeur Lux Editeur

Collection Instinct de liberté

ISBN 978-2-89833-066-7 EAN 9782898330667

Format Poche

Broché 341 pages

 

« Je ne pouvais plus supporter la violence au sein de l’institution » : vague de démissions dans la police et la gendarmerie


Harcèlement, journées sans fin, manque de moyens… D’après la Cour des comptes, il n’y a jamais eu autant de démissions dans les rangs de la police et de la gendarmerie qu’en 2022.

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SURENCHÈRE SÉCURITAIRE DU GOUVERNEMENT

Communiqué commun de l’Observatoire des Libertés et du Numérique dont la LDH est membre

Les services de police et de renseignement disposent déjà d’outils extrêmement intrusifs : installation de mouchards dans les domiciles ou les voitures (balise GPS, caméras de vidéosurveillance, micro de sonorisation), extraction des informations d’un ordinateur ou d’un téléphone par exemple et mise en œuvre d’enregistreurs d’écran ou de frappes de clavier (keylogger). Ces possibilités très larges, particulièrement attentatoires à la vie privée, sont déjà détournées et utilisées pour surveiller des militants.

Pourtant un nouvel outil permettant d’activer, à distance, les appareils électroniques d’une personne à son insu pour obtenir sa géolocalisation en temps réel ou capter des images et des sons va être mis en place. 

Il s’agira de prendre le contrôle et transformer vos outils, ceux de vos proches ou de différents lieux en mouchards.

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Code pin s’il vous plaît


Aux manifestants gardés à vue, les policiers demandent désormais quasi-systématiquement de déverrouiller leur téléphone portable et de communiquer leur code pin. Et ce, prétendument pour les nécessités de l’enquête. Depuis un arrêt de la Cour de cassation du 9 novembre 2022, le mis en cause risque une peine de trois ans d’emprisonnement et 270 000 euros d’amende en cas de refus. Et la plupart du temps, le téléphone est saisi, même si les charges ayant justifié la garde à vue tombent. Des dispositions critiquées par des avocats et les défenseurs des droits de l’homme.

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Enquête sur la formation alarmante de la police française au lance-grenades Cougar


« Le Monde » a eu accès à des documents de formation internes de la police nationale. Ils dévoilent comment les policiers français sont formés à effectuer des tirs dangereux, non respectueux des normes de conception, et dans un cadre légal problématique.

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À Mayotte, l’ONG Médecins du monde dénonce un blocage de l’accès aux soins


Depuis le début du mois de mai, et en lien avec l’opération « Wuambushu », une série d’événements a conduit à une perturbation importante de l’accès aux services de santé. Aujourd’hui, Médecins du monde appelle à sanctuariser ces lieux de soins.

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Maintien de l’ordre : comment associations et syndicats répondent à un « emballement » et un « engrenage inquiétant » de l’Etat


Ces dernières semaines, les tribunaux administratifs sont devenus le terrain de contestation de mesures controversées prises par les préfets dans le cadre du mouvement social contre la réforme des retraites.

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Les manifestants d’ultradroite avaient-ils le droit de défiler masqués ?


Le défilé de groupes néofascistes le 6 mai à Paris n’a pas été interdit en amont, et aucun participant n’a été interpellé, alors que de nombreux manifestants dissimulaient leur visage, ce que la loi, en théorie, interdit.

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Opération Wuambushu à Mayotte : la Défenseure des droits regrette « une certaine précipitation »


Claire Hédon s’est également dite « particulièrement attentive au respect inconditionnel » des droits fondamentaux dans le cadre de l’opération sécuritaire.

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Opération Wuambushu : quand la France fait pression sur les Comores


Les députés comoriens condamnent l’opération Wuambushu à Mayotte

Opération Wuambushu à Mayotte


 La destruction d’un bidonville suspendue par la justice


Pourquoi la justice a donné raison aux habitants du bidonville qui devait être détruit ce matin


Le préfet confirme qu’il fera appel de la décision du tribunal de suspendre la destruction d’un bidonville


Le vice-président de Mayotte appelle au meurtre des «délinquants»


Les communiqués de la LDH

L’étonnant laxisme de l’État face à la colère des agro-industriels


L’État réprime durement les manifestants écologistes, mais ne touche pas aux mobilisations d’agriculteurs productivistes. La preuve en trois exemples.

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Sainte-Soline : les tirs de LBD en quad conformes à la « légitime défense », selon l’IGGN


Pour l’inspection générale de la gendarmerie nationale, ces tirs, normalement proscrits, sont intervenus dans une « situation de péril avéré » pour les gendarmes. « Aucune faute » ne peut donc être relevée à leur encontre.

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La réaction de la LDH

« Les conclusions, peut-être un peu rapides, de l’IGGN risquent de contribuer au discrédit qui pèse souvent sur les corps d’inspection, que ce soit l’IGGN ou l’IGPN »craint Patrick Baudouin président de la Ligue des droits de l’Homme

Journalisme de préfecture : quand les médias légitiment la répression


Face à la répression des mobilisations sociales et écologistes, si les violences policières ont « fait l’agenda » de certains grands médias plus rapidement qu’au moment des manifestations des Gilets jaunes, le traitement médiatique est encore loin d’être à la hauteur des enjeux…

Nota Bene : cet article est disponible en tract (format pdf) ici. Nous le distribuons lors des manifestations aujourd’hui : n’hésitez pas à en faire de même !

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IDENTIFICATION DE LA POLICE (RIO) : TOUT VA TRÈS BIEN MADAME LA MARQUISE !