
Dans un rapport, l’ONG répertorie des « exécutions extrajudiciaires », des « tortures » et des « violences sexuelles » perpétrées par les forces de l’ordre et les séparatistes armés.
Dans un rapport, l’ONG répertorie des « exécutions extrajudiciaires », des « tortures » et des « violences sexuelles » perpétrées par les forces de l’ordre et les séparatistes armés.
Selon les informations obtenues par Reporters sans frontières (RSF), plusieurs membres des services de renseignement camerounais ont été arrêtés et un suspect ayant avoué avoir participé à l’assassinat du journaliste Martinez Zogo assure même que l’actuel garde des Sceaux aurait été le donneur d’ordre.
Les plaignants camerounais contre le groupe Bolloré dans l’affaire Socapalm s’exprimaient lors d’une conférence de presse à Kribi mercredi 14 décembre, deux semaines après leur succès judiciaire en France. La cour d’appel de Versailles a contraint l’entreprise à fournir les documents censés établir sa responsabilité dans les agissements de sa filiale camerounaise.
Il faut poursuivre et sanctionner les combattants pour les crimes commis contre des civils.
Refus d’asile peu fondés ; abus en détention et après l’expulsion.
(Washington) – Les autorités du Cameroun ont soumis des dizaines de demandeurs d’asile expulsés par les États-Unis à de graves violations des droits humains entre 2019 et 2021, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport publié aujourd’hui.
Les autorités devraient garantir des enquêtes indépendantes et sanctionner les responsables.
(Nairobi) – Des soldats camerounais ont tué au moins huit personnes et incendié des dizaines de maisons et de magasins au cours de trois opérations militaires distinctes dans la région anglophone du Nord-Ouest en décembre 2021, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. Parmi les morts figurent trois enfants, deux femmes et un homme âgé.
Le HCR, l’agence des Nations Unies pour les réfugiés, a lancé aujourd’hui un appel de fonds supplémentaire de 59,6 millions de dollars pour apporter un soutien d’urgence à 100 000 réfugiés, déplacés internes et membres des communautés d’accueil au Tchad et au Cameroun, suite aux violences intercommunautaires dans la région de l’Extrême-Nord du Cameroun.