La visite officielle du président chinois en France est critiquée par la communauté ouïghoure, victime d’un génocide dénoncé par plusieurs pays occidentaux
La communauté ouïghoure française a fait part vendredi 3 mai de sa « colère » face à la visite d’État du président chinois Xi Jinping en France, estimant que cet accueil était « un encouragement pour que la Chine continue ses crimes ».
« Le Président français a décidé d’accueillir, non pas les victimes, comme elles le demandent, mais le bourreau, dans un pays qui se dit le pays des droits humains ».
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Guerre dans la bande de Gaza : les forces israéliennes ont mené de nouveaux raids meurtriers
Ces raids interviennent sur fond de craintes de riposte de l’Iran à une frappe attribuée à Israël contre le consulat iranien à Damas.
Les images embarquées d’un largage humanitaire au-dessus de la bande de Gaza : « Quand la rampe s’ouvre, et qu’on voit ce qu’il y a en bas, c’est un choc »
Territoires palestiniens: ces colons israéliens qui rêvent de Gaza
En Israël, les colons les plus extrémistes rêvent de s’accaparer l’enclave palestinienne. Ils vivent déjà illégalement dans les territoires palestiniens de Cisjordanie occupée, et n’attendent que le feu vert de leurs autorités pour s’installer aussi à Gaza, et reconstruire le Gush Katif. En 2005, les quelque 8 000 Israéliens qui vivaient dans ce regroupement de colonies à Gaza en ont été évacués sur ordre du Premier ministre de l’époque, Ariel Sharon. Presque 20 ans plus tard, en pleine guerre, certains d’entre eux sont entrés dans la bande de Gaza et y ont érigé symboliquement une cabane pour marquer leur retour, avant d’être exfiltrés par l’armée israélienne.
Nettoyage ethnique à bas bruit en cisjordanie occupée. Reportage dans le ciel d’Hébron.
Le génocide à Gaza constitue une des plus grandes défaites de l’humanité depuis des décennies. Et pour le comprendre, il faut aussi regarder du côté de la Cisjordanie occupée : là-bas aussi se profile une stratégie de nettoyage ethnique à basse intensité. Elle révèle une stratégie israélienne plus globale. Premier reportage d’une série de notre reporter, qui s’est rendu sur place pendant un mois.
Le 7 avril 1994, commençait sur les vertes collines du Rwanda l’une des plus grandes tueries du vingtième siècle. Ce n’était pas une énième guerre interethnique africaine, mais une extermination planifiée qui a coûté la vie à près de 1 million de personnes. Il s’agissait bel et bien d’un « génocide » répondant au projet politique du pouvoir extrémiste hutu : éliminer tous les Tutsis.
Trente ans après, les efforts pour permettre la justice devraient être accélérés.
(Nairobi) – Human Rights Watch a annoncé aujourd’hui la publication d’une série d’archives témoignant des efforts extraordinaires déployés par des défenseurs des droits humains au Rwanda et à l’étranger pour lancer l’alerte au sujet du génocide planifié de 1994, et tenter d’arrêter les massacres. Les documents illustrent tristement le refus des principaux acteurs étrangers de reconnaître le massacre de plus d’un demi-million de personnes et d’agir pour y mettre fin.
Depuis plusieurs jours, les combats qui opposent l’armée israélienne au Hamas dans l’enclave palestinienne se cristallisent autour des complexes hospitaliers. Notamment ceux des villes de Gaza et de Khan Younès. Il faut dire que l’intensité des affrontements n’a pas baissé, malgré le vote, lundi, d’une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU appelant à un « cessez-le-feu immédiat ». Et l’état du système de santé de Gaza est aujourd’hui proche du néant. Dans le nord de l’enclave, RFI a pu joindre par téléphone un médecin. Il raconte comment, même pour soigner des patients, il ne lui reste que le système D.
Arrêt de la guerre contre le peuple palestinien ! Levée durable du blocus de Gaza !
Protection du peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie !
Arrêt des livraisons d’armes à Israël, de toute coopération militaire et sécuritaire ! Sanctions contre Israël !
Reconnaissance d’un Etat Palestinien !
Manifestation le 30 mars à 10h30 place Jean-Jaurès à l’appel du collectif aubois pour la paix (MRAP, LDH, GREENPEACE, AGUI, LIBRE PENSEE, COLLECTIF LOUISE MICHEL, LFI, POI, PCF, GENERATION.S, CGT, SOLIDAIRES, FSU)
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Dans un rapport, élaboré à partir des données provenant d’organisations présentes à Gaza et d’entretiens avec des experts et des civils, la diplomate Francesca Albanese relève trois éléments constitutifs du génocide.
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Selon les chiffres du ministère de la santé de la bande de Gaza, administrée par le Hamas, plus de 12 300 enfants sont morts sur le territoire palestinien entre octobre et la fin du mois de février.
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La barre officielle des 30 000 morts va être franchie au cours des prochaines 24 heures dans la bande de Gaza. Environ 70% d’entre eux sont des femmes et des enfants. Dans ce contexte dans lequel rien ni personne ne semble être en mesure de mettre fin à cette tragédie, la question de la livraison d’armes à Israël est de plus en plus prégnante. Quid de la France ?
« À travers les activités artistiques et les institutions culturelles, l’existence même du peuple est visée. » Après le saccage du célèbre « Théâtre de la Liberté » le 13 décembre dernier par l’armée israélienne, un ensemble d’artistes et de personnalités dénonce cette stratégie d’effacement. « Massacrer l’enfance et la jeunesse, détruire les installations éducatives, abattre les porteurs de sa culture, c’est assassiner un peuple. »
Quelques milliers d’Israéliens favorables à la réinstallation de colonies dans la bande de Gaza se sont réunis dimanche 28 janvier à Jérusalem, exhortant le Premier ministre à faire aboutir le projet. Dans l’assemblée, plusieurs ministres, dont certains ont enchaîné des pas de danse sur une musique au rythme enjoué. Une scène qui n’est pas passée inaperçue alors que la guerre en cours entre Israël et le Hamas a fait 1 140 morts dans l’Etat hébreu et 26 422 à Gaza.
Le sort des civils à Gaza reste, ce samedi, au cœur de vives préoccupations au lendemain d’une décision de la plus haute juridiction de l’ONU appelant Israël à empêcher tout acte éventuel de « génocide » dans le territoire palestinien.
En décembre, l’Afrique du Sud a déposé une requête auprès de la Cour internationale de justice (CIJ). Elle accuse l’Etat hébreu d' »actes de génocide contre le peuple palestinien à Gaza ».
Hasmik Tolmajian, ambassadrice de la République d’Arménie en France est ce lundi 25 septembre, l’Invitée du matin de RFI. Conflit dans le Haut-Karabakh… Elle répond aux questions de Frédéric Rivière.