Etats-Unis : des manifestations dans l’Ohio après la vidéo d’un homme noir criblé de balles par la police

Des manifestants tiennent des pancartes « Justice pour Jayland » devant l’hôtel de ville d’Akron pour protester contre le meurtre de Jayland Walker, abattu par la police, à Akron (Ohio), le 3 juillet 2022. (MATTHEW HATCHER / AFP)


Jayland Walker, 25 ans, a été tué le 27 juin alors qu’il fuyait des policiers à pied après une poursuite en voiture.

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Dans l’actualité


Chlordécone : l’État jugé coupable de « négligences fautives »


COMPÉTENCE UNIVERSELLE UNE LÂCHETÉ FRANÇAISE


Un cadre d’Alliance Police nationale mis en cause pour « abus de biens sociaux », « extorsion » et« corruption »


Identification des corps : « Plus le temps passe, plus retrouver un migrant disparu est difficile »


Manifestation contre la suppression de la redevance à Paris : «Si on ne se mobilise pas aujourd’hui, on est mort»


QUATRE MORTS EN TROIS MOIS : TOUTE-PUISSANCE DES VERSIONS POLICIÈRES


Claire, jeune femme polyhandicapée voulait porter plainte mais ça a mal tourné…


Refus de plainte, agressivité et validisme. Victime d’une infraction à son domicile, Claire a voulu porter plainte dans un commissariat de Nantes. Pour la jeune femme polyhandicapée, l’affaire tourne au cauchemar. Récit.

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« Les sans-papiers se vivent dans l’espace public comme des proies de l’action policière »

LE CHERCHEUR STEFAN LE COURANT PUBLIE « VIVRE SOUS LA MENACE »


Chaque jour, des personnes sans-papiers craignent d’être embarquées par la police et envoyées dans des centres de rétention et d’être expulsées. Comment vivent-elles cette pression ? C’est ce que dépeint le chercheur Stefan Le Courant.

Police : Gérald Darmanin planque les preuves

 

Chez les policiers, le taux de suicide est supérieur d’un tiers à la moyenne nationale. Face à la recrudescence constatée depuis le début d’année, les associations et syndicats s’inquiètent, craignant de revivre l’hécatombe de 2019. Mais Gérald Darmanin l’affirme, ces drames ont « un lien direct avec la vie personnelle et non pas professionnelle ». Un déni dont le premier flic de France est coutumier. Notre enquête le révèle : bien que la loi l’y oblige, le ministre de l’Intérieur refuse de communiquer ses bilans sociaux et son administration organise l’omerta. Il faut cacher une réalité qui dérange.

 

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« On fait ça et en échange la police nous donnera des papiers » : dans l’Evros, la police grecque se sert des exilés pour refouler d’autres migrants

Des policiers grecs patrouillent le long d’une clôture en acier construite le long du fleuve Evros, à la frontière avec la Turquie, le 22 août 2021. Crédit : EPA


Dans un rapport publié jeudi, Human Rights Watch révèle que des migrants sont utilisés par la police grecque, à la frontière gréco-turque, pour renvoyer en Turquie d’autres migrants. L’ONG a collecté plusieurs témoignages. Les exilés chargés des refoulements ont affirmé devoir collaborer plusieurs mois avec la police grecque en échange d’une éventuelle autorisation de séjour dans le pays.

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Handicapées, elles portent plainte pour des violences sexuelles et sont très mal reçues par la police

MOQUERIES, DÉNIGREMENTS, REFUS DE PLAINTE…


202 personnes handicapées ont répondu à notre questionnaire sur les violences sexuelles et leurs prises en charge par les forces de l’ordre. Le constat est accablant : peu vont porter plainte et quand elles le font, ça se passe souvent mal.

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Les flics racistes de Nancy en procès


Après cinq ans d’instruction, trois jours d’audience hallucinants (selon notre correspondant) où les langues se sont enfin déliées sur les violences, le néonazisme, le racisme décomplexé, l’alcool en service, la complaisance syndicale et une hiérarchie en partie complice des pratiques de la brigade anti criminalité de la ville. Séisme au commissariat.

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Perpignan remplace un centre d’accueil de migrants par un hôtel de police


BRAS DE FER ENTRE LA MAIRIE RN ET LE DÉPARTEMENT PS


En 2019, le conseil départemental des Pyrénées-Orientales a voulu acheter un ancien restaurant pour accueillir des migrants. Les municipalités LR puis RN ont décidé de court-circuiter le projet et y ont installé… un hôtel de police.

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Le passe vaccinal comme outil de contrôle politique


Reporterre

Selon notre chroniqueuse, le passe vaccinal peut servir à brider la contestation politique, comme dans une commune du sud-ouest. Le passe est une mesure de police administrative. Or, écrit le Conseil d’État, «la police administrative porte en elle les germes de la tyrannie».

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« Société de vigilance » : quand les voisins font la police

– Pixabay/CC/ashleshkshatri


La «démarche participation citoyenne», encadrée par la gendarmerie et dans laquelle les voisins participent à la sécurité de quartiers, cristallise les inquiétudes. Plus de 5 000 communes en France ont adopté ce dispositif. Enquête.

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Le policier lanceur d’alerte Benmohamed sanctionné pour avoir témoigné à l’Assemblée


HARCÈLEMENT ADMINISTRATIF



Le policier Benmohamed, qui avait révélé des centaines de cas de maltraitance et de racisme, a été sanctionné une seconde fois. On lui reproche d’avoir témoigné à l’Assemblée. Dans la foulée, sa hiérarchie ouvre une troisième procédure contre lui.

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« Quand on commence à renoncer à des libertés, on ne revient pas en arrière »

AVEC LE JOURNALISTE PIERRE JANUEL, ANNE-SOPHIE SIMPERE PUBLIE : « COMMENT L’ÉTAT S’ATTAQUE À NOS LIBERTÉS, TOUS SURVEILLÉS ET PUNIS »


La France est-elle devenue un système répressif ? Dans un ouvrage, Anne-Sophie Simpere d’Amnesty international et Pierre Januel, journaliste, reviennent sur vingt ans de libertés publiques progressivement rognées.

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« Le problème de la police est politique »


Dans la prolongation de notre sujet sur l’IGPN, Blast vous propose en intégralité un entretien avec Frédéric Charpier. Journaliste, écrivain il est l’auteur de « IGPN, une institution au dessus de tout soupçon ? ». Son ouvrage révèle notamment que dans l’affaire Zineb Redouane, la police des police a préconisé le renvoi de deux CRS devant le conseil de discipline. Conclusion qui n’a été suivie d’aucun effet. Pour le journaliste qui connaît bien le fonctionnement interne de la police, la question de l’usage de la force, la façon dont il est encadré, sanctionné ou non sanctionné est une question éminemment politique. Manifestations, gilets jaunes, quartiers populaires, c’est à chaque fois le choix de la confrontation et de l’escalade qui a été fait par le pouvoir.

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« Comme d’habitude, cette opération n’a rien d’une mise à l’abri » : à Grande-Synthe, 400 personnes évacuées d’un camp de fortune


Le camp de migrants à Grande-Synthe, près du canal de Bourbourg, le jeudi 25 novembre. Crédit : Dana Alboz / InfoMigrants


Ce mardi 30 novembre, un énième camp de migrants a été évacué par les forces de l’ordre à Grande-Synthe, dans le nord de la France. Dans la ville, ces évacuations ont lieu « une fois par semaine, minimum », assurent les associations. Un « harcèlement » policier qui pousse toujours plus d’exilés à prendre la mer, au péril de leur vie.

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La Défenseure des droits s’interroge sur la vision « confrontationnelle » du maintien de l’ordre en France


Des forces de maintien de l’ordre lors d’une manifestation de « gilets jaunes » à Paris le 12 septembre 2020.  (GABRIELLE CEZARD / HANS LUCAS / AFP)


Dans une étude, elle souligne combien la question du maintien de l’ordre est devenue épineuse depuis 2016 et les manifestations contre la loi travail, et surtout depuis le mouvement des « gilets jaunes ».

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Migrants : intervention de la police contre l’installation de tentes devant l’hôtel de ville de Paris


La police est intervenue sur la place de la Libération, devant l’hôtel de ville de Paris (illustration). / © LUDOVIC MARIN / AFP


Alors que l’association d’aide aux migrants Utopia 56 a organisé une manifestation sur l’Esplanade de la Libération, afin de réclamer « un hébergement digne » pour plusieurs dizaines de personnes SDF, la préfecture de police de Paris est intervenue.

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Le déni par le ministre français de l’Intérieur des abus policiers contre les migrants va à l’encontre des faits


Gérald Darmanin s’adresse aux policiers au sujet de leur travail dans le domaine de l’immigration irrégulière, le 9 octobre 2021 près de Calais, en France. © 2021 Louis Witter/Le Pictorium/Cover Images/AP Images


Le gouvernement devrait renoncer à son approche inhumaine de la migration dans le nord de la France.

Deux jours après la publication, le 7 octobre, d’un rapport de Human Rights Watch documentant le traitement dégradant infligés aux migrants par les autorités françaises dans et autour de Calais, Gérald Darmanin a publiquement réfuté les conclusions du rapport déclarant qu’il s’agissait « manifestement de mensonges ». « Pas un policier et pas un gendarme sur la côte littorale n’a été poursuivi par la justice », a-t-il affirmé, avant de louer « l’humanité » de la police envers les migrants.

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Torture contre les Ouïghours : «On les battait jusqu’à ce qu’ils soient meurtris et gonflés»


«Jiang», un ancien policier chinois, a raconté à CNN les actes de torture commis sur les Ouïghours dans le Xinjiang. (Capture CNN)


Un ancien inspecteur de police chinois a livré à CNN des détails précis sur les rafles et les méthodes d’interrogatoire utilisées durant ses missions au Xinjiang, documentant encore plus la répression de masse.

«Quand tu veux faire avouer quelqu’un, tu utilises une matraque électrique. On attachait deux fils électriques sur la pointe et on entourait leurs parties génitales alors qu’ils étaient immobilisés. Le résultat était meilleur.» Alors que, samedi, près de 2 000 personnes manifestaient à Paris pour «la reconnaissance du génocide des Ouïghours» et qu’Amnesty International organise jeudi un sit-in devant l’ambassade de Chine pour dénoncer «les graves violations de droits humains au Xinjiang», CNN publie le témoignage d’un ancien policier chinois, témoin et acteur d’actes de torture, un des aspects les plus sombres des opérations menées par Pékin au nom de «la lutte antiterroriste» dans cette région.

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