Syrie : quelles sont les étapes qui attendent les mères et les enfants rapatriés en France ?


Une femme portant un enfant passe devant des tentes dans le camp de prisonniers jihadistes d’Al-Hol, situé dans le nord-est de la Syrie, le 11 mai 2021. (DELIL SOULEIMAN / AFP)


La procédure qui encadre le retour de ces ressortissants qui vivaient jusqu’ici dans des camps de prisonniers jihadistes est désormais rodée et commence dès la descente de l’avion.

Lire ICI


Syrie : encore une centaine de femmes et près de 250 enfants français sont retenus dans les camps syriens


Français en Syrie : « la France viole toutes les conventions auxquelles elle a adhéré »

Dans l’actualité


Des patrons plaident pour la régularisation des travailleurs sans papiers, de Paris au Pays basque


Royaume-Uni : depuis 2020, 82 demandeurs d’asile sont morts dans des logements officiels


Aux Etats-Unis, la Cour suprême limite le pouvoir de l’État fédéral pour lutter contre le changement climatique


Quand le photovoltaïque allemand produit plus que le nucléaire français


Inde : des femmes font barrage à la sécheresse


Vingt-cinq ans après la rétrocession à la Chine, la liberté de la presse à Hong Kong plus menacée que jamais


UKRAINE : L’ATTAQUE DU THÉÂTRE DE MARIOUPOL CONSTITUE UN CRIME DE GUERRE


Attentats du 13-Novembre : contre la terreur, un procès exemplaire


Émotion et controverses après le drame de Melilla, dans le nord du Maroc

Manifestation de migrants contre le racisme, à Rabat, au Maroc, le 28 juin 2022. – / AFP


L’ONU et l’Union africaine ont appelé à une enquête à la suite des affrontements qui ont coûté la vie à vingt-sept migrants à l’entrée de l’enclave espagnole au Maroc.

Lire ICI

La justice rejette l’extradition de dix anciens militants d’extrême gauche italiens

Marina Petrella, ancienne membre du groupe d’extrême gauche italien Brigades rouges, attend le début d’une audience devant la cour d’appel de Paris, le 20 avril 2022. (EMMANUEL DUNAND / AFP)


Six anciens membres des Brigades rouges et quatre anciens militants de groupes armés d’extrême gauche faisaient l’objet d’une procédure d’extradition depuis plus d’un an.

Lire ICI

Dans l’actualité


Chlordécone : l’État jugé coupable de « négligences fautives »


COMPÉTENCE UNIVERSELLE UNE LÂCHETÉ FRANÇAISE


Un cadre d’Alliance Police nationale mis en cause pour « abus de biens sociaux », « extorsion » et« corruption »


Identification des corps : « Plus le temps passe, plus retrouver un migrant disparu est difficile »


Manifestation contre la suppression de la redevance à Paris : «Si on ne se mobilise pas aujourd’hui, on est mort»


Emploi : « L’intégration des réfugiés, c’est un marathon, pas un sprint »

54 094 personnes ont obtenu le statut de réfugié en France en 2021. La grande majorité n’a pas accès au marché du travail. Crédit : Mehdi Chebil


Compétences linguistiques insuffisantes, impossibilité de faire reconnaître en France des diplômes obtenus hors de l’Union européenne, mal-logement : pour les réfugiés en France, décrocher un emploi est un parcours du combattant. Mais à l’heure où les employeurs font face à des pénuries de main-d’œuvre, les entreprises se disent prêtes à se tourner vers « ce nouveau vivier de recrutement ». Interview.

Lire ICI

Royaume-Uni : pourquoi Boris Johnson veut surveiller les exilés avec des bracelets électroniques ?

Les autorités britanniques veulent équiper les exilés recueillis par bateau dans la Manche de bracelets électroniques. À Douves, dans le sud-est de l’Angleterre, vendredi 17 juin 2022.
© Matt Dunham


Dans le cadre d’un projet pilote de 12 mois, démarré le mercredi 15 juin, Boris Johnson veut obliger des exilés débarqués au Royaume-Uni dans de petits bateaux ou à l’arrière de camions à porter un bracelet électronique. Explications de Catherine Woollard, directrice du Conseil européen pour les réfugiés et les exilés (ECRE), une alliance de 105 ONG européennes.

Lire ICI


Dans l’actualité


«Un jalon historique» : l’Europe dévoile son ambitieux projet de réparation de la nature


« Je me voyais déjà mort » : Serge, exilé congolais, raconte sa traversée pour les Canaries


En Birmanie, Aung San Suu Kyi placée à l’isolement dans une prison par la junte militaire


« Tu es né fils d’immigré, tu le resteras », ou comment le destin de classe n’est pas inébranlable 


Le destin bouleversé par l’aide sociale d’Amal, ado syrienne


« C’est comme Verdun mais avec les armes de 2022 » : des Français partis faire la guerre en Ukraine racontent leur quotidien


Londres va équiper les migrants de bracelets électroniques

Zone d’attente aux frontières françaises, l’enfermement des femmes en question

En mars dernier, notre journaliste s’est rendue dans la zone d’attente de Strasbourg. La loi impose que le lieu d’hébergement attenant à la zone d’attente dispense des prestations hôtelières, ce qui n’est presque jamais le cas. Ici, les personnes dorment dans le terminal, sur des lits de camp, devant les pistes d’atterrissage ; la pièce est isolée par une porte coulissante, mais il est impossible d’occulter la lumière et de sortir, sauf pour fumer.
©Chloe Dubois/Terriennes
/ TV5Monde


Chaque jour en France, faute de papiers d’identité ou de passeport valides, nombreuses sont les personnes d’origine étrangère à être placées en zones d’attente, dans les aéroports internationaux, les ports ou les gares situées aux frontières. Quelles sont les conséquences de cette détention sous le prisme des violences de genre ? Entretien avec Laure Palun, directrice de l’Anafé, association qui défend les droits des personnes étrangères en zone d’attente.

Lire ICI

« Ce jeune va se retrouver à la rue dans son pays » : à Paris, mobilisation contre l’expulsion d’un Guinéen

La TIMMY dit observer que de plus en plus d’OQTF sont remises à des jeunes majeurs, arrivés mineurs en France. Image d’illustration. Crédit : Reuters


Mamoudou Sow est retenu au CRA de Vincennes depuis le 13 avril. Ce jeune Guinéen de 20 ans est arrivé mineur en France. Après un CAP d’électricité, il avait débuté la préparation d’un baccalauréat professionnel et bénéficiait d’un contrat jeune majeur signé par l’ASE. RESF et la TIMMY, qui le soutiennent, dénoncent un contexte « de plus en plus hostile aux étrangers ».

Lire ICI

France : des refus de séjour délivrés pour les étrangers venus d’Ukraine

Des étudiants africains tentent de quitter l’Ukraine, en février 2022. Crédit : DW


Les premières Obligations de quitter le territoire français (OQTF) commencent à tomber pour les étrangers venus d’Ukraine, la plupart des étudiants. Arrivés dans l’Hexagone après le début de l’offensive russe, ils ne sont pas autorisés à rester sur le sol français. Les autorités estiment qu’ils peuvent rentrer chez eux, car leur pays d’origine n’est pas en guerre.

Lire ICI

Réfugiés syriens : le Liban dit être arrivé au bout de ce qu’il pouvait supporter

Une famille syrienne, dans un camp de réfugiés à Sidon, dans le sud du Liban, en janvier 2022. Crédit : AP


Le Premier ministre libanais Najib Mikati a affirmé, lundi 20 juin, que le Liban, qui accueille plus d’un million de Syriens, soit le plus grand nombre de réfugiés par habitant au monde, allait les expulser si la communauté internationale ne l’aidait pas à les rapatrier. Beyrouth est plongé dans une crise sans précédent, qui a détruit son économie et appauvrit sa population.

Lire ICI

En un mois, sept enfants ou bébés enfermés en centre de rétention

LA FRANCE CONDAMNÉE À PLUSIEURS REPRISES POUR ÇA


Sept enfants de moins de 14 ans ont été, en un mois, enfermés dans des centres de rétention. Maria s’est retrouvée derrière les barreaux avec sa fille de quatre mois. Elle raconte.

Lire ICI

La dématérialisation des convocations de l’Ofpra complique les démarches des demandeurs d’asile

Un guichet de l’Ofpra (image d’illustration). Crédit : site Internet du gouvernement


Pour demander une protection en France, les demandeurs d’asile doivent désormais faire leurs démarches en ligne auprès de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides. Cette dématérialisation, mise en place début mai, pose problème à certains exilés, qui ne maitrisent pas forcément les outils informatiques ou la langue française. Reportage.

Lire ICI

Royaume-Uni : le vol censé expulser des migrants vers le Rwanda annulé à la dernière minute

L’avion censé transporter les migrants vers le Rwanda est resté au sol sur le tarmac de la base de Boscombe Down, à Wiltshire, au Royaume-Uni.. Crédit : Reuters


Prévu mardi soir, le premier vol censé expulser des migrants du Royaume-Uni vers le Rwanda est resté au sol, suite à des recours en justice et, surtout, à une décision de dernière minute de la Cour européenne des droits de l’Homme. Le gouvernement britannique a assuré être déterminé à mener à bien cette politique décriée.

Lire ICI

Londres s’apprête à faire décoller son premier vol de migrants expulsés vers le Rwanda

Des opposants à l’expulsion de migrants au Rwanda manifestent devant le Home Office à Londres, le 13 juin 2022. Crédit : Reuters


Le gouvernement britannique se prépare à expulser ce mardi soir vers le Rwanda un groupe de sept migrants arrivés illégalement au Royaume-Uni. Le vol spécialement affrété pour les exilés concernés doit décoller de Londres et atterrir le lendemain matin à Kigali. Les ONG, vent debout contre le projet, comptent poursuivre le combat devant la justice au mois de juillet.

Lire ICI

« Malgré tous mes efforts, je suis toujours un migrant » : les sans-papiers, angle mort de la politique marocaine

Une vue de la ville de Tanger au Maroc. Crédit : DR


Il y a près de dix ans, le Maroc lançait sa Stratégie nationale d’immigration et d’asile. Le texte, inédit, garantissait des droits supplémentaires aux migrants en situation régulière et aux réfugiés. Il avait par ailleurs été suivi de deux vagues de régularisation des sans-papiers. Depuis, si la situation des exilés en règle s’est quelque peu améliorée, les migrants sans-papiers, eux, sont totalement laissés de côté par les autorités.

Lire ICI

Dans le nord-est de Paris, les migrants confrontés à un éternel retour à la rue

Depuis un peu moins d’un mois, 80 personnes environ se sont installées dans ce camp informel situé au bord du périphérique parisien, porte de Pantin. Crédit : InfoMigrants


Moins d’un mois après l’évacuation du « camp du Cheval noir », Shafiq, Talib Hussain, Reda et Douaa, sont revenus dormir non loin de la porte de Pantin, dans le nord-est parisien. Aucun d’eux n’a été pris en charge, ni relogés lors de la « mise à l’abri » des autorités. Ils vivent à nouveau dans des tentes, sur un terrain qui n’est doté d’aucun équipements sanitaires. Comme environ 80 autres personnes, ils tentent de survivre dans cet énième camp informel aux portes de la capitale.

Lire ICI

Royaume-Uni : des tentatives de suicide chez des migrants menacés d’expulsion vers le Rwanda

Des migrants escortés par la Border Force britannique dans le port de Douvres après avoir traversé la Manche, le 1er mai 2022. Crédit : Reuters


Les associations britanniques s’alarment de plusieurs tentatives de suicide chez des migrants qui pourraient être envoyés au Rwanda pour le traitement de leur demande d’asile. Londres et Kigali ont en effet signé le mois dernier un accord prévoyant d’externaliser l’asile sur le continent africain. Un premier vol est prévu le 14 juin, selon le Home Office. Les associations britanniques multiplient les recours en justice pour annuler ces expulsions.

Lire ICI

et encore dans l’actualité

Surpopulation carcérale : la Contrôleuse générale des prisons dénonce « l’inacceptable retour à son niveau d’avant Covid-19 »

Des associations et personnalités demandent à Emmanuel Macron de « faire de l’éducation à l’information une grande cause nationale »

La Défenseure des droits demande un plan d’urgence pour la santé mentale des jeunes

« Sortez nos enfants de ces camps de la mort lente » : un grand-père demande à la France de rapatrier sa petite-fille, orpheline de jihadistes

Des migrants manifestent devant le centre d’accueil de Melilla pour dénoncer les « violences systématiques » des gardiens