Le nombre de déplacés de force dans le monde atteint le chiffre record de 120 millions



Le monde comptait un nombre record de 120 millions de déplacés de force à la fin avril, un nombre qui ne cesse d’augmenter et « un terrible réquisitoire sur l’état du monde », dénonce l’ONU, ce jeudi 13 juin.

Les guerres à Gaza, au Soudan et en Birmanie ont fortement contribué à augmenter le cortège de gens forcés de fuir leur lieu de résidence depuis plus d’un an, a souligné le Haut-Commissariat pour les réfugiés (HCR) dans son rapport annuel. « La guerre reste le grand moteur de déplacements massifs », a expliqué le chef du HCR, Filippo Grandi, lors d’un point de presse à Genève.

Dans Gaza assiégée, la malnutrition, lot quotidien des habitants



Gaza reste sous les bombes israéliennes. Le territoire palestinien est assiégé et l’aide humanitaire n’entre quasiment plus. La principale conséquence est une nouvelle fois, la malnutrition, devenue le quotidien des Gazaouis. 

Au Proche-Orient, un plan de cessez-le-feu est toujours sur la table pour tenter de mettre un terme à la guerre à Gaza et obtenir la libération des otages israéliens. Le Hamas qui ne l’accepte pas, reste silencieux, mais ne le rejette pas non plus. De son côté, le Premier ministre israélien reste ambigu. Il semble approuver le plan auprès de ses alliés occidentaux, mais refuse de l’endosser officiellement dans son pays, de peur de précipiter la chute de son gouvernement. Ses ministres d’Extrême droite exigent en effet la poursuite des combats. En attendant, la situation humanitaire continue de se détériorer à Gaza. Faute de pouvoir avoir accès à une aide suffisante, ses habitants sont à nouveau exposés à la malnutrition.



Reconnaissance de l’Etat palestinien : qu’attendez-vous monsieur Macron ? 230 artistes lancent un appel


Plus de 230 artistes, dont Léna Situations, Renaud, DJ Snake, Leïla Bekhti et Angèle, interpellent Emmanuel Macron pour que la France reconnaisse officiellement l’Etat de Palestine, comme l’ont déjà fait 146 autres pays.

Depuis la terrible attaque du Hamas du 7 octobre 2023 causant la mort de plus de 1 100 Israéliens, majoritairement civils, et la prise d’otages de 252 personnes, dont 121 sont encore détenues par le Hamas, les habitants de Gaza subissent des bombardements quotidiens. Il y a quelques jours, deux camps de réfugiés ont été ciblés à Rafah et nous avons en tête des images qui nous empêchent de dormir la nuit. Pourtant, malgré le tollé international, Israël continue le massacre.





Troyes : rassemblement pour la paix


Le rassemblement devant la préfecture est maintenu ce jour à 18h bien que le rendez-vous, prévu ce jour, avec la Préfète pour la remise de la pétition par une délégation du Collectif Aubois pour la Paix, soit annulé.

Ce rassemblement est porté par LFI, les associations et les citoyens qui entendent apporter leur soutien pour demander l’arrêt des bombardements, un cessez-le-feu immédiat, l’arrêt des ventes d’armes et l’acheminement de l’aide humanitaire aux Gazaouis.

Le rendez-vous est fixé ce jour à 18h et non 17h comme initialement prévu, devant la préfecture.

Nous invitons celles et ceux qui le souhaitent à s’associer au rassemblement à titre individuel.

D’autres actions seront prochainement organisées au nom du Collectif. Nous vous tiendrons informés dès que possible.

Gaza : Comment Israël et l’Egypte décident de qui va survivre – Enquête sur les « listes de la honte »



Alors que deux millions de Palestiniens sont désormais piégés dans la bande de Gaza, complètement fermée par Israël, Meriem Laribi et Maïlys Khider sont allées à la rencontre de ces Gazaouis qui ont réussi à fuir.

Quitter leur pays est devenu l’unique moyen de survivre. Or, la seule voie de sortie reste le point de passage de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, géré par une coordination entre l’Egypte et Israël. Depuis l’attaque meurtrière du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, sortir de Gaza est impossible sans l’autorisation expresse d’Israël.



Gaza : sans la fin des hostilités, les seules négociations sur l’aide humanitaire sont dilatoires et cosmétiques


L’ampleur de la catastrophe n’est plus à démontrer. Il aura fallu la mort dramatique de 7 volontaires de l’ONG nord-américaine « World Central Kitchen » pour que les lignes commencent à bouger sur les flux d’aide humanitaire. Le débat qui se concentre sur les modalités de l’aide apportée et sur les alternatives aux approvisionnements massifs par voie terrestre est pourtant en trompe-l’œil



146 pays membres de l’ONU reconnaissent l’Etat palestinien


Avec l’annonce de l’Espagne, l’Irlande et la Norvège, 146 des 193 pays membres de l’Organisation des Nations unies reconnaissent officiellement l’Etat de Palestine.

L’Espagne et l’Irlande, membres de l’Union européenne (UE), ainsi que la Norvège ont annoncé, mercredi 22 mai, reconnaître officiellement l’Etat de Palestine.

L’Autorité palestinienne se prévaut maintenant de la reconnaissance de la Palestine comme Etat indépendant par 146 pays, soit près de 75 % des 193 Etats membres de l’Organisation des Nations unies (ONU). Pour le moment, aucun pays occidental du G20 n’a franchi le pas.



Reconnaissances d’un État palestinien en Europe : quelles conséquences ?



Ce mercredi, trois pays européens ont annoncé la reconnaissance d’un État palestinien. Ils rejoignent neuf autres pays sur le continent. Mais que faut-il attendre de ces reconnaissances ? S’agit-il d’un acte purement symbolique, ou d’un « moment historique » comme le disent les responsables politiques palestiniens ? Analyse.



«Le noyau dur du refus est en train de se fissurer»


L’Irlande, l’Espagne et la Norvège ont annoncé leur intention de reconnaître un État de Palestine. Furieux, Israël a rappelé plusieurs de ses ambassadeurs. Le Premier ministre irlandais espère convaincre d’autres pays européens de faire de même, mais les Vingt-Sept sont divisés. Qu’est-ce que cette décision pourrait changer sur la scène internationale ? L’analyse de Jean-Paul Chagnollaud, président de l’Iremmo et professeur émérite des universités. Il est co-auteur de Le rendez-vous manqué des peuples – De l’échec des révolutions populaires aux dérives populistes, aux éditions Autrement.



Après l’annonce groupée de trois pays européens, Joe Biden se dit opposé à la « reconnaissance unilatérale » d’un Etat palestinien


L’Espagne, la Norvège et l’Irlande ont annoncé mercredi qu’ils allaient officiellement reconnaître l’Etat de Palestine. Une décision qui fait fulminer l’Etat hébreu, alors que la France estime que les conditions ne sont « à ce jour » pas réunies.

Le président des Etats-Unis, Joe Biden, « pense qu’un Etat palestinien doit voir le jour au travers de négociations directes entre les parties, non par la reconnaissance unilatérale », a déclaré mercredi une porte-parole de la Maison Blanche, en réaction à la décision de trois pays européens de reconnaître l’Etat de Palestine.



« Joe Biden pourrait être poursuivi par la Cour pénale internationale », affirme Patrick Baudouin, président honoraire de la LDH


La Cour pénale internationale a émis des mandats d’arrêt lundi contre des dirigeants du Hamas et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour des crimes de guerre et crimes contre l’humanité présumés. Selon Patrick Baudouin, président d’honneur de la Ligue des Droits de l’Homme, Joe Biden pourrait être considéré comme complice et lui aussi être poursuivi par le TPI. Interview.



Pendant ce temps, des colons détruisent les aides pour Gaza


Un nouveau convoi de camions transportant de l’aide humanitaire pour #Gaza a été bloqué par des colons qui ont détruit les colis, le 13 mai, au point de passage de #Tarqumia, en Cisjordanie. Deux activistes israéliennes pour la paix ont tenté de s’interposer. Elles les ont confrontés, prenant des soldats de l’armée israélienne à témoin, et ont tout filmé.



EN DEMANDANT DES MANDATS D’ARRÊT, LE PROCUREUR NE SE SUBSTITUE PAS AUX SYSTÈMES NATIONAUX


La démarche de Karim Khan à l’encontre des Premier ministre et ministre de la Défense israéliens n’empiète pas sur la souveraineté judiciaire d’Israël. L’État hébreu peut d’ailleurs toujours se saisir de la procédure.



Gaza: le pire comme le meilleur

Tsav 9, le collectif radical israélien qui cible l’aide humanitaire vers Gaza



La police israélienne a annoncé, mardi, l’ouverture d’une enquête après le blocage et le saccage, la veille, de sept camions d’aide humanitaire en provenance de Cisjordanie occupée et à destination de la bande de Gaza. Plusieurs médias israéliens pointent la responsabilité de Tsav 9. Créé en janvier dernier, ce collectif radical soutenu par l’extrême droite revendique de multiples blocages visant l’enclave palestinienne tant que les otages israéliens encore retenus ne seront pas libérés.

Des sacs de céréales, de riz et de farine vidés ou jetés au sol et piétinés. C’est ce qu’il est advenu, lundi 13 mai, des marchandises de camions chargés d’aide humanitaire en direction de Gaza. Des dizaines de militants non identifiés, parmi lesquels de nombreux adolescents et jeunes hommes selon l’AFP, ont dévalisé ces camions en Israël, peu après le point de passage de Tarqumiya avec la Cisjordanie occupée, à proximité du village israélien de Shekef.



All eyes on Gaza : les artistes s’engagent pour les enfants de Gaza



Les artistes se mobilisent en faveur des enfants de Gaza, un territoire dévasté par plus de 200 jours de conflit depuis les attaques du 7 octobre 2023. Les chiffres sont accablants : près de 35 000 personnes auraient perdu la vie, tandis que 80 000 autres auraient été blessées, dont plus de 12 000 enfants. Nos estimations révèlent qu’un enfant est blessé ou tué toutes les dix minutes.

Ainsi, ensemble, sous l’impulsion du groupe Shaka Ponk, des dizaines d’artistes, humoristes, chanteurs, journalistes, animateurs, acteurs, lancent le mouvement « All eyes on Gaza ». Cette généreuse initiative vise à collecter des fonds au profit de l’UNICEF pour les enfants de Gaza. Les fonds sont tous alloués au financement des actions de l’UNICEF et de ses partenaires à Gaza en termes d’eau, d’hygiène, de santé, de nutrition, de santé mentale et de protection pour soulager les souffrances des enfants et de leur famille.

Action collective

14 mai 2024

Atteintes aux droits des mineurs isolés en France : 27 associations saisissent le Conseil d’État 

Vingt-sept organisations saisissent le Conseil d’État pour contraindre les autorités françaises à mettre le dispositif de mise à l’abri et d’évaluation des mineurs isolés en conformité avec les exigences posées par la Convention internationale des droits de l’enfant.

Dans une décision du 25 janvier 2023, le Comité des Nations Unies pour les Droits de l’Enfant, composé de dix-huit experts indépendants chargés de surveiller la mise en œuvre de la Convention internationale des droits de l’enfant, a conclu que la France avait violé plusieurs dispositions de ce texte. Après avoir constaté que l’âge d’un mineur isolé avait été évalué de façon trop sommaire et qu’il avait été laissé sans protection durant toute la procédure, le Comité a demandé à la France de prendre, dans un délai de 180 jours, les mesures nécessaires pour que ces violations ne se reproduisent plus.

Malgré les demandes formulées par l’ONU et relayées à de nombreuses reprises par nos organisations, aucune mesure n’a été prise par le gouvernement pour remédier à ces violations. Au contraire, nous constatons qu’elles perdurent, s’amplifient et s’aggravent sur l’ensemble du territoire.

Dans les derniers mois, plusieurs conseils départementaux ont ainsi décidé, en toute illégalité, de suspendre l’accueil et la prise en charge de nouveaux mineurs non accompagnés arrivés sur leur territoire ou qui leur sont confiés par le juge des enfants. Les documents d’état civil présentés par les enfants pour attester de leur minorité sont souvent écartés ou jugés insuffisants, sans pour autant que leur soit proposée une aide pour récupérer des actes valides auprès des autorités de leur pays. Contrairement aux exigences des textes internationaux, la France persiste à ne pas désigner de représentant légal chargé de les assister durant toute la procédure. Cette situation est source de grande insécurité pour ces enfants qui sont souvent victimes d’erreurs d’appréciation. Elle conduit à les écarter des dispositifs de protection.

Enfin, des centaines d’enfants et adolescents continuent d’être laissés à la rue pendant plusieurs mois entre la décision de refus de protection des départements et celle du juge des enfants qui reconnaît finalement leur minorité et leur isolement. Une enquête menée en mars 2024 comptabilise à cette date au moins 3 477 mineurs isolés à la rue en France hexagonale.

Cette situation résulte de l’inertie du gouvernement et de son refus de prendre les dispositions nécessaires pour se conformer aux recommandations du Comité des droits de l’enfant. Il est urgent qu’il réforme le dispositif de mise à l’abri et d’évaluation des mineurs isolés dans ce sens. A défaut, nous attendons du Conseil d’État qu’il reconnaisse l’inconventionnalité du dispositif actuel et qu’il enjoigne l’État à prendre toutes les mesures nécessaires pour garantir pleinement l’intérêt supérieur de ces enfants et le respect de leurs droits fondamentaux.

http://www.gisti.org/

Signataires :

  • Aadjam
  • AADH
  • ADDE
  • ADMIE
  • ANAS
  • Apprentis d’Auteuil
  • Cimade
  • CNAPE
  • Cofrade
  • Comede
  • DEI-France
  • Droit à l’école
  • ECPAT France
  • Fasti
  • Fondation Abbé Pierre
  • Gisti
  • InfoMIE
  • Ligue des Droits de l’Homme
  • Médecins du Monde
  • Médecins Sans Frontières
  • Safe Passage International
  • Secours Catholique Caritas France
  • Syndicat de la Magistrature
  • UNICEF France
  • Uniopss
  • Utopia 56

Dans le nord de la bande de Gaza, l’aide humanitaire entre mais la situation reste critique


Deux semaines après l’annonce d’Israël, sous pression internationale, d’ouvrir un point de passage supplémentaire entre son territoire et le nord de la bande de Gaza, la situation dans la moitié nord commence à s’améliorer mais reste encore très critique.


Des dizaines de corps exhumés dans la cour d’un hôpital de Khan Younès


Des dizaines de corps ont été découverts enterrés dans la cour d’un hôpital situé dans le sud de la bande de Gaza qui avait fait l’objet d’un raid israélien, a indiqué dimanche la Défense civile de Gaza. L’armée israélienne a indiqué procéder à la vérification de ces affirmations. 

Les corps d’une cinquantaine de Palestiniens enterrés dans la cour d’un hôpital de Khan Younès. C’est la macabre découverte faite selon la Défense civile de Gaza qui a annoncé avoir exhumé plusieurs dizaines de cadavres.


Troyes : nouvelle mobilisation le samedi 27 avril


Rassemblement à 10h30 place Jean-Jaurès à l’appel du Collectif de l’Aube pour une paix juste et durable.

Le 1er Mai, le collectif sera présent au rassemblement et proposera une vente de tee-shirts au profit des victimes palestiniennes ainsi que la pétition qui est toujours ouverte et que vous pourrez encore signer si ce n’est déjà fait.

Celle-ci est également toujours en ligne ICI

L’aide humanitaire pour Gaza bloquée

Des millions de personnes à Gaza risquent la famine. Pourtant ce n’est pas l’aide humanitaire qui manque

Des centaines de tonnes de nourriture ou de matériel médical restent bloquées dans des entrepôts, ou sont refusées à la frontière plutôt que de se rendre à Gaza. Refugees International estime qu’en refusant arbitrairement l’entrée à l’aide humanitaire et en n’assurant pas la sécurité de ses travailleurs, Israël ne se conforme pas au jugement de la Cour internationale de Justice.

Source

L’offensive militaire israélienne se poursuit dans la bande de Gaza


Des bombardements israéliens ont de nouveau frappé vendredi la bande de Gaza, territoire palestinien assiégé dont la population fait face à une « famine imminente » selon le Programme alimentaire mondial (PAM), près de six mois après le début de la guerre avec le Hamas.

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Israël sommé par la CIJ de laisser passer l’aide humanitaire


« Il n’y a plus aucun moyen sûr de distribuer l’aide » : au nord de Gaza, l’acheminement chaotique des convois humanitaires


Les enfants, premières victimes de l’horreur


Choses vues en Israël & Palestine, 1986, avant la Première Intifada


Les livraisons d’armements à Israël dans le viseur du mouvement de solidarité avec Gaza


Troyes

À l’appel du Collectif national de la journée de la terre palestinienne, la LDH appelle à s’associer à la manifestation organisée à Troyes le samedi 30 mars

Rassemblement à 10H30 Place Jean Jaurès

Signez la pétition qui interpelle le gouvernement pour qu’il:

  • interdise effectivement toute livraison d’armes à Israël
  • prenne toute sanction pour imposer que l’aide humanitaire parvienne aux Gazaouis affamés

Israël revoit à la hausse le bilan de son attaque sur l’hôpital Al-Shifa, nouveau raid mortel en Cisjordanie… 


L’essentiel des informations sur la guerre entre le Hamas et Israël ce jeudi.

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À Gaza, les gangs prolifèrent au milieu du chaos de la guerre

À l’ONU, des médecins de retour de Gaza décrivent une situation indicible


Quatre docteurs de Médecins sans frontières, Map et MedGlobal sont venus, mardi 19 mars, à l’ONU raconter ce qu’ils ont vu lors de leurs courts séjours à Gaza. Ils décrivent l’indicible, une situation pire qu’en Syrie, et la destruction du système de santé. 

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Plus de la moitié de la population de Gaza à « un niveau de faim critique »


Comment les enfants affrontent-ils la situation humanitaire « catastrophique » à Rafah ?


Un collectif de chercheurs dévoile une campagne très organisée de dénigrement de l’UNRWA au profit d’Israël

Guerre Israël-Hamas : Tel-Aviv rend impossible l’aide humanitaire à Gaza, dénonce l’ONU


Alors que les civils de la bande de Gaza font face à un risque d’épidémie et à la famine, les forces israéliennes bloquent les convois d’aide humanitaire, tirent sur les véhicules et arrêtent les employés.

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À Gaza, une menace de famine imminente


À Kerem Shalom, ces Israéliens qui s’indignent contre l’entrée de l’aide humanitaire à Gaza


Depuis une semaine, des manifestants israéliens, issus pour beaucoup des milieux de l’extrême droite, sont réunis à Kerem Shalom. C’est par ce point de passage entre Israël et Gaza, qu’entre l’aide humanitaire dans l’enclave palestinienne. Ces militants tentent de bloquer le passage des camions chargés de denrées alimentaires. Des affrontements avec la police israélienne éclatent régulièrement.

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« La plupart de la ville est rasée » : des humanitaires, qui ont pu accéder au nord de la bande de Gaza, décrivent « l’apocalypse »



Cisjordanie : le frère d’un mineur tué par l’armée israélienne témoigne



Mal-logés : l’épuisement des associations, un podcast « coup de poing »


Dans un podcast en forme de coup de poing, l’artiste Catherine Perrocheau donne à entendre l’immense lassitude de ceux qui au quotidien accompagnent les sans-abris, confrontés à leur impuissance grandissante face à l’abandon des pouvoirs publics.

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Soudan, Kurdistan: populations en danger


Au Soudan, la guerre et le choléra

A Lyon, des familles remises à la rue au début de l’épisode de froid


94 personnes, dont 56 enfants, ont été remises à la rue ce lundi à Lyon alors que le plan « grand froid » a été activé dans plusieurs départements.

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« Le plus dur, ce sont les doigts, ils gèlent en premier » : à Paris, des migrants à la rue confrontés à la vague de froid

Gaza : plus de 1,1 million d’enfants menacés par le conflit, la malnutrition et les maladies


Les cas de diarrhée chez les enfants ont augmenté de 50 % en une semaine seulement, et 90 % des enfants de moins de deux ans sont désormais en situation de « pauvreté alimentaire sévère ».

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Massacre à Gaza : L’autre catastrophe humanitaire occultée par les médias


La situation des femmes palestiniennes à Gaza est désastreuse. Leurs droits les plus fondamentaux sont bafoués. Gaza est un petit territoire qui fait partie des endroits les plus peuplés au monde avec 6 090 habitants par km2 contre 450 en Israël.

Depuis le 7 octobre, les conditions des femmes se sont détériorées. Les rares hôpitaux encore ouverts n’arrivent plus à fonctionner dignement… quand on sait qu’il ne reste que 2 médecins et 1 lit d’hôpital pour 1000 habitants. Les opérations comme les accouchements se font sous le flash d’un téléphone, sans anesthésie, sans sage-femme, sans anti-douleurs…

Selon l’ONU, plus de 70% des victimes de cette guerre sont des femmes et des enfants palestiniens. Il y a une recrudescence de maladies respiratoires, de mortinaissances, de pathologies infectieuses, etc. Le fait qu’il n’y ait qu’une toilette pour 160 personnes et une douche pour 700 personnes, fait aussi partie de cette aggravation de l’état sanitaire actuel à Gaza. Les femmes indisposées n’ont pas accès aux protections hygiéniques et les femmes atteintes d’endométriose ne peuvent recevoir les soins nécessaires… S’ajoutent à cela toutes les pathologies psychologiques liées aux traumatismes de guerre.

Source LE MEDIA

Urgence climatique en Somalie : le cri silencieux des enfants


« Tant de dignité, de chagrin, de désespoir et de résignation ». C’est le portrait que dresse Karine, cheffe du service communication à l’UNICEF France lors de sa visite en Somalie. Ces mots résument à eux seuls le drame que vivent des millions de familles.

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