Quarante-cinq personnes ont été blessées, dit l’organisation, qui dénonce des tirs de « gros calibre » près de cette structure entourée de « centaines de civils déplacés vivant dans des tentes ».
Depuis le début du mois de juin, plus de 800 personnes ont été tuées et 2 400 autres blessées par l’armée israélienne, selon le ministère de la santé à Gaza. L’offensive militaire menée par Israël a entraîné plusieurs afflux massifs de blessés dans les structures médicales soutenues par MSF à Rafah et dans le centre de la bande de Gaza.
« Spécialement dédié aux enfants », escale à Brest pour un navire humanitaire en route pour Gaza
Après la manifestation, un repas tiré du sac permettra aux manifestant(e)s de se restaurer dans le partage avant de rejoindre le rassemblement contre l’extrême-droite à 13 h 30 place Jean-Jaurès.
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Selon les enquêteurs onusiens, les autorités israéliennes et « la branche militaire du Hamas et six autres groupes armés palestiniens » sont « responsables » de « crimes de guerre ».
3000 enfants risquent de « mourir sous les yeux de leurs familles »
Les déplacements, les attaques contre les services de santé et les difficultés d’accès à l’aide humanitaire aggravent la situation nutritionnelle déjà désespérée des enfants de Gaza.
Près de 3 000 enfants sont privés de traitement contre la malnutrition aiguë, modérée et sévère dans le sud de la bande de Gaza, ce qui les expose à un danger de mort, tandis que la violence et les déplacements continuent de nuire à l’accès des familles désespérées aux établissements de soins et aux services de santé.
Des munitions à explosion aérienne ont été utilisées illégalement dans des zones peuplées.
L’utilisation généralisée par Israël de munitions au phosphore blanc dans le sud du Liban y met les civils en danger et mène au déplacement d’habitants, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. Human Rights Watch a vérifié l’utilisation de munitions au phosphore blanc par les forces israéliennes dans au moins 17 municipalités du sud du Liban depuis octobre 2023, dont cinq municipalités où des munitions à explosion aérienne ont été utilisées illégalement au-dessus de zones résidentielles peuplées.
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Des bombardements aériens et des tirs d’artillerie ont visé mardi la bande de Gaza du nord au sud, où Israël poursuit sans répit son offensive contre le Hamas après l’annonce de la mort de quatre otages tués dans le territoire palestinien.
Malgré les appels au cessez-le-feu venus du monde entier, les exigences contradictoires des deux camps semblent vouer à l’échec un plan présenté vendredi par le président américain, Joe Biden, après bientôt huit mois de guerre.
Près d’un mois après le début d’une offensive terrestre sur Rafah, une ville frontalière avec l’Egypte dans le sud du territoire, présentée par Israël comme l’étape finale de sa guerre contre le Hamas, les combats ont repris à travers la bande de Gaza.
La trêve à Gaza au Conseil de sécurité de l’ONU, incendies en Israël… L’actu du conflit au Proche-Orient
Les Etats-Unis ont annoncé lundi soir un projet de résolution du Conseil de sécurité des Nations unies pour soutenir l’accord de cessez-le-feu dans la bande de Gaza présenté par le président Joe Biden le 31 mai. «De nombreux dirigeants et gouvernements, y compris dans la région, ont appuyé ce plan et nous appelons le Conseil de sécurité à se joindre à eux pour appeler à [sa] mise en œuvre sans délai et sans nouvelles conditions», a déclaré l’ambassadrice américaine à l’ONU, Linda Thomas-Greenfield. Le projet de texte note qu’une application «rapide» de l’accord permettrait «un cessez-le-feu, le retrait des forces israéliennes des zones peuplées de Gaza, la libération des otages, une augmentation de l’aide humanitaire, le rétablissement des services de base et le retour des civils palestiniens dans le nord de Gaza». Il soutient aussi la solution à deux Etats. Lundi, les pays du G7 ont par ailleurs annoncé soutenir ce plan de cessez-le-feu, et demandé au Hamas de l’accepter.
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Tous les hôpitaux de Rafah, bombardé sans relâche, sont désormais hors service
Les bombardements israéliens sont incessants sur Rafah. Cette ville du sud de la bande de Gaza est devenue l’épicentre de la guerre, un million de personnes l’ont fuie depuis début mai et le lancement de l’offensive terrestre israélienne. C’est un désastre humanitaire dans cette région qualifiée d’ « enfer sur terre » par l’ONU. Tous les hôpitaux de Rafah ont fermé, assurent les Gazaouis.
« All eyes on Rafah » : une image de l’IA envahit les réseaux sociaux
L’image a fait le tour des réseaux sociaux et tout particulièrement d’Instagram après les bombardements israéliens sur des camps de réfugiés à Rafah.
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L’armée israélienne bombarde ce mercredi 29 mai Rafah, grande ville du sud de la bande de Gaza où elle a déployé ses chars, tandis qu’à l’ONU un projet de résolution se prépare pour tenter « d’arrêter » les violences sur place après un bombardement qui a suscité une vague mondiale d’indignation.
« Aujourd’hui, il n’y a plus d’hôpital fonctionnel à Rafah », s’inquiètent des humanitaires
Des chars israéliens sont entrés dans différents secteurs de cette ville, devenue le nouveau point de mire de la guerre entre Israël et le Hamas. De quoi faire craindre le pire aux ONG que franceinfo a pu joindre sur place.
« La CIJ n’est pas suffisante pour mettre fin aux violations du droit international humanitaire »
INTERVIEW Alors que les frappes israéliennes à Rafah interviennent quelques jours après une décision de la Cour internationale de Justice, le droit international est-il devenu impuissant ? Entretien avec le juriste Pascal Turlan, ex-conseiller à la Cour pénale internationale.
sraël poursuit ce mercredi 29 mai son offensive à Rafah, malgré les condamnations internationales, après le bombardement meurtrier d’un camp de réfugiés de la ville du sud de la bande de Gaza dans la nuit de dimanche à lundi. Une frappe qui a fait 45 morts et 249 blessés, selon le ministère de la Santé du territoire palestinien. Mardi, une nouvelle frappe israélienne sur un autre camp de réfugiés de Rafah a tué 21 personnes, d’après la Défense civile de Gaza.
Jabaliya, dans le nord de l’enclave, sous le feu de l’armée israélienne
Tous les regards sont braqués sur Rafah. Cette grande ville du sud de la bande de Gaza a été meurtrie par de violentes frappes aériennes israéliennes dimanche 26 mai. L’aviation de l’État hébreu y a ciblé un camp de déplacés où au moins 45 personnes ont été tuées. Un véritable carnage : des corps décapités et calcinés de femmes et d’enfants, ont été sortis des décombres. Le président Emmanuel Macron se dit « indigné ». Israël affirme « avoir ciblé un complexe du Hamas », tout en indiquant ouvrir une enquête. Mais la guerre ne s’arrête pas pour autant. Rafah dans le sud, mais aussi Jabaliya dans le nord de la bande de Gaza, restent sous le feu des tirs israéliens.
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Selon les autorités palestiniennes, la frappe israélienne sur un camp de Rafah dans l’extrême sud de la bande de Gaza ont fait au moins 40 morts.
« Cette frappe illustre encore une fois le mépris total de l’armée israélienne pour les vies civiles », a dénoncé lundi 27 mai sur franceinfo Guillemette Thomas, coordinatrice médicale mission Palestine pour Médecins sans frontières France alors que l’État hébreu a frappé un camp près de Rafah faisant plusieurs dizaines de morts. La présidence palestinienne évoque un « atroce massacre ».
Benyamin Nétanyahou qualifie la frappe israélienne sur un camp de déplacés à Rafah d' »incident tragique »
Le Premier ministre israélien a précisé qu’une enquête était en cours pour lever le voile sur les circonstances de cette frappe qui a fait au moins 45 morts selon les autorités palestiniennes.
RSF dépose une troisième plainte devant la Cour pénale internationale pour crimes de guerre commis par Israël contre des journalistes
Dans sa troisième plainte déposée devant la plus haute cour de justice internationale, la Cour pénale internationale (CPI), Reporters sans frontières (RSF) appelle le procureur à enquêter sur des crimes commis contre au moins neuf reporters palestiniens entre le 15 décembre 2023 et le 20 mai 2024, et plus largement à se saisir des plus de 100 journalistes tués par l’armée israélienne à Gaza.
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Alors que deux millions de Palestiniens sont désormais piégés dans la bande de Gaza, complètement fermée par Israël, Meriem Laribi et Maïlys Khider sont allées à la rencontre de ces Gazaouis qui ont réussi à fuir.
Quitter leur pays est devenu l’unique moyen de survivre. Or, la seule voie de sortie reste le point de passage de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, géré par une coordination entre l’Egypte et Israël. Depuis l’attaque meurtrière du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, sortir de Gaza est impossible sans l’autorisation expresse d’Israël.
Gaza : sans la fin des hostilités, les seules négociations sur l’aide humanitaire sont dilatoires et cosmétiques
ISRAËL-HAMAS : POURQUOI LA CPI PEUT POURSUIVRE NETANYAHOU
Contrairement à ce qu’affirment les États-Unis, la Cour pénale internationale a bien juridiction sur Israël, même si le pays n’a pas ratifié le statut de la Cour. En cas de validation du mandat d’arrêt, qui vise aussi le ministre de la défense israélien et trois dirigeants du Hamas, le chef de l’État hébreu ne bénéficierait d’aucune immunité.
L’environnement, victime silencieuse de la guerre à Gaza
Pollution des sols, sources d’eau contaminées, champs dévastés. En plus du lourd bilan humain, le préjudice écologique subi par les habitants de Gaza est immense. Des observateurs soulignent la nécessité de criminaliser la destruction de l’environnement à des fins militaires.
Le procureur de la Cour pénale internationale, Karim Khan, a demandé lundi 20 mai l’émission de mandats d’arrêt contre des hauts responsables d’Israël et des dirigeants du Hamas. Qu’est-ce que cela signifie concrètement et quelles sont les chances de voir ces personnes sur le banc des accusés à La Haye ? Entretien avec Johann Soufi, ancien directeur du bureau juridique de l’Unrwa dans la bande de Gaza.
Paris soutient la CPI après les mandats requis contre Netanyahu, Gallant et trois chefs du Hamas
La France « soutient la Cour pénale internationale » dont le procureur a réclamé des mandats d’arrêt contre des dirigeants israéliens, dont le Premier ministre Benjamin Netanyahu, et du mouvement islamiste palestinien Hamas, a indiqué le Quai d’Orsay dans la nuit de lundi à mardi.
« Cela montre qu’il n’y a pas de dirigeant au-dessus des lois », souligne un avocat spécialiste du droit international
La Cour pénale internationale a demandé des mandats d’arrêt contre le Premier ministre israélien, son ministre de la Défense et trois dirigeants du Hamas.
Le premier procès en France de dignitaires du régime de Bachar al-Assad doit s’ouvrir mardi à Paris. À travers l’Europe, de nombreuses procédures sont en cours pour juger les crimes de guerre et crimes contre l’humanité perpétrés par les autorités syriennes.
Alors que trois haut responsables syriens seront jugés à partir de mardi 21 mai – par défaut – par la cour d’assises de Paris, le régime de Bachar al-Assad fait également l’objet d’actions en justice dans d’autres pays européens. État des lieux des procédures en cours.
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Il appartient désormais aux juges de la Cour pénale internationale de déterminer si les conditions sont réunies pour délivrer ces mandats d’arrêt réclamés par le procureur général pour des « crimes de guerre » et « crimes contre l’humanité » dans la bande de Gaza.
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) a déclaré lundi 20 mai avoir demandé un mandat d’arrêt contre le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou, notamment pour des « crimes de guerre » et des « crimes contre l’humanité » commis dans la bande de Gaza. Contrairement à ce que nous avions écrit par erreur dans un premier temps, ces mandats n’ont pas été directement émis par la Cour pénale internationale.
« Sur la base des éléments de preuve recueillis et examinés par mon bureau, j’ai des motifs raisonnables de croire que Benyamin Nétanyahou, le Premier ministre d’Israël, et Yoav Gallant, le ministre de la Défense d’Israël, portent la responsabilité pénale de crimes de guerre et crimes contre humanité commis sur le territoire de l’Etat de Palestine à partir du 8 octobre 2023 au moins », a déclaré dans un communiqué le procureur de la CPI, qui siège à La Haye aux Pays-Bas.
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Tsav 9, le collectif radical israélien qui cible l’aide humanitaire vers Gaza
La police israélienne a annoncé, mardi, l’ouverture d’une enquête après le blocage et le saccage, la veille, de sept camions d’aide humanitaire en provenance de Cisjordanie occupée et à destination de la bande de Gaza. Plusieurs médias israéliens pointent la responsabilité de Tsav 9. Créé en janvier dernier, ce collectif radical soutenu par l’extrême droite revendique de multiples blocages visant l’enclave palestinienne tant que les otages israéliens encore retenus ne seront pas libérés.
All eyes on Gaza : les artistes s’engagent pour les enfants de Gaza
Les artistes se mobilisent en faveur des enfants de Gaza, un territoire dévasté par plus de 200 jours de conflit depuis les attaques du 7 octobre 2023. Les chiffres sont accablants : près de 35 000 personnes auraient perdu la vie, tandis que 80 000 autres auraient été blessées, dont plus de 12 000 enfants. Nos estimations révèlent qu’un enfant est blessé ou tué toutes les dix minutes.
La population gazaouie est plongée dans une grave crise humanitaire. 34 700 morts, selon le dernier bilan du ministère de la Santé de l’Autorité palestinienne. Assiégés, les civils meurent sous les bombes, et ils perdent la vie également à cause des conséquences de la guerre : malnutrition, manque d’eau, absence de soins.
Comment la ville de Rafah est « compressée de toutes parts » alors qu’Israël se prépare à y lancer une offensive
En l’espace de quelques mois, le chef-lieu du sud de l’enclave palestinienne a accueilli plus d’un million de déplacés de guerre, qui y survivent dans des conditions extrêmement difficiles.
L’armée israélienne a intensifié ce lundi 6 mai ses bombardements sur deux quartiers de Rafah, qu’elle a enjoint tôt le matin ses habitants à évacuer, dans le sud de la bande de Gaza. Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, avait annoncé depuis des semaines une offensive prochaine sur Rafah, qu’il présente comme le dernier grand bastion du mouvement islamiste dans le territoire palestinien.
Les bombardements israéliens, aériens et d’artillerie, « durent depuis la nuit dernière et se sont intensifiés depuis ce matin », a expliqué Ahmed Redwan, un porte-parole de la défense civile palestinienne, précisant que deux des quartiers visés – al-Shuka et al-Salam- figuraient parmi ceux que l’armée israélienne a demandé aux habitants d’évacuer.
« On entend parler des camps mis en place pour les déplacés, mais je ne sais même pas où se trouvent ces supposés camps. »
Medhat Hajjaj raconte:
« L’endroit où je me trouve a subi un bombardement si violent que certains des déplacés ont été touchés par les débris. Une personne dans la tente avoisinante a eu son pied amputé.
Vincent Lemire, historien, spécialiste du Proche-Orient, rappelle que Benyamin Netanyahou et ses ministres disent ouvertement vouloir déporter les habitants de Gaza et ajoute que, par conséquent, « la CPI ne peut pas ne pas se saisir de ce sujet puisque le déplacement volontaire massif de populations civiles est un crime de génocide. »
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150 personnes ont défilé aujourd’hui à Troyes pour une paix juste et durable, en apportant leur soutien aux étudiants, militants et acteurs du débat public qui subissent, en France comme aux Etats-Unis, la répression et l’intimidation politique , en raison de leur positionnement sur le conflit israélo-palestinien.
Le 1er Maià10h Place Jean-Jaurèsà Troyes, le Collectif de l’Aube pour une paix juste et durable sera présent au rassemblement et proposera une vente de tee-shirts au profit des victimes palestiniennes ainsi que la pétition qui est toujours ouverte et que vous pourrez encore signer si ce n’est déjà fait.
Rassemblement à 10h30 place Jean-Jaurès à l’appel du Collectif de l’Aube pour une paix juste et durable.
Le 1er Mai, le collectif sera présent au rassemblement et proposera une vente de tee-shirts au profit des victimes palestiniennes ainsi que la pétition qui est toujours ouverte et que vous pourrez encore signer si ce n’est déjà fait.
Homophobie : l’ex-footballeur Yoann Lemaire contraint d’interrompre une intervention dans un lycée après avoir reçu des insultes
Yoann Lemaire, président de l’association Foot Ensemble, intervient régulièrement dans des établissement scolaires sur la question de l’homophobie. Pour la première fois, il a décidé d’arrêter sa prise de parole, mi-avril, dans un lycée de l’Aube, après avoir entendu des insultes « terribles et inacceptables ».
Pourquoi les habitants de ce quartier de Strasbourg ne veulent pas d’un centre d’hébergement pour sans-abris
Habitants et associations du quartier de la Montagne verte à Strasbourg ont lancé une pétition contre un projet d’hébergement d’urgence souhaité par la ville. Les riverains dénoncent l’absence de concertation et le sabotage organisé d’un espace de vie à l’équilibre social déjà « fragile ».
« Nous organisons une fête de Noël, un nettoyage de printemps, des rencontres autour d’activités. Ici, c’est un petit village avec une identité très précise. «
« Ce nouveau projet risque de faire baisser les prix de l’immobilier et la valeur des appartements. »
« Mes clients n’auront pas le choix, ils devront passer devant le centre, l’image du quartier va forcément s’en ressentir. »
» Et les personnes hébergées ne vont pas être cantonnées à l’intérieur. Elles vont sortir et c’est bien logique. Des gens en situation de détresse et de précarité, cela va créer des problèmes. »
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