Troyes: Journée internationale des droits de l’enfant

La Chapelle Saint-Luc: Journée internationale des Droits de l’ Enfant



Mercredi 19 novembre de 10:00 à 16:30

Centre social Victor-Hugo, 14 rue Bernard Palissy, La Chapelle Saint-Luc

Le Centre Social Victor-Hugo vous invite à venir promouvoir les droits de l’enfant, prévenir la violence et renforcer le vivre-ensemble par des activités ludiques et participatives.

Parmi le déroulement et les activités proposées, un parcours fléché permettra de guider les participants à travers différents espaces dédiés aux droits des enfants :

  • Jeu de l’Oie sur les droits de l’enfant
  • Projection d’une vidéo sur les droits de l’enfant
  • Espace ludothèque et jeux du monde, animés par l’association La Girafe
  • Atelier de dessin collectif pour la création d’une fresque géante représentant l’environnement de vie des enfants
  • Histoire contée et échanges autour des droits et de la protection des enfants
  • Exposition d’affiches sur les droits de l’enfant

L’animation est ouverte à tous les publics : enfants, parents, assistantes maternelles, et aînés.
Les enfants doivent obligatoirement être accompagnés de leurs parents. 

Communiqués de la LDH

Semaine du 10 au 14 novembre


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Mineurs isolés en France



Mineurs isolés en France : « Un enfant devrait être protégé jusqu’à preuve du contraire », rappelle l’ONU.

Dans un rapport publié jeudi, le Comité des droits de l’enfant des Nations unies (CRC) épingle la France pour ses « défaillances » dans la prise en charge des mineurs isolés étrangers. Notamment lors des procédures de recours où les enfants sont « contraints de survivre dans la rue, dans des parcs ou dans des camps de fortune improvisés, sans nourriture ni eau potable en quantité suffisante ».



Un comité de l’ONU alerte sur le traitement des mineurs étrangers et isolés en France.

Jeudi 16 octobre, le Comité des droits de l’enfant des Nations unies a publié un rapport dénonçant les violations « graves et systématiques » des droits des enfants migrants non accompagnés par la France.



L’enfermement des enfants aux frontières est une détention arbitraire !

Le 16 octobre 2025, le Comité des droits de l’enfant des Nations-Unies a publié son rapport d’enquête concernant la violation – par la France – de ses obligations internationales en matière de respect des droits des enfants.



Projets de villages pour mineurs isolés


Les Yvelines veulent construire dix « villages » pour les MNA.

Dans le cadre de la commission d’enquête sur la protection de l’enfance, la question des mineurs non accompagnés est souvent posée. Certains départements doivent accueillir davantage de MNA sachant que le recours à l’hôtel ne peut être que transitoire. Les Yvelines veulent expérimenter une solution controversée.



Interrogations chez les uns et carrément rejet chez les autres.

Des tensions sans précédent dans les Yvelines : la création de centres pour mineurs isolés promet de provoquer des étincelles.



Au point de susciter une pétition...



…et l’intervention de la justice administrative.



Raphaël Cognet, maire de Mantes-la-Jolie, qui se présente volontiers comme un homme de droite modéré encarté depuis quelques mois à Horizons est en fait un maillon du projet Périclès financé par le milliardaire Pierre-Édouard Stérin. 



Les médias les plus à droite en font leurs choux gras, invoquant les inquiétudes des habitants d’un petit village dans les Yvelines



… prévenant que «Ça va être une bombe atomique»



… et évoquant face à un projet décisé « sans concertation », le cri d’alerte de Benoît de Laurens, maire « sans étiquette, indépendants et non encartés » de Chapet, une commune « où il fait bon vivre à 45 mn de Paris ».



Ailleurs, ce n’est plus l’inquiétude des habitants qui est mise en avant mais leur « colère »…



… voire leur « circonspection »…



…ou encore une commune « vent debout » pour « ne pas prendre le risque d’importer la criminalité de Paris dans nos villages »...




Cette pseudo-presse mange-merde est hélas toujours avide de remuer celle dont ces communes tentent désespérément depuis des décennies de se débarasser. On remarquera que certains sujets semblent particulièrement l’y inciter, en particulier lorsqu’il est question d’immigration.

RD

« Entrisme » des Frères musulmans (suite)



Nous faisions récemment état du rapport officiel intitulé « Frères musulmans et islamisme politique en France » qui a été remis au gouvernement le 21 mai 2025

Emmanuel Macron annonce un élargissement des possibilités de sanctions financières, à l’issue d’un nouveau conseil de défense


Pour ce qui demande un changement législatif, le chef de l’Etat a souhaité un texte de loi « pour la fin de l’été » et « qui soit applicable en fin d’année ». Il a également annoncé qu’il recevrait « à l’automne » les représentants du Forum de l’islam de France (Forif).



Cathos intégristes et écoles privées : le véritable « entrisme »


Alors que le gouvernement poursuit ses obsessions islamophobes, la question politique du rôle de l’Église catholique dans la perpétuation des violences sur mineurs est sans cesse écartée. Une laïcité à géométrie variable, qui condamne des milliers d’enfants chaque année.

Droits de l’enfant

Ce travail de longue haleine avait donné lieu le lundi 5 mai dernier à la présentation des réalisations des élèves en deux temps: 14h 30 pour les élèves et 18h30 pour les partenaires officiels au Centre Social Victor-Hugo de La Chapelle Saint-Luc. La LDH de l’Aube et l’association IMAJ étaient intervenues durant l’année scolaire. A l’occasion de cette restitution, les 2 intervenant(e)s de la LDH avaient déclaré:

La Ligue des droits de l’homme est reconnue en tant qu’association de défense et de sensibilisation des droits humains dans toutes les sphères de la vie publique.

Elle est agréée par le ministère de l’Éducation Nationale pour intervenir dans les écoles, les collèges et les lycées. A ce titre, la section de l’Aube intervient depuis de nombreuses années sur les droits fondamentaux, l’égalité femmes/hommes et la prévention des discriminations en allant à la rencontre des élèves pendant le temps scolaire, en appui des activités d’enseignement (dans le cadre des programmes officiels d’Éducation Morale et Civique), et en cohérence avec les projets pédagogiques des professeurs et des établissements.

C’est pourquoi nous avons, sans hésiter, répondu présents pour nous associer au projet sur les droits des enfants et travailler avec les élèves et les enseignants de l’école Jean Jaurès et du collège Albert Camus de La Chapelle-Saint-Luc.

Les droits des enfants participent des droits fondamentaux. Ils résultent d’une volonté impulsée par la communauté internationale relativement récemment, car c’est seulement le 20 novembre 1989 que la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) a été adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies, dans le but de reconnaître et de protéger les droits des enfants.

Ce texte affirme que chaque enfant a le droit :

d’être protégé, nourri, soigné, éduqué, de s’exprimer, d’avoir des loisirs,

d’être protégé de la violence, de la maltraitance et de toute forme d’abus et d’exploitation, contre toutes les formes de discrimination.

d’être entouré et aimé.

Ce texte met en avant des principes majeurs tels que la non-discrimination, l’intérêt supérieur de l’enfant, le droit de vivre et de se développer, et le respect des opinions.

Bien que la plupart des  responsables politiques se sentaient à l’époque concernés par les droit des enfants puisque 193 pays ont ratifié la convention, nous savons tous que ces droits sont encore bafoués partout dans le monde et que de nombreux enfants sont victimes de violences, de maltraitances, sont atteints dans leur corps, sont exploités, sont obligés de travailler très jeunes, sont incorporés de force pour faire la guerre, n’ont pas accès à l’école, à l’eau potable, aux soins …

Et nous savons aussi tous que les filles sont encore plus discriminées que les garçons et que leur situation est dramatique dans de nombreux pays.

Le respect des droits des enfants constitue donc un enjeu majeur et un engagement de tous les jours, au nom de l’égalité des droits pour tous et partout, que ce soit en France ou dans toutes les régions du monde. Il s’agit d’une obligation morale.

Ce projet « Cité éducative » a été une très belle opportunité pour permettre aux élèves de découvrir les droits des enfants, de les connaître, d’échanger et de s’exprimer.

Nous avons travaillé ensemble en comparant ce que vivent les enfants dans différents pays avec ce qu’ils vivent ici, en prenant conscience de la réalité des atteintes portées aux droits des enfants. Nous l’avons fait en abordant les thèmes inhérents au quotidien des enfants : l’eau, la santé, l’alimentation, le logement, la protection, la famille, l’éducation, et enfin l’égalité, qui constitue le fil rouge de l’accès à tous les droits.

Au terme de ce projet, qui nous a mobilisés plusieurs mois, cette exposition témoigne de la qualité et de l’importance de l’investissement des élèves et de leurs professeurs.

L’objectif était de sensibiliser les élèves, mais aussi plus largement de les encourager à communiquer, à faire connaître les droits des enfants autour d’eux. Ces travaux prouvent qu’ils ont compris la nécessité de promouvoir et de sensibiliser tous les publics. Les cartes qui vont faire « circuler » les différents articles de la CIDE également.

Nous pouvons affirmer qu’il s’est agi d’une véritable action citoyenne de jeunes qui ont tous fait preuve de maturité et de motivation.

Merci à tous les élèves, nous avons appris à nous connaître et à établir des relations de confiance. Nous avons eu beaucoup de plaisir à travailler et à réfléchir avec vous. Nous avons aussi beaucoup appris avec vous et nous vous en remercions. Si j’osais, je dirais que nous avons grandi ensemble et vécu une belle aventure !

Et à vous, leurs professeurs, vous avez su préparer et prolonger nos interventions, un grand merci : merci Séverine, merci Myriam, merci Pierre-Louis. Nous pouvons souligner la place qui a été réservée à la création artistique, à l’expression théâtrale et à la littérature pour approfondir la réflexion et porter les messages.

Nous tenons à exprimer également notre gratitude à toutes les personnes qui ont permis la mise en place de ce projet.

Quel que soit notre âge, à nous tous de poursuivre la route au service des droits pour construire une société plus juste, plus solidaire et plus humaine.

Merci        

Nicole et Hubert 




Aujourd’hui, tout ce travail des élèves, des enseignants et des divers intervenants obtient une véritable reconnaissance dans cette consécration par la Ville de La Chapelle Saint-Luc.

La LDH ne compte pas en rester là et poursuivra dès la rentrée prochaine ses interventions en milieu scolaire, convaincue que l’éducation est la clé de voûte de la formation des citoyens de demain.

Un collectif de parents dénonce la « répression systématique » par la force des mobilisations lycéennes



Des parents de lycéens ont annoncé, mercredi 18 juin, vouloir porter plainte suites aux violences policières commises lors de l’occupation du lycée Hélène Boucher, à Paris, le 6 juin 2024. Avec la LDH, ils ont aussi saisi la Défenseure des droits, estimant cette répression « systématique ».



Lycéens victimes de violences policières: la riposte des parents


Lors d’un blocus organisé au lycée Hélène Bouchez à Paris, en juin 2024, plusieurs lycéen·nes ont été victimes de violences policières. Braquage d’arme de poing directement sur les élèves, coups, insultes et menaces : face aux vidéos révélées par Le Monde, le collectif de parents d’élèves demande à être reçu conjointement par la préfecture et le rectorat. Une plainte va être déposée. Reportage photo.




Loi Attal censurée : « Ce n’est pas vraiment une surprise », réagit l’Union syndicale des magistrats


Le Conseil constitutionnel a censuré, jeudi 19 juin, six articles clés de la proposition de loi de Gabriel Attal pour « renforcer l’autorité de la justice à l’égard des mineurs délinquants et de leurs parents », adoptée mi-mai par le Parlement.

Le président de l’USM met également en garde contre la tentation de sacrifier les principes fondamentaux du droit au nom des économies budgétaires : « Sinon, à chaque fois, on perd un peu plus de cohérence ». Le Conseil constitutionnel a retoqué les comparutions immédiates dès 16 ans en cas de récidive. « Cet outil existe déjà. Utilisons à plein les outils dont on dispose avant de commencer à envisager d’autres », affirme-t-il.





Éduquer au consentement permet-il de réduire les violences sexuelles ?



La notion de consentement vient d’être ajoutée dans la définition légale du viol, et dans les programmes d’éducation. Mais, comme ailleurs Europe, la question n’est que rarement reliée aux droits des femmes. Ce qui en affaiblit la portée.

« Nous avons besoin de transmettre l’apprentissage du respect du consentement et de l’égalité dès l’école », mentionne la proposition de loi française relative à l’introduction du consentement dans le Code pénal, adoptée à l’Assemblée nationale en mars. Pour le moment, faute de moyens et de personnel formé, les trois séances annuelles d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle prévues par le Code de l’éducation sont dispensées de manière très inégale sur le territoire.

Affaire Bétharram : François Bayrou « a menti à l’Assemblée nationale » et son « audition sous serment permet de le constater », estime le corapporteur Paul Vannier



Le Premier ministre a été entendu pendant plus de cinq heures par la commission d’enquête parlementaire sur les violences scolaires.

Au lendemain de la longue audition de François Bayrou par la commission d’enquête parlementaire sur l’affaire Bétharramles réactions sont partagées. Selon le député insoumis Paul Vannier, corapporteur de la commission, cette audition sous serment « permet de constater » que le Premier ministre « a menti avant », devant « l’Assemblée nationale », car il a reconnu « enfin être informé ».



François Bayrou dénonce une tentative de « l’obliger à démissionner »


Entendu mercredi à l’Assemblée nationale dans le cadre de l’affaire Bétharram, un établissement catholique béarnais accusé d’avoir été le théâtre de violences, y compris d’agressions sexuelles, sur des élèves, François Bayrou a considéré que son audition avait pour but de le « coincer » pour l' »obliger à démissionner ».



Bayrou, l’indignité politique au service du déni


Au cours de son audition, mercredi 14 mai, le premier ministre a caricaturé la commission d’enquête en « tribunal » et ses membres en juges. Une posture indigne alors que les victimes de violences sexuelles, elles, réclament des politiques publiques concrètes, des moyens et des réparations.

Mobilisation des 400 000



Le jeudi 15 mai, partout en France, mobilisation pour sauver la protection de l’enfance. Cette journée s’inscrit dans le prolongement de la publication du rapport de la commission d’enquête sur les manquements des politiques publiques de la protection de l’enfance et de l’appel du Défenseur des droits, qui somme l’Etat de mettre en œuvre des mesures concrètes d’ici fin mai pour sortir le secteur de la crise. Lire l’appel

Relire notre article du 9 avril 2025

Aide sociale à l’enfance : une plainte contre la France déposée auprès du Comité des droits de l’enfant de l’ONU



L’avocate et ancienne enfant placée Sara Després a fait savoir, samedi 12 avril, dans un communiqué de presse qu’elle avait déposé plainte contre la France auprès du Comité des droits de l’enfant de l’ONU « aux fins d’ouverture d’une procédure d’enquête ». Cette plainte fait suite aux conclusions de la commission d’enquête parlementaire qui estimait dans son rapport final publié, mardi 8 avril, que la protection de l’enfance en France est « aujourd’hui dans le gouffre ».

Politique de protection de l’enfance : un « système à bout de souffle » dénoncé par une commission d’enquête à l’Assemblée nationale



« Une politique qui navigue à vue », « une honte absolue », « une situation dramatique » : les conclusions de la commission d’enquête sur les manquements de la politique de protection de l’enfance ont été présentées hier matin à la presse. Les députés attendent que l’État prenne ses responsabilités.

Après 83 heures d’audition et pas moins de 126 personnes auditionnées, la commission d’enquête sur les manquements de la politique de protection de l’enfance de l’Assemblée nationale a présenté, hier, son rapport faisant état d’un « système à bout de souffle »  et d’une « République qui a failli à protéger nos enfants ». 



Aide sociale à l’enfance : « Il manque 30 000 postes », alerte la députée socialiste Isabelle Santiago


La rapporteuse de la commission d’enquête parlementaire sur l’aide sociale à l’enfance appelle à un « électrochoc » pour améliorer la situation.

« La protection de l’enfance est dans le gouffre », souligne, mardi 8 avril, sur franceinfo, la députée socialiste Isabelle Santiago, rapporteuse de la commission d’enquête parlementaire pour refonder l’aide sociale à l’enfance (ASE). Le dispositif est confronté à une augmentation des besoins et à « un manque d’attractivité des métiers », ajoute l’élue. Résultat, souligne la commission parlementaire, les enfants sont accueillis en « sureffectif », des mesures de placement ne sont pas exécutées faute de place suffisante et les professionnels sont « en perte de sens ». « Il manque 30 000 postes », alerte la rapporteure, estimant qu’« on a besoin de changer totalement de paradigme ».

Justice des mineurs : le texte répressif de Gabriel Attal arrive à l’Assemblée nationale



Dans un contexte de tensions autour de la violence des mineurs, les députés vont commencer à examiner ce mercredi 12 février la proposition de loi déposée par l’ancien Premier ministre. Le texte, rempli de mesures répressives, suscite inquiétudes et contestations.



« La justice des enfants repose sur le principe de l’éducabilité » : les juges et les éducateurs vent debout contre la comparution immédiate des mineurs


C’est l’un des articles controversés de la proposition de loi de Gabriel Attal pour faire évaluer la justice des mineurs. Il avait été retiré par la gauche lors du travail en commission parlementaire. Le bloc central mise sur le passage dans l’hémicycle mercredi pour qu’il revienne dans la proposition de loi.



Justice des mineurs : « La rapidité et l’efficacité, on l’a déjà », affirme un syndicaliste de la Protection judiciaire de la jeunesse


Mathieu Moreau, éducateur à la Protection judiciaire de la jeunesse, déplore « l’affichage politique » de la proposition de loi pour durcir la justice des mineurs examinée à l’Assemblée. Il réfute tout aggravation de la violence des jeunes. « En fait, on surmédiatise ».




« L’appel de plus de 100 organisations pour un grand ministère de l’enfance : « Les enfants devraient être les premiers à être protégés par l’action publique » » publiée dans Le Monde



Un nouveau texte sur la délinquance des mineurs : pour quoi faire ?


La proposition de loi (n° 448) visant à restaurer l’autorité de la justice à l’égard des mineurs délinquants et de leurs parents arrive en séance publique à l’Assemblée nationale ce mercredi 12 février. Mais que contient-elle au juste ?



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« On l’a trouvé d’une maigreur effroyable » : ces grands-parents français réclament le rapatriement de leurs petits-enfants de Syrie



Neuf familles vont contester, jeudi, la décision de la France qui refuse de rapatrier des enfants de jihadistes français enfermés dans des camps situés dans le nord-est syrien, selon les informations de franceinfo.

Après la chute de Bachar al-Assad en Syrie, où en sont rapatriements des enfants de jihadistes français enfermés dans des camps au nord est du pays ? La France refuse de les ramener, malgré la condamnation de la Cour européenne des droits de l’Homme en 2022. Jeudi 6 février, plusieurs familles seront présentes au tribunal administratif de Paris, pour contester ces refus.

Protection de l’enfance : la défenseure des droits interpelle l’Etat après de « lourdes défaillances »



En dépit de nombreuses interpellations, la situation de la protection de l’enfance « se dégrade », alerte Claire Hédon. La cheffe de l’autorité indépendante présente plus d’une trentaine de recommandations, notamment sur le plan financier ou de la prévention. Et fixe un délai à l’Etat pour y répondre.

Accroître le soutien financier aux départements, recruter davantage d’assistants sociaux en milieu scolaire, renforcer les moyens de la justice : la défenseure des droits interpelle l’Etat, dans une décision qui sera publiée jeudi 30 janvier, et le presse d’agir face aux « lourdes défaillances » observées dans la protection de l’enfance.

Les pétitions sont toujours en ligne



Pétition et tribune « Recensement de la population Insee : ne pas répondre à la nouvelle question sur le pays de naissance des parents »
La LDH, aux côtés de la CGT, demande que ne soit pas ajoutée une nouvelle question portant sur le pays de naissance des parents. Cette question présente beaucoup de dangers. Dans ces conditions, la LDH, la CGT, le Mrap, Solidaires et la FSU ont décidé une mobilisation commune s’adressant aux personnes recensées pour qu’elles ne répondent pas à cette question facultative.
Lire l’argumentaire complet
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Pétition LDH « De toute urgence, il faut rapatrier ces enfants ! »

Plus de cent vingt enfants français sont encore retenus dans le Nord-est syrien. Leur rapatriement est une urgence.  Après plusieurs vagues de rapatriement, qui ont permis à environ 360 enfants de retrouver le sol français – le sol de leur pays –, plus aucun retour n’a eu lieu depuis 2023. (…) En réalité, ils ne sont coupables de rien, si ce n’est des choix de leurs parents, et, si ceux-ci doivent légitimement rendre des comptes à la justice, les enfants, eux, ne doivent payer ni pour les actes, ni pour les erreurs de ceux qui les ont entraînés dans leur funeste projet.

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Enfance : les engagements d’Emmanuel Macron « ne se traduisent pas en actes concrets », regrette Unicef France



L’association dénonce notamment l’absence d’un ministère dédié à l’Enfance dans le nouveau gouvernement.

« On a eu différents engagements pris par le président de la République sur la place centrale de la politique de l’enfance. Mais ça ne traduit pas en actes concrets« , déplore vendredi 27 décembre sur franceinfo, Corentin Bailleul, responsable du pôle plaidoyer et des programmes pour Unicef France. L’absence de ministère à l’Enfance dans le nouveau gouvernement Bayrou en est la preuve selon lui.

Lire également ICI






« Les enfants n’ont pas de voix, alors on n’en parle pas » : les infanticides, « angle mort » de la lutte contre les violences faites aux mineurs



En France, un enfant est tué tous les cinq jours dans le cadre familial. Mais l’absence de chiffres officiels ne permet pas d’appréhender totalement ces violences.

En France, un enfant est tué tous les cinq jours dans le cadre familial, selon un rapport remis au gouvernement en 2019. Un bilan sous-évalué car « il ne tient pas compte du ‘chiffre noir’ que constituent les meurtres non révélés de nouveau-nés tués à la naissance et les meurtres d’enfants non repérés, principalement ceux victimes du syndrome du bébé secoué », pointe le document.

« Il a pointé les pictogrammes douleur, blessure et fesses » : les enfants en situation de handicap, particulièrement vulnérables face aux violences sexuelles



Les équipes de « L’Œil du 20 heures » sont allées à la rencontre de familles dont les enfants handicapés ont été confrontés à des violences sexuelles au sein de centres spécialisés.

À 15 ans, Nathan a l’âge mental d’un petit enfant, incapable de prononcer le moindre mot. Atteint d’une déficience intellectuelle sévère, il a toutefois réussi à sauver sa peau et celle de ses amis. Parce qu’il a appris très tôt à communiquer avec des pictogrammes, il a pu raconter qu’il avait été agressé sexuellement par un éducateur dans son institut médico-éducatif (IME), le Centre Lecourbe, situé à Paris.