Violences intrafamiliales : un rapport parlementaire remis au garde des Sceaux prône la création de pôles spécialisés dans les tribunaux


Dans un peu plus de 160 pages, les autrices, une députée et une sénatrice, insistent notamment sur l’importance de la communication entre les différents acteurs des juridictions afin d’améliorer la prise en charge des victimes.

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Enfance en danger

D’ici et d’ailleurs


En Israël, la «clause dérogatoire» de la réforme contestée de la justice a été adoptée


Iran: entre grâces et peines de mort, le pouvoir veut montrer qu’il garde le contrôle


Amnesty Côte d’Ivoire réclame «l’annulation de la condamnation» de 26 militants du parti PPA-CI


Ukraine : Les risques de la guerre pour les enfants placés en institution

La Protection Maternelle et Infantile en France, un système à préserver


Née en France en 1945, dans l’après-guerre, la Protection Maternelle et Infantile (PMI) est aujourd’hui menacée. Les centres de PMI sont des lieux qui accueillent gratuitement les parents et leurs enfants de moins de 6 ans. Consultations prénatales, suivi du bébé et du jeune enfant… Ces structures voient se croiser des parents de différents horizons, venus chercher des conseils auprès de professionnels : puéricultrices, psychologues, assistants sociaux.

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Togo: prise en charge des violences faites aux femmes et aux enfants et lutte contre l’impunité


Afin de mettre en lumière et d’améliorer la lutte contre les violences faites aux femmes et aux enfants, les associations togolaises collaborent étroitement avec les fiosrons, littéralement « femmes de chef ». L’influence qu’elles ont sur leurs époux leur permet d’améliorer les conditions des femmes et enfants victimes de violences, au sein de leur communauté.

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Crise du logement : les femmes et les enfants d’abord


Dans son rapport annuel, la Fondation Abbé-Pierre alerte sur «l’enracinement du mal-logement», qui touche plus fortement les femmes que les hommes.

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France: comment sont pris en charge les enfants de jihadistes rapatriés

Dans le camp de Roj, où sont détenus des jihadistes de l’EI, au nord-est de la Syrie. © Murielle Paradon / RFI


La France a rapatrié, ce mardi 24 janvier, 15 femmes et 32 enfants qui étaient détenus dans un camp pour jihadistes du Nord-Est syrien. Il s’agit du troisième rapatriement d’ampleur depuis juillet dernier. Les femmes, qui avaient rejoint le groupe État islamique, ont été remises à la justice et séparées des enfants. Claire Paucher, juge pour enfants à Bobigny, détaille comment se déroulera la prise en charge de ces enfants.

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Troisième opération de rapatriement de femmes et d’enfants français des camps de prisonniers en Syrie

Dans le camps de Roj à la frontière avec l’Irak et la Turquie. (Delil Souleiman/AFP)


Les 15 femmes et 32 enfants, proches de jihadistes de l’Etat Islamique, se trouvaient dans le camp de Roj sous administration kurde, situé à une quinzaine de kilomètres des frontières irakienne et turque.

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Au Royaume-Uni, de nouvelles révélations sur des disparitions de mineurs non accompagnés

Au moins 79 adolescents étrangers ont disparu alors qu’ils étaient logés dans un hôtel de Brighton, sous la responsabilité du Home Office (image d’illustration). Crédit : Creative commons


Le journal The Guardian révèle que des dizaines de mineurs non accompagnés hébergés dans un hôtel de Brighton, dans le sud de l’Angleterre, ont été enlevés par des gangs criminels. Sur 136 enfants portés disparus alors qu’ils étaient logés dans l’établissement, 79 sont toujours introuvables.

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« Entendre l’indicible » : un documentaire se penche sur la libération de la parole chez les enfants victimes de violence


Le documentaire de Marie Bonhommet, diffusé mercredi sur France 2, met en lumière le travail d’un établissement pionnier en matière de prise en charge d’enfants en danger.

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Enfants à la rue

Un collectif d’associations appelle à « tout faire pour que plus aucun enfant ne dorme à la rue »
Unicef : 42.000 enfants sont SDF en France - IRNA Français

29 responsables associatifs et 22 députés s’inquiètent du nombre croissant d’enfants à la rue, et appellent à maintenir le financement de places d’hébergement d’urgence.

Ces enfants vivent et grandissent dans des environnements néfastes à leur développement et à leur bien-être, et ont beaucoup de mal à voir leurs droits fondamentaux respectés, en particulier le droit à l’éducation ou à la santé.

Épuisement, dégradation de l’état de santé, développement de troubles de la santé mentale, retards de motricité, malnutrition, perte de confiance, difficultés à faire ses devoirs, changements d’école à répétition voire déscolarisation… les conséquences de la précarité résidentielle sont graves. La situation s’aggrave de mois en mois à Paris, Lyon, Clermont-Ferrand, Rennes, Grenoble, Strasbourg, en Seine-Saint-Denis, de nombreux hôtels sont en train de fermer pour travaux, dans la perspective de la Coupe du monde de rugby 2023 et des Jeux Olympiques 2024 !

Surtout, la baisse annoncée de 14 000 places d’hébergement dans le budget 2023 de l’Etat est profondément inquiétante et risque d’aggraver encore la crise.

Le droit au logement est un objectif à valeur constitutionnelle et un droit consacré par la Convention internationale des droits de l’enfant.

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Situation de la protection de l’enfance aujourd’hui

Claire Hédon et son adjoint chargé de l’enfance, Eric Delemar, « s’alarment une fois de plus de l’état dramatique de la protection de l’enfance aujourd’hui, qui n’est plus, dans de nombreux territoires, dûment assurée ».

Ils font état du « manque de places en foyer et d’assistants familiaux »« des placements non exécutés », des délais parfois supérieurs à six mois pour les mesures d’assistance éducative en milieu ouvert, ou encore des « ruptures dans les parcours des enfants ».

Ils estiment que « les mises en danger se multiplient » et que « le manque de professionnels pour accompagner les enfants et les adolescents est criant ». Pour Claire Hédon, « les réponses institutionnelles à ces besoins ne sont pas à la hauteur des enjeux et portent atteinte aux droits fondamentaux des enfants ».

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Services pédiatriques saturés: enfants en danger

Pour aider des services pédiatriques en crise, le gouvernement annonce de  nouvelles mesures


Dans une lettre ouverte à Emmanuel Macron, 4 000 soignants en pédiatrie tirent une nouvelle fois la « sonnette d’alarme ». 

« Les dirigeants actuels et passés ont fermé les yeux sur l’abandon de l’hôpital public et des services de pédiatrie. Ils sont désormais responsables des conséquences sur la santé des enfants.« 

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