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Quelque 200 migrants, des adolescents albanais pour la plupart, arrivés illégalement sur le sol britannique, ont disparu ces dernières semaines à Brighton. Les associations locales dénoncent l’exploitation dont ces mineurs sont victimes.
Quelque 200 migrants, des adolescents albanais pour la plupart, arrivés illégalement sur le sol britannique, ont disparu ces dernières semaines à Brighton. Les associations locales dénoncent l’exploitation dont ces mineurs sont victimes.
Plusieurs affaires de pédocriminalité secouent la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie-X. L’église intégriste d’extrême droite fait tout pour enterrer les affaires. Témoins et victimes racontent.
Les élus jugent que le ministre chargé du logement n’a pas tenu l’engagement qu’il avait pris en septembre. Olivier Klein avait alors exprimé sa « volonté » de ne pas voir d’« enfants à la rue » cet hiver.
Depuis plusieurs jours, un scandale d’abus sexuels sur mineure choque et émeut la Turquie. Une jeune femme a porté plainte contre ses parents. Elle les accuse de l’avoir mariée de force à l’âge de 6 ans.
Selon le ministère de l’éducation nationale, la diminution du nombre de naissances, qui entraînera une diminution du nombre d’élèves, justifie cette baisse. Les syndicats s’inquiètent de ces annonces.
Au Soudan, deux millions de dollars ont été débloqués pour aider les enfants à retrouver le chemin de l’école. Subvention d’urgence annoncée par Education cannot wait (ECW), le fonds mondial des Nations unies pour l’éducation. Alors qu’un tiers des enfants ne sont pas scolarisés dans le pays, ils sont 200 000 de plus à avoir été privés d’école cette année à cause des inondations. Une situation inquiétante pour les organisations humanitaires.
Plan sous est un court-métrage réalisé par des lycéens d’Épinay-sur-Seine, en Seine-Saint-Denis. Il est destiné à devenir un outil de prévention sur le fléau de la prostitution des mineures. La fiction a été projetée au cinéma Le Méliès à Montreuil dans une salle comble de 300 personnes, principalement des professionnels de la protection de l’enfance et des élus, en présence de la secrétaire d’État à l’Enfance Charlotte Caubel.
Depuis le retour des talibans au pouvoir, en 2021, les conséquences économiques et sécuritaires sont rudes pour toute la population, en particulier pour les enfants. Des millions de petits Afghans sont désormais à un pas de la famine.
L’ONU estime que la moitié de la population est confrontée à la malnutrition. Parmi elle, quatre millions d’enfants sont touchés, confrontés à la malnutrition et à l’insécurité.
A l’occasion des Journées internationales des droits des enfants, un rapport de l’UNICEF dénonce le racisme et la discrimination à l’égard des enfants, dans tous les pays du monde, du fait de leur origine ethnique, de leur langue et de leur religion, et souligne que chaque enfant a le droit d’être inclus et protégé et de bénéficier des mêmes chances d’atteindre son plein potentiel.
L’ONG appelle à la fermeture de ce camp, où sont détenues des familles de jihadistes.
Deux enquêtes ont été ouvertes par la Metropolitan police de Londres après qu’un enfant et un adolescent aient déclaré avoir subi des agressions sexuelles et un viol dans un hôtel utilisé comme centre d’hébergement de migrants. Les deux jeunes auraient été agressés par deux personnes différentes.
Le retour dans l’Hexagone de 40 enfants et 15 femmes depuis la Syrie ce jeudi 20 octobre est le signe « d’un changement de politique » de la France sur la question des rapatriements des familles de jihadistes, estime sur franceinfo l’avocate Marie Dosé, représentante du Collectif Familles Unies.
Environ 2 000 enfants scolarisés sont contraints de dormir dehors en France, faute de places en hébergement d’urgence. Un collectif d’associations et des élus se mobilisent lundi pour interpeller les autorités sur cette situation qui s’aggrave, comme ici à Lyon.
L’UNICEF a dévoilé dans une étude l’état de la hausse de la pauvreté dans les régions d’Europe de l’Est et d’Asie Centrale, marquées par la guerre en Ukraine et l’inflation galopante.
Vivre à la rue ou dans des chambres d’hôtel insalubres et exiguës entraîne d’inquiétantes conséquences sur la santé mentale des enfants et des adultes qu’ils vont devenir. Un rapport de l’Unicef et du Samu social alerte les autorités.
Journée mondiale de la santé mentale. L’Unicef France alerte sur la santé mentale des enfants sans domicile fixe : Adeline Hazan présidente de l’Unicef France était l’invitée de France Inter à 6h20.
Elle réagit d’abord à la suppression annoncée de 14.000 places d’hébergement d’urgence en deux ans : « Je le dénonce, c’est dans le projet de loi de finances. Alors qu’il y a déjà un manque criant de places ! C’est ce cri d’alarme que nous voulons porter aujourd’hui avec le Samu social : il y a environ 42.000 enfants qui sont aujourd’hui sans domicile fixe, à la fois à la rue, en hôtel, et en foyer d’hébergement. C’est un chiffre inadmissible dans un pays développé. »
« Ce chiffre a plutôt tendance à augmenter », précise Adeline Hazan. « Ce qu’il faut savoir c’est que ce n’est pas un chiffre officiel, nous avons dû le constater nous-mêmes avec les autres organisations humanitaires. Nous avons même dû élaborer un baromètre pour savoir exactement le nombre d’enfants qui vivaient à la rue. Au cours d’une nuit du mois d’août, nous avons compté 1.600 enfants qui dormaient dans la rue. C’est un angle mort des politiques publiques, parce qu’il n’y a pas de statistiques ni d’action pour contrer ce phénomène. »
Le rapport publié par l’Unicef France revient justement sur la santé mentale de ces enfants sans domicile fixe, un lien « primordial », selon sa présidente. « C’est au moment de l’enfance que le cerveau se construit. Or vivre dans la rue, dans un hôtel ou dans un foyer d’hébergement, ça veut dire vivre en danger, vivre dans la proximité familiale avec des risques de tension et de violences. Ça veut dire ne pas aller à l’école, pour ceux qui vivent dans la rue, car souvent les mairies n’acceptent pas les enfants de famille sans adresse. Et même s’ils arrivent à se faire inscrire, ils ne pourront pas apprendre dans des conditions satisfaisante. »
« Tout ça engendre de l’angoisse, de l’insécurité, des relations familiales perturbées », s’inquiète Adeline Hazan. « Et tous ces troubles qui s’inscrivent dans l’enfance vont perdurer à l’âge adulte. »