« Le Pen ne fait plus peur » : la faute à qui ?
Ces derniers jours, deux questions ont rythmé partie de la scène médiatique : « Pourquoi Le Pen ne fait plus peur ? » et « Marine Le Pen est-elle d’extrême droite ? » Le fait que les journalistes (se) posent la seconde permet – en partie – de répondre à la première. Car hormis quelques sursauts journalistiques – heureux quoique de circonstance, entre-deux-tours oblige –, attachés à documenter (et rappeler) la nature autoritaire, raciste et xénophobe du projet frontiste, la « dédiabolisation » de l’extrême droite n’est désormais plus tant un processus qu’une donnée structurante du paysage médiatique.
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Débat du second tour, petits arrangements avec la vérité ?
C’était le temps fort de la campagne présidentielle. Mercredi soir, les deux candidats qualifiés au second tour se trouvaient face à face. 2h50 de débat entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Des sujets aussi variés que l’Europe, la sécurité, les retraites ou l’éducation. Et dans chacun des thèmes, des candidats s’offrant quelques libertés avec la réalité. Tour d’horizon du vrai, du faux, du presque pas vrai et du partiellement faux !
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Un débat « révélateur de l’état de la démocratie »
Au lendemain du très attendu – et peu suivi par les téléspectateurs – débat entre les candidats au second tour de la présidentielle, quelles leçons en tirer ? Emmanuel Macron et Marine Le Pen ont-ils été convaincants sur les sujets de préoccupations des Français ? Invitée de TV5MONDE, la philosophe et analyste politique Myriam Revault d’Allonnes en dresse un bilan très critique.
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L’extrême droite, une menace pour les médias : les cas de la Hongrie et la Pologne
Les médias seront-ils libres en cas de victoire de Marine Le Pen à la présidentielle? L’exemple de la Hongrie et de la Pologne donne un aperçu de la réponse : ces dirigeants proches de l’extrême droite y ont affaibli la presse. Et la candidate du RN pourrait s’en inspirer.
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Hongrie, Pologne : quand les droites extrêmes sont au pouvoir
Nul besoin d’aller très loin ni de remonter loin dans le temps pour savoir ce que fait une majorité autoritaire et ultranationaliste à la tête de l’État. À Budapest depuis 2010, à Varsovie depuis 2015, c’est une combinaison de lois liberticides, de réformes conservatrices et de mainmise sur les médias. L’expérience du pouvoir ne les a pas affaiblies.