« Ce n’était plus tenable » : le maire d’un village breton abandonne un projet d’accueil de réfugiés

Le village de Callac se situe dans le Finistère, à l’ouest de la Bretagne. Crédit : Mairie de Callac


Les manifestions, menaces de morts et intimidations diverses subies par la municipalité de Callac ont eu raison du projet « Horizon », qui prévoyait l’installation de réfugiés dans ce petit village du Finistère. Le fonds partenaire du projet « regrette » cette décision, et dénonce « la campagne de désinformation de groupes d’extrême droite visant à diviser la population ».

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Réinstallation au sein de l’Union en 2023 : des engagements en-deçà des besoins

Face aux besoins croissants de protection à l’échelle mondiale, plusieurs ONG européennes avaient demandé en octobre aux États membres de l’UE la réinstallation d’au moins 40 000 réfugiés en 2023, en plus d’au moins 8 500 Afghans ayant besoin d’une protection.

Bien que la Commission européenne indique que le soutien aux réfugiés afghans sera « maintenu et renforcé » en 2023, le nombre de places promises pour leur réinstallation n’a pas été communiqué.

Le potentiel de la protection sociale en faveur des personnes déplacées de  force - Development Matters

Le nombre de personnes déplacées dans le monde dépasse pour la première fois les 100 millions et les conflits sont plus nombreux que jamais depuis la Seconde Guerre mondiale.

Les organisations de la société civile rappellent l’urgence de développer les voies d’accès légales et sûres, dont les programmes de réinstallation.

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L’audition choquante d’une femme en demande d’asile par un officier de l’Ofpra


Un enregistrement, que France 3 Côte d’Azur a pu consulter, brise le huis clos de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra). Révélations autour d’un entretien entre un agent de l’Etat et une jeune femme en demande d’asile.

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CARNAGE DE MELILLA : LES AUTORITÉS NIENT LEURS RESPONSABILITÉS DANS CE DRAME

Des policiers anti-émeutes bouclent la zone après l’arrivée de personnes migrantes et réfugiées sur le sol espagnol et le franchissement des clôtures séparant l’enclave espagnole de Melilla du Maroc à Melilla, en Espagne, le 24 juin 2022 © Javier Bernardo/AP/Alamy


Six mois après la mort de 37 personnes et la disparition de 77 autres, à la frontière de l’enclave espagnole de Melilla, les autorités espagnoles et marocaines réfutent toute responsabilité dans ce carnage. La lenteur et les carences de l’enquête sentent la dissimulation. Retour sur ce tragique événement.

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Dans le monde


UKRAINE : LES PERSONNES ÂGÉES PARMI LES PREMIÈRES VICTIMES CIVILES DU CONFLIT  


Route des Canaries : l’impossible deuil des proches de migrants disparus en mer 


L’Indonésie criminalise les relations sexuelles hors mariage


Somalie: «On était obligé de s’enfuir», à Baidoa, l’afflux de réfugiés en quête d’aide


Suisse : vers une interdiction des thérapies de conversion ?


Au Mexique, les associations féministes sous surveillance militaire

A Calais on n’exclut pas, on persécute.

Quand des policiers refusent de faire la chasse aux migrants

« IL Y A TOUJOURS LA POSSIBILITÉ DE DIRE “NON”, DE NE PAS APPLIQUER LES ORDRES » STREET PRESS


Dans la Roya, vallée des Alpes-Maritimes voisine de l’Italie, la police tente, souvent au mépris du droit ou brutalement, d’arrêter les exilés qui ont passé la frontière. Mais certains fonctionnaires refusent d’endosser le mauvais rôle. Récits.

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Le Rwanda, ou le mirage d’une « terre promise » pour les réfugiés

Des jeunes réfugiés dans le centre de Gashora, au Rwanda. Crédit : DW


Choisi par le Royaume-Uni pour y transférer ses demandeurs d’asile en attendant le traitement de leur dossier, le Rwanda s’impose, depuis quelques années, comme le pays d’accueil de prédilection des réfugiés du monde entier. Mais derrière les effets d’annonce et les articles élogieux d’une presse locale cadenassée, la réalité est bien différente pour les exilés.

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Reims: plus de 50 réfugiés en danger de mort été comme hiver

Le camp du parc Saint-John Perse de Reims a été démantelé plusieurs fois. • © Isabelle Forboteaux, France Télévisions


Plus de 50 personnes réfugiées sont présentes au camp Saint-John Perse, à Reims (Marne). Le collectif Sövkipeu appelle les autorités à réagir alors qu’elles manquent « d’eau, de nourriture, et de couches ».

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On parlait déjà d’eux en mars et rien n’a été fait, sinon, depuis 2016, démanteler le camp en attendant leur retour… A quand l’ouverture d’un centre d’accueil pour une prise en charge responsable et humaine ?

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France : illustration de la condition des sans papiers


Ils sont Guinéens, Maliens, Ivoiriens et sans papiers. Ils travaillent pour une entreprise privée qui gère pour l’Etat un centre d’hébergement d’urgence. Depuis une semaine, ils sont en grève pour réclamer leurs arriérés de salaires.


À Paris, l’errance des exilés afghans


Calais : un migrant filme une scène d’humiliation et de violences verbales de la part de CRS


Le Conseil d’État valide le rétablissement des contrôles aux frontières intérieures françaises


« Il n’ y a jamais eu autant de réfugiés dans le monde » 


Darmanin annonce une loi pour faciliter l’expulsion des délinquants étrangers


Gerald Darmanin veut faciliter l’expulsion des délinquants étrangers. (Arnaud Andrieu/SIPA /


Moins de 10 % des Obligations de quitter la France (OQTF) ont été appliquées en 2020. Le ministre de l’Intérieur veut lever les obstacles.

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Policiers agressés à Lyon : bien que « hors de cause », le suspect devra être expulsé, selon Gérald Darmanin

Exilés en Ile-de-France: «On refuse de nous loger alors que des places sont vides»

Les associations d’aide aux exilés ont lancé un appel à manifester samedi, pour dénoncer «la politique d’accueil différentialiste» entre les réfugiés ukrainiens et les autres. (Francois Mori/AP)


Plusieurs associations se sont mobilisées samedi à Paris pour dénoncer les conditions d’accueil différenciées entre les réfugiés ukrainiens et ceux venant d’autres pays. De nombreux exilés ont répondu présent.

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Une évaluation mondiale montre que la réponse internationale au Covid-19 n’a pas été à la hauteur des droits des réfugiés

Les mesures prises face à la pandémie de Covid-19 n’ont pas su atténuer les risques pour les réfugiés, notamment l’aggravation des inégalités en matière d’éducation pour les enfants réfugiés.   © HCR/Zahra Nazari


GENÈVE – Selon un important rapport international publié aujourd’hui, la réponse mondiale à la pandémie de Covid-19 n’a pas suffisamment tenu compte des droits des réfugiés, et ce malgré les efforts extraordinaires des acteurs locaux et de la communauté internationale.

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Emploi : « L’intégration des réfugiés, c’est un marathon, pas un sprint »

54 094 personnes ont obtenu le statut de réfugié en France en 2021. La grande majorité n’a pas accès au marché du travail. Crédit : Mehdi Chebil


Compétences linguistiques insuffisantes, impossibilité de faire reconnaître en France des diplômes obtenus hors de l’Union européenne, mal-logement : pour les réfugiés en France, décrocher un emploi est un parcours du combattant. Mais à l’heure où les employeurs font face à des pénuries de main-d’œuvre, les entreprises se disent prêtes à se tourner vers « ce nouveau vivier de recrutement ». Interview.

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Journée mondiale du réfugié


La Journée mondiale du réfugié est une journée internationale qui a été établie par les Nations Unies afin de rendre hommage aux réfugiés à travers le monde entier. Célébrée chaque année le 20 juin, elle met en lumière la persévérance et le courage des personnes qui ont été contraintes de fuir leur pays d’origine pour échapper au conflit ou à la persécution. La Journée mondiale du réfugié est l’occasion de favoriser une meilleure compréhension et une plus grande empathie sur le sort des réfugiés et de faire connaître leur résilience alors qu’ils démarrent une nouvelle vie.

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Le déplacement forcé a atteint un niveau record en 2021 et trop peu de personnes déracinées peuvent rentrer chez elles

Deux soeurs déplacées de Djalalabad dans leur logement temporaire à Kaboul, en Afghanistan.   © HCR/Andrew McConnell


Le nombre de personnes contraintes de fuir la violence, la guerre et les persécutions dépasse largement celui des solutions qui leur sont proposées.

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Des non-Ukrainiens réfugiés en France menacés d’expulsion

Au moment de leur fuite d’Ukraine, les réfugiés africains avaient aussi connu pour certains des difficultés aux frontières. AP/ Bernat Armangue (27 février). 


Des refus de protection temporaire, voire des obligations à quitter le territoire français : des non-Ukrainiens se voient confronter aux difficultés administratives en France après avoir fui le pays en guerre. Des associations contestent ces décisions. 

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« Je dépends des autres pour faire manger mon fils » : dans le camp grec de Nea Kavala, des migrants toujours sous la menace de la faim

Le camp de Nea Kavala, au nord de la Grèce, en octobre 2021. Crédit : InfoMigrants


À Nea Kavala, rien ne change. Depuis plusieurs mois, de nombreux migrants de ce campement grec, non loin de la frontière macédonienne, n’ont plus accès à la nourriture. C’est le cas de Marie, une mère de famille congolaise et de son fils de 7 ans. Elle et son enfant ont été exclus du dispositif alimentaire. Témoignage.

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HCR : L’Ukraine et d’autres conflits font passer le nombre total de personnes déracinées au-dessus de 100 millions pour la première fois

Oleksandra ramène des couvertures et des vêtements chauds dans la chambre qu’occupe sa famille dans la résidence universitaire de Mukachevo.  © HCR/Igor Karpenko


Ce chiffre doit servir d’avertissement et nous inciter à agir davantage pour promouvoir la paix et lutter contre toutes les causes du déplacement forcé, déclare le Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, Filippo Grandi.

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« Une situation absurde » : la galère des étudiants africains en France après avoir fui l’Ukraine

© Bernat Armangue, AP | Des Ukrainiens et des résidents étrangers attendent des trains à la gare de Lviv pour fuir l’Ukraine, le 28 février 2022. Quelques semaines plus tard, des étudiants étrangers rencontrent des difficultés administratives pour pouvoir poursuivre leurs études et leur vie en France.


Depuis le début de la guerre en Ukraine, la France a accueilli plus de 50 000 réfugiés, leur permettant d’avoir une protection temporaire ouvrant droit à un travail ou à des aides sociales et médicales. Mais les étudiants étrangers en exil ont été exclus de ce dispositif, et se trouvent aujourd’hui dans une situation complexe qui risque de mettre en péril leur cursus universitaire et leurs parcours professionnels. Témoignages.

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