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«Méditerranée : sauver des vies ne se discute pas»

A bord de l’«Ocean Viking» au large de Toulon le 11 novembre 2022. (Vincenzo Circosta/AFP)


Tendre la main à une personne en détresse en mer n’est pas un combat politique, c’est un impératif légal et moral.

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À la frontière franco-italienne, « une politique d’usure » pour « décourager les migrants »

La frontière italo-française au niveau de Menton. Crédit : Mehdi Chebil / InfoMigrants (Archive)


Pendant plusieurs jours, un groupe de 18 migrants, âgés de 16 à 25 ans, ont été enfermés dans un local de la police aux frontières de Menton, dans le sud de la France. En cause, d’après les autorités : la saturation du réseau d’accueil dans le département, débordé par les arrivées d’exilés en provenance d’Italie. Les associations, de leur côté, dénoncent « une atteinte manifeste aux droits de l’Homme », dans une région frontalière de plus en plus militarisée.

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Migrations: l’Union européenne veut sévir contre les pays tiers qui ne coopèrent pas


Les ministres européens de l’Intérieur sont réunis, ce jeudi 26 janvier, à Stockholm pour discuter des moyens d’augmenter les renvois de migrants en situation irrégulière vers leur pays d’origine, notamment en restreignant davantage la délivrance de visas aux ressortissants de pays «non coopératifs». «Nous voyons les arrivées irrégulières augmenter (…) Renvoyer ceux qui se voient refuser l’asile en Europe est une question très importante», a déclaré la ministre suédoise chargée de la Migration, Maria Malmer Stenergard, dont le pays assure la présidence semestrielle du Conseil de l’UE, rapporte l’AFP.

France: comment sont pris en charge les enfants de jihadistes rapatriés

Dans le camp de Roj, où sont détenus des jihadistes de l’EI, au nord-est de la Syrie. © Murielle Paradon / RFI


La France a rapatrié, ce mardi 24 janvier, 15 femmes et 32 enfants qui étaient détenus dans un camp pour jihadistes du Nord-Est syrien. Il s’agit du troisième rapatriement d’ampleur depuis juillet dernier. Les femmes, qui avaient rejoint le groupe État islamique, ont été remises à la justice et séparées des enfants. Claire Paucher, juge pour enfants à Bobigny, détaille comment se déroulera la prise en charge de ces enfants.

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Troisième opération de rapatriement de femmes et d’enfants français des camps de prisonniers en Syrie

Dans le camps de Roj à la frontière avec l’Irak et la Turquie. (Delil Souleiman/AFP)


Les 15 femmes et 32 enfants, proches de jihadistes de l’Etat Islamique, se trouvaient dans le camp de Roj sous administration kurde, situé à une quinzaine de kilomètres des frontières irakienne et turque.

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Au Royaume-Uni, de nouvelles révélations sur des disparitions de mineurs non accompagnés

Au moins 79 adolescents étrangers ont disparu alors qu’ils étaient logés dans un hôtel de Brighton, sous la responsabilité du Home Office (image d’illustration). Crédit : Creative commons


Le journal The Guardian révèle que des dizaines de mineurs non accompagnés hébergés dans un hôtel de Brighton, dans le sud de l’Angleterre, ont été enlevés par des gangs criminels. Sur 136 enfants portés disparus alors qu’ils étaient logés dans l’établissement, 79 sont toujours introuvables.

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Royaume-Uni : le plan Rwanda jugé en appel

Des personnes manifestent à Londres contre le projet d’externalisation des demandes d’asile au Rwanda. Crédit : picture alliance


La légalité du projet de relocalisation des demandeurs d’asile au Rwanda, validé en décembre dernier par la Haute-Cour de Londres, est de nouveau portée devant la justice britannique. En attendant la décision de la cour d’appel, aucun vol ne pourra quitter le Royaume-Uni pour Kigali.

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Après les murs anti-migrants, les cages à la frontière bulgare

Une image, diffusée par Lighthouse Reports, de la cage utilisée par des gardes-frontières bulgares pour détenir illégalement des réfugiés, sous l’œil de l’agence européenne Frontex. (IMAGE LIGHTHOUSE REPORTS)


Des vidéos, filmées par « le Monde », le collectif Lighthouse Reports et plusieurs médias européens, ont récemment révélé la détention illégale de réfugiés dans une cage en Bulgarie, à la frontière avec la Turquie.

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« Ce n’était plus tenable » : le maire d’un village breton abandonne un projet d’accueil de réfugiés

Le village de Callac se situe dans le Finistère, à l’ouest de la Bretagne. Crédit : Mairie de Callac


Les manifestions, menaces de morts et intimidations diverses subies par la municipalité de Callac ont eu raison du projet « Horizon », qui prévoyait l’installation de réfugiés dans ce petit village du Finistère. Le fonds partenaire du projet « regrette » cette décision, et dénonce « la campagne de désinformation de groupes d’extrême droite visant à diviser la population ».

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La justice grecque annule la procédure pour « espionnage » contre vingt-quatre humanitaires à Lesbos

Le secouriste néerlandais Pieter Wittenberg arrive au palais de justice, jugé avec 23 travailleurs humanitaires sur l’île de Lesbos, le 10 janvier 2023. MANOLIS LAGOUTARIS / AFP


La cour de Mytilène, chef-lieu de l’île grecque, a pris cette décision en raison de vices de procédure, notamment l’absence de traduction de l’acte d’accusation à destination des accusés étrangers, selon le tribunal.

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D’ici et d’ailleurs


La Suède ferme ses portes aux immigrés


Cédric Herrou, Philippe Simay: la solidarité au cœur


« C’est vraiment difficile d’acheter à manger » : une association met en relation des étudiants précaires et des particuliers donateurs


Brésil : RSF demande aux autorités de garantir la sécurité des journalistes lors des prochaines manifestations bolsonaristes

LA Grèce n’aime pas les migrants ni les ONG


En Grèce, une justice chaotique pour contrer les arrivées de migrants (1/2)

Un accusé arrive au tribunal de Mytilène, à Lesbos, lundi 9 janvier. Crédit : InfoMigrants


Le procès en appel de Mohammad Hanad, un migrant somalien condamné à 142 ans de prison en 2021 pour « facilitation d’entrées illégales » en Grèce, s’est tenu, lundi, sur l’île de Lesbos. Le lendemain, 24 bénévoles et travailleurs humanitaires, eux aussi accusés d’être des passeurs, ont comparu devant le même tribunal. Symboles de la criminalisation des migrants et de ceux qui leur viennent en aide, ces procès sont aussi la preuve criante d’une justice désorganisée. Reportages.

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En Grèce, le procès « grotesque » de ceux qui aident les migrants 2/2

Un groupe de personnes, venues soutenir les 24 humanitaires jugés à Lesbos, brandissent une pancarte mardi 10 janvier à l’extérieur du tribunal de Mytilène. Crédit : InfoMigrants


Mardi, 24 humanitaires, accusés d’être des passeurs, ont comparu devant le tribunal de Mytilène, sur l’île grecque de Lesbos. La veille, le jugement en appel de Mohammad Hanad, un migrant somalien condamné à 142 ans de prison en 2021 pour « facilitation d’entrées illégales » en Grèce, s’était déjà tenu au même endroit. Reportages.

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Deux préfectures tentent d’expulser deux exilés vers la Syrie

Les préfectures de police de Paris et de Haute-Garonne ont demandé des laissez-passer consulaires aux autorités syriennes. Crédit : picture alliance


En octobre 2022, les préfectures de police de Paris et de Haute-Garonne ont demandé aux autorités syriennes la délivrance de laisser-passez, afin d’expulser deux personnes se présentant comme des migrants syriens. Et ce, alors même que les relations entre Paris et Damas sont rompues depuis 2012. Des pratiques d’autant plus « scandaleuses » qu’elle mettent en danger les exilés comme leur famille, déplorent les associations.

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SARAH MARDINI ET SEÁN BINDER : ILS RISQUENT LA PRISON POUR AVOIR SAUVÉ DES VIES


Sarah Mardini et Seán Binder, deux bénévoles pour une ONG de sauvetage grecque sur l’île de Lesbos risquent 25 ans de prison pour avoir secouru des embarcations en détresse.

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Un second souffle

« La paysannerie offre le lien entre la terre, dont on sort tous, et qui on est. Le travail de la terre crée une possibilité d’évasion, de s’échapper des problèmes » Cédric Herrou Emmaüs Roya

« Je suis passé par l’enfer de la Lybie. Travailler, faire des occupations saines, apprendre et gagner un peu d’argent m’a libéré. » Un résident Emmaüs Roya

« Depuis que je suis là, ma vie a changé. Avant j’étais laissé pour compte, à la rue, je n’existais pas. Ici j’ai retrouvé un second souffle » Un résident Emmaüs Roya

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Peut être une image de 2 personnes, plein air et arbre
Emmaüs Roya | Breil-sur-Roya
Défends Ta Citoyenneté EMMAÜS ROYA, fondateur Abbé Pierre | HelloAsso

Italie : la nouvelle loi sur les sauvetages en mer « nous rend la vie encore plus difficile », estime MSF

Le navire de MSF, le Geo Barents, procède au sauvetage de 71 migrants en Méditerranée centrale (photo d’archive). Crédit : MSF_Sea / Twitter


Le décret sur les opérations humanitaires en mer, promulgué lundi en Italie, force les navires à retourner à quai sitôt un sauvetage effectué, quitte à partir précipitamment d’une zone maritime où d’autres bateaux de migrants pourraient être secourus. Pour les ONG, cette nouvelle règle provoque des cas de conscience. Entretien.

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Bonne année, « les migrants » !

En ce début d’année, les menaces s’accumulent pour les personnes étrangères.

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Comment des appareils de surveillance de Frontex sont utilisés par les garde-côtes libyens pour intercepter des migrants


« Le Monde » a identifié l’origine de sept images aériennes publiées par les garde-côtes libyens sur leurs pages Facebook. Elles ont été réalisées par des appareils de surveillance de Frontex, et montrent comment les activités de l’agence européenne facilitent des interceptions par les Libyens en Méditerranée. Frontex a toujours soutenu ne pas collaborer avec les garde-côtes libyens, et la Libye n’est pas considérée par l’Europe comme un lieu de débarquement légitime.


POURQUOI LA CRIMINALISATION DES MIGRANTS ÉTRANGERS NE RÈGLERA PAS LA QUESTION MIGRATOIRE ?

Des policiers français se tiennent près de personnes exilées lors du démantèlement de la « Jungle » à Calais, en France, le 24 octobre 2016 © REUTERS


En ce début d’année 2023, un énième projet de loi « asile et immigration » sera proposé par le gouvernement français. Depuis 30 ans, les textes relatifs à la politique migratoire de la France stigmatisent toujours davantage les personnes exilées en les présentant comme un problème à régler. Jean-Claude Samouiller, le président d’Amnesty Intrernational, prend la parole sur le sujet.

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