Ce dimanche 7 avril, soyons toutes et tous mobilisé-e-s !
Cette journée est l’occasion de rappeler les engagements de la LDH pour le droit à la santé et l’urgence absolue à restaurer un service public de santé d’égale qualité partout pour toutes et tous !
➤ Lire le communiqué incluant des préconisations sur l’amont du soin, la santé environnementale et les inégalités sociales de santé.
Des économies d’un milliard d’euros seraient espérées. Mais les études existantes suggèrent que lorsque les salariés doivent attendre avant d’être indemnisés, ils privilégient les arrêts de travail de longue durée.
Depuis 2018, Emmanuel Macron s’était engagé à porter une loi pour le grand âge. Résultat: un tour de magie, un lapin sorti du chapeau.
« les chiens, les chats, les poissons rouges » autorisés en Ephad, s ‘est félicitée la ministre déléguée des personnes âgées et handicapées.
« vous trahissez sept année de promesses, vos mots ne valent plus rien. Vos phrases sont du vent. Plus personne ne vous croit » F. Ruffin de LFI.
« Ce n’est pas de chiens et de chats qu’on a besoin (….) , c’estd’infirmières(……) bon sang ! » J.Guedj député PS
Olivier Véran, ex ministre de la santé pendant le Covid 19.
Fini : de l’hôpital et de la neurologie, sa spécialité initiale, maintenant c’est la médecine esthétique, une journée par semaine en plus de son mandat de député.
«Aller faire de la médecine de confort pour des gens riches quand l’hôpital est en crise et manque de bras en particulier en neurologie, c’est quand même triste. Sans compter le signal déplorable de quitter le public pour le privé lucratif ». « le symbole est terrible » O. Milleron, du collectif inter-hôpitaux.
« Passer de la neurologie à la médecine esthétique a un sens, celui d’un choix financier . Quel message désastreux ».
Du côté de l’ordre des médecins, tout en se défendant de prendre position, on interroge la « cohérence » et « l’exemplarité ».
« Quand on connaît la crise sanitaire avec des patients qui mettent des mois pour obtenir des rendez-vous, que ces choses-là sont les conséquences des politiques qu’a menées M. Véran, on a quand même le courage de rester dans son métier », pour le président du syndicat de l’Union française pour une médecine libre ».
Le Sidaction en est cette année à sa 30e édition. Même si les traitements ont beaucoup progressé ces dernières années, et qu’il est aujourd’hui possible de vivre avec le sida, « et que ces traitements permettent de ne pas transmettre le VIH, ce qui est une deuxième révolution, il y a beaucoup de progrès encore à faire« , explique Florence Thune, la directrice générale du Sidaction, qui commence ce vendredi.
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Cette pratique encore utilisée dans une trentaine de pays touche environ 200 millions de femmes. Cette perpétuation s’explique par leur perception en tant que normes sociales avec un effet de contrainte et de prescription, ces résistances sont justifiées par des raisons traditionnelles, religieuses et même morales.
Depuis 1990, le risque pour une fille de subir ces mutilations a été divisé par trois selon l’ONU.
Le recul de cette pratique est menacé par la progression de sa « médicalisation » c’est à dire un recours aux professionnels de santé plutôt qu’aux praticiens « traditionnels » au nom de l’asepsie, de l’hygiène et de la suppression de la douleur. Ainsi, en Egypte, en Indonésie, plus de 80 % des mutilations sexuelles féminines sont « médicalisées », mais le nombre de victimes reste stable depuis des décennies- autour de 90% des femmes de ces pays.
Si les populations concernées voient cette l’implication de médecins comme un progrès, une meilleure maîtrise des risques, il n’empêche que les traumatismes et les difficultés sexuelles persistent. Sur le plan éthique avoir recours à des compétences et un statut de professionnels de la santé pour perpétuer une pratique considérée comme une violation des droits humains est inacceptable.
En France, environ 125 000 femmes ont subi des mutilations sexuelles. Elles ne sont pas pratiquées, pour autant les fillettes risquent d’y être confrontées lors d’un retour dans leur pays à l’occasion de vacances.
Il n’y a pas de fatalité, au Burkina Faso, près de trois quarts des femmes ont subi ces mutilations, moins de 10% de la population s’y déclarent encore favorables selon l’UNICEF.
Leur abandon passe donc par des campagnes de communication et de sensibilisation ambitieuses visant à provoquer des changements d’opinion.
D’après le Monde du mercredi 28 février 2024, d’«un collectif d’une centaine de responsables d’associations»
Le gouvernement présentera un projet de loi pour une “aide à mourir” en Conseil des ministres en avril. Une petite révolution, puisqu’abréger la vie d’un patient est aujourd’hui un crime puni par le code pénal.
Dans cet extrait de « Complément d’enquête », des documents inédits révèlent les positions de la FNSEA lorsqu’il s’agit d’établir les critères de reconnaissance des maladies professionnelles liées à l’usage des pesticides. Les agriculteurs sont pourtant une profession à risque…
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Alors que des pays étrangers mettent en avant ces soins de confort, la France accuse un retard considérable. La faute au tabou de la fin de vie parmi des soignants concentrés sur l’unique objectif de guérison.
Alors que le premier ministre a annoncé une réforme restrictive de l’Aide médicale d’Etat d’ici l’été, deux médecins rappellent, dans cette tribune à « l’Obs », l’indignité de cette proposition et le risque sanitaire qu’elle fait courir à tous.
« Nous soutenons les paysans qui veulent vivre dignement mais exigeons la fin des pesticides qui les font mourir ainsi que nos enfants », défendent des associations de victimes des pesticides après la suspension annoncée du plan Ecophyto.
C’est un feu vert peu enthousiaste que donne la CNIL, dans sa décision publiée ce mercredi 31 janvier. Comme nous vous l’expliquions au début du mois de janvier, le gendarme de nos libertés a bien validé le fait que Microsoft, société américaine soumise aux lois extraterritoriales américaines, héberge les données de santé des Français et des Européens, dans le cadre du développement d’une plateforme européenne destinée à la recherche.
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Ouverte en juin dernier, la commission d’enquête sur l’échec des plans Écophyto de réduction des pesticides a rendu ses conclusions. Celles-ci montrent un manque de coordination interministérielle dans la mise en œuvre des mesures requises.
Ce jeudi 8 décembre, le Défenseur des droits et l’Organisation Internationale du Travail publient le 16e baromètre sur la perception des discriminations dans l’emploi. Cette enquête, qui dresse un panorama des discriminations dans l’emploi, privé et public, interroge un échantillon représentatif de la population active. L’édition 2023 est consacrée aux discriminations envers les personnes atteintes de maladie chronique.
Alors que les étrangers représentent plus de la moitié des malades séropositifs en France, leur accès aux soins relève pour eux du parcours du combattant. La loi Immigration, actuellement examinée à l’Assemblée nationale, pourrait compliquer leur parcours davantage.
Tous les ans, la date du 1er décembre marque la Journée mondiale de lutte contre le sida. Cet événement est le cadre de manifestations de soutien aux personnes vivant avec et touchées par le virus. Cette journée symbolique est distincte du Sidaction Medias, week-end de collecte de l’association Sidaction, qui a lieu au printemps.
Pour « défendre le droit constitutionnel à la santé », l’association de défense des consommateurs a saisi le Conseil d’Etat « pour faire constater et sanctionner la coupable inaction gouvernementale ».