Nicolas Sarkozy définitivement condamné à trois ans de prison dont un an ferme dans l’affaire des écoutes


La décision dans ce dossier, aussi appelé Bismuth, intervient à quelques jours de l’ouverture d’un nouveau procès pour l’ex-chef de l’Etat, celui des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle 2007, qui doit s’ouvrir le 6 janvier 2025.

La Cour de cassation a rejeté les pourvois de Nicolas Sarkozy, mercredi 18 décembre, et rendue définitive la condamnation inédite de l’ancien chef de l’Etat pour corruption et trafic d’influence, à trois ans d’emprisonnement dont un an ferme sous bracelet électronique, avec trois ans d’inéligibilité.



Louis Sarkozy : le capital médiatique s’hérite aussi


Le journalisme politique dans sa bulle.

« Cyprien, vous nous révélez une information qui va faire du bruit, plastronne Apolline de Malherbe au micro de RMC. Louis Sarkozy, le fils de l’ancien Président, se lance en politique ! » (11/12) Grande connaisseuse du microcosme médiatique parisien, l’intervieweuse en chef du groupe de Rodolphe Saadé avait – malheureusement – vu juste : la « nouvelle » fait frétiller la presse people (GalaPublic, Purepeople, etc.) autant que le petit monde des journalistes politiques, où l’information est tellement dévaluée que n’importe quel non-événement est promis à un avenir de fait politique.

En Cisjordanie, l’escalade des opérations israéliennes laisse craindre de nouvelles atrocités


Les alliés d’Israël devraient imposer des conséquences aux individus responsables de violations.

Ces derniers jours, selon les médias et d’autres sources, les forces de sécurité israéliennes opérant en Cisjordanie ont empêché des professionnels de santé d’accéder aux personnes dans le besoin, ont rendu des routes infranchissables, et ont mené des frappes aériennes et des attaques utilisant des drones qui ont tué des dizaines de Palestiniens, dont des enfants. Ces actions cumulatives représentent une escalade inquiétante de l’usage de la force par Israël en Cisjordanie.



Liban : RSF et dix organisations appellent l’ONU à mener une enquête sur l’attaque israélienne qui a tué Issam Abdallah


Un mois avant l’anniversaire de la mort du journaliste Issam Abdallah, tué par une frappe israélienne, alors qu’il était en reportage dans le sud du Liban, Reporters sans frontières (RSF) et dix organisations ont adressé une lettre à la Commission d’enquête des Nations unies sur le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est et Israël. Ce courrier vient appuyer la demande d’enquête sur ce crime formulée par la famille du reporter en juillet 2024. 



Israël : un documentaire explosif sur Netanyahu et son clan poursuivis pour corruption


France 24 a pu visionner un premier montage du documentaire « The Bibi Files » qui dévoile des images inédites d’interrogatoires de Benjamin Netanyahu et de son cercle proche dans l’affaire de corruption visant le Premier ministre israélien. Un éclairage saisissant sur la compromission des élites israéliennes et sur la responsabilité de « Bibi » dans le chaos du Moyen-Orient.

Affaire des assistants parlementaires : le RN a-t-il berné la justice pour éviter un procès à Jordan Bardella ?



Selon le livre-enquête « la Machine à gagner » du journaliste Tristan Berteloot, le parti d’extrême- droite a créé de faux documents pour justifier a posteriori de l’activité d’assistant parlementaire en 2015 de son actuel président. Et lui éviter de s’asseoir sur les bancs des prévenus dans quelques semaines, aux côtés notamment de Marine Le Pen.



Dossier: L’affaire du financement des campagnes 2012 du RN

Anticor : 10 mois et toujours pas d’agrément en vue


Cela fait bientôt dix mois que la principale association anti-corruption de France, à l’origine de poursuites retentissantes, ne peut plus se constituer partie civile depuis la perte de son agrément. Une nouvelle demande a été déposée auprès du gouvernement, sans réponse pour l’instant.

Lire ICI

L’Appel des 176 en soutien à Anticor

« La décision de la cour d’appel porte atteinte à notre démocratie ». Alors que l’association Anticor a perdu l’agrément qui lui permet d’agir efficacement en justice contre les affaires de corruption des élus, 176 personnalités demandent au nouveau gouvernement de rendre son agrément à l’association : « la corruption nous coûte cher et nous devons la combattre […] le contre-pouvoir ne doit plus dépendre du pouvoir ». 

Lire ICI

L’association anticorruption Anticor dénonce le non-renouvellement de son agrément par le gouvernement


Le gouvernement avait jusqu’à minuit, mardi, pour renouveler l’agrément d’Anticor, ce qu’il n’a pas fait. « Nous sommes bien conscients que nos actions contre la corruption agacent profondément le gouvernement », estime l’association.

Lire ICI


Köhler, Benalla, Dupond-Moretti : Pourquoi la macronie veut tuer l’asso Anticor

Ingérence étrangère : le lobbyiste Jean-Pierre Duthion et le politologue Nabil Ennasri mis en examen


L’information judiciaire porte sur des soupçons de corruption ou trafic d’influence autour de personnalités françaises au profit de puissances étrangères, notamment le Qatar. Nabil Ennasri a été placé en détention provisoire et Jean-Pierre Duthion sous contrôle judiciaire.

Lire ICI


Le lobbyiste Jean-Pierre Duthion affirme « bakchicher » deux conseillers de l’Élysée

Lutte contre la corruption

L’ONG Anticor privée de son agrément par le tribunal administratif



Avec cette décision, l’association de lutte contre la corruption perd la possibilité de porter plainte au nom de l’intérêt général. L’organisation dénonce «une atteinte grave à la démocratie».

Lire ICI

Lutte contre la corruption : l’association Anticor va-t-elle perdre son agrément ?


Anticor, l’association de lutte contre la corruption, est sous pression. Son agrément qui lui permet de mener des actions en justice est menacé. Un recours est en cours devant le tribunal administratif. Décision le 23 juin.

Lire ICI

Pendant ce temps-là…


En prison les détenus ont faim et les inégalités persistent


Quand l’extrême droite s’attaque aux médias locaux


Soupçons de corruption au Togo: Vincent Bolloré voit sa mise en examen confirmée


Israël : « Il est urgent pour les Etats européens de faire respecter les droits humains et d’agir contre les démolitions illégales en Cisjordanie »

Résistance citoyenne en Afrique

Dénoncer la corruption en Afrique est risqué : l’exil, les menaces, voire la peine de mort sont parfois au bout de leur engagement.

Pourtant, à travers tout le continent, des lanceurs et lanceuses d’alerte agissent et obtiennent des résultats.

« Quand on dénonce des faits de corruption, on est considéré comme le criminel à abattre »

Malgré les représailles, les lanceurs d’alerte sont pourtant nombreux en Afrique.

Alerte Corruption Afrique - Home | Facebook

« Les gens voient les fonds publics, le futur de leurs enfants, qui leur filent sous les yeux, et veulent le dénoncer le plus vite possible. »

Aujourd’hui, ce sont les personnes qui se rendent coupables de corruption qui sont soutenues, pas les lanceurs d’alerte.

LIRE ICI

Au Maroc, quatre ans de prison pour un militant et journaliste citoyen accusé d’avoir critiqué le roi


Journaliste citoyen, Rabie Al-Ablaq est poursuivi pour avoir publié « des vidéos critiquant les disparités sociales et la corruption ».

Lire ICI

« Je voudrais juste un os »: au Mexique, la quête éperdue de 94.000 disparus



« Je voudrais juste un os. » Désespérée, une mère supplie un soldat pour qu’il lui laisse une chance de retrouver les restes de son fils, un parmi les quelque 94.000 disparus qui hantent le Mexique.

La mère-courage, qui a perdu la trace de son enfant il y a un an, négocie avec les forces de sécurité l’accès à un ancien champ de maïs dans l’Etat de Tamaulipas (nord-ouest), où une demi-tonne de restes humains ont été retrouvés depuis 2017.

Lire ICI

Arménie: liberté de la presse, politique et corruption


Nikol Pachinian, le Premier ministre de l’Arménie, le 27 septembre 2020 à Erevan. Tigran Mehrabyan, PAN Photo via AP


Le gouvernement arménien, réputé pour ses engagements démocratiques, est sous le feu des critiques après avoir adopté une loi controversée sur la presse. 

La Cour Constitutionnelle arménienne a validé le 9 octobre dernier une loi, adoptée en juillet, qui prévoit notamment l’augmentation substantielle des amendes en cas d’insultes ou de diffamation envers des personnalités publiques. Au maximum, en cas de récidive, l’amende pourrait s’élever à 30 fois le salaire mensuel moyen d’un journaliste arménien.

La suite ICI

Incendies en Algérie : une affaire de corruption derrière le fiasco des bombardiers d’eau ?

Des volontaires tentent d’éteindre le feu en Kabylie, le 12 août 2021 © RYAD KRAMDI/AFP


Pourquoi l’Algérie, alors que le pays est régulièrement confronté à des incendies, ne s’est-elle jamais doté d’avions bombardiers d’eau ? Eléments de réponse.


Lire ICI, ICI et ICI

La police fédérale brésilienne ouvre une enquête sur Bolsonaro à propos d’un accord sur les vaccins

Le président brésilien Jair Bolsonaro assiste à une cérémonie au palais du Planalto à Brasilia, Brésil, le 29 juin 2021. REUTERS/Adriano Machado/File Photo


BRASILIA, 12 juillet (Reuters) – A la demande de la Cour suprême, la police fédérale brésilienne a officiellement ouvert une enquête sur le président Jair Bolsonaro concernant des irrégularités présumées dans l’achat d’un vaccin indien et pourrait désormais l’interroger, selon une source au courant de l’affaire qui l’a annoncé lundi.

Le président a été impliqué dans des allégations d’irrégularités concernant le contrat de 1,6 milliard de reais (316 millions de dollars) signé en février pour 20 millions de doses avec un intermédiaire brésilien pour le fabricant du vaccin, Bharat Biotech.

Une commission sénatoriale brésilienne enquêtant sur la gestion par l’administration de la pandémie a évoqué des soupçons de surtarification et de corruption liés au contrat. Certains sénateurs ont allégué que Bolsonaro n’avait pas immédiatement pris en compte les soupçons d’actes répréhensibles à propos desquels il avait été alerté.

Après que les rapports d’irrégularités aient été rendus publics, le gouvernement a suspendu le contrat.

Le scandale nuit à la position de Bolsonaro dans les sondages. Beaucoup sont bouleversés par sa gestion de la deuxième épidémie de coronavirus la plus meurtrière au monde, les allégations de corruption à propos des vaccins ainsi que la hausse des prix du carburant, de l’électricité et de la nourriture.

Les procureurs fédéraux brésiliens et le bureau du contrôleur général, ou CGU, enquêtent également séparément sur les irrégularités présumées de l’accord.

Bolsonaro a évidemment nié tout acte répréhensible.



Reportage de Gabriel Stargardter ; Montage par Alexandre Caverni et Aurora Ellis

Traduction automatique

Vingt-cinq ans après l’appel de Genève, bilan contrasté, menace avérée.



Un colloque a été organisé le 26 juin 2021 autour d’une trentaine de magistrats, chercheurs, journalistes et hommes politiques pour célébrer les 25 années de l’appel de Genève qui lançait les prémisses d’une Europe judiciaire afin de lutter contre le crime organisé et les paradis fiscaux. Voici la contribution remarqué et remarquable d’un des participants : le magistrat et chercheur Jean de Maillard.


Lire ICI

Affaire des assistants d’eurodéputés : un rapport de police décrit un « système organisé frauduleux » au Rassemblement national



Le policiers de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales ont rédigé un rapport d’enquête auquel le « Journal du dimanche » et France Télévisions ont eu accès.


Lire ICI

Il faut adopter le projet de loi sur les biens mal acquis



Le Palais Bourbon, siège parisien de l’Assemblée nationale. © 2014 Dennis Jarvis

L’Assemblée nationale doit voter sur ce projet de loi aujourd’hui.

Lire ICI