Assemblée générale 2024

Par Rémy Dufaut



L’assemblée générale statutaire annuelle de la Section de l’Aube de la LDH s’est tenue ce lundi 25 novembre à la Maison de l’Animation et de la Culture de Pont-Ste-Marie.

Après avoir souhaité la bienvenue à une salle comble, la présidente sortante Maryvonne BLUM-KÜHN remercie pour sa présence exceptionnelle Patrick BAUDOIN, ancien président de la LDH nationale, aujourd’hui président d’honneur, qui a pu se libérer de ses nombreuses obligations et faire le déplacement depuis Paris.



Le rapport moral de l’AG du 30 novembre 2023 est approuvé à l’unanimité.

Lors de son rapport moral pour l’année 2023-2024, la présidente exprime toute sa reconnaissance aux bénévoles dont l’activité a été particulièrement intense encore cette année.

Un gros travail de sensibilisation aux droits de l’Homme et à la citoyenneté a été accompli : interventions sur les droits fondamentaux, l’égalité femmes/hommes, les discriminations et les migrants. L’animation des séquences reposait sur une méthodologie participative adaptée aux niveaux des élèves, en cohérence avec les projets pédagogiques conduits par les professeurs et les établissements)

Le secrétaire sortant, Hubert BRUNEEL, se joint à la présidente pour signaler que la section s’est fortement engagée dans les actions collectives avec les autres organisations locales : actions contre la Loi « contrôler l’immigration, améliorer l’intégration », considérant qu’une autre politique est possible pour accueillir les migrants et leur permettre de vivre dignement sur notre territoire, dénonçant l’application d’une loi exclusivement répressive contre les étrangers, en particulier les jeunes migrants mineurs non accompagnés expulsés brutalement du Centre Départemental de l’Enfance sans aucune solution et plongés dans une précarité insuportable.



Les bénévoles se sont impliqués très activement dans les actions du collectif aubois pour la Paix, du collectif aubois contre les violences faites aux femmes, du collectif aubois de lutte contre les extrêmes-droites, du collectif aubois pour l’hébergement des déboutés du droit d’asile et pour qu’aucun enfant ne dorme plus à la rue.

La section LDH de l’Aube se trouve de plus en plus sollicitée et donc plus présente sur le terrain et reconnue grâce à l’engagement de ses bénévoles et au soutien de ses adhérents. Les bénévoles ont cumulé cette année plus de 7000 heures de travail, soit près de 5 équivalents temps plein, répondant à 2334 appels téléphoniques et accueillant les demandeurs d’aide au cours de 1262 rendez-vous.

Les adhésions ont connu une forte progression (doublement en 3 ans pour arriver aujourd’hui à 90 adhérents).

C’est ainsi que le trésorier sortant, Gérard LAILLET a dressé un bilan financier parfaitement équilibré mais en forte augmentation et un budget prévisionnel également à la hausse, compte tenu des évolutions auxquelles doit faire face la section qui engage, tout comme les administrations auxquelles elle est confrontée, une dématérialisation de son fonctionnement avec, dans le but d’une meilleure efficacité, la création d’une base de données et d’un cloud pour y avoir facilement accès.

Rémy DUFAUT, vice-président sortant, présente le site internet de la section, dont les publications s’efforcent de pointer l’actualité relative aux droits humains en privilégiant les analyses et les témoignages. La section est très présente également sur les réseaux sociaux (Facebook et Instagram). Ce site et ces connexions représentent une ouverture essentielle aujourd’hui sur le monde et un lien important dans la vie de la section.

Les priorités et les projets de la section demeurent plus que jamais les actions de défense des droits fondamentaux, de la démocratie, des droits des femmes, des droits des étrangers, des libertés et des principes de la République, de promotion de la laïcité, de lutte contre le racisme, les discriminations et les politiques liberticides, le conseil et l’accompagnement des personnes en difficulté dans leurs démarches administratives et contentieuses, la participation active aux collectifs

La section tient à agir en partenariat avec toutes les organisations progressistes. Elle a une position majeure à tenir au titre des droits fondamentaux et de la défense de l’État de droit. Elle se mobilise avec tous les acteurs sur la base de mots d’ordre acceptés par tous et pour agir de façon concertée.

Par ses interventions en milieu scolaire et en apprentissage, la section a l’ambition de développer ses interventions afin de répondre aux sollicitations croissantes des établissements scolaires et des centres de formation pour promouvoir les droits fondamentaux et sensibiliser les jeunes à l’État de droit.

Pour cela, elle doit élargir le cercle des intervenants. Il s’agit d’un enjeu majeur pour aller à la rencontre des jeunes et échanger avec eux.

Le soutien aux initiatives de ses partenaires est également une priorité, dès lors qu’elles s’inscrivent dans le respect et la défense des droits économiques, sociaux, culturels et environnementaux et concourent à l’effectivité des droits.



Les rapports moral, d’activité et financier sont approuvés à l’unanimité et les membres du bureau sortant, Maryvonne Blum, présidente, Rémy Dufaut, vice-président, Hubert Bruneel, secrétaire, Séverine Peignaud, secrétaire adjointe, Gérard Laillet, trésorier, Michel Degardin, trésorier adjoint, remercient l’assemblée pour la confiance qu’elle leur accorde.

Celle-ci se confirme par le fait que la présidente Maryvonne BLUM-KÜHN, le secrétaire Hubert BRUNEEL et le trésorier Gérard LAILLET, acceptant de solliciter le renouvèlement de leur mandat respectif, se voient confirmés à l’unanimité des votants dans leurs fonctions pour la prochaine année (les adjoints seront désignés lors de la prochaine réunion du bureau).

L’assemblée générale statutaire est close.




Simine FATHI, réfugiée iranienne, artiste résidente au centre d’art troyen GINKGO nous présente alors une partie de ses œuvres exposées à l’occasion dans la salle sous le titre « Portraits de femmes ». Très intimidée par l’imposante assistance, elle invite chacune et chacun à s’approcher de ses tableaux en fin de réunion et à lui poser toutes questions sur son travail.



Puis, Patrick BAUDOIN prend la parole et présente, devant un auditoire captivé, un exposé de la situation inquiétante de la démocratie dans le monde. d’aujourd’hui.

On pourra se référer aux éditions précédentes de son interview préalable publiées dans la presse locale et relayées dans ces colonnes https://site.ldh-france.org/troyes-et-aube/la-democratie-en-danger/ et https://site.ldh-france.org/troyes-et-aube/comment-enrayer-le-declin-de-la-democratie/. Nous remercions les rédactions de Libération-Champagne et de L’Est-Eclair et tout particulièrement Stéphanie Munier pour le recueil attentif et éclairé de ses propos.



La soirée s’achève dans la convivialité et la poursuite des échanges autour d’un apéritif dînatoire agrémenté d’un excellent buffet préparé par le restaurant de l’Auberge de Jeunesse de Rosières-près-Troyes, Mets d’Ailleurs.

Nous remercions vivement la commune de Pont-Ste-Marie et le personnel de la MAC pour leur accueil.

En Afghanistan, les talibans promulguent une loi pour « promouvoir la vertu » et interdisent notamment aux femmes de chanter en public



Cette nouvelle loi intervient trois ans après le retour des talibans au pouvoir.

Une loi a été promulguée en Afghanistan pour « promouvoir la vertu et prévenir le vice » parmi la population, en conformité avec la charia (loi islamique), a annoncé jeudi 22 août le ministère taliban de la Justice. Elle stipule notamment que « les femmes doivent couvrir leur corps entièrement en présence d’hommes n’appartenant pas à leur famille », de même que leur visage « par peur de la tentation », ce qui implique le port d’un masque sur la bouche. Les femmes ne doivent par ailleurs pas faire entendre leurs voix en public (chanson, poésie), selon cette loi, qui intervient trois ans après le retour des talibans au pouvoir.



Parole, vêtements, hygiène, regards… La vie des femmes afghanes est désormais légalement sous le contrôle des Talibans


En Afghanistan, la situation des femmes ne cesse de se dégrader. Dernier exemple en date, le régime des Talibans vient de promulguer une loi de 114 pages qui impose de nouvelles restrictions très sévères aux femmes avec une palette de sanctions.

C’est toute la vie des Afghanes, sociale et privée, qui est désormais sous contrôle. Le nouveau texte promulgué par les Talibans, a été ratifié la semaine dernière et compte 35 articles, avec d’abord ce symbole : l’interdiction aux femmes de chanter, de réciter un poème, et même de lire à voix haute en public. Les femmes devaient déjà porter la burqa dans la rue, l’école leur était interdite après l’âge de 12 ans, c’est maintenant leur parole qui est muselée.



Afghanistan : la guerre des talibans contre les femmes


Le 15 août 2021, vingt ans après le renversement de leur régime, les talibans entrent dans Kaboul et s’arrogent les pleins pouvoirs en Afghanistan. Ce qu’ils revendiquent : s’être modernisés. Ce que nous constatons : les déclarations n’ont pas résisté à l’épreuve des faits. Depuis leur retour au pouvoir, ils n’ont cessé de restreindre les droits de la population et notamment ceux de leur ennemi numéro un : les femmes. 

Mangez des bananes

Une culture sans morale.

Les paysannes et paysans ne pourront bientôt plus vivre de leurs terres.

https://www.actionaid.fr/nous-decouvrir/dignite-au-travail/les-maux-de-notre-alimentation

Le handicap expose à la pauvreté et aux bas niveaux de vie   



La moitié des personnes handicapées ont un niveau de vie inférieur à 1 512 euros par mois, soit 300 euros de moins que le niveau de vie médian des personnes valides. 19,5 % des adultes handicapés vivent sous le seuil de pauvreté.

Le taux de pauvreté des personnes handicapées [1] atteint presque 20 % (au seuil de pauvreté de 60 % du niveau de vie médian [2], donnée 2019 du ministère des Solidarités), un niveau très supérieur à celui des personnes valides (12,8 %). Au total, près de 840 000 personnes handicapées sont pauvres.

Lutte contre les violences sexuelles

Cent personnalités réclament une loi élargie pour aller plus loin dans la lutte contre les violences sexuelles

La Fondation des femmes, #Metoomédia et l’actrice Anna Mouglalis publient une pétition dans «le Monde», le jour de l’ouverture du Festival de Cannes, estimant que la France a un «retard abyssal» en matière de violences sexuelles.

par LIBERATION et AFP 14 mai 2024

Sept ans après le lancement du mouvement #MeToo, cent personnalités, dont de nombreuses actrices, appellent dans une tribune publiée par le Monde à «une loi intégrale» contre les violences sexuelles en France. «Nous sommes 100, mais en réalité, nous sommes des centaines de milliers», écrivent les signataires de ce texte assorti d’une pétition initiée par la Fondation des femmes, #Metoomédia et l’actrice Anna Mouglalis.

«Nos prises de parole #MeToo ont révélé une réalité plongée dans le déni : les violences sexistes et sexuelles sont systémiques, pas exceptionnelles. Pour autant, qui nous écoute vraiment?» peut-on lire dans la tribune. Parmi les signataires figurent les actrices Isabelle Adjani, Charlotte Arnould, Emmanuelle Béart, Juliette Binoche, Emma de Caunes, Judith Godrèche, Isild Le Besco, Muriel Robin, les autrices Leïla Slimani, Christine Angot, Vanessa Springora, ou encore le comédien Philippe Torreton.

https://www.liberation.fr/societe/droits-des-femmes/violences-sexuelles-en-france-cent-personnalites-reclament-une-loi-elargie-pour-aller-plus-loin-dans-la-lutte-20240514_SKSA4LN4LRARVGJI5TZEXO43GI/

«Depuis sept ans, nous parlons pour nous et pour toutes les femmes, hommes et enfants qui ne peuvent pas le faire, écrivent-elles. Nous ne sommes pas des chiffres : femmes et hommes de tous milieux professionnels, nous nous rassemblons pour demander une loi intégrale contre les violences sexuelles et sexistes, ambitieuse et dotée de moyens. Car malgré le courage des victimes, c’est l’impunité qui grandit.»

Les signataires jugent notamment «inacceptable» que le classement sans suite des plaintes pour violences sexuelles «ait atteint le taux délirant de 94 % en 2022» et préviennent qu’ils n’acceptent plus «les effets d’annonce sans suite».

«Le retard abyssal de la France»

«L’ajout du seul mot consentement dans la loi ne permettra pas de rattraper le retard abyssal de la France en la matière», estiment les signataires.

En Pologne, la chasse aux avortements continue

Malgré l’examen de nouveaux textes au Parlement polonais, l’avortement est toujours illégal en Pologne à quelques exceptions près : viol, malformation du fœtus, mise en danger de la vie de la mère. Mais rien n’arrête les militantes, ni les lois, ni les débats.

https://www.geo.fr/geopolitique/en-pologne-la-chasse-aux-avortements-continue

Avortement illégal et peines de prison (condamnation pouvant aller jusqu’à 5 ans de prison)

Anna ne veut pas révéler son nom. C’est trop dangereux. Et elle ne se considère pas comme une héroïne : “Je suis juste une militante qui consacre plusieurs heures par semaine à aider des personnes en quête d’une aide à l’avortement ou en cours de processus d’avortement. Rien de plus”. 

Je me fous de ce que font les politiciens, je fais juste ce que j’ai à faire. Ces avortements doivent avoir lieu, c’est tout.

En effet, malgré les promesses de la coalition libérale arrivée au pouvoir en octobre dernier, l’avortement est toujours illégal en Pologne. Depuis 1993, les seules entorses à cette loi d’un autre âge sont les grossesses issues d’un acte illégal (viol, inceste ou autre), celles qui mettent en danger la santé ou la vie de la mère et celles impliquant une malformation du fœtus. Tout ça dans un délai maximal de douze semaines, soit moins que les quatorze semaines d’avortement légal et sans condition en France.

De nombreuses femmes, à l’intérieur et à l’extérieur des frontières polonaises, se sont donc organisées depuis des années pour lutter contre ces textes à peine croyables au sein de l’Union européenne. De nombreuses associations comme Abortion Dream Team fournissent des informations aux femmes faisant face à une grossesse non désirée, elles les assistent dans leurs démarches, que ce soit dans le fait de se procurer une pilule abortive à l’étranger ou dans l’organisation d’un voyage aux fins évidentes. Elles leur apportent aussi un profond soutien émotionnel et parfois financier.

La loi polonaise tue.

Depuis 2021, au moins six femmes sont mortes de n’avoir pas pu avorter lorsqu’il le fallait.

 “Certains médecins ne veulent pas pratiquer d’avortement parce qu’ils sont contre et qu’ils décident de ne se concentrer que sur le fœtus. Ou parce qu’ils ont peur pour eux. Ils ont peur qu’il y ait une enquête sur leur décision et qu’ils soient condamnés.« 

Prisons : 76 258 personnes étaient détenues en France au 1er février, un nouveau record


La surpopulation carcérale s’établissait à 123,5% au début du mois, avec une très forte hausse de personnes contraintes de dormir sur un matelas.

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Les cinq hommes les plus riches du monde ont doublé leur fortune depuis 2020 tandis que cinq milliards de personnes se sont appauvries depuis le début de la « décennie des fractures »



  • La fortune des cinq hommes les plus riches du monde a bondi de 114 % depuis 2020.
  • D’après les prévisions d’Oxfam, nous pourrions voir pour la première fois la fortune d’un multimilliardaire franchir le cap des 1 000 milliards de dollars dans seulement dix ans, alors qu’il faudra plus de deux siècles pour mettre fin à la pauvreté. 
  • Un milliardaire est à la tête ou est actionnaire principal de sept des dix plus grandes entreprises mondiales.
  • Au total, 148 des plus grandes entreprises ont réalisé 1 800 milliards de dollars de bénéfices, ce qui représente une hausse de 52 % par rapport aux bénéfices moyens des trois dernières années. Elles ont redistribué des bénéfices records à leurs riches actionnaires, alors que des centaines de millions de personnes sont confrontées à une baisse de leur salaire réel.
  • Oxfam appelle à une nouvelle ère d’action publique, incluant les services publics, la régulation des entreprises, le démantèlement des monopoles et l’instauration d’impôts permanents sur la fortune et les bénéfices excédentaires.

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Avons-nous vraiment besoin d’un « trillionaire » ?


Inflation : le RSA ne suit pas

Bonne année 2024

ÉCOCIDES ET PARADIS FISCAUX : RÉVÉLATIONS SUR LES DÉRIVES DU SOUTIEN EUROPÉEN À L’INDUSTRIE MINIÈRE


Pour développer l’industrie des batteries électriques ou des éoliennes, l’Union européenne finance des entreprises minières au travers du programme Horizon. Une partie de ces fonds profite à des sociétés impliquées dans des catastrophes environnementales, voire, pour l’une d’entre elles, domiciliée dans un paradis fiscal.

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Pologne : l’opposition revendique la victoire aux élections législatives, devant le parti anti-migrants au pouvoir


D’après les sondages sortis des urnes, le parti conservateur Droit et Justice (PiS) n’a pas obtenu de majorité claire. La coalition d’opposition, libérale et pro européenne, sera donc chargée de constituer un nouveau gouvernement. Un revers pour le premier ministre sortant Mateusz Morawiecki, qui avait largement axé sa campagne sur ses positions anti-migrants.

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Des dizaines de millions d’enfants déracinés par les désastres climatiques



Entre 2016 et 2021, inondations, tempêtes, sécheresse et incendies, des catastrophes liées au changement climatique, ont entraîné 43,1 millions de déplacements d’enfants à l’intérieur de 44 pays, selon un rapport de l’Unicef publié jeudi. L’organisation appelle les chefs d’État à se pencher sur cette question lors de la COP28.

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En Afghanistan, les talibans brûlent les instruments de musique jugés «immoraux»



Le ministère des mœurs des talibans au pouvoir à Kaboul a envoyé au bûcher des instruments et équipements musicaux confisqués dans la province de Herat.

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Portugal : des jeunes africains qui rêvent de foot ciblés par des trafiquants d’être humains



Devenir les futurs Leonel Messi, Cristiano Ronaldo ou Kylian Mbappé… Des millions de jeunes à travers le monde en rêvent. De nombreux passeurs et trafiquants d’êtres humains en profitent. Le sport roi, qui génère des milliards à travers le monde, compte malheureusement de très nombreux cas d’exploitation de jeunes, surtout mineurs, dans quasiment tous les pays européens dont, entre autres, le Portugal.

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Pour les vacanciers du sud

RENCONTRES D’ARLES 2023

UNE EXPOSITION SUR LA FORCE DES MANIFESTATIONS


À l’occasion des Rencontres d’Arles, nous présentons l’exposition « Manifeste. Ils furent foule soudain » : 110 photographies de 22 photographes de l’agence MYOP viennent résonner comme une clameur collective pour rappeler que manifester est un droit essentiel qui en protège d’autres.

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LA DÉFENSEURE DES DROITS RECOMMANDE DE METTRE FIN À LA PROCÉDURE DE L’AMENDE FORFAITAIRE DÉLICTUELLE


Saisie depuis 2018 de nombreuses réclamations relatives à des difficultés dans la mise en œuvre de la procédure de l’amende forfaitaire délictuelle (AFD) qui compromettent le respect des droits des usagers, dont le droit de contester l’amende, la Défenseure des droits, Claire Hédon, publie ce jour une décision cadre[1] et recommande d’y mettre fin.

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« Il ne faut pas que l’ensemble des patients psychiatriques subissent la stigmatisation sécuritaire »


Après le meurtre de l’infirmière du CHU de Reims, un discours mêlant insécurité et troubles psychiatriques monte. Le psychiatre Mathieu Bellhasen déconstruit ce schéma stéréotypé dans un entretien avec « l’Obs ».

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Neuf millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté en France

« Sans des structures comme les Restos du cœur, il y aurait peut-être des émeutes de la faim », estime la chercheure Bénédicte Bonzi. Elle dénonce le développement d’un marché de la faim qui conforte le système agro-industriel.

À partir du moment où il est possible de récupérer de l’argent sur la détresse alimentaire des personnes, on rentre dans une logique de marché.

L’aide alimentaire est incapable de répondre au droit à l’alimentation. Ce droit n’est pas du tout garanti en France. La violence du système alimentaire est structurelle et se ressent dans toutes les étapes de l’aide alimentaire. Elle crée des inégalités très fortes avec des conséquences sur la santé et le mental des personnes bénéficiaires – les bénévoles n’en sortent pas non plus indemnes.

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Du 29 avril au 1er Mai

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1er Mai



Manifestations du 1er-Mai : les syndicats espèrent une mobilisation historique


Où et quand auront lieu les manifestations du 1er-Mai dans l’Aube


Réforme des retraites: un front syndical uni pour le 1er Mai à Troyes

La LDH sera présente toute la journée à Troyes aux côtés des organisations syndicales, politiques et associatives lors de cette Fête du 1er Mai symbolique, marquée cette année par la lutte contre la réforme des retraites et pour la démocratie, les libertés et les droits.

Croix Rouge de l’Aube : réunion d’information


SAMEDI 22 AVRIL 2023 À 10:00

La Direction Territoriale de l’Urgence et du Secourisme recherche des bénévoles et organise une réunion d’information.


au 18 rue Louis Morin à Troyes. 


– vous faire connaître notre association
– vous faire découvrir nos missions dans l’urgence et dans le secourisme
– parler des autres actions menées dans le département
– répondre à vos questions, nos bénévoles seront heureux de vous accueillir pour ce moment d’échanges

aube.croix-rouge.fr