Une poignée de médecins américains brave les lois interdisant l’avortement


Depuis quelques semaines, Lauren Jacobson, infirmière américaine de 31 ans, supervise quotidiennement l’envoi d’une cinquantaine de colis contenant des pilules abortives. Sur la plupart des paquets, l’adresse de livraison indique pourtant un Etat dans lequel les avortements sont interdits, comme le Texas.

Lire ICI

Darmanin plein d’attentions pour une police en sédition

Police : Darmanin fâche la justice – Reportage #cdanslair 28.07.2023



Le ministre de l’Intérieur a témoigné jeudi soir aux syndicats de policiers son soutien et leur a promis d’étudier la «faisabilité» de leurs demandes, dont la création d’un statut dérogatoire en cas de mise en cause.

Lire ICI


Contre le populisme policier, l’esprit des libertés

Dissolution des Soulèvements de la terre : le mouvement écologiste dépose un recours



Un mois après la liquidation du mouvement en Conseil des ministres, les avocats des Soulèvements de la terre ont déposé un recours en référé suspension.

Lire ICI

Pour la régularisation d’Hervé S., principal témoin de la mort de Blessing Matthew

Entretien exclusif avec Narges Mohammadi, militante des droits humains, emprisonnée en Iran



Journaliste et militante iranienne des droits humains, détenue à la prison d’Evin à Téhéran, Narges Mohammadi, 51 ans, n’hésite pas à dénoncer les exactions du régime islamique même du fond de sa cellule. Lauréate de plusieurs prix internationaux, dont le Prix mondial de la liberté de la presse (2023), le Prix Olof-Palme pour les droits de l’homme (2023), ou encore le Prix Sakharov (2018), elle a répondu, par écrit, aux questions de RFI.

Lire ICI

« Des voix et des droits »

le podcast de la LDH en 4 épisodes 

 



L’ÉTAT DES LIBERTÉS ASSOCIATIVES

 

RETOUR HISTORIQUE SUR MAYOTTE

 


ATTEINTES AU DROIT DE MANIFESTER EN FRANCE

 


OBSERVATIONS DE LA MOBILISATION CONTRE LE PROJET DE MÉGA-BASSINE À SAINTE-SOLINE (24-26 MARS 2023)

Violences policières


Violences policières à Marseille : quatre policiers de la BAC présentés au juge d’instruction, le parquet demande leur détention provisoire


Seine-Saint-Denis : l’IGPN enquête sur des violences après la plainte d’une enseignante gravement blessée


Violences urbaines à Lorient. Gérald Darmanin reconnaît que des militaires « ont prêté main-forte » aux forces de l’ordre


Troyes: Emeutes : il lance un appel au rassemblement sur les réseaux sociaux, un homme de 23 ans condamné à de la prison

Afghanistan : des femmes manifestent après l’interdiction des instituts de beauté


Des femmes afghanes ont manifesté à Kaboul (Afghanistan), mercredi 19 juillet. En cause : la fermeture des instituts de beauté, l’un des rares lieux où elles pouvaient encore se rendre. Les autorités, qui jugent ces magasins non conformes à la loi islamique, ont dispersé le rassemblement.

Voir ICI

Quand les activistes écologistes font face à « un droit pénal d’exception »


Après la dissolution des Soulèvements de la Terre le 21 juin, une trentaine d’activistes écologistes proches du mouvement font maintenant face à des procédures judiciaires. Un photojournaliste qui couvrait une action a aussi été mis en examen.

Lire ICI

« C’est un crachat au visage de toutes les femmes » : en Iran, le retour de la police des mœurs fait trembler les opposants au régime



Dissoute en décembre, la police des mœurs est de retour en Iran. Ces hommes du régime patrouillent dans les rues pour sanctionner les femmes qui ne portent pas correctement le voile islamique. Les opposants au régime s’inquiètent, mais continuent leur désobéissance.

Lire ICI


Iran : le retour des patrouilles de la police des mœurs « se retournera contre le régime »


Iran: les autorités ferment un réseau de centres éducatifs pour avoir «incité» à manifester

 

Les talibans sonnent le glas des salons de beauté

par Jean Camus

 

Le régime fondamentaliste afghan prive les femmes d’un de leurs derniers espaces de liberté.

Les femmes, hors du monde du travail, n’auront plus de revenus.

Les universités, les parcs et les salles de sport sont fermés aux Afghanes. L’école est interdite aux filles de plus de 12 ans.

La communauté internationale a dénoncé la politique anti-femme, mais cela ne ferme pas complètement le dialogue « quand le Conseil de sécurité de l’ONU a renouvelé, le 17  mars le mandat de l’UNAMA, -mission politique de l’ONU-  en Afghanistan, ils ont pris ça comme un blanc-seing, à  tel point qu’un mois plus tard ils interdisaient aux Afghanes de travailler pour les organisations internationale » (source onusienne)

« Aujourd’hui , en Afghanistan, nous les femmes n’avons qu’un droit : respirer et c’est tout »  (une sage-femme)

Source: Le Monde du 18/07/2023

Les maires ne sont pas au-dessus du droit

Angoulême : deux recours juridiques déposés contre l’arrêté municipal «anti-marginaux»


Depuis mardi dernier, il est interdit d’être allongé, assis et même debout dans certains endroits du centre-ville lorsque ces positions entravent «la circulation des piétons» et causent des «nuisances». Un référé suspension a été déposé par la Ligue des droits de l’homme et sera audiencé le 1er août.

Lire ICI

 


Béziers : l’Algérien que Robert Ménard a accusé de mariage blanc placé en centre de rétention et sur le point d’être expulsé

Communiqués de la LDH


Chargeur En cours de chargement…
Logo EAD Cela prend trop de temps ?

Recharger Recharger le document
| Ouvert Ouvrir dans un nouvel onglet

Manifestations contre les violences policières

MEMENTO A L’USAGE DES MINISTRES DE L’INTÉRIEUR, PRÉFETS ET TRIBUNAUX ADMINISTRATIFS


Une nouvelle fois, le préfet de police de Paris a interdit une manifestation contre les violences policières prévue le 15 juillet et ce, en application des directives données la veille par le ministre de l’intérieur selon lesquelles, dans le cadre du dispositif de sécurité mis en place pour la célébration du 14 juillet, il invitait les préfets à interdire les manifestations qui se tiendraient jusqu’au 15 juillet, précisant : « Nous considérons que les manifestations en lien avec les violences urbaines que nous avons connues doivent être interdites ».

Lire ICI

Charente : la ville d’Angoulême interdit de rester assis, allongé, debout « sans bouger », dans le centre-ville sous peine d’une amende de 35 euros



La municipalité veut lutter contre des « groupes d’individus, souvent en état d’imprégnation alcoolique », qui « s’approprient les espaces et les aménagements publics tels que les trottoirs et les bancs » et bloquent la circulation des piétons dans la ville.

Lire ICI

Rapport des observatoires des libertés publiques et des pratiques policières

SAINTE-SOLINE 24-26 mars 2023

EMPÊCHER L’ACCÈS À LA BASSINE QUEL QU’EN SOIT LE COÛT HUMAIN

Depuis la création de l’Observatoire des Pratiques Policières (OPP) de Toulouse en 2016, de
nombreux observatoires se sont créés partout sur le territoire: Bordeaux, Paris, Seine-Saint-Denis,
Rennes, Nantes, Lille, Strasbourg, Poitou-Charentes…

Les observatoires des libertés publiques et des pratiques policières sont des collectifs de
personnes physiques, agissant à titre bénévole, présent·e·s sur les lieux où s’exercent les pratiques policières, et dont l’objectif est de recueillir des informations et de produire des analyses et des rapports rendus publics afin d’alerter les citoyen·ne·s, les acteur·ice·s de la justice et les pouvoirs publics, d’alimenter le débat d’intérêt général sur les libertés et d’apporter une réponse collective aux dérives de ces pratiques policières.
Ce sont des collectifs créés localement à l’initiative de la Ligue des droits de l’Homme, souvent avec d’autres organisations selon les villes telles que la Fondation Copernic, le Mrap, le Syndicat des avocats de France, ou d’autres syndicats extérieurs au champ de la justice.

Lire le rapport ICI

Pour les vacanciers du sud

RENCONTRES D’ARLES 2023

UNE EXPOSITION SUR LA FORCE DES MANIFESTATIONS


À l’occasion des Rencontres d’Arles, nous présentons l’exposition « Manifeste. Ils furent foule soudain » : 110 photographies de 22 photographes de l’agence MYOP viennent résonner comme une clameur collective pour rappeler que manifester est un droit essentiel qui en protège d’autres.

Lire ICI

Mort de Nahel : « Il y a urgence à tracer les contrôles d’identité », affirme la Défenseure des droits


Claire Hédon veut mettre fin aux contrôles au faciès et souhaite s’inspirer de ce qui se fait chez nos voisins.

Lire ICI

Troyes: rassemblement pour sortir de l’affrontement

Rassemblement devant la préfecture au cours duquel a été lue une déclaration de la LDH, la CGT, le MRAP, la FSU, Générations S, La Libre Pensée, LFI.

HB

AR
AR
HB
AR
AR


Après les émeutes, une « justice de l’urgence » et des condamnations « sévères »


Emeutes après la mort de Nahel : la politique de la ville menée dans les quartiers depuis plus de 30 ans n’a-t-elle servi à rien ?


ONU : Le document qui enfonce l’État français

Béziers : Robert Ménard a-t-il le droit de refuser un mariage ?


Le maire a refusé de célébrer l’union ce vendredi 7 juillet d’une Française de 29 ans à un Algérien de 23 ans faisant l’objet d’une obligation de quitter le territoire français. En prenant des largesses avec la loi.

Lire ICI

Le rassemblement pour Adama Traoré place de la République à son tour interdit


La préfecture de police a annoncé qu’un arrêté serait pris samedi pour interdire un rassemblement à Paris en hommage à Adama Traoré et contre les violences policières. Cette décision intervient après l’interdiction d’une marche commémorative dans le Val-d’Oise pour le jeune homme décédé en juillet 2016 après son arrestation par des gendarmes.

Lire ICI

Manifestations contre les violences policières : un rassemblement en mémoire d’Adama Traoré en cours à Paris, malgré l’interdiction

 


1000 personnes s’étaient néanmoins rassemblées place de la République malgré cette interdiction. Assa Traoré, la soeur d’Adama, les a appelées vers 16 h à « quitter les lieux sans violence et à rentrer chez eux. »