Ce samedi 15 juin à Troyes


12h00: repas en commun tiré du sac qui permettra aux manifestant(e)s de se restaurer dans le partage avant de rejoindre le rassemblement pour faire front populaire contre l’extrême-droite 

 

Troyes: rassemblements pour la paix

Place de la Libération 6 juin 2024
Place de la Libération 6 juin 2024

La pétition, forte de ses 3057 signatures, a été remise à M. le Directeur de cabinet de la préfète de l’Aube par la délégation du Collectif aubois pour la paix. Il a indiqué faire remonter celle-ci par voie hiérarchique jusqu’au plus haut niveau.

Une petite centaine de personnes a accompagné la délégation sur la place de la Libération.

Une déclaration a été prononcée:

CESSEZ LE FEU IMMEDIAT et DEFINITIF !

STOP AU MASSACRE A GAZA !

L’horreur se poursuit à Gaza.

L’hôpital al-Aqsa de Deir al-Balah a reçu depuis mardi « au moins 70 morts et plus de 300 blessés, en majorité des femmes et des enfants, à la suite des frappes israéliennes sur les zones centrales de la bande de Gaza », selon Médecins sans Frontières.

Depuis plus de huit mois, le peuple palestinien est en proie à un massacre organisé consciemment par le gouvernement israélien et qui menace son existence même. Les massacres massifs de populations civiles, 40 000 victimes dont une majorité de femmes et d’enfants, des milliers de disparus et pour ceux qui sont encore vivants, 2 millions de déplacés de force livrés aux maladies (la quasi-totalité des centres de soins ont été détruits par l’armée israélienne), à la famine (accès à l’eau potable et aux aides alimentaires réduit à néant) amènent des organisations internationales, telles que la Cour Internationale de justice des Nations Unis, à reconnaître un « risque génocidaire » à Gaza.

L’armée Israélienne a, une nouvelle fois, franchi un cap dans les massacres en bombardant un camp de déplacés à Rafah, alors que la Cour internationale de justice avait ordonné à Israël d’arrêter l’offensive de Rafah.

Le procureur général de la Cour pénale internationale – une juridiction distincte également basée à La Haye – a déposé le 20 mai une demande de mandats d’arrêt à l’encontre du 1er ministre israélien M. Netanyahu et du ministre de la défense Yoav Gallant, ainsi que contre trois dirigeants du Hamas. Cette décision du procureur de la CPI envoie un message important à toutes les parties au conflit à Gaza et ailleurs : elles auront à rendre des comptes pour la dévastation infligée aux populations de Gaza et d’Israël. Quelle que soit la cause défendue, nul ne peut être responsable de massacre et  de crime contre l’humanité.

La demande de mandats d’arrêt formulée par le procureur de la CPI dans la situation dans l’État de Palestine est aussi l’occasion qui n’a que trop tardé de mettre un terme au cycle d’impunité qui dure depuis des décennies en Israël et dans les territoires palestiniens occupés et de rétablir la crédibilité du système de justice internationale dans son ensemble.

Les soutiens en France du gouvernement d’extrême droite et criminel israélien ont permis à Netanyahou d’avoir une tribune télévisuelle le 24 mai dernier.

Son exercice d’autojustification du massacre à Gaza ne convainc personne. C’est devant la cour pénale internationale qu’il devra rendre des comptes. 

Tous les États doivent respecter la légitimité de la Cour et s’abstenir de toute tentative visant à intimider ou faire pression sur celle-ci, afin de permettre aux juges de faire leur travail en toute indépendance et impartialité.

Aux neuf pays de l’Union qui ont déjà reconnu la Palestine, s’ajoutent donc aujourd’hui trois nouveaux pays (l’Espagne, la Norvège et l’Irlande) et bientôt un quatrième, puisque la Slovénie doit le décréter officiellement avant le 13 juin. Il est dommage que la France n’ait pas été à la tête de ce mouvement, alors même qu’Emmanuel Macron a dit à de nombreuses reprises défendre « les deux États », et que les deux chambres ont adopté des résolutions le demandant.

Des millions de personnes à travers le monde, se rejoignent pour exiger un Cessez le feu immédiat !  Nous saluons particulièrement les mouvements de la jeunesse en général et estudiantine en particulier qui se dressent à travers le monde pour que cessent les massacres en cours du peuple palestinien. La jeunesse a raison !

Nous nous opposons et condamnons toutes les intimidations en cours orchestrées par notre gouvernement contre toutes celles et ceux qui cherchent à imposer le cessez le feu immédiat en Palestine. Cela indique que La France, à travers son gouvernement, continue de soutenir les massacres en cours en Palestine.

Le peuple palestinien a le droit de vivre en paix sur sa terre ! 

Une paix juste durable ne sera possible que dans le cadre de la reconnaissance de tous les droits du peuple palestinien, notamment de son droit à l’autodétermination et de son droit au retour. Cela implique le démantèlement des colonies, la fin de l’occupation israélienne ainsi que le respect de toutes les résolutions des Nations unies.

Ensemble continuons à nous mobiliser pour exiger :

– que la France  et l’Union européenne  s’associent à la démarche de l’Afrique du Sud afin de contraindre Israël à respecter l’ordonnance de la CIJ. 

– un cessez-le-feu immédiat, total et permanent pour la bande de Gaza

–  l’arrêt des bombardements et des déplacements forcés des populations.

–  l’entrée sans restriction de l’aide humanitaire et la levée du blocus de Gaza. 

– la libération de tous les prisonniers politiques palestiniens. C’est aussi dans le cadre d’un cessez-le-feu que les otages civils israéliens et binationaux pourront être libérés. 

– que la France et l’Union européenne arrêtent toute coopération militaire et sécuritaire avec Israël et imposent des sanctions politiques, économiques et commerciales contre Israël.

 – la reconnaissance d’un état palestinien.

Les organisations Mrap, Ldh, Greenpeace, Agui, La Libre Pensée, Le Collectif Louise Michel, Lfi, Poi, Pcf, Génération.s, Cgt, Solidaires et la Fsu appellent à une nouvelle manifestation le 15 juin prochain à Troyes place Jean Jaurès.              

Le 6 juin 2024





Pendant ce temps, 155 nouvelles signatures de la pétition étaient collectées en sus des 3057 précédentes.

Ce samedi, tournoi pour la paix à Gaza


Dans Gaza assiégée, la malnutrition, lot quotidien des habitants



Gaza reste sous les bombes israéliennes. Le territoire palestinien est assiégé et l’aide humanitaire n’entre quasiment plus. La principale conséquence est une nouvelle fois, la malnutrition, devenue le quotidien des Gazaouis. 

Au Proche-Orient, un plan de cessez-le-feu est toujours sur la table pour tenter de mettre un terme à la guerre à Gaza et obtenir la libération des otages israéliens. Le Hamas qui ne l’accepte pas, reste silencieux, mais ne le rejette pas non plus. De son côté, le Premier ministre israélien reste ambigu. Il semble approuver le plan auprès de ses alliés occidentaux, mais refuse de l’endosser officiellement dans son pays, de peur de précipiter la chute de son gouvernement. Ses ministres d’Extrême droite exigent en effet la poursuite des combats. En attendant, la situation humanitaire continue de se détériorer à Gaza. Faute de pouvoir avoir accès à une aide suffisante, ses habitants sont à nouveau exposés à la malnutrition.



Reconnaissance de l’Etat palestinien : qu’attendez-vous monsieur Macron ? 230 artistes lancent un appel


Plus de 230 artistes, dont Léna Situations, Renaud, DJ Snake, Leïla Bekhti et Angèle, interpellent Emmanuel Macron pour que la France reconnaisse officiellement l’Etat de Palestine, comme l’ont déjà fait 146 autres pays.

Depuis la terrible attaque du Hamas du 7 octobre 2023 causant la mort de plus de 1 100 Israéliens, majoritairement civils, et la prise d’otages de 252 personnes, dont 121 sont encore détenues par le Hamas, les habitants de Gaza subissent des bombardements quotidiens. Il y a quelques jours, deux camps de réfugiés ont été ciblés à Rafah et nous avons en tête des images qui nous empêchent de dormir la nuit. Pourtant, malgré le tollé international, Israël continue le massacre.





Ce soir à Troyes

Troyes : rassemblement pour la paix


Le rassemblement devant la préfecture est maintenu ce jour à 18h bien que le rendez-vous, prévu ce jour, avec la Préfète pour la remise de la pétition par une délégation du Collectif Aubois pour la Paix, soit annulé.

Ce rassemblement est porté par LFI, les associations et les citoyens qui entendent apporter leur soutien pour demander l’arrêt des bombardements, un cessez-le-feu immédiat, l’arrêt des ventes d’armes et l’acheminement de l’aide humanitaire aux Gazaouis.

Le rendez-vous est fixé ce jour à 18h et non 17h comme initialement prévu, devant la préfecture.

Nous invitons celles et ceux qui le souhaitent à s’associer au rassemblement à titre individuel.

D’autres actions seront prochainement organisées au nom du Collectif. Nous vous tiendrons informés dès que possible.

Loi Immigration : au moins 110 000 personnes, dont 30 000 enfants, pourraient perdre leurs droits sociaux, selon une étude


Dans une note publiée ce vendredi 19 janvier, le collectif Nos services publics mesure les conséquences concrètes de la loi Immigration si elle venait à être promulguée en France, notamment son volet sur la « préférence nationale ». Selon le rapport, elle plongerait au moins 110 000 personnes dans la grande pauvreté.

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Loi immigration : quel impact financier concret pour les personnes concernées par la « préférence nationale » ?


Plus de 300 élus appellent à manifester dimanche contre la loi Immigration


Un collectif dévoile les terrifiantes conséquences de la loi immigration


Loi Darmanin : le 25 janvier, bloquons le pays !


À Marseille, des étudiants se mobilisent contre la loi immigration


Après la la loi immigration en France, le traité entre Royaume-Uni et Rwanda…

Entre l’Italie et l’Albanie, un accord migratoire sur le banc des accusés


DEMAIN SAMEDI 20 JANVIER A 14 H

RASSEMBLEMENT

PLACE de L’HÔTEL DE VILLE DE TROYES 

Loi Immigration : une loi d’inégalité et de souffrance


Le Collectif des Associations Citoyennes appelle à rejoindre les mobilisations visant au retrait de la loi « immigration ». Le CAC est né en 2010 pour lutter contre  l’instrumentalisation et la marchandisation des associations et défendre leur contribution à une société solidaire, écologique et démocratique. Il regroupe une cinquantaine de réseaux associatifs nationalement ou localement.

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LOI ASILE ET IMMIGRATION : LA SOCIÉTÉ CIVILE ADRESSE SES CONTRIBUTIONS EXTÉRIEURES AU CONSEIL CONSTITUTIONNEL


A TROYES, rassemblement

samedi 20 janvier 2024 à 14 heures

devant l’hôtel de ville

25 novembre : JOURNÉE INTERNATIONALE CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES



A l’occasion de la Journée internationale contre les violences faites aux femmes.

Le collectif féministe aubois créé en 2020 et constitué d’associations (Centre d’information sur les droits des femmes et des familles, Solidarité femmes Aube, Aux Adelphes, Travailleuse du texte, Artisans du monde, MRAP, Ligue des droits de l’homme, Agui à La Chapelle-Saint-Luc), de la CGT et de militantes indépendantes

se mobilise et appelle à un rassemblement

place de la Libération (devant la préfecture)

ce samedi 25 novembre de 14 h à 16 h

 Nous vous invitons à rejoindre demain ce rassemblement


La France enregistre une hausse de 15 % des violences conjugales en 2022


« Il n’y a pas de dispositifs sécurisants » : les victimes de violences conjugales hésitent toujours à porter plainte


Violences faites aux femmes durant le parcours migratoire


« Une véritable arme à portée de main » : quand le spectre de la soumission chimique plane sur les violences faites aux femmes


Javier Milei, un nouveau président argentin qui menace le droit des femmes


Les femmes particulièrement touchées par la pauvreté qui s’aggrave en France


Violences faites aux femmes : l’ANDRH et l’ONU Femmes France s’engagent


L’aide financière d’urgence « est déjà une reconnaissance de ce que vivent » les victimes de violences conjugales, estime la Fondation des femmes


Classées sans suite : chronique lecture

HALTE   AU MASSACRE A GAZA !


Dernier rappel : rassemblement ce soir à 17h30 place de la Libération (face préfecture) à Troyes


(à suivre)

Troyes : rassemblement pour la paix lundi 13 novembre

L’exode contraint des Gazaouis vers le sud de l’enclave.



A l’appel des organisations : 

CGT, FO, FSU, CFDT, SOLIDAIRES, LFI, POI, PCF, GENERATION.S, MRAP, LDH, COLLECTIF LOUISE-MICHEL, LIBRE PENSEE, AGUI, GREENPEACE 

Nous appelons à un rassemblement  pour obtenir un cessez-le-feu immédiat et la réouverture d’un processus de paix durable, en Israël et en Palestine, sur la base des résolutions de l’ONU

lundi 13 novembre 

à 17h30 

Place de la Libération – préfecture de l’Aube

(une marche pour la paix sera organisé le samedi 18 novembre)


Guerre Hamas-Israël : plus de 100 employés de l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens tués à Gaza


Couverture de la guerre Israël/Palestine : L’AJAR dénonce le double standard


Marche contre l’antisémitisme : qui a vraiment lu la tribune de Larcher et Braun-Pivet ?

RASSEMBLEMENT POUR LA PAIX



HALTE AUX MASSACRES

POUR UNE PAIX JUSTE ET DURABLE

RASSEMBLEMENT POUR LA PAIX

CE SAMEDI 28 OCTOBRE 2023

à 14H

Place de la Libération

DEVANT LA PRÉFECTURE DE TROYES


Demain à Troyes

A l’appel du PCF

Rassemblement à 10h30 devant la préfecture de l’Aube contre l’inflation et la politique d’austérité du gouvernement

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Mais aussi partout en France

 


Le collectif Uni.e.s contre l’immigration jetable (Ucij 2023) s’oppose à la politique discriminatoire du gouvernement, fondée prioritairement sur le soupçon et la répression en matière de migration et d’asile. Il revendique une politique migratoire d’accueil digne et le respect des droits de toutes et tous.




Refusons le nouveau projet de loi asile et immigration

Logement : un droit pour toutes et tous
contre la loi Darmanin, contre la loi Kasbarian-Bergé

Mobilisation nationale le 30 septembre

 

Emmanuel Macron et Gérald Darmanin ont décidé d’accélérer pour faire adopter leur nouveau projet de loi sur l’immigration et l’asile, ou plutôt devrait-on dire contre les étrangères et étrangers. Alors que Les Républicains (LR) et Rassemblement national (RN) font monter les enchères et réclament à l’unisson un référendum sur l’immigration et des mesures plus répressives encore, telles la suppression de l’aide médicale d’Etat (AME) sauf cas d’urgence, le gouvernement semble de plus en plus à leur écoute.

Il est vrai que, faute de majorité absolue à l’Assemblée nationale, le gouvernement a besoin des voix des Républicains. Le texte gouvernemental (adopté en Conseil des ministres en février et en commission des lois au Sénat le 15 mars dernier) devrait être présenté au Sénat début novembre et à l’Assemblée nationale en février 2024. Ce texte soit disant équilibré va surtout durcir encore et encore les conditions d’installation des étrangères et étrangers sur le territoire français, et faciliter les expulsions y compris des personnes étrangères les mieux protégées. Et tout cela au mépris des conventions internationales, en laissant notamment un pouvoir totalement discrétionnaire aux préfets, au motif de soi-disant menaces à l’ordre public ou de non respect des « valeurs de la République». Quand on sait comment ces notions sont utilisées à tort et à travers, on comprend les risques que courent les exilées et exilés.

Alors que les actes racistes se multiplient, que les extrêmes droites, du RN aux groupes néo-nazis, sont plus fortes que jamais, que les violences policières restent bien souvent impunies, le gouvernement ressort les vieilles recettes : répression tous azimuts et recherche de boucs émissaires via une suspicion raciste généralisée à l’égard des personnes étrangères, du moins celles en particulier originaires du Moyen Orient et d’Afrique, les assimilant à des personnes délinquantes, voire à des terroristes. De telles politiques ne peuvent que renforcer la précarité administrative, sociale et économique dans laquelle vivent déjà un trop grand nombre de personnes exilées.  

C’est particulièrement vrai en matière de droit au logement puisqu’une/un SDF sur deux est de nationalité étrangère, y compris des demandeuses et demandeurs d’asile et des personnes ayant obtenu le statut de réfugiées ou réfugiés. Il est important de rappeler qu’en novembre dernier, via une circulaire, le ministre de l’Intérieur appelait à multiplier les OQTF (obligation de quitter le territoire) et posait le principe d’appliquer les méthodes de suivi des étrangères et étrangers délinquants à l’ensemble des personnes étrangères faisant l’objet d’une OQTF (alors que celles-ci n’ont commis aucune infraction pénale).

Il avait aussi recommandé aux préfets de mettre en place un dispositif permettant aux bailleurs sociaux de signaler les personnes qui auraient perdu leur titre de séjour. Dans le même texte, il avait d’ailleurs tenté de créer un autre dispositif pour vérifier la situation administrative des personnes étrangères prises en charge par l’hébergement d’urgence au motif qu’elles pourraient l’être indûment au mépris de l’inconditionnalité de l’hébergement d’urgence. Nombre d’associations l’ont signalé.

Outre ces mesures spécifiques particulièrement dommageables, les personnes étrangères subissent, comme les autres habitantes et habitants, l’inflation et donc les hausses de loyers et de charges. En 1973, les locataires consacraient 10% de leurs revenus au loyer, aujourd’hui, c’est près de 30%… en moyenne, et pour beaucoup, c’est plus de la moitié des revenus. Le nombre d’expulsions locatives augmente et les lois qui protègent les personnes mal-logées et les sans-toit sont bafouées. De plus, dans les foyers de travailleurs migrants transformés en résidences sociales, les résidents n’ont pas le statut de locataire. Celles et ceux qui hébergent solidairement un proche sont donc sous la menace d’une expulsion, les gestionnaires engageant des poursuites judiciaires. Au final les hébergeurs comme les hébergés, avec ou sans-papiers, se retrouvent à la rue. Face à cela, face aux menaces du futur projet de loi Darmanin, le collectif Ucij, qui rassemble plus de 400 associations nationales et locales, dont la LDH, appelle à amplifier les mobilisations pour affirmer la solidarité et l’égalité des droits entre Françaises / Français et personnes exilées.


À mi-parcours entre les Deux-Sèvres et Paris, le «convoi de l’eau» soutient Dernière rénovation et s’interroge sur la dégradation d’un golf



Près de 700 cyclistes et une dizaine de tracteurs se sont élancés des abords de Sainte-Soline (Deux-Sèvres) le 18 août pour rejoindre Paris ce samedi. Le rassemblement soutenu par les Soulèvements de la Terre vise à s’opposer aux méga-bassines de façon festive et pacifique. Reportage à Tours, où il faisait étape ce mardi.

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CONVOI DE L’EAU

RASSEMBLEMENT à TROYES samedi 8 juillet – 11h – devant la Préfecture

Un apaisement durable n’est possible que si le gouvernement prend les mesures nécessaires pour répondre à l’urgence de la situation et aux exigences des populations concernées.

L’ONU a critiqué à plusieurs reprises les politiques sécuritaires et les problèmes institutionnels de racisme en France, en particulier dans les forces de l’ordre.

Ce sont les discriminations qui sont un poison toxique qui décrédibilise l’idée d’égalité et sème le désespoir.

L’extrême droite en fait son lit pour diviser toujours davantage la société.

Nous dénonçons l’appel à la guerre civile contre les quartiers populaires et la qualification des personnes qui en sont issues de « nuisibles » par des syndicats de policiers.

Nous condamnons la constitution d’une cagnotte de soutien au policier qui a tué Nahel à l’initiative d’un membre de l’extrême droite et l’absence de toute action du gouvernement, mettant ainsi de l’huile sur le feu.

Troyes en marche pour les retraites

Juste avant la nuit…


La nuit est tombée…

La Journée Internationale des Migrants à Troyes


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Journée contre les violences faites aux femmes à Troyes

Sur le parvis de l’hôtel de ville. Photo HB

Les associations organisatrices ont fait preuve d’un sens de l’organisation sans faille au rassemblement d’environ 200 personnes aujourd’hui à Troyes.

Le LDH était également présente à la projection du documentaire « Riposte Féminine » au cinéma CGR ce jeudi 17 novembre.

La mobilisation eût mérité pour l’une comme pour l’autre une présence plus massive car nous sommes réellement tou(te)s concerné(e)s, par ce fléau des violences faites aux femmes.

En 2021, 32 des 122 femmes tuées avaient déjà été victimes de violences alors que 74 % d’entre elles l’avaient signalé auparavant aux forces de l’ordre, toujours selon les données publiées par la place Beauvau. (Source)

En 2022 (à ce jour et a minima), on dénombre 100 féminicides par (ex)compagnons (+15 tiers dont 9 enfants), dont 84 femmes tuées à leur domicile…(Source)


RD

Rappel rassemblement samedi 14h30

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