Les Restos du cœur seront contraints de refuser des bénéficiaires « à partir de novembre », une « première » dans l’histoire de l’association



Début septembre, l’association avait déjà alerté sur ses difficultés financières.

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La justice met un coup d’arrêt majeur aux projets de méga-bassines dans le marais poitevin



Reteauqués. Lundi, le tribunal administratif de Poitiers a annulé l’autorisation de construire deux ensembles de réserves d’eau (ou «méga-bassines») dans les départements de la Charente, de la Charente-Maritime, des Deux-Sèvres et de la Vienne.

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15 mégabassines annulées : une grande victoire pour les opposants

« Plus de bleu sur le terrain »: la priorité ?


Nouvelles brigades de gendarmerie : « Plus il y a de ‘bleu’ sur le terrain, moins il y a d’insécurité », insiste Gérald Darmanin


Logement social : « C’est inédit, on n’a jamais eu autant de demandeurs en France », alerte Emmanuelle Cosse


Des femmes victimes de violences sexuelles dans les hôtels du Samu social


Pénurie d’aidants : l’AFM-Téléthon et APF France handicap vont saisir la Défenseure des droits pour « mise en danger de la vie d’autrui »


Grève des Atsem : multitâches, peu payés et sans perspectives d’évolution, elles veulent se faire entendre


Chômage : femmes et hommes à égalité


Pourquoi la désobéissance civile pourrait s’intensifier

Demain à Troyes

A l’appel du PCF

Rassemblement à 10h30 devant la préfecture de l’Aube contre l’inflation et la politique d’austérité du gouvernement

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Mais aussi partout en France

 


Le collectif Uni.e.s contre l’immigration jetable (Ucij 2023) s’oppose à la politique discriminatoire du gouvernement, fondée prioritairement sur le soupçon et la répression en matière de migration et d’asile. Il revendique une politique migratoire d’accueil digne et le respect des droits de toutes et tous.




Refusons le nouveau projet de loi asile et immigration

Logement : un droit pour toutes et tous
contre la loi Darmanin, contre la loi Kasbarian-Bergé

Mobilisation nationale le 30 septembre

 

Emmanuel Macron et Gérald Darmanin ont décidé d’accélérer pour faire adopter leur nouveau projet de loi sur l’immigration et l’asile, ou plutôt devrait-on dire contre les étrangères et étrangers. Alors que Les Républicains (LR) et Rassemblement national (RN) font monter les enchères et réclament à l’unisson un référendum sur l’immigration et des mesures plus répressives encore, telles la suppression de l’aide médicale d’Etat (AME) sauf cas d’urgence, le gouvernement semble de plus en plus à leur écoute.

Il est vrai que, faute de majorité absolue à l’Assemblée nationale, le gouvernement a besoin des voix des Républicains. Le texte gouvernemental (adopté en Conseil des ministres en février et en commission des lois au Sénat le 15 mars dernier) devrait être présenté au Sénat début novembre et à l’Assemblée nationale en février 2024. Ce texte soit disant équilibré va surtout durcir encore et encore les conditions d’installation des étrangères et étrangers sur le territoire français, et faciliter les expulsions y compris des personnes étrangères les mieux protégées. Et tout cela au mépris des conventions internationales, en laissant notamment un pouvoir totalement discrétionnaire aux préfets, au motif de soi-disant menaces à l’ordre public ou de non respect des « valeurs de la République». Quand on sait comment ces notions sont utilisées à tort et à travers, on comprend les risques que courent les exilées et exilés.

Alors que les actes racistes se multiplient, que les extrêmes droites, du RN aux groupes néo-nazis, sont plus fortes que jamais, que les violences policières restent bien souvent impunies, le gouvernement ressort les vieilles recettes : répression tous azimuts et recherche de boucs émissaires via une suspicion raciste généralisée à l’égard des personnes étrangères, du moins celles en particulier originaires du Moyen Orient et d’Afrique, les assimilant à des personnes délinquantes, voire à des terroristes. De telles politiques ne peuvent que renforcer la précarité administrative, sociale et économique dans laquelle vivent déjà un trop grand nombre de personnes exilées.  

C’est particulièrement vrai en matière de droit au logement puisqu’une/un SDF sur deux est de nationalité étrangère, y compris des demandeuses et demandeurs d’asile et des personnes ayant obtenu le statut de réfugiées ou réfugiés. Il est important de rappeler qu’en novembre dernier, via une circulaire, le ministre de l’Intérieur appelait à multiplier les OQTF (obligation de quitter le territoire) et posait le principe d’appliquer les méthodes de suivi des étrangères et étrangers délinquants à l’ensemble des personnes étrangères faisant l’objet d’une OQTF (alors que celles-ci n’ont commis aucune infraction pénale).

Il avait aussi recommandé aux préfets de mettre en place un dispositif permettant aux bailleurs sociaux de signaler les personnes qui auraient perdu leur titre de séjour. Dans le même texte, il avait d’ailleurs tenté de créer un autre dispositif pour vérifier la situation administrative des personnes étrangères prises en charge par l’hébergement d’urgence au motif qu’elles pourraient l’être indûment au mépris de l’inconditionnalité de l’hébergement d’urgence. Nombre d’associations l’ont signalé.

Outre ces mesures spécifiques particulièrement dommageables, les personnes étrangères subissent, comme les autres habitantes et habitants, l’inflation et donc les hausses de loyers et de charges. En 1973, les locataires consacraient 10% de leurs revenus au loyer, aujourd’hui, c’est près de 30%… en moyenne, et pour beaucoup, c’est plus de la moitié des revenus. Le nombre d’expulsions locatives augmente et les lois qui protègent les personnes mal-logées et les sans-toit sont bafouées. De plus, dans les foyers de travailleurs migrants transformés en résidences sociales, les résidents n’ont pas le statut de locataire. Celles et ceux qui hébergent solidairement un proche sont donc sous la menace d’une expulsion, les gestionnaires engageant des poursuites judiciaires. Au final les hébergeurs comme les hébergés, avec ou sans-papiers, se retrouvent à la rue. Face à cela, face aux menaces du futur projet de loi Darmanin, le collectif Ucij, qui rassemble plus de 400 associations nationales et locales, dont la LDH, appelle à amplifier les mobilisations pour affirmer la solidarité et l’égalité des droits entre Françaises / Français et personnes exilées.


Réforme du RSA : la droite et la majorité trouvent un compromis sur 15 heures d’activités obligatoires



L’amendement, déposé par Les Républicains, fixe dans la loi un minimum de 15 heures d’activités obligatoires pour les bénéficiaires du RSA, tout en prévoyant des exceptions pour les parents isolés sans solution de garde ou pour les personnes handicapées.

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Près de 1 000 migrants sont morts ou ont disparu en Méditerranée cet été, trois fois plus que l’été dernier



Selon l’ONU, plus de 2 500 exilés ont perdu la vie en tentant la traversée vers les côtes européennes depuis le début de l’année.

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Pourquoi les allocataires des minima sociaux ne sont-ils pas des « inactifs » ?



Dans son projet de loi pour le « plein emploi », le gouvernement veut conditionner le RSA à plusieurs heures d’activité par semaine. Mais les personnes sans emploi sont loin d’être « inactives », défend Marion Ducasse, de l’association Aequitaz.

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Inflation : les profiteurs de crise

contre-attaque.net



«Faute de concurrents, des entreprises répercutent plus que la hausse de leurs coûts afin de s’accorder des marges confortables» écrit le journal Alternatives Économiques. En particulier les grandes surfaces et tout le secteur agro-alimentaire.

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Un référendum sur l’immigration : une chimère plutôt qu’une solution


Dans une tribune à « l’Obs », deux sociologues rappellent que le recours au référendum ne se réduit pas à une simple technique institutionnelle : il mobilise et constitue le peuple-souverain qui peut tomber dans le piège de sa toute-puissance.

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Migrants : « Ceux qui ne sont pas éligibles à l’asile doivent repartir immédiatement », affirme Gérald Darmanin


Arrivées à Lampedusa : Solidarité et résistance face à la crise de l’accueil en Europe

LUTTER CONTRE LES ARRÊTÉS ABUSIFS


Moyens alloués, besoins des citoyens, concurrence du privé… Ce que révèle un rapport accablant sur l’état des services publics en France



Le collectif Nos services publics a analysé deux décennies de politiques publiques et les a comparées à l’évolution des besoins, dans l’éducation, la santé, la justice, la sécurité ou encore les transports.

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Avant les Jeux olympiques, 1 600 migrants ont été évacués de Paris vers d’autres régions, via un dispositif spécial lancé il y a six mois



« Le but, c’est de sortir de Paris un maximum de personnes considérées comme indésirables par l’État », proteste Médecins du monde.

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Catastrophes en série

Maroc: le difficile accès à Moulay Brahim, dans les montagnes, les zones les plus touchées



Au Maroc, le dernier bilan officiel, toujours provisoire, du séisme qui a ravagé, le soir du vendredi 8 septembre, le sud du pays, fait état d’au moins 2 122 morts et d’au moins 2 421 personnes blessées. Le cabinet royal a décrété, samedi, trois jours de deuil national. L’épicentre a été enregistré dans la province d’Al-Haouz, à une cinquantaine de kilomètres de Marrakech. Reportage à Moulay Brahim.

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Inondations en Libye : la Croix-Rouge compte 10.000 disparus et s’attend à un nombre « énorme » de morts



Les pluies torrentielles et les inondations en Libye ont fait un nombre « énorme » de morts, a indiqué mardi un responsable de la Croix-Rouge, évoquant 10.000 disparus. D’après le gouvernement de Tripoli, il y a déjà au moins 2.300 morts.

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Les difficultés de financement du Programme alimentaire mondial pourraient pousser « 24 millions de personnes » au bord de la famine



« Pour la toute première fois, le PAM a vu ses contributions diminuer alors que les besoins augmentaient régulièrement », alerte l’organisation.

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Calais: Point de non-retour


Merci à Agnès, ligueuse auboise d’avoir partagé cette vidéo édifiante.

Séisme au Maroc : le Secours populaire nous explique pourquoi l’aide humanitaire tarde à arriver



Plusieurs associations s’impatientent de pouvoir venir en aide au Maroc. Ismaïl Hassouneh, secrétaire national du Secours populaire, répond à nos questions.

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Séisme au Maroc : « Face à la catastrophe, l’inaction et le silence de Mohammed VI »

Pour remplir sa police municipale, Paris drague les allocataires du RSA

LES JO ONT FAUSSEMENT SERVI D’ARGUMENT DE RECRUTEMENT



À l’approche des Jeux olympiques 2024, la mairie de Paris cherche à recruter plus de 200 agents supplémentaires. Les Parisiens qui touchent le revenu de solidarité active (RSA) ont été invités à candidater.

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Les demandes d’asile ont augmenté de près de 30% au premier semestre 2023 dans l’Union européenne



Les Syriens, Afghans, Vénézuéliens, Turcs et Colombiens sont les principaux demandeurs, comptant pour 44% des requêtes.

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Précarité en France: «2,4 millions de personnes sont aidées par les banques alimentaires»


Les banques alimentaires sont l’un des grands acteurs de la solidarité en France. 132 000 tonnes de produits sont collectés par an, soit 220 millions de repas. Le président des Restos du Cœur a annoncé que son association était confrontée à de graves difficultés qui allaient conduire à diminuer le nombre de personnes qui reçoivent de l’aide. Entretien avec Laurence Champier, directrice de la Fédération française des banques alimentaires.

Aides aux Restos du cœur : « Ça va dans le bon sens mais il faudra beaucoup plus », réagit le porte-parole de l’association



Yves Mérillon, porte-parole des Restos du cœur, s’est exprimé sur franceinfo à propos des aides supplémentaires de 15 millions d’euros promises par le gouvernement.

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Aides de l’État, appels aux dons : élan de solidarité pour les Restos du Cœur, en difficulté financière