Les défenseurs des droits environnementaux font face au harcèlement, aux menaces et aux arrestations arbitraires.
Droits humains
Le prix Sakharov, du Parlement européen, attribué à Mahsa Amini et au mouvement des femmes en Iran
Le prix Sakharov pour la liberté de l’esprit est décerné chaque année, depuis 1988, à des individus et à des organisations défendant les droits humains et les libertés fondamentales.
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Asile et immigration : l’attentat d’Arras fait avancer le projet de loi Darmanin
Le gouvernement se sert du cas Mogouchkov, du nom du suspect de l’assassinat du professeur Dominique Bernard, pour faire avancer son projet de loi sur l’asile et l’immigration. Au risque d’enchaîner les raccourcis et de se tromper de cible, alertent les associations de défense des migrants.
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Le droit de retour au Haut-Karabakh devrait être garanti
Suite à l’exode massif et traumatisant d’Arméniens de souche, les négociations avec l’Azerbaïdjan devraient porter en priorité sur les droits humains.
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Arménie : nettoyage ethnique et indifférence européenne
La LDH de l’Aube est installée dans son nouveau local
LUTTER CONTRE LES ARRÊTÉS ABUSIFS
Russie: la justice dissout l’association Centre Sakharov de défense des droits humains
Ce vendredi 18 août, le tribunal municipal de Moscou a ordonné la dissolution de l’association Centre Sakharov, un des derniers piliers de la défense des droits humains en Russie, en pleine répression des voix critiques depuis l’intervention militaire en Ukraine.
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Russie: perquisitions au sein d’une importante ONG de surveillance électorale, un responsable arrêté
Entretien exclusif avec Narges Mohammadi, militante des droits humains, emprisonnée en Iran
Journaliste et militante iranienne des droits humains, détenue à la prison d’Evin à Téhéran, Narges Mohammadi, 51 ans, n’hésite pas à dénoncer les exactions du régime islamique même du fond de sa cellule. Lauréate de plusieurs prix internationaux, dont le Prix mondial de la liberté de la presse (2023), le Prix Olof-Palme pour les droits de l’homme (2023), ou encore le Prix Sakharov (2018), elle a répondu, par écrit, aux questions de RFI.
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Protection des frontières et respect des droits humains
L’actualité nous le montre douloureusement : le cas de l’Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes, plus connue sous le nom de Frontex, est emblématique du dilemme de la gestion des frontières européennes. Devenue l’agent de la militarisation des frontières européennes, contribuant à la perception de l’Europe comme d’une forteresse assiégée, Frontex est au cœur d’enjeux qui la dépassent et doit se réformer pour résoudre les situations dangereuses aux portes de l’Europe. La nouvelle étude de la Fondation Jean Jaurès tente de saisir le dilemme présent au cœur de la gestion des frontières européennes, entre protection de ces frontières et respect des droits de l’homme.
Surveiller et laisser périr. À quoi sert Frontex ?
Entre l’impératif de ne pas laisser passer les gens illégalement et, d’autre part, le principe de non refoulement car toute personne ayant besoin de protection a droit à l’asile, comment faire ?
Cette combinaison inattendue de sécurité et de droits de l’homme s’est traduite dans les pratiques et les discours de l’agence, mais surtout s’est avérée trompeuse – comme en témoigne la récente démission de son directeur exécutif.
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Depuis sa création, Frontex a été à plusieurs reprises critiquée pour son traitement des migrants lors d’opérations conjointes. Des rapports, des enquêtes et des témoignages ont montré la pratique régulière de refoulement de migrants interceptés vers leur port de départ, comme les territoires libyens. La protection contre les retours forcés vers des lieux de persécution potentielle est connue sous le nom de principe de non-refoulement, et le non-respect de ce principe constitue une violation du droit international et européen.
Une experte de l’ONU dénonce le « traitement inhumain » des détenus de Guantanamo
La rapporteuse spéciale sur les droits de l’Homme et la lutte antiterroriste de l’ONU, qui a eu accès à la prison militaire de Guantanamo, a dénoncé, dans un rapport publié lundi, le traitement « cruel, inhumain et dégradant » des 30 derniers détenus. Les États-Unis, eux, ont exprimé leur « désaccord » avec « de nombreuses affirmations » d’un document qui « ne reflète pas la position officielle des Nations unies ».
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Pour une fin des conflits et une paix durable
Les droits de l’homme, « meilleur antidote » pour prévenir les conflits, selon l’ONU
Les droits de l’homme constituent le « meilleur antidote » pour prévenir les conflits et l’instabilité, a déclaré mercredi le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Volker Türk, devant le Conseil de sécurité.
« Une action vigoureuse en faveur des droits humains nous éloignent du chaos et des conflits, permettent de faire progresser le développement et d’instaurer la confiance », a-t-il ajouté.
Les droits de l’homme sont essentiels à chaque étape du « continuum de la paix » couvrant la prévention, les conflits et la résolution, a-t-il déclaré, citant des exemples tels que les crises actuelles en Haïti et au Soudan.
Dans le même temps, la confiance – qui sous-tend à la fois les relations humaines et le contrat social entre les personnes et les institutions de l’État – est le fondement de la prévention des conflits et d’une paix durable.
« C’est la promotion globale de tous les droits humains qui renforce la confiance ».
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Le chef des droits de l’ONU a également souligné l’importance de la liberté de la presse et de la protection des journalistes.
1er Mai unitaire et historique
« Vous êtes une inspiration pour les combats qu’on mène chez nous » : à Paris, un 1er-Mai marqué par la présence de syndicalistes venus du monde entier
Dans l’Aube
Manifestation du 1er Mai : plus de 2 500 personnes ont défilé dans les rues auboises
A Troyes
De nouvelles adhésions sont venues gonfler l’afflux de celles suscitées récemment en grand nombre au niveau national, chez les citoyen(ne)s attachés(e)s au droits, aux libertés et à la démocratie, mais également au niveau départemental (plus d’une vingtaine) par les propos récents du ministre de l’Intérieur ainsi que de la Première ministre envers le financement et les positions de la Ligue des Droits de l’Homme, propos qui ont déclenché un tollé général chez les personnalités et les organes de presse partageant les valeurs de la LDH.
La LDH et le MRAP proposaient en commun un quiz relatif aux droits humains qui a suscité autant d’intérêt que d’appréhension, les droits humains étant le fruit d’une longue histoire hélas encore trop méconnue.
6 lauréats ont été récompensés et ont reçu chacun(e) une entrée gratuite au cinéma Utopia de Pont-Ste-Marie. On trouvera ci-dessous le questionnaire et les bonnes réponses.
La LDH appelle au combat pour les libertés et la démocratie
La section de l’aube de la Ligue des Droits de l’ Homme a tenu dans ses locaux ce mardi 11 avril une conférence de presse en direction des médias locaux.
Le communiqué:
Elisabeth Borne « ne comprend plus » certaines positions de la Ligue des Droits de l’Homme
Quelque 1 000 personnalités apportent leur soutien à la Ligue des droits de l’homme, après les propos de Gérald Darmanin
Signez la pétition
La France contrainte de faire revenir une Ivoirienne après une expulsion jugée illégale
La préfecture de Dordogne a reconnu une « erreur » après l’expulsion d’une jeune Ivoirienne le 30 mars, selon une information révélée par le site d’information Mediapart vendredi.
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Tunisie : plus de 14 000 migrants interceptés ou secourus en mer depuis janvier
ONU : PROTÉGER LES DROITS DE L’HOMME EN LUTTANT CONTRE L’ANTISÉMITISME – NE PAS ADOPTER DE DÉFINITION CONTROVERSÉE
Algérie : La décision de dissoudre la principale organisation de défense des droits humains doit être annulée
La dissolution de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH), un nouveau coup porté à la société civile indépendante.
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Mali : le directeur de la division des droits de l’homme de la Minusma déclaré « persona non grata »
Le directeur de la division des droits de l’homme de la Mission des Nations unies au Mali (Minusma) a été déclaré « persona non grata » par le gouvernement de transition. Il »devra quitter le territoire national dans un délai de 48 heures« , selon un communiqué des autorités.
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Algérie : La Ligue de défense des droits de l’Homme apprend sa dissolution via les réseaux sociaux
La Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH) annonce avoir appris sa dissolution sur les réseaux sociaux. Une dissolution décidée sur la base d’un jugement rendu, dit-elle, il y a six mois, à son insu, à l’issue d’un procès tenu en son absence.