Contre l’ultra-droite, les inégalités et le racisme

Communiqués da la LDH

L’actualité locale

Casserolade à Troyes ce mardi

HB

HB


Portes ouvertes à l’AATM

Cours de français langue étrangère (FLE) HB

Callac, Carnac, Saint-Senoux ou Saint-Brévin, des actes de l’extrême droite qui suscitent émoi et interrogation


Alors que les partis de gauche organisent une grande marche ce mercredi 24 mai, en soutien aux maires victimes de violences, est-il question d’épiphénomènes ou d’une tendance de fond ? De Callac à Saint-Brevin, la Bretagne historique, où l’extrême droite est traditionnellement plus faible qu’au niveau national, a connu récemment des épisodes de tensions ou de violences attribuées ou revendiquées par l’ultra-droite.

Lire ICI

À Mayotte, l’ONG Médecins du monde dénonce un blocage de l’accès aux soins


Depuis le début du mois de mai, et en lien avec l’opération « Wuambushu », une série d’événements a conduit à une perturbation importante de l’accès aux services de santé. Aujourd’hui, Médecins du monde appelle à sanctuariser ces lieux de soins.

Lire ICI

Mise en place d’une cellule de veille et création d’un collectif « Lutte contre les extrêmes-droites »



Le Comité national de la LDH, en lien avec le groupe de travail « Lutte contre les extrêmes droites », a décidé d’appeler à la vigilance et à l’alerte afin de permettre aux sections de réagir et d’agir de façon concertée, très vite chaque fois que la situation l’exige, avec le soutien de l’ensemble de la LDH. La mobilisation en nombre à Saint-Brévin-les-Pins a, par exemple, permis d’instaurer un rapport de force très net face aux intimidations de l’extrême-droite : les sections locales ont organisé des rassemblements avec des élus de la LDH, une plainte a été déposée contre les tracts distribués par l’extrême-droite (à Corlay également), enfin, la mobilisation a été relayée sur les réseaux sociaux de la LDH et auprès de l’ensemble des sections. Le CN invite les sections à faire remonter toutes les informations dont elles disposent auprès de la LDH et à mettre sur pied une cellule de veille locale.

Dans une démocratie digne de ce nom, l’Etat se doit d’agir contre la montée du fascisme et pour défendre les libertés de tous les citoyens.

Les exactions et les comportements de plus en plus graves observés ces derniers temps en France ne doivent pas être cautionnés par des silences complices et doivent être dénoncés et condamnés.

Jusqu’alors, le département de l’Aube a échappé aux marches des néo-nazis et aux concerts de groupes  se revendiquant « aryens » mais nous savons que  nous ne sommes pas à l’abri de ces très dangereuses dérives qui nous annoncent la perspective d’un avenir extrêmement sombre. Ce constat nous incite à la plus grande vigilance.

La cellule de veille « Lutte contre les extrêmes-droites » de la section LDH de l’Aube a été mise en place. Elle se propose de créer sans tarder un collectif « Lutte contre les extrêmes-droites » sur le département qui, rappelons-le, a élu 2 députés RN sur 3 aux élections législatives et où Marine Le Pen a obtenu 51.68% des voix à l’élection présidentielle en 2022.

Des associations, groupes et organes engagés contre les extrêmes-droites ont déjà été contactés. Toutes les citoyennnes et tous les citoyens attachés aux droits et aux libertés sont invités à nous rejoindre.

Pour nous contacter: contact.ldh10@gmail.com

Anticor, nouvelle guerre autour de l’agrément


Deux ans après avoir été arraché au gouvernement dans la douleur, le précieux agrément d’Anticor est à nouveau menacé. Cette fois, l’affaire se joue devant le tribunal administratif qui pourrait retirer à l’association anticorruption cet outil l’autorisant à porter plainte dans les dossiers de probité publique. Chronique d’un combat sans fin dont l’épilogue semble avoir été écrit à l’avance par le pouvoir politique.

Lire ICI

A Tours, un centre LGBT + visé par un « lancer d’engin détonant », la sixième attaque en quelques mois


Le préfet d’Indre-et-Loire s’est rendu sur place et « condamne fermement ce nouvel acte de violence et apporte son soutien au centre ». Aucun blessé n’est à déplorer.

Lire ICI


La Roumanie condamnée par la Cour européenne des droits de l’homme pour son refus de reconnaître les unions de couples de même sexe

Mayotte, le département des exceptions légales


Depuis la départementalisation de 2011, la législation sur l’île a dû se conformer aux normes françaises et européennes. Mais le droit des étrangers reste encore spécifique.

Lire ICI

 

Mayotte: après le début de l’opération «Wuambushu», le difficile relogement des évacués


Gérald Darmanin « fait à Mayotte ce qu’il voudrait faire en métropole avec ses mesures sur l’immigration », dénonce la LDH

Immigration : on a comparé les propositions des Républicains avec celles du Rassemblement national


Les responsables de LR ont formulé plusieurs propositions sur l’immigration ce week-end dans « Le Journal du dimanche », dont une partie semble se rapprocher du programme du RN.

Lire ICI

L’école n’est pas un outil de recensement des pratiques religieuses de ses élèves


Hommage à Madjiguène Cissé

Carrefour doit mettre fin à son partenariat avec des entreprises israéliennes acteurs de la colonisation illégale de la Palestine

Iran : exiger l’arrêt immédiat des exécutions et l’abolition universelle de la peine de mort


Consultez également les prises de position quotidiennes de la LDH sur les réseaux sociaux.
https://twitter.com/LDH_Fr
https://www.facebook.com/ldhfrance/

C’est quoi le banga à Mayotte ?


La démolition d’un vaste bidonville à Mayotte, qui avait été suspendue par le tribunal judiciaire de Mamoudzou le 25 avril, a repris le 22 mai. Le bidonville «Talus 2» se situe dans le quartier de Majicavo, dans la commune de Koungou. Une partie des petites cases vétustes revêtent pour les Mahorais une signification bien particulière, celle de l’intégration des nouvelles générations dans la société. C’est ce que montrait un reportage de 1990.

Voir ICI

 

Opération « Wuambushu » à Mayotte : « La démolition systématique n’est pas forcément la bonne réponse », regrette l’association Droit au logement

700 000 citoyens espagnols déposent une loi pour la régularisation des travailleurs migrants


Plus de 800 organisations espagnoles ont déposé le 10 mai une proposition de loi citoyenne inédite, pour la régularisation de tous les travailleurs migrants en situation irrégulière. « Un jour historique pour les migrants qui ont travaillé en Espagne dans des conditions de semi-esclavage » : tels ont été les mots tenus, à la tribune du Parlement, par l’un des porte-paroles de cette campagne, Lamine Sarr, relate le média El Diario.

Lire ICI

En Tunisie, les arrestations laissent la place aux condamnations


Une centaine de journalistes ont marché le 18 mai à Tunis pour protester contre la condamnation, cette semaine, du correspondant de Mosaïque FM. Cinq ans de prison ferme pour avoir refusé de révéler l’identité de sa source – « la base du métier » rappelle Le Point Afrique, qui voit dans cette décision « la preuve que la Tunisie démocratique (…) rogne peu à peu tous ses acquis ». Même analyse pour La Presse de Tunisie, le site souligne, amer, que « jamais un journaliste, par le passé, n’avait écopé d’une peine pareille pour avoir tout bonnement exercé son métier ».

Lire ou écouter ICI

Dans le XVIe arrondissement de Paris, des migrants face aux intimidations de l’extrême droite


À Paris, depuis plus d’un mois, une école désaffectée du très chic XVIe arrondissement est occupée par de jeunes migrants qui viennent pour la plupart d’Afrique de l’Ouest. Depuis le début de l’occupation, cette école est devenue la cible de l’extrême droite, qui multiplie les manifestations devant ses portes. 

Lire ou écouter ICI

Manifestations contre la réforme des retraites : l’Etat condamné pour avoir fiché des personnes en garde à vue à Lille


Des représentants du ministère de la Justice ont reconnu l’existence d’un fichier nominatif à Lille, détaillant les noms, prénoms, dates de naissance, des personnes placées en garde à vue lors des manifestations.

Lire ICI

Les affaires judiciaires de Nicolas Sarkozy

Plus de détails ICI

Tunisie: des journalistes en colère contre une justice « aux ordres »


Des journalistes tunisiens ont manifesté jeudi pour dénoncer la politique « répressive » du pouvoir qui instrumentalise, selon eux, la justice pour intimider et soumettre les médias.

Lire ICI

Appel européen à une semaine d’action (22 au 26 mai) contre les accords de libéralisation du commerce et d’investissement avec les pays d’Amérique latine !


Chaque jour, la menace se fait plus pressante : on ne cesse de nous parler de « relocalisation de l’économie » mais de partout s’exercent des forces pour finaliser et ratifier ce qui serait l’un des plus grands accords de libéralisation du commerce au monde, l’accord UE-Mercosur (Brésil, Argentine, Uruguay, Paraguay). Auxquels s’ajoutent les accords UE-Chili et UE-Mexique. N’ont-ils donc rien d’autre à proposer pour renforcer les liens entre l’UE et les pays d’Amérique latine, et plus largement entre les populations de ces pays, que de finaliser d’énièmes accords de libéralisation du commerce qui visent principalement à importer toujours plus de ressources naturelles en Europe (agricoles, minières et énergétiques) pour exporter des voitures thermiques et des pesticides ? Une alternative existe : elle est portée par la société civile qui propose de refonder nos relations commerciales sur d’autres principes que le dumping social, fiscal, écologique généralisé. A l’occasion de la réunion des ministres du commerce des États membres de l’UE des jeudi 24 et vendredi 25 mai, ces mêmes organisations de la société civile européenne, dont le collectif Stop CETA-Mercosur, appellent à une semaine d’actions pour s’opposer à ces accords de commerce. Rejoignez-nous !

Lire ICI

Casserolade devant la préfecture de l’Aube

Mardi 16 mai 2023 / HB

AR