Méditerranée centrale : ce qui attend les migrants à leur arrivée en Italie


Après une dangereuse traversée de la Méditerranée, et parfois des mois voire des années difficiles en Libye ou en Tunisie, c’est le début d’une nouvelle vie pour les migrants débarqués en Italie. Que se passe-t-il pour ces exilés ? InfoMigrants fait le point.

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La Cour suprême britannique juge illégal de renvoyer des demandeurs d’asile au Rwanda


La Cour suprême britannique a confirmé, mercredi 15 novembre, l’illégalité du projet hautement controversé du gouvernement d’expulser vers le Rwanda les demandeurs d’asile, d’où qu’ils viennent, arrivés illégalement sur le sol britannique.

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« Me renvoyer à Gaza, c’est comme me condamner à mort » : Waleed, prof de français en Palestine, exilé à Lille, est menacé d’expulsion


Waleed Aboudipaa, 38 ans, a fondé la première école francophone de la bande de Gaza en 2016. Il y a quatre ans, il est venu reprendre ses études à l’Université de Lille. Mais ses échecs aux examens lui valent aujourd’hui une obligation de quitter le territoire. Ce père de famille dénonce une « injustice » et craint pour sa vie.

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Le projet de loi sur l’immigration menace les droits


Les parlementaires devraient s’assurer du respect de garanties et du traitement humain des demandeurs d’asile et des migrants.

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Régulariser les sans-papiers, faciliter les expulsions… Les principales mesures du projet de loi immigration


Le projet de loi immigration instrumentalise la langue pour rejeter des « migrants »


Le projet de loi sur l’immigration de Gérald Darmanin au Sénat: témoignages

« Les jeunes ont peur » : à Paris, les 430 mineurs isolés de Belleville mis à l’abri menacés d’un retour à la rue


Parmi les 430 mineurs isolés du parc de Belleville, mis à l’abri le 19 octobre par la préfecture de Paris, plusieurs dizaines ont reçu ces derniers jours une notification de fin d’hébergement. Pour les associations et avocats qui défendent ces exilés, cette décision n’a d’autre but que de pousser ces jeunes à se faire déclarer comme majeurs, et à permettre à l’Etat de les expulser plus facilement du territoire.

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France: l’arrêté d’expulsion d’une jeune «revenante» de Syrie, suspendu par le tribunal administratif


Sana va pouvoir souffler un peu. Ce vendredi 27 octobre, le tribunal administratif de Lille a suspendu l’arrêté d’expulsion vers l’Algérie visant cette jeune mère de famille de 24 ans, emmenée contre son gré en Syrie lorsqu’elle était adolescente puis mariée à un jihadiste. Contrairement à ce que soutenait le préfet du Nord, Georges-François Leclerc, les magistrats ont estimé que l’existence d’une menace grave pour l’ordre public n’était pas avérée. Ils soulignent notamment que la jeune femme n’a pas été mise en examen.

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Grand Paris – JO

Paris 2024 : une soixantaine d’associations alertent sur le risque de « nettoyage social » des rues de Paris d’ici les JO


Elles lancent une campagne de sensibilisation et ont écrit une lettre ouverte pour interpeller le « comité d’organisation, son président Tony Estanguet, les athlètes et les Fédérations, sponsors et partenaires des Jeux ».

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« Grand Paris : quel coût humain pour ce chantier titanesque ? »


JO-2024 : « Les régions n’ont pas plus de moyens pour accueillir sur le long terme » les sans-abri, alerte le collectif « le revers de la médaille »


François Baroin persiste, signe et tient à le faire savoir

Des policiers falsifient des documents pour expulser des ados sans-papiers


« ON VA VOUS TRAITER COMME DES MAJEURS »



Le ministère de l’Intérieur affirme qu’Ibrahim a 22 ans. Il en a pourtant six de moins. Pour pouvoir expulser des étrangers, des policiers font grandir des mineurs non accompagnés d’un simple coup de crayon. Une pratique illégale.

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L’EXPULSION DES ÉTRANGERS DÉLINQUANTS : QU’EN DIT LA LOI ?


Un étranger, s’il est prouvé qu’il représente une menace grave pour la sécurité de l’État, en étant proche de terroristes ou en préparant un attentat, peut déjà être expulsé sous le droit actuel. Mais le terroriste d’Arras n’était en effet pas expulsable.

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Attentat d’Arras : Macron veut « réexaminer » les fichés S « en situation irrégulière » et expulser les plus dangereux


Trois jours après l’assassinat d’un enseignant dans un lycée à Arras, le président français Emmanuel Macron a demandé aux préfets de rééxaminer les « cas individuels » de fichés S, notamment les étrangers en situation irrégulière, pour voir si des expulsions sont possibles.

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La justice européenne rappelle que les refoulements systématiques aux frontières sont interdits



Dans une décision rendue le 21 septembre, la Cour de justice de l’Union européenne a déclaré que, même si un pays a mis en place des contrôles à ses frontières intérieures, il n’a pas le droit de procéder à des refoulements systématiques à ses frontières. Il doit respecter la directive européenne dite « retour » qui prévoit qu’un ressortissant non européen puisse « bénéficier d’un certain délai pour quitter volontairement le territoire ».

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Avant les Jeux olympiques, 1 600 migrants ont été évacués de Paris vers d’autres régions, via un dispositif spécial lancé il y a six mois



« Le but, c’est de sortir de Paris un maximum de personnes considérées comme indésirables par l’État », proteste Médecins du monde.

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La France continue d’enfermer des Syriens en rétention, malgré le gel des expulsions vers la Syrie



Un homme se présentant comme syrien est enfermé au CRA de Rennes, en Bretagne depuis le 17 août. La France a contacté les autorités consulaires syriennes afin de vérifier l’identité de l’exilé. Une pratique qui inquiète les associations car elle présente des risques pour la personne concernée et pour sa famille restée au pays. D’autant plus que les relations entre Damas et Paris sont officiellement rompues depuis 2012 et que les expulsions sont gelées.

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Le gouvernement assume l’expulsion d’un émeutier condamné et de sa famille d’un logement social



La secrétaire d’Etat chargée de la Ville estime que, pour elle, « condamnation égal expulsion ».

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Le préfet du Val-d’Oise s’attribue l’expulsion du locataire d’un logement social condamné pour les émeutes, avant d’être sévèrement critiqué


DOUBLE PEINE ET PUNITION COLLECTIVE : L’EXTRÊME DROITE EST DÉJÀ AU POUVOIR

Paris : un campement de migrants devant l’hôtel de ville évacué, plus de 200 personnes prises en charge



Il s’agit de la 24e opération de ce type en Ile-de-France depuis le début de l’année.

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Expulsion au coeur de l’été : faire place nette pour les JO


Mardi 8 août au petit matin, les familles habitant au 17, rue Claude Bernard à Aubervilliers, pour certaines depuis plus de 5 ans, ont été mises à la rue du jour au lendemain. Sans perspective d’hébergement pérenne ou raisonnable, orientées vers Marseille alors que la plupart des 200 habitants travaillent en région parisienne, elles sont demeurées ou revenues aux alentours, sur les rives du canal de Saint-Denis.

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Migrants abandonnés dans le désert tunisien : « Le silence est assez assourdissant du côté de tous les politiques européens »



Le 16 juillet, l’Union européenne signait un partenariat avec la Tunisie pour lutter contre l’immigration irrégulière. Et ce en dépit, des milliers de migrants subsahariens qui sont volontairement abandonnés dans le désert par les autorités de Tunis. Depuis la signature de cet accord, l’UE est mutique. Un positionnement de Bruxelles « gênant » voire « catastrophique », selon la chercheuse Tania Racho.

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Une « mise à l’abri provisoire » n’est pas acceptable, la Mairie de Paris n’a pas tenu ses engagements



Le mardi 18 juillet les 168 habitant·es de la résidence Baudemons, située dans les anciens locaux du Centre d’Action Social de la Ville de Paris au 30 Rue Baudemons, Thiais (94) ont été expulsé·es par la préfecture de région à la demande de la Ville de Paris. La juge des référés a confirmé l’expulsion demandée par la Ville, car celle-ci s’était engagée devant elle à reloger l’ensemble de ses occupant·es et non pas de simplement les mettre à l’abri temporairement.

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Tunisie: dans le désert, les migrants subsahariens refoulés errent dans des conditions terribles



Quinze corps sans vie de migrants subsahariens ont été trouvés par les garde-frontières libyens. Les autorités tunisiennes avaient expulsé des centaines de migrants vers une zone désertique à la frontière libyenne début juillet. Selon l’ONG Human Rights Watch, quelque 1 200 personnes ont été renvoyées vers la frontière avec la Libye et avec l’Algérie. Depuis, le Croissant rouge tunisien a secouru quelque dizaines d’entre eux. D’autres n’ont pas eu cette chance et sont toujours bloqués dans la zone désertique de Ras Jdeir.

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