Retailleau offre la rue à Le Pen : la normalisation de l’extrême droite en marche



Le 23 novembre 2024, lors d’une marche féministe, un groupuscule identitaire a défilé sous protection policière, malgré l’opposition des organisatrices. Une stratégie d’État et un précédent inquiétant ?

Ce samedi de novembre, alors que des milliers de manifestant·e·s convergeaient pour dénoncer les violences faites aux femmes, un épisode glaçant s’est joué en arrière-plan, orchestré avec l’assentiment de la préfecture : la cohabitation imposée entre des collectifs féministes et deux entités fémonationalistes, le collectif pro-israéalien Nous Vivrons et, plus troublant encore, le groupuscule identitaire Némésis. Ce dispositif, loin d’être anodin, interroge : cette tolérance, voire cette protection accordée à ce groupe identitaire, traduit-elle une stratégie politique plus large, visant à normaliser les thèses du Rassemblement National et à consolider son agenda réactionnaire ?

80 ans du droit de vote des femmes : « Un long parcours depuis la Révolution française »


On célébrait ce dimanche 21 avril les 80 ans du droit de vote des femmes.

Le 21 avril 1944, alors que la Seconde Guerre mondiale n’est pas terminée, une ordonnance du gouvernement provisoire du général de Gaulle à Alger accorde le droit de vote aux femmes. Une décision historique prise après plus d’un siècle de lutte intense. 

8 mars: journée internationale des droits des femmes


La Marseillaise revisitée par Catherine Ringer pour l’inscription de l’IVG dans la Constitution

 


A l’occasion de la cérémonie publique place Vendôme où le sceau de la République a été apposé sur la loi inscrivant l’IVG dans la constitution française, la chanteuse française Catherine Ringer a interprété une Marseillaise revisitée, pour une « loi pure dans la Constitution »


A Troyes cet après-midi

 


Prise de parole inter-organisations féministes auboises

Face aux attaques du gouvernement, des droites et extrêmes droites, partout les femmes résistent !

Grève féministe !

Nous appelons à la grève du travail, des tâches domestiques, de la consommation. Parce que seules nos voix, nos cris, nos actions visibles pourront faire bouger la société et le pouvoir pour enfin obtenir l’égalité.

Solidarité avec les femmes du monde entier !

Le 8 mars, nous sommes en grève en solidarité avec nos sœurs confrontées aux guerres qui sévissent dans le monde.

En solidarité avec celles qui font face à des bombardements massifs, à l’exode, sont victimes de viols de guerre, peinent à nourrir leur famille et elles-mêmes.

En solidarité avec toutes celles qui se défendent farouchement pour recouvrer leur liberté et leurs droits.

NON à la réaction, NON à l’extrême droite

Les idées d’extrême droite qui prônent la haine de l’autre, le racisme, la misogynie, la LGBTQIAphobie, remportent des succès électoraux partout dans le monde, se banalisent. En France, le gouvernement et la droite en reprennent à leur compte.

La loi immigration votée en décembre dernier en est un exemple. Même si un tiers des dispositions, comme celles instituant la préférence nationale ont été invalidées par le Conseil constitutionnel, cette loi raciste s’attaque au droit d’asile et à tou·te·s les sans-papiers.

Nous réclamons l’abrogation de la loi immigration et la régularisation de tou·te·s les sans-papiers.

Nous voulons vivre et pas survivre !

Les inégalités salariales, les bas salaires et désormais l’inflation dégradent les conditions de vie. Les femmes représentent 62% des personnes payées au SMIC et 70% des bénéficiaires des banques alimentaires. Plus de 9 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté. 300 000 personnes dont 3000 enfants vivent dans la rue. Certaines en meurent.

Nous demandons la hausse des salaires, la revalorisation des minimas sociaux, la construction massive de logements sociaux.

Du travail et des salaires décents

Les femmes, notamment les mères isolées, sont particulièrement impactées par la vie chère, elles occupent des emplois mal rémunérés, sont souvent percutées par la précarité et le temps partiel imposé et touchent un salaire en moyenne ¼ inférieur à celui des hommes. Les femmes, dont les retraites sont 40% inférieures à celles des hommes, sont encore plus impactées par la dernière réforme.

Nous réclamons l’abrogation de la réforme Macron des retraites, des lois qui pénalisent les chômeurs·euses et les bénéficiaires du RSA. Nous réclamons la revalorisation des métiers féminisés (éducation, soin, nettoyage…), l’égalité salariale, l’interdiction du temps partiel imposé, la transformation des CDD en CDI. Nous voulons la retraite à 60 ans avec 37,5 annuités.


Des services publics au service de nos besoins

L’idéologie libérale vise à casser et à privatiser les services publics : hôpital, école, EHPAD, logement. Ce sont les femmes qui compensent cette carence auprès des enfants comme des plus âgé·e·s, des malades, au détriment de leur carrière, de leur autonomie financière, de leur santé.

Elles assument la grande majorité des tâches domestiques et d’éducation des enfants. Elles portent une charge mentale les obligeant à devoir constamment tout planifier.

Nous voulons des services publics de qualité et réclamons la création de services publics de la petite enfance et de la perte d’autonomie.

Nous voulons du temps pour vivre, un partage égal des tâches, une réduction du temps de travail pour toutes et tous.


Notre corps nous appartient

Depuis le 4 mars 2024 la liberté d’avorter est inscrite dans la Constitution française. C’est une première mondiale et sa portée symbolique est considérable. Mais elle n’efface ni les difficultés à accéder réellement à l’IVG, ni l’instrumentalisation politique qu’en fait Emmanuel Macron. La suppression de centres IVG, pas moins de 130 ces dernières années, l’affaiblissement des services publics, l’attaques contre l’hôpital font que de nombreux obstacles perdurent et le recours à l’avortement reste inégal selon le profil, le niveau social ou le lieu de vie. Ce n’est pas normal.

Nous réclamons la réouverture de tous les centres d’interruption volontaires de grossesse fermés ainsi qu’un large plan de garantie de l’accès à l’IVG soit mis en place dès les prochains jours pour permettre à toutes les femmes d’y avoir accès.

Macron appelle à un “réarmement démographique », aux relents pétainistes et natalistes, comme si le désir d’enfant dépendait de l’injonction politique et nous prépare un congé de naissance tout en pointant du doigt des parents «défaillants».


LGBTQIA, nous voulons pouvoir faire nos choix de vie, vivre librement notre orientation sexuelle, nos identités.

Handicapées, nous subissons toutes les violences. Nous sommes privées de nos droits à l’autonomie, à l’éducation, à l’emploi, aux soins, et à la procréation. Nous voulons notre indépendance économique, l’accessibilité universelle à l’ensemble de l’espace public et à tous les lieux et bâtiments.

Stop aux violences sexistes et sexuelles

#MeToo est partout, dans tous les milieux. L’impunité persiste, 1% des viols sont condamnés. Macron se permet d’apporter son soutien à Depardieu, mis en examen pour viol et se porte ainsi garant de tout un schéma d’oppression. Les violences obstétricales et gynécologiques (VOG) sont systémiques et impunies. 9% des femmes se disent victimes de brutalités dans le soin selon le Haut Conseil à l’Égalité. Ce dernier insiste sur la persistance du sexisme chez les plus jeunes.
Quand 56% des victimes de violences sexuelles sont des mineur·e·s et 160 000 enfants victimes par an, Macron décapite la Commission Indépendante sur l’Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants et fait silence sur les 30 000 témoignages recueillis.

Alors que la France accueillera cet été les Jeux Olympiques et Paralympiques, nous demandons la mise en place d’actions concrètes pour lutter contre toutes les violences sexistes et sexuelles, protéger les victimes et combattre les réseaux de traite prostitutionnelle et de proxénétisme.

Nous voulons restaurer la CIIVISE (Commission Indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants) dans son but initial et suivre ses recommandations. Nous réclamons trois milliards pour lutter contre les violences, l’application des lois existantes, le vote d’une loi-cadre contre les violences masculines à l’encontre des femmes, des enfants et des minorités de genre.<


Éduquer à l’égalité, un enjeu majeur

Une éducation à l’égalité doit permettre aux enfants de comprendre les mécanismes de domination s’exerçant dans notre société.

Nous voulons une éducation non sexiste, la mise en place effective d’une éducation à la vie affective et sexuelle qui intègre les notions de désir et de plaisir, d’une éducation au consentement et à l’égalité.

Les femmes face aux changements climatiques

Face aux changements climatiques, les femmes sont plus vulnérables que les hommes, en grande partie parce qu’elles représentent la majorité des pauvres dans le monde (70% des 1,3 milliards de personnes en-dessous du seuil de pauvreté), et qu’elles dépendent davantage des ressources naturelles menacées. 80% des déplacé·e·s suite à une catastrophe naturelle liée aux changements climatiques sont des femmes et des filles.

Nous revendiquons la participation pleine et égale des femmes et filles aux processus de décisions et aux projets de gestion de l’environnement doit être une priorité absolue. Pas d’avenir durable, sans égalité des genres !

Pour terminer rappelons la mise en garde de Simone de Beauvoir : « une crise politique, économique ou religieuse suffirait pour remettre en question le droit des femmes ». C’est flagrant en Afghanistan depuis la prise de pouvoir des talibans en 2021, où une guerre ouverte contre les droits des femmes et des filles est menée dans tout le pays, les talibans ne cessant de mettre en place des restrictions dans le but d’effacer complètement les filles et les femmes de la société, en les privant de leurs libertés. Et cela pourrait bien arriver ici, les relents patriarcaux nauséabonds de l’extrême droite et du gouvernement en sont des alertes bien réelles. Nous ne devons ni ne pouvons baisser les bras !

Le 8 mars, nous sommes en grève et manifestons contre le patriarcat et ce gouvernement !

Enfin une grève féministe pour le 8 mars 2024 


C’est une première. Cinq organisations syndicales, la CFDT, la CGT, la FSU, Solidaires et l’Unsa, appellent à faire grève et à se mobiliser ce 8 mars 2024, journée internationale de luttes pour les droits des femmes.

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Comment on fait la grève féministe ?


CARTE DES MOBILISATIONS

« Grève féministe » : on vous explique dans quel cadre vous pouvez cesser le travail le 8 mars


Plus de 400 femmes du monde littéraire, dont Annie Ernaux et Vanessa Springora, dénoncent « la persistance des agressions sexuelles et des viols » dans le milieu


Salaire, précarité, carrière : les 5 chiffres qui prouvent que l’égalité hommes femmes n’est pas encore gagnée


L’intelligence artificielle générative perpétue les préjugés sexistes, alerte l’Unesco


Des visas pour la liberté des femmes afghanes persécutées 


Mères célibataires : la bombe sociale de 2024 ?


#MeToo stand-up : « Parler pour que les femmes puissent travailler en sécurité »


A TROYES


COLLECTIF AUBOIS DE LUTTE POUR LES DROITS DES FEMMES

A 14h00 : rassemblement place Jean-Jaurès puis marche dans Troyes, ponctuée d’étapes avec prises de parole par les différentes organisations constituant le collectif.





Dossier : Les inégalités entre femmes et hommes


Où en sont les inégalités entre les femmes et les hommes ? Les dernières données sur les écarts de salaires, l’accès à l’emploi, les discriminations et violences sexistes.

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Être une femme dans l’Afghanistan des talibans


Golshifteh Farahani : « Le mouvement Femme, vie, liberté ne peut pas être réprimé »

 

A l’occasion de la journée internationale de lutte pour les droits des femmes,

le Collectif Aubois de lutte pour les droits des femmes (les associations LDH, Greenpeace, MRAP, NT10 et AGUI, les syndicats CGT, CFDT, FSU et Solidaires et le CIDFF)

Appelle à manifester le vendredi 8 mars 2024.

Rassemblement à 14h00 Place Jean-Jaurès pour une marche dans Troyes, ponctuée d’étapes avec prises de parole par les différentes organisations constituant le collectif.

Le cinéma Utopia, en partenariat avec le Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) de Pont-Sainte-Marie et les associations LDH et Solidarité Femmes, organise une soirée spéciale pour sensibiliser aux droits et conditions des femmes,

Le vendredi 8 mars 2024 à partir de 19h00 au cinéma UTOPIA.



PLUS INVISIBLES QUE LES PAYSANS : LES PAYSANNES

 


« Si les agricultrices ont acquis des droits, c’est parce qu’elles se sont battues pour »


« Je ne fais pas grand chose, la traite et la compta » : le travail invisible des paysannes


« De plus en plus d’agricultrices se revendiquent de l’écoféminisme »

IVG dans la Constitution : comment ont voté les sénateurs de Champagne-Ardenne ?


Après l’Assemblée nationale, le Sénat a adopté mercredi le projet de loi constitutionnelle relatif à la liberté de recourir à l’interruption volontaire de grossesse. Découvrez comment ont voté les sénateurs et sénatrices de Champagne-Ardenne.

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Débat: La Liberté d’être essentialisé·e·s ?

Tribune de soutien à Gérard Depardieu : les signataires « font face à un déni de réalité », estime Raphaëlle Rémy-Leleu


Une tribune, signée par une cinquantaine d’artistes et publiée mardi dans le « Figaro », dénonce le « lynchage » ciblant Gérard Depardieu. Pour la militante féministe, Raphaëlle Rémy-Leleu, cette tribune a décidé de « privilégier l’artiste, et de mépriser la parole de chaque victime ».

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Non, Emmanuel Macron, la culture du viol n’est pas une « transgression »


« Au sommet de l’État, les violences sexuelles ne sont pas considérées comme un fait politique »


Des monstres à désacraliser

«Poutre dans le caleçon», «grosses salopes», «petite chatte» : «Complément d’enquête» exhume une vidéo d’un Depardieu obscène


Le magazine d’investigation a diffusé des images inédites tournées en septembre 2018 en Corée du Nord, où l’acteur multiplie les propos à connotation sexuelle, adressés notamment à une fillette d’une dizaine d’années.

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Communiqués de la LDH


De nombreuses personnalités françaises appellent à la libération de militantes féministes détenues en Iran



À un peu moins d’un an de la mort de Mahsa Amini après une arrestation pour un voile mal mis et le début de nombreuses protestations, 150 personnes en France appellent les autorités iraniennes à libérer douze militantes féministes arrêtées la semaine dernière. Le courrier a été transmis à l’ambassade d’Iran à Paris à l’initiative du collectif Iran Justice.

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D’ici et d’ailleurs


La jeunesse au travail : en finir avec les préjugés


Le féminisme est-il soluble dans le néolibéralisme ?


Les questions pour comprendre la réforme des retraites : petites pensions, carrières longues et impact pour les femmes


Négociations annuelles entre fournisseurs et distributeurs : le ticket de caisse va s’alourdir


Éthiopie: révélations sur des massacres effroyables perpétrés par l’armée érythréenne


Irak : la crise oblige les enfants à travailler


8 mars 2023 : Journée Internationale des Droits des Femmes

A Troyes et agglo

PARTICIPEZ À LA JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DES FEMMES




A Romilly-sur-Seine




Pour aller plus loin, voir ici les publications de la LDH

« Tu mérites une balle », « sale p*** » : les députées écolos dévoilent les menaces qu’elles subissent


L’initiative des députées écologistes pourrait à l’avenir être étendue à des menaces subies par des députées d’autres groupes.

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DROITS DES FEMMES : COMBATTRE LE “BACKLASH”


Partout dans le monde, les droits des femmes reculent, sous la pression de mouvements anti-droits qui poussent leur agenda de régression. Comment combattre ce « backlash » ? Conjointement élaboré par Equipop et la Fondation Jean-Jaurès, ce rapport a un double objectif : alerter les pouvoirs publics sur les atteintes aux droits des femmes, et plus largement aux droits humains, et soumettre des recommandations en faveur d’une politique étrangère féministe de la France.

Télécharger le rapport ICI

Fipadoc: la croisade des «Évangéliques à la conquête du monde»

« Les Évangéliques à la conquête du monde », une série de Thomas Johnson, sélectionnée au Fipadoc 2023. © Artline Films


Le Festival international du film documentaire à Biarritz (Fipadoc) a sélectionné pour la première fois des séries pour sa programmation exigeante. Un choix pertinent permettant de comprendre en profondeur historique et politique le phénomène très troublant des « Évangéliques à la conquête du monde », un mouvement anti-avortement, anti-homosexuel, anti-féministe, de Trump à Bolsonaro, en passant aussi par des pays en Europe, comme la France, ou la RDC en Afrique. Entretien avec le réalisateur Thomas Johnson.

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La lutte pour les droits des femmes est un combat contre l’autoritarisme

Ces militantes du droit à l’avortement célébraient devant le siège de la Cour constitutionnelle à Bogota, Colombie, le 21 février 2022. © 2022 AP Photo/Fernando Vergara


Il est clair que le progrès n’est jamais linéaire et que la défense des droits humains peut être une tâche difficile. Mais les gains en matière de droits des femmes sont particulièrement fragiles. Se retranchant souvent derrière des concepts qu’ils présentent comme inoffensifs, tels que la protection de la famille et des enfants ou la protection de traditions sociétales, les gouvernements limitent l’autonomie des femmes, comme si ces restrictions n’étaient pas motivées politiquement et n’équivalaient pas à des violations de droits humains.

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« Femme, vie, liberté » en Iran : l’actrice féministe Taraneh Alidoosti arrêtée

Taraneh Alidoosti lors de la présentation du film Leila et ses frères au 75e festival international du film de Cannes, 26 mai 2022.  ©AP Photo/Daniel Cole


Elle est Leïla dans Leïla et ses frères, Rana dans Le Client. L’actrice Taraneh Alidoosti a été arrêtée le 17 décembre 2022 pour son soutien à la contestation qui gronde en Iran depuis plusieurs mois. Aujourd’hui, les appels fusent pour que soit libérée cette militante des droits des femmes.

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Le nombre de victimes de violences conjugales recensées par la police et la gendarmerie en hausse de 21 % en 2021

Des personnes se rassemblent sur la place du Trocadéro, devant la tour Eiffel, à Paris, lors d’une manifestation à l’appel de l’organisation féministe #NousToutes pour dénoncer le 100ᵉ féminicide de l’année, le 1er septembre 2019. ZAKARIA ABDELKAFI / AFP


L’étude annuelle du ministère de l’intérieur fait état d’un doublement des faits enregistrés par les forces de sécurité depuis 2016.

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Dans le monde


UKRAINE : LES PERSONNES ÂGÉES PARMI LES PREMIÈRES VICTIMES CIVILES DU CONFLIT  


Route des Canaries : l’impossible deuil des proches de migrants disparus en mer 


L’Indonésie criminalise les relations sexuelles hors mariage


Somalie: «On était obligé de s’enfuir», à Baidoa, l’afflux de réfugiés en quête d’aide


Suisse : vers une interdiction des thérapies de conversion ?


Au Mexique, les associations féministes sous surveillance militaire

Législatives en Italie: les féministes inquiètes d’une victoire de l’extrême droite

Giorgia Meloni la cheffe de file du parti d’extrême droite ratelli d’Italia lors d’un meeting à Ancône le 23 août 2022. AP – Domenico Stinellis


Alors que le parti post-fasciste italien Fratelli d’Italia est donné en tête aux législatives de dimanche prochain en Italie, l’inquiétude grandit, notamment au sujet quant à la vision de l’extrême droite sur la place des femmes dans la société. Reportage à Bologne.

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