Le Collectif des Associations Citoyennes appelle à rejoindre les mobilisations visant au retrait de la loi « immigration ». Le CAC est né en 2010 pour lutter contre l’instrumentalisation et la marchandisation des associations et défendre leur contribution à une société solidaire, écologique et démocratique. Il regroupe une cinquantaine de réseaux associatifs nationalement ou localement.
Rassemblement
devant l’hôtel de ville
25 novembre : JOURNÉE INTERNATIONALE CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES
A l’occasion de la Journée internationale contre les violences faites aux femmes.
Le collectif féministe aubois créé en 2020 et constitué d’associations (Centre d’information sur les droits des femmes et des familles, Solidarité femmes Aube, Aux Adelphes, Travailleuse du texte, Artisans du monde, MRAP, Ligue des droits de l’homme, Agui à La Chapelle-Saint-Luc), de la CGT et de militantes indépendantes
se mobilise et appelle à un rassemblement
place de la Libération (devant la préfecture)
ce samedi 25 novembre de 14 h à 16 h
Nous vous invitons à rejoindre demain ce rassemblement
La France enregistre une hausse de 15 % des violences conjugales en 2022
« Il n’y a pas de dispositifs sécurisants » : les victimes de violences conjugales hésitent toujours à porter plainte
Violences faites aux femmes durant le parcours migratoire
« Une véritable arme à portée de main » : quand le spectre de la soumission chimique plane sur les violences faites aux femmes
Javier Milei, un nouveau président argentin qui menace le droit des femmes
Les femmes particulièrement touchées par la pauvreté qui s’aggrave en France
Violences faites aux femmes : l’ANDRH et l’ONU Femmes France s’engagent
L’aide financière d’urgence « est déjà une reconnaissance de ce que vivent » les victimes de violences conjugales, estime la Fondation des femmes
Classées sans suite : chronique lecture
HALTE AU MASSACRE A GAZA !
Troyes : rassemblement pour la paix lundi 13 novembre
A l’appel des organisations :
CGT, FO, FSU, CFDT, SOLIDAIRES, LFI, POI, PCF, GENERATION.S, MRAP, LDH, COLLECTIF LOUISE-MICHEL, LIBRE PENSEE, AGUI, GREENPEACE
Nous appelons à un rassemblement pour obtenir un cessez-le-feu immédiat et la réouverture d’un processus de paix durable, en Israël et en Palestine, sur la base des résolutions de l’ONU
lundi 13 novembre
à 17h30
Place de la Libération – préfecture de l’Aube
(une marche pour la paix sera organisé le samedi 18 novembre)
Guerre Hamas-Israël : plus de 100 employés de l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens tués à Gaza
Couverture de la guerre Israël/Palestine : L’AJAR dénonce le double standard
Marche contre l’antisémitisme : qui a vraiment lu la tribune de Larcher et Braun-Pivet ?
RASSEMBLEMENT POUR LA PAIX
Demain à Troyes
A l’appel du PCF
Rassemblement à 10h30 devant la préfecture de l’Aube contre l’inflation et la politique d’austérité du gouvernement
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Mais aussi partout en France
Le collectif Uni.e.s contre l’immigration jetable (Ucij 2023) s’oppose à la politique discriminatoire du gouvernement, fondée prioritairement sur le soupçon et la répression en matière de migration et d’asile. Il revendique une politique migratoire d’accueil digne et le respect des droits de toutes et tous. |
Logement : un droit pour toutes et tous Mobilisation nationale le 30 septembre
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Emmanuel Macron et Gérald Darmanin ont décidé d’accélérer pour faire adopter leur nouveau projet de loi sur l’immigration et l’asile, ou plutôt devrait-on dire contre les étrangères et étrangers. Alors que Les Républicains (LR) et Rassemblement national (RN) font monter les enchères et réclament à l’unisson un référendum sur l’immigration et des mesures plus répressives encore, telles la suppression de l’aide médicale d’Etat (AME) sauf cas d’urgence, le gouvernement semble de plus en plus à leur écoute. Il est vrai que, faute de majorité absolue à l’Assemblée nationale, le gouvernement a besoin des voix des Républicains. Le texte gouvernemental (adopté en Conseil des ministres en février et en commission des lois au Sénat le 15 mars dernier) devrait être présenté au Sénat début novembre et à l’Assemblée nationale en février 2024. Ce texte soit disant équilibré va surtout durcir encore et encore les conditions d’installation des étrangères et étrangers sur le territoire français, et faciliter les expulsions y compris des personnes étrangères les mieux protégées. Et tout cela au mépris des conventions internationales, en laissant notamment un pouvoir totalement discrétionnaire aux préfets, au motif de soi-disant menaces à l’ordre public ou de non respect des « valeurs de la République». Quand on sait comment ces notions sont utilisées à tort et à travers, on comprend les risques que courent les exilées et exilés. Alors que les actes racistes se multiplient, que les extrêmes droites, du RN aux groupes néo-nazis, sont plus fortes que jamais, que les violences policières restent bien souvent impunies, le gouvernement ressort les vieilles recettes : répression tous azimuts et recherche de boucs émissaires via une suspicion raciste généralisée à l’égard des personnes étrangères, du moins celles en particulier originaires du Moyen Orient et d’Afrique, les assimilant à des personnes délinquantes, voire à des terroristes. De telles politiques ne peuvent que renforcer la précarité administrative, sociale et économique dans laquelle vivent déjà un trop grand nombre de personnes exilées. C’est particulièrement vrai en matière de droit au logement puisqu’une/un SDF sur deux est de nationalité étrangère, y compris des demandeuses et demandeurs d’asile et des personnes ayant obtenu le statut de réfugiées ou réfugiés. Il est important de rappeler qu’en novembre dernier, via une circulaire, le ministre de l’Intérieur appelait à multiplier les OQTF (obligation de quitter le territoire) et posait le principe d’appliquer les méthodes de suivi des étrangères et étrangers délinquants à l’ensemble des personnes étrangères faisant l’objet d’une OQTF (alors que celles-ci n’ont commis aucune infraction pénale). Il avait aussi recommandé aux préfets de mettre en place un dispositif permettant aux bailleurs sociaux de signaler les personnes qui auraient perdu leur titre de séjour. Dans le même texte, il avait d’ailleurs tenté de créer un autre dispositif pour vérifier la situation administrative des personnes étrangères prises en charge par l’hébergement d’urgence au motif qu’elles pourraient l’être indûment au mépris de l’inconditionnalité de l’hébergement d’urgence. Nombre d’associations l’ont signalé. Outre ces mesures spécifiques particulièrement dommageables, les personnes étrangères subissent, comme les autres habitantes et habitants, l’inflation et donc les hausses de loyers et de charges. En 1973, les locataires consacraient 10% de leurs revenus au loyer, aujourd’hui, c’est près de 30%… en moyenne, et pour beaucoup, c’est plus de la moitié des revenus. Le nombre d’expulsions locatives augmente et les lois qui protègent les personnes mal-logées et les sans-toit sont bafouées. De plus, dans les foyers de travailleurs migrants transformés en résidences sociales, les résidents n’ont pas le statut de locataire. Celles et ceux qui hébergent solidairement un proche sont donc sous la menace d’une expulsion, les gestionnaires engageant des poursuites judiciaires. Au final les hébergeurs comme les hébergés, avec ou sans-papiers, se retrouvent à la rue. Face à cela, face aux menaces du futur projet de loi Darmanin, le collectif Ucij, qui rassemble plus de 400 associations nationales et locales, dont la LDH, appelle à amplifier les mobilisations pour affirmer la solidarité et l’égalité des droits entre Françaises / Français et personnes exilées. |
À mi-parcours entre les Deux-Sèvres et Paris, le «convoi de l’eau» soutient Dernière rénovation et s’interroge sur la dégradation d’un golf
Près de 700 cyclistes et une dizaine de tracteurs se sont élancés des abords de Sainte-Soline (Deux-Sèvres) le 18 août pour rejoindre Paris ce samedi. Le rassemblement soutenu par les Soulèvements de la Terre vise à s’opposer aux méga-bassines de façon festive et pacifique. Reportage à Tours, où il faisait étape ce mardi.
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CONVOI DE L’EAU
RASSEMBLEMENT à TROYES samedi 8 juillet – 11h – devant la Préfecture
Un apaisement durable n’est possible que si le gouvernement prend les mesures nécessaires pour répondre à l’urgence de la situation et aux exigences des populations concernées.
L’ONU a critiqué à plusieurs reprises les politiques sécuritaires et les problèmes institutionnels de racisme en France, en particulier dans les forces de l’ordre.
Ce sont les discriminations qui sont un poison toxique qui décrédibilise l’idée d’égalité et sème le désespoir.
L’extrême droite en fait son lit pour diviser toujours davantage la société.
Nous dénonçons l’appel à la guerre civile contre les quartiers populaires et la qualification des personnes qui en sont issues de « nuisibles » par des syndicats de policiers.
Nous condamnons la constitution d’une cagnotte de soutien au policier qui a tué Nahel à l’initiative d’un membre de l’extrême droite et l’absence de toute action du gouvernement, mettant ainsi de l’huile sur le feu.
Troyes en marche pour les retraites
La Journée Internationale des Migrants à Troyes
Journée contre les violences faites aux femmes à Troyes
Les associations organisatrices ont fait preuve d’un sens de l’organisation sans faille au rassemblement d’environ 200 personnes aujourd’hui à Troyes.
Le LDH était également présente à la projection du documentaire « Riposte Féminine » au cinéma CGR ce jeudi 17 novembre.
La mobilisation eût mérité pour l’une comme pour l’autre une présence plus massive car nous sommes réellement tou(te)s concerné(e)s, par ce fléau des violences faites aux femmes.
En 2021, 32 des 122 femmes tuées avaient déjà été victimes de violences alors que 74 % d’entre elles l’avaient signalé auparavant aux forces de l’ordre, toujours selon les données publiées par la place Beauvau. (Source)
En 2022 (à ce jour et a minima), on dénombre 100 féminicides par (ex)compagnons (+15 tiers dont 9 enfants), dont 84 femmes tuées à leur domicile…(Source)
RD