A Calais on n’exclut pas, on persécute.

À Calais, de nouveaux rochers pour contrer les migrants

Mercredi 14 septembre, de gros rochers ont commencé à être installés quai de la Meuse, à Calais. Crédit : Twitter @AubergeMigrants


De gros rochers ont été installés mercredi sur un terrain en bord de route, dans le centre-ville de Calais. Sur ces lieux vivaient auparavant une centaine de migrants, principalement syriens, explique l’association Human Rights Observers qui dénonce une logique de harcèlement absurde.

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D’ici et d’ailleurs


Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique


La Syrie risque une forte propagation du choléra, alerte l’OMS


L’Europride de Belgrade, marche LGBTQI +, interdite par les autorités serbes


Libye : des abus subis par les migrants filmés sur les réseaux


TRIBUNE COLLECTIVE “AFGHANISTAN : LA LUTTE POUR LE RESPECT DES DROITS FONDAMENTAUX DOIT CONTINUER”


JOURNÉE DU 28 SEPTEMBRE : LE DROIT À L’AVORTEMENT DOIT ÊTRE RECONNU COMME DROIT FONDAMENTAL PARTOUT ET TOUT LE TEMPS


MONSIEUR LE MINISTRE DE LA SANTÉ ET DE LA PRÉVENTION, IL FAUT EMPÊCHER L’EXPULSION D’UNE PERSONNE MALADE DONT LA VIE SERAIT MISE EN DANGER PAR UN RENVOI DANS SON PAYS !



D’ici et d’ailleurs


L’enquête pour viol et agression sexuelle sur mineur visant Nicolas Hulot classée sans suite pour prescription


Turquie : des réfugiés syriens tentent de former une « caravane » pour gagner l’UE


COP27 : Human Rights Watch accuse l’Egypte d’entraver le travail des défenseurs de l’environnement


Téléréalité : une machine à créer du sexisme avec Valérie Rey-Robert

Israël/Palestine : le harcèlement contre l’avocat des droits humains Salah Hammouri doit cesser

Et encore, dans l’actualité

https://reporterre.net/Dans-la-Meuse-des-eurodeputes-veulent-sauver-les-forets-du-Grand-Est?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=nl_quotidienne


Harcèlement grossophobe, humiliations et régimes imposés à l’Académie internationale de la danse


Des eurodéputés veulent sauver les forêts du Grand Est

Éthiopie : Vague d’arrestations des professionnels des médias

Nisir International Broadcasting Corporation


Dans la région d’Amhara au nord-ouest de l’Éthiopie, les journalistes et travailleurs des médias sont la cible d’une vague d’arrestations arbitraires et de détentions au secret. Reporters sans Frontières (RSF) demande leur libération et la fin du harcèlement des journalistes.

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Procès en appel des ex-dirigeants de France Télécom : « J’espère qu’ils ne seront pas relaxés », témoigne une victime

La Cour d’appel de Paris. (CARINE SCHMITT / HANS LUCAS)


L’ex-PDG, Didier Lombard et son ancien numéro 2 sont jugés devant la Cour d’appel de Paris ce mercredi. Ils avaient été condamnés en première instance, il y a plus de deux ans, pour harcèlement moral après une vague de suicides de salariés entre 2007 et 2010.

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Droits des femmes : un 8 mars sous le signe de la présidentielle


Comme l’année dernière, un rassemblement féministe est organisé sur la place Paul-Bert, à Lorient, ce mardi, de 15 h 40 à 18 h 30. (Archives Le Télégramme)


Les collectifs féministes interpellent les candidats à la présidentielle et appellent à une « déferlante pour l’égalité » ce mardi, à l’occasion de la Journée internationale pour les droits des femmes. Leur objectif ? Dénoncer les inégalités salariales et les violences sexistes.

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Rappel : Rassemblement à Troyes, place de l’Hôtel de ville, 15 h 40

« Mon chef me touche les fesses » : les élèves des écoles hôtelières formés contre les violences en cuisine

Les cheffes cuisinières Manon Fleury (à gauche) ett Laurène Barjoux (à droite) devant une classe du lycée hôtelier Jean Drouant à Paris © Radio France / Faustine Calmel


Depuis quelques années, de rares chefs ou anciens employés de la restauration dénoncent les injures, les coups, voire les agressions sexuelles dans les cuisines. Pour alerter les futurs professionnels sur le sujet, l’association Bondir.e, créée par de jeunes cheffes trentenaires, intervient dans les écoles hôtelières.

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Pendant ce temps-là… – L’histoire de l’Iranienne Mona Heidari, 17 ans, décapitée par son mari


Mona Heidari, 17 ans, a été décapitée par celui avec qui elle avait été forcée de se marier. La photo de cet homme exhibant fièrement la tête de sa femme dans la rue indigne l’Iran et le monde entier. Voici son histoire, racontée par la journaliste iranienne Masih Alinejad.

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GUIDE PRATIQUE POUR LES FEMMES ÉTRANGÈRES VICTIMES DE VIOLENCE

L’université Harvard visée par une plainte pour avoir ignoré des faits de harcèlement sexuel

Le campus de Harvard à Cambridge, dans le Massachussets, le 13 décembre 2018. CHARLES KRUPA / AP


Trois doctorantes accusent l’université américaine de ne pas avoir pris en compte leurs signalements de harcèlement sexuel perpétrés par un professeur d’anthropologie.

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Royaume-Uni : Julian Assange est autorisé à saisir la Cour suprême pour faire appel de son extradition


Reporters sans frontières (RSF) salue la décision de la Haute Cour britannique d’autoriser le fondateur de Wikileaks Julian Assange à faire appel de son jugement d’extradition auprès de la Cour suprême. Néanmoins, celle-ci ne pourra examiner que les assurances diplomatiques fournies par le gouvernement américain quant au traitement de Julian Assange si celui-ci est extradé.

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CONTRE LE DROIT D’EXCEPTION ET LES PRATIQUES ILLÉGALES À MAYOTTE !

VIOLENCES EN LIGNE : LES FEMMES SONT LES PLUS CIBLÉES SUR TWITTER


France, Metz, 2021-11-20. Manifestation contre les violences et le harcelement envers les femmes a l’appel du collectif #noustoutes. Photographie de Nicolas Billiaux / Hans Lucas (Photo by Nicolas Billiaux / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP)


Insécurité et violences en ligne : les femmes et les personnes marginalisées en sont d’avantage victimes sur Twitter. Comment la plateforme réagit-elle ? Que met-elle en place ? Enquête. 

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25 NOVEMBRE 2021 : LE PROGRAMME DES ASSOCIATIONS SOLIDARITÉ FEMMES



À l’occasion de la Journée internationale de l’élimination de la violence à l’encontre des femmes, les associations membres du réseau Solidarité Femmes organisent ou participent à de nombreuses actions.

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Troyes: Rassemblement à 12h30 place de l’Hôtel de Ville

Violences faites aux femmes : plusieurs centaines de personnes dans les rues de Troyes



350 personnes manifestent à Troyes ce samedi après-midi pour dénoncer les violences sexistes et sexuelles.

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Le texte de la déclaration commune faite lors de la manifestation:

Manifestation pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes

Le 17 décembre 1999, l’ONU déclare la journée du 25 novembre « Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes ». Cette date est la commémoration de l’assassinat de 3 sœurs, les sœurs Mirabal, militantes politiques contre la dictature dominicaine. Elles ont été tuées à coups de machette le 25 novembre 1960 sur les ordres du chef de l’Etat dominicain.

Cette journée est internationale ; que nous soyons Françaises, Japonaises, Somaliennes, Brésiliennes, etc., nous partageons toutes ce même héritage : être victime de la violence des hommes. Pas de frontière, de religion, de culture, d’ethnie. Le patriarcat et sa violence sont partout. La seule solution est de lutter toutes et tous pour renverser ce système de domination.

Partout en France, aujourd’hui, des femmes et des hommes manifestent contre cette culture de la violence. A Troyes, différentes organisations et militantes ce sont regroupées pour manifester leur colère : Association Agui, CGT, CIDFF, les colleuses, Féministes, Groupe Nous toutes 10, Ligue des droits de l’Homme, MRAP, Solidarité Femmes,.

Cette violence s’abat chaque jour sur des femmes : féminicide, viol, agression sexuelle, harcèlement sexuel… Elle est devenue commune, elle se cache derrière des chiffres. Des chiffres, il y en a plein. Mais derrière ces chiffres ce sont des êtres humains, des femmes, qui voient leur vie bouleversée ou s’arrêter. Si on parle peu des victimes, on parle encore moins des tueurs, violeurs, agresseurs, harceleurs, cachés derrière cette culture du viol. Car au fond ce sont eux les victimes, les femmes l’ont bien cherché. Fallait se débattre. En fait, quand elle dit non, ça veut dire oui. Elle n’avait qu’à pas boire d’alcool. C’est ma femme, on ne viole pas sa femme. Si elle porte plainte c’est pour se faire de l’argent. Et vu qu’elle reste, c’est qu’elle aime ça se prendre des coups !

Cette culture naît dès l’enfance : les petits garçons sont éduqués à la violence car c’est viril, et les petites filles à la vulnérabilité. Partout dans la société se retrouve des traces de cette culture : Presse, Films, Séries, Entreprises, École, Justice, Politique, Religion,… Elle est inscrite dans tous les pores de notre société, cette domination des hommes sur les femmes et leurs droits sur les corps féminins. Pour changer cela, il faut un renversement de ces principes de domination, du patriarcat. C’est un choix de société, c’est une volonté politique ! C’est possible, mais plus on attend, plus des femmes sont victimes. Il faut Prévenir, il faut Sévir, il faut Guérir !

Nous revendiquons :

  • Un plan d’urgence de formation des professionnels : justice, santé, éducation, entreprise.
  • De réelles sanctions contre les auteurs de violence
  • De réelles sanctions contre les employeurs qui ne font pas de prévention et l’obligation de négocier sur les violences sexistes et sexuelles.
  • De nouveaux droits pour protéger les victimes de violence au travail : protection contre le licenciement, aménagement poste et temps de travail, prise en charge des frais de justice, ….
  • La mise en place en France de la Convention 190 de l’Organisation Internationale du Travail pour protéger toutes les femmes du monde contre les violences sexistes et sexuelles.

On est fière, vénère et pas prête de se taire !

CGT – CIDFF 10 – SOLIDARITE FEMMES – LDH – MRAP – GROUPE NOUSTOUTES  10 – COLLEUSES – FEMINISTES – ASSOCIATION AGUI


D’autres photos:

Violences sexistes et sexuelles : « Tous les lieux de travail sont concernés »


Marilyn Baldeck, secrétaire générale de l’association européenne contre les violences faites aux femmes au travail, animait, mardi 26 octobre 2021, une session de formation à destination des producteurs, au CNC à Paris. (Le Télégramme/Sophie Prévost)


Secrétaire générale de l’association européenne contre les violences faites aux femmes au travail, Marilyn Baldeck livre ses impressions, après un an de formation à destination du cinéma et de l’audiovisuel.

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#MeTooThéâtre : après la libération de la parole, l’urgence des actes


Dans un milieu théâtral qui fonctionne à huis clos, où les mêmes individus ne cessent de fouler la scène et de se recroiser, difficile de passer à côté de telles accusations de violences sexuelles. (Gabriel Martinez/Getty Images)


Après les révélations de violences sexuelles dans le spectacle vivant, un collectif de personnalités et de professionnels du théâtre fait des propositions concrètes pour changer les choses. Et appelle à une mobilisation, samedi à Paris.

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