Le déni par le ministre français de l’Intérieur des abus policiers contre les migrants va à l’encontre des faits


Gérald Darmanin s’adresse aux policiers au sujet de leur travail dans le domaine de l’immigration irrégulière, le 9 octobre 2021 près de Calais, en France. © 2021 Louis Witter/Le Pictorium/Cover Images/AP Images


Le gouvernement devrait renoncer à son approche inhumaine de la migration dans le nord de la France.

Deux jours après la publication, le 7 octobre, d’un rapport de Human Rights Watch documentant le traitement dégradant infligés aux migrants par les autorités françaises dans et autour de Calais, Gérald Darmanin a publiquement réfuté les conclusions du rapport déclarant qu’il s’agissait « manifestement de mensonges ». « Pas un policier et pas un gendarme sur la côte littorale n’a été poursuivi par la justice », a-t-il affirmé, avant de louer « l’humanité » de la police envers les migrants.

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« Infliger la détresse » : Human Rights Watch dénonce la stratégie de l’État à Calais


Des gendarmes démantèlent un campement de migrants à Calais, en octobre 2019. Crédit : Mehdi Chebil pour InfoMigrants


Harcèlement policier, destructions quotidiennes des lieux de vie, restriction de l’accès à l’aide humanitaire… Dans un rapport paru jeudi 7 octobre, l’ONG Human Rights Watch épingle à nouveau la politique des autorités françaises envers les exilés survivant dans le Nord, plus particulièrement à Calais.

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En France, des manifestants présumés coupables



En France, ces dernières années, la répression des manifestations est d’une ampleur inédite. De nombreux manifestants pacifiques se retrouvent dans le viseur des autorités.  


Violences policières à Noisy-le Grand : une vidéo accablante

Grande-Synthe : un camp de 800 migrants évacué, les associations dénoncent une « politique de la terreur »


Une centaine de CRS était présent dans le camp jeudi 23 septembre pour son démantèlement. Crédit : Utopia 56


Jeudi matin, le campement de migrants de Grande-Synthe, appelé terrain des Jésuites, a été démantelé par les forces de l’ordre, sans réelles propositions de mise à l’abri pour ses quelque 800 habitants, déplorent les associations. Dès le soir même, un autre camp s’est reformé à quelques mètres de là.

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Dominique Simonnot : « Dans les cellules de garde à vue en France, pas le moindre signe d’hygiène »


Dominique Simonnot, contrôleure générale des lieux de privation de liberté © AFP / Bertrand Guay


La Contrôleure générale des lieux de privation de liberté publie, ce mardi, au Journal officiel, six recommandations adressées au gouvernement, afin de revoir l’état des cellules de garde à vue. Dominique Simonnot dénonce, dans son rapport, « la totale indignité » des conditions d’accueil des gardés à vue.

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Contrôles au faciès : l’avocat qui fait condamner l’État


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Féminicide : « Elle avait peur, mais personne n’a réagi », témoigne une sœur de victime, morte à Strasbourg en décembre


Leyla Cetindag, la soeur de Yasemin, et sa grand-mère sont encore bouleversées par le drame, survenu le 23 décembre 2020 à Strasbourg. • © Grégory Fraize/ France 3 Alsace.


Leyla Cetindag a perdu sa sœur, morte sous les coups de son ex-mari le 23 décembre dernier à Strasbourg. Alors que le ministre de l’Intérieur a annoncé de nouvelles mesures ce dimanche 1er août, la jeune femme insiste sur l’importance d’une meilleure écoute et prise en charge des plaignantes.


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Policier, il dénonce le contrôle au faciès qu’il a lui même subi



6 ONG ont saisi ce jeudi le Conseil d’État afin de mettre fin aux contrôles au faciès. Ce policier a décidé de dénoncer ces pratiques qu’il a lui-même subies trop souvent. Il témoigne.


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Six ONG lancent une action de groupe contre les « contrôles au faciès »


Des officiers de police contrôlent un homme à la gare de Garges-Sarcelles (Val-d’Oise), le 3 février 2021. ALAIN JOCARD / AFP


Six associations, dont Amnesty International et Human Rights Watch, saisissent la justice administrative pour tenter de mettre un terme aux contrôles d’identité jugés discriminatoires. Une procédure inédite en France.


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Main arrachée lors de la free party à Redon : des témoins racontent



Le jeune homme qui a perdu sa main le 19 juin à Redon lors d’une free party a déposé plainte pour violences volontaires et non-assistance à personne en danger. D’après plusieurs témoins, les secours n’ont pas pu accéder au site. Ils racontent ce qu’il s’est passé…


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PROJET PEGASUS : DES RÉVÉLATIONS CHOC SUR UN LOGICIEL ESPION ISRAÉLIEN


Le projet Pegasus, enquête internationale pilotée par Forbidden Stories / Juillet 2021, crédit Forbidden Stories


Nouvelles révélations choc dans l’industrie de la surveillance numérique : nous avons enquêté sur l’entreprise israélienne NSO Group qui vend son logiciel espion Pegasus à des États qui s’en prennent à des journalistes, militants, avocats et défenseurs des droits humains.  


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Policiers brûlés à Viry-Châtillon : information judiciaire ouverte après des accusations d’enquête falsifiée


Des policiers avaient été attaqués dans le quartier de la Grande Borne, dans l’Essonne, le 8 octobre 2016. THOMAS SAMSON / AFP


Un juge d’instruction de Créteil devra examiner s’il y a eu « faux en écriture publique » et « escroquerie au jugement » dans l’affaire de l’attaque qui s’était tenue le 8 octobre 2016 dans le quartier de la Grande Borne (Essonne).


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